Frédérique, chapitre 12 par l’Ange Païen Branle bas le combat: Frédérique et Sandrine en catfight sauvage et jouissance douce. - Calme-toi Frique, cesse un peu de t’agiter comme un fauve en cage!... Dis-moi donc ce qui te met en cet état! - J’attends Sandrine!... Cette fille est un peu folle!... Elle n’a pas accepté sa dernière défaite et elle veut se venger! - Et alors?... Elle t’effraie à ce point-là? - Un peu, parce que cette fois, nous nous sommes mises d’accord pour combattre en catfight!... Cheveux, seins, sexe... Prises, gifles, fessées...Tout! Et ce n’est pas mon genre de combat préféré. - Mais pourtant ma chérie, tu as déjà combattu dans des styles que étaient bien proche- parents du catfight. Alors, reprends ton sang froid! La mère de Sandrine vient me voir à 15 heures, elle va certainement venir avec sa fille, il te reste donc au moins un quart d’heure à patienter... Effectivement à peu près à l’heure prévue la Rover de l’épouse du “conseiller” pénètre dans la cour de La Longère. Alors que Mireille accueille la mère de Sandrine dans le salon de l’appartement, Frédérique s’est précipitée au-dehors pour se rendre en compagnie de sa petite rivale vers l’ancien fruitier aménagé en salle de sports de combat. Le temps est froid et sec, aussi Frédérique a mis la climatisation en route. Ensuite, elle a serré les tendeurs des cordes du ring. Elles sont toutes les deux vêtues d’un pantalon de jean bleu, de chaussures d’hiver et pour le haut Sandrine porte un caban en gros drap bleu marine sur un polo style marin, alors que Frédérique est emmitouflée dans un pull en mohair blanc qu’elle a réussi à faire revenir par des lavages doux après sa rencontre avec Douchka. - Dis-moi, espèce de petite jalouse, quelle est la tenue que tu suggères? - Topless et en short!... Ça te va? - Tu as peur pour ta grosse chatte poilue? Tu souhaites la protéger? J’aurais cru que tu aurais plutôt voulu un suspensoir pour tes énormes mamelles! - Tu es vraiment bien la garce que je pensais! Et si tu veux être à poil je suis d’accord pour nous mettre nues!... Mais j’y pense! Et Vincent? Il devrait être ici... C’est l’enjeu! - Vincent ne peut pas se rendre disponible avant 16 heures, alors, il nous prendra en cours de combat! Et comme tu en parles, je pense que ce qui serait le plus excitant pour lui se serait que nous soyons seulement vêtues d’une micro-jupe. Je le connais très bien, c’est un vrai voyeur qui prend plus de plaisir à voir ou à deviner ce qui lui est presque caché... - Tiens, c’est pas bête cette idée, tu es peut-être un peu moins conne que je croyais! Alors OK, ultra, mini ou micro. J’ai une mini en jean dans mon sac de sport. - Moi j’ai une jupe de tennis en coton blanc que je portais, il y a cinq ans, et qui est dans mon placard du vestiaire. Quelques instants plus tard, les deux Amazones se retrouvent dans le ring face à face. Sandrine moulée dans sa jupe de toile bleue dont la ceinture s’enfonce dans son ventre juste au-dessus des hanches et dessinant ses aines et ses fesses dont elle n’arrive pas à cacher la racine. Frédérique porte une jupette plissée blanche dont elle a eu bien du mal à remonter la fermeture éclair à sa ceinture; et puis les plis rebondissent sur ses hanches et la cambrure de ses fesses, si bien qu’elle ne cache rien du pubis frisé et de la belle masse des fesses. À la différence d'érotisme, donnée par les jupes il faut ajouter celle des adversaires elles- mêmes. Elles font vraisemblablement le même poids, mais Frédérique mesure dix bons centimètres de plus que Sandrine. Le volume de la poitrine de Sandrine est beaucoup plus important que celui de Frédérique, mais ses seins ont toutefois une belle esthétique, car ceux de Frédérique peuvent être considérés comme plutôt petits. Frédérique est un peu plus large d’épaules, alors que c’est Sandrine qui a une plus grande largeur de bassin. Elles ont toutes les deux des fesses très bien faites, mais celles de Sandrine sont plus volumineuses. La ceinture de Sandrine semble très fine, mais elle doit cet aspect à sa plus grande largeur de hanches, car elles ont un même tour de taille. Les muscles des jambes de Frédérique sont plus puissants que celles de Sandrine, car ses cuisses et ses mollets arborent des muscles noueux, alors que ceux de Sandrine sont plus ronds et moins secs. Pour les muscles des bras et des épaules elles font match nul. Le visage de Frédérique est d’un bel ovale, avec des pommettes saillantes et des joues plates. Ses yeux clairs bleu gris et sa bouche souriante aux jolies lèvres lui donnent une expression avenante et accueillante. Dans son visage rond, aux yeux marron avec sa grande bouche aux lèvres épaisses et sensuelles, Sandrine a un aspect moins sympathique. Elles ont toutes les deux une chevelure brun foncé, celle de Sandrine étant presque noire et faite de longs cheveux raides qui lui descendent presque à la ceinture, alors que la chevelure