La soumission de Georges et de son fils -Tu as entendu maman comme il criait, et pleurait le monsieur, dit Anne. -C'est parce que la dame le tenait par un endroit sensible de son anatomie. Très douloureux.  Quand papa est pas sage, je l'attrape par là. Il pleure beaucoup tu sais. Après, il demande  pardon, explique Angèle. -Et grand-mère le faisait à grand-père. -Oh oui, souvent, répond Angèle. Elle l'emmenait à la salle de bains, et le laver au gant de crins.  Comme il hurlait le pauvre. Après, elle le ramenait au salon. Il était tout nu. Ses couilles et le  bout de son oiseau tout rouge. Il pleurait sur l'épaule de grand-mère. Angèle est une femme de quarante deux ans, mariée à Georges de cinq ans sont ainés. Anne, sa fille, est une très belle rousse de dix huit ans. Il y a également Paul, vingt trois ans, fils que Georges a eu d'un premier mariage. En se garant dans la cour, elles entendent des éclats de rire, pontués de petits cris. Germaine, mère d'Angèle, âgée de soixante quatre ans, avoisinant les quatre vingt dix kilos, corrige son gendre. Il est entièrement nu, cloué contre le mur. Elle lui tient la queue en l'air,  le gland totalement décalotté, avec  deux doigts. De l'autre main, elle lui donne des petites tapes sur les couilles à l'aide d'une tapette à mouches. Il danse d'un pied sur l'autre. -Ouille..ouille, assez, vous me faites mal à mes bourses, plus. -Hi..hi..hi, que tu me fais rire de voir sauter comme çà, rit Gemaine. Oh, mais ta queue est toute  raide, salaud. Tu veux que belle maman te tape une petite branlette. Germaine joint le geste à la parole. Elle saisit le membre à pleine main, et le masturbe. -Ha..ha..hou, mais vous me faites cracher. Vous arrêtez pas, s'il vous plait. Que c'est bon. -Voilà, vilain, tu as sali la tapis, gronde Germaine. Je vais être obligé de te punir. Angèle et Anne arrivent dans le salon. Georges est allongé sur les genoux de Germaine. Elle lui a tiré les couilles en arrière, formant une énorme boule avec les testicules. -Qu'est-ce-qui se passe? Demande Angèle. -Il n'a pas été sage, répond Germaine. Anne, stupéfaite, s'assied sur le fautueil d'en face, et suit la scène. Angèle pose son sac. -Alors mon chéri, fait voir ton petit machin a ta petite femme. Dit cochon, elle est toute raide.  et toute décalottée. E c'est quoi çà par terre, c'est du sperme vilain. -C'est la faute de ta maman. A force de me branler, çà fait deux fois qu'elle me fait jouir, se  défend Georges. -Allez, à la douche, maman ve te laver. Germaine saisit par l'oreille, et l'entraine à la salle de bains. Anne est scotchée sur le fautueil. -Quand mon frère m'embête, je peux le lui faire moi aussi. -Mais bien sur ma chérie, répond Angèle. La prochaine fois, tu me le dis. Je te ferai voir comme  il faut faire. Anne regagne sa chambre, un sourire sadique au coin des lèvres. Des cris proviennent de la salle de bains. Germaine a ressorti les bons vielles méthodes. Le gant de crins. -Aie...aieeeeee, pas le bout de mon sifflet, s'il vous plait. Aieee. Pas mes couilles non plus.  Pardon belle maman, je vous demande pardon. Je serai sage. Je serai obéissant. Angèle sursaute sur le canapé. Elle se retourne, et aperçoit Paul tout nu, sa main entre ses jambes. Il pleure de douleur. -Mais que t'arrive-t-il mon chéri, demande-telle. -C'est ma soeur, dit Paul, elle m'a attrapé mon petit oiseau. -Oh, allez, fait voir à maman. Mon dieu, s'écrit Angèle. Mais tu as deux petites couillettes, et un  tout petit bout. Comment vas-tu faire pour satisfaire les filles. Oh la la. Ilte faut être obéissant  à ta soeur, snon elle vas te faire pleurer quand elle te prendra les petites noisettes. Tu veux  que maman fasse grossir ta petite quéquette. Je te gratterai les couillettes aussi. Allez, viens  t'asseoir. Tu veux que j'appelle Anne pour qu'ell branle ton petit titi, hein? -Si tu veux maman, mais dis lui de ne pas me faire mal, s'il te plait -D'accord, répond Angèle. C'est moi qui te tiendrai tes petits testicules. Anne, ma chérie, tu  veux venir jouer avec ton frère. -Oh oui, j'arrive maman. Je peux lui prendre ses petites boulettes, et sa petite siffle? -Mais bien sur, répond Angèle. Anne saisit les petites couilles de Paul, et les fait rouler entre ses digts. Avec le l'index et le pouce, elle lui a décalotté son petit titi. -Pourquoi tu demandes pas à ta copine de venir, propose Angèle. Vous pouriez vous amusez  toute les deux avec ses petites choses. -Chouette, maman. Allez, viens Paul. Anne le prend par ses petits attributs, et l'emmène à sa chambre. Un hurlement provient de la pièce à côté. Paul et Anne se retourne. -C'est rien dit Angèle. C'est mamie qui a du attrapé vôtre père par les couilles. Je vais l'aider.  Allez les enfants, amusez vous bien.