des gendarmes mal inspirés La rencontre entre les "Blacks Brother" et les " Boys" se termine en bagarre générale, suite à une erreur d'arbitrage. Les supporters et supportrices des deux équipes en viennent vite aux mains. Le "Fans club" des "blacks Brother" est composé , en majorité par des femmes noires d'âge différent. Ceux de l'autre équipe, qui font parti des beaux quartiers, sont plutôt rupin. Les filles sont plus belles, vêtues pour la plus part très sexy. Quand la bagarre éclate près du grillage, ce sont les premières à se faira agresser. Certaines s'enfuit, les vêtement en lambeaux. Certaines sont entièrement nues, fessées par des jeunes blacks en furies. La gardien du stade parvient a prévenir les gendarmes. Ils arrivent à six, avec à leur tête le lieutenant Florence, très belle blonde d'une trentaine d'année. A peine sorti du fourgon, les autorités sont prises à parties par la communauté noire. Malgré les interpellations, les flics sont  débordés, attaqués. Deux jeunes blacks s'en prennent à une jeune recrue, l'entraine derrière une haie, et le déleste de ses habits. Une fille s'accroupit et lui prend les couilles. -Tiens, c'est quoi que je tiens là? Demande-t-elle. Si je serre, çà fait quoi. -Aieeeeeeiiiiiiiiiiiiiii oouuuuaaaaooouuaieeeee Le jeune flic ne peut résister à la douleur, et perd connaissance.   Tout prêt, une énorme black joue avec une jolie femme blonde, totalement nue. On voit très bien les doigts enfoncés dans sa chatte. -Alors, sourit la black, c'est pas bon çà, se faire doigter par une black, hein, sale pute. La jeune femme se cambre sur ses pieds pour mieux se faire pénéter. -Oh oui, c'est bon, décalotté mon clitoris s'il vous plait, gratter le, ha..je joui.. Une fois qu'elle a bien joui, la black l'a retourne est lui administre une fessée magistrale. A la rerrasse du café, les clients entendent crier. Ils se retourne et aperçoive un gendarme qui arrive en courrant. On voit très bien ses couilles qui sautent, et sa queue qui balance entre ses jambes. -Arrêtez là, implore-t-il, elle veut me battre, arrêtez là. -Attend que je t'attrape, connard. Tu vas le sentir passer. Le jeune flic se prend les pieds dans les chaises, perd l'équilibre, et s'affale sur le plancher, une jambe légèrement replier. La femme black est de suite sur lui. Elle s'accroupit, glisse une main entre les cuisses du flic, et lui tire les couilles en arrière. -Aieeeeoouuuuiiiiieeeee noooonnnnn aaieiieiiiiiii. -Fait voir ta queue que je l'a saigne, là comme çà. Tu voit ce que les blacks peuvent faire aux blancs. Les clients sont cloués sur place. Ils voient très bien les couilles qui gonflent sous la pression de la main. Elles deviennent énormes. Elle saisit un testicule avec deux doigts, et le fait rouler. Le gendarme pleure de douleur. Puis, elle sort un mouchoir, et enveloppe le testicule dedans. Elle serre d'un coup sec. Le cri est inhumain. Le mouchoir se tache d'un liquide visqueux. Le gendarme s'évanouit, a moitié castré. Un gendarme, un mètre quatre vingt dix, cent kilos, pénètrent dans une grange. Il entend des bruits qui proviennent de la mézzanines. Un uniforme attérit à ses pieds. Il entend comme des gifles sur des joues ou des fesses. -Assez, ne me battez plus, je vous en supplie. Ne frappez plus mes seins et ma petite chatte. S'il vous plait. -Tu préfère que je te l'a doigte salope, tu es toute écartée, et pleine de mouille là. Le gendarme décide de venir en aide au lieutenant Florence, et grimpe à l'échelle meunière. Il n'entand pas arriver derrière lui, l'énorme black. Arrivé a sa portée, elle passe une main entre les cuisses du flic, et lui saisit les couilles. Il hurle de douleur, et tombe de l'échelle. Elle profite de sa demi inconscience pour le dévétir. Quand il se réveille, deux ou trois femmes blacks sont autour de lui, mortent de rire. En efet, le colosse a un sexe ridicule. Quatre centimètres à peine, et deux petites noisettes. -Quel petit machin, dit l'une d'elle, on devrait l'exposer pour que tout le monde le voit. Le gendarme se retrouve menoté à la clôture, à genoux, la vue des passants. Certaines jeunes blacks, s'arrêtent pour lui soupeser les couilles, et le faire crier. -Je vous en prie, implore-t-il. Détacher moi. Il y a des animaux qui rode le soir. Il faidrai qu'un chien mange mes petites couillettes et mon petit titi. -Ou qu'une poule le prenne pour un ver, ironise un femme. Dans le village, des cris de douleur montent de partout. Les pauvres gendarmes sont vaincus. Certains sont sodomisé par les mâles blacks. Contre le grillage la bagarre a laissé la place à une autre activité. Les femmes ou les copines des "Boys" se font prendre par les blacks des deux sexes. Elles se font niquer, enculer par des bites énormes. -Ho mon chéri, dit l'une à son mari. Regarde ce qu'il fait à la petite chatte de ta femme. C'est bon tu sais. Regarde mon clitoris comme il me l'a bien décalotté lui. Tu me nique pas comme çà toi. De côlère le joueur grimpe au grillage. Il est aussitôt pris par les couilles et ramené sur le terrain. La femme lui baiise le short, et llui maintient les bras dans le dos. Elle appelle son frère. -Hé, il y en à un qui a besoin d'être calmer. Le frère s'approche, la queue en érection, la frotte contre le petit trou du mari, et le pénètre. -Aieeeeeouoouuilllle aieeee. -Tu vois mon chéri, gémit son épouse, toi aussi on t'encule, tu aime pas. Demande lui de te gratter les couilles aussi, allez, demande lui. Sa femme me doigte bien mon bouton. Le mari, soumis obéit. -Allez les gars, çà suffit. On emmène les plus belles femmes pour s'amuser cette nuit. On l'est ramènera demain. Certains blacks emmènent aussi des joueurs pour leur plaisir personnel. C'est un commando de l'armée qui intervient pour ramener l'ordre.