de Frédérique, maintenant qu’elle a coupé sa belle natte, lui descend en une vague ondulée juste au-dessus des épaules. Il est environ 15:15 heures. Les deux adversaires prennent peut de temps à s’observer. Elles se lancent, bras tendus devant elles, pour empoigner à deux mains la chevelure de l’autre. Sandrine a saisi deux poignées des cheveux du dessus de la tête de Frédérique, laquelle est allée se saisir sur la nuque de Sandrine. En tirant vers elles, les deux antagonistes se trouvent bientôt obligées à se plier vers l’avant, en tirant, en secouant, cherchant à déséquilibrer l’adversaire et la projeter au sol. Elles ont le torse à l’horizontal et leurs jambes sont écartées pour se donner plus de stabilité. La prise de cheveux faite par Frédérique lui permet de tordre le cou de Sandrine, obligeant la petite lutteuse à tourner sa tête d’un côté ou de l’autre. La douleur ressentie par Sandrine sur son cuir chevelu est sûrement moins grande que celle de Frédérique, mais elle souffre davantage des torsions subies par ses vertèbres cervicales, ce qu’elle ne peut faire qu’avec beaucoup moins d’amplitudes sur celles de Frédérique. Au bout de peu de temps, après avoir d’abord grimacé de douleur et émis quelques grognements, les deux adversaires mélangent des cris de souffrance aux ahans d’effort qu’elles déploient. Leurs bras se sont à demi pliés, leurs têtes se sont rapprochées. Ont-elles trouvé plus de force et de puissance dans cette position? Il faut le croire, car maintenant elles réussissent à projeter d’un côté ou de l’autre le corps de l’adversaire qui ne conserve sa position sur ses jambes qu’à la vitesse des réactions de celle-ci. Les respirations sont rauques et bruyantes... Dans un tel combat, il est inévitable que la première qui ne réagira pas assez vite ou réagira du mauvais côté sera précipitée au sol. Contre toute vraisemblance, malgré sa taille plus grande et sa meilleure position d’appui, c’est Frédérique qui subit la loi de Sandrine. La plus petite lutteuse, avec un violent cri d’effort et un puissant mouvement de tout son bassin, projette sa grande adversaire au sol. Mais dans un stupéfiant réflexe de défense, à moins que cette chute ne fût qu’une belle feinte, Frédérique qui n’a pas lâché sa prise de cheveux, lève ses deux genoux au-devant de Sandrine qui vient s’écraser sur elle, lui faisant faire un vol plané par dessus sa tête. Et comme la grande brune poursuit son mouvement en roulé-boulé arrière, elle se retrouve à cheval sur le ventre de Sandrine. Quel beau mouvement, fort et souple à la fois, bien enchaîné! Et tout cela sans que l’une ou l’autre abandonne sa prise de cheveux... Le mouvement n’est pas terminé, car dans la foulée, d’un rapide sursaut en pont, Sandrine bascule Frédérique. Comme elles se retrouvent face à face, allongées sur le côté, Sandrine relève ses genoux pliés devant sa poitrine pour échapper á un ciseau de Frédérique, et projette ses deux jambes devant elle. C’est vraiment bien effectué. Les plantes des pieds de Sandrine viennent s’écraser sur les seins de Frédérique qui encaisse le coup avec une simple grimace. En retour, elle cherche à glisser ses pieds en défense, mais ils se heurtent aux cuisses serrées de Sandrine. Celle-ci commence à écraser les seins de Frédérique aplatissant les belles ogives et ses mamelons dressés, alternativement de chaque pied! Insidieusement, Frédérique réussit à glisser, centimètre après centimètre, un pied entre les cuisses de son adversaire, griffant avec ses ongles la peau plus sensible à l’intérieur d’une cuisse. Sous la brûlure de cette égratignure, Sandrine inconsciemment écarte un peu ses cuisses, et Frédérique en profite pour venir appuyer le dessous de son pied sur la vulve chaude et rêche de Sandrine. Mais comme cette dernière a resserré ses cuisses, le pied de Frédérique est immobilisé, elle ne peut que le bouger légèrement de haut en bas ce qui malgré tout doit avoir un effet stimulant sur le sexe aux longs poils noirs que progressivement devient onctueux! Les seins de Frédérique continuent d’être lentement martelés par les coups plutôt faibles des pieds de Sandrine. Les deux lutteuses sont crispées dans leurs efforts et déjà une pellicule de sueur couvre leurs corps, la peau blanche et mate de Sandrine et celle bien bronzée de Frédérique. Les muscles des épaules et des bras comme ceux des cuisses sont sollicités et elles sont belles dans leur engagement. Les mains crispées dans les cheveux, la respiration toujours haletante... La jupette de Frédérique est presque roulée autour de sa ceinture, alors que celle en jean de Sandrine est tout juste un peu retroussée dégageant son pubis à demi caché par les doigts de pied de sa rivale. C’est Frédérique qui prend l’initiative de changer de méthode. Elle est allongée sur son côté gauche, son pied droit à l’attaque du pubis de Sandrine. Elle relâche sa prise de cheveux de la main droite et répond aux coups de pieds aux seins par des gifles appliquées sur la joue gauche de Sandrine. Et ce n'est pas des petites tapes, ce sont des fortes claques, cinglantes et bruyantes, qui laissent sur la joue de son adversaire les marques des doigts en stigmates claires dans la rougeur de la chair! Ce que l’on appelle des “giroflées à cinq feuilles”! Sandrine en gémit de douleur et pour échapper à cette torture elle rompt le combat, cessant ses coups et libérant ses prises. Elle se relève, mais Frédérique tient toujours de sa main gauche une poignée de ses longs cheveux. Alors, violemment elle envoie son pied gauche s’écraser sur le visage de Sandrine qui, simultanément de son côté tentait un coup de pied de la gauche en direction de sa poitrine. Les deux adversaires finalement se retrouvent debout face à face, déjà échevelées et essoufflées. La joue gauche de Sandrine est cramoisie et appelle une vengeance, ce qu’elle fait en attaquant Frédérique par une série de gifles qui bascule la grande fille. Mais celle-ci n’est pas en reste, dos aux cordes elle s’organise pour rendre coup pour coup. S’ensuit un court échange, mais rapide, d’une sauvage série de gifles au visage, qui dérape parfois sur le cou ou les épaules. La jupe de toile bleue de Sandrine se boudine progressivement sur son bassin remontant devant et derrière, dégageant de plus en plus son pubis et son majestueux fessier qui se trouve marqué par l’ourlet comme par une ceinture, ce qui est très érotique. La courte jupe plissée de Frédérique, dans sa position légèrement penchée en avant, cache son pubis mais dévoile ses jolies fesses presque jusqu’en haut du sillon qui les sépare. Tout en portant ses gifles, Frédérique a réussi à repousser son adversaire et elles sont maintenant au centre du ring. Elle se saisit à nouveau, à deux mains, des cheveux de Sandrine. En tirant vers le bas elle l’oblige à se plier en deux et brusquement elle pousse en arrière en appuyant encore plus sur la tête de l’autre. Elle fait tomber Sandrine d’abord assise, mais comme elle la suit dans sa chute, Sandrine se retrouve dos au sol. Il s’ensuit une lutte au sol dans un style presque classique, dans laquelle Frédérique est tantôt précipitée au sol sur un côté ou l’autre, et tantôt, redressée à genoux, puis sur ses jambes tendues, elle tente de se débarrasser du ciseau en écrasant Sandrine. Durant cette action, elles conservent leurs prises de cheveux pour endolorir le cuir chevelu aussi bien que le cou de l’adversaire par des torsions qui placent les têtes dans des positions incroyablement douloureuses. Leur combat serait peut-être sans issue si Sandrine lâchant les cheveux de Frédérique, ne venait s’emparer des petits seins coniques, tendus comme deux belles ogives sur sa poitrine, pointées sous un léger angle vers l’extérieur de son torse, visant au-delà des biceps bandés de son adversaire allongée sur eux. Comme des serres, les doigts de Sandrine s’enfoncent dans la masse glandulaire pour broyer douloureusement. En quelques secondes, elle amène Frédérique à émettre un gémissement de douleur. En réaction, cette dernière tente de se redresser pour s’éloigner de sa tourmenteuse, mais elle ne réussit qu’à soulever Sandrine du tapis par la seule puissance du grippage des mains sur les seins. L’effet d’élongation des deux globes tendres cause une douleur atroce d’arrachement à Frédérique dont les yeux se noient de larmes. Elle gronde à mi-voix: “Oh! Salope!… Tu me crèves, ignoble petite putain!” Elle enchaîne alors une succession d’actions pour se dégager. Elle lâche les cheveux de Sandrine et s’attaque à ses poignets, mais presque aussitôt elle descend ses mains à l’assaut des belles masses rondes qui ornent la poitrine de son adversaire. Elle teste plusieurs types d’empoignades avant de s’arrêter à une simple prise des mamelons entre pouce et index. Alors, elle écrase, roule, tire, tord, vrille… jusqu’à ce qu’elle entend Sandrine: “Vas-y grande garce… J’aime ça!… Ça me fait mouiller… Je coule…” “Tu es dégueulasse,” lance Frédérique, en maintenant ses prises. “Ah, c’est bon… Je vais jouir!…” “Dégueulasse! Boule de poils noirs!” En disant ces insultes et parce que Sandrine a abandonné sa prise des seins à pleines mains pour à son tour attaquer de la même façon les mamelons de Frédérique, elle lâche les tétons de s a petite adversaire pour la reprendre à deux mains par les cheveux. Alors en position debout, mais pliée à la taille, jambes tendues, la jupette à la ceinture sous les cuisses puissantes de Sandrine, elle la soulève par les cheveux et la projette violemment au sol en accompagnant le mouvement en se laissant aller à genoux. Puis redressant ses jambes elle renouvelle le même mouvement à plusieurs reprises. Le tapi de qualité amortit les chocs, mais la répétition de ceux-ci a quand même un effet déstabilisateur sur Sandrine. Dans un premier temps, elle perd sa prise sur les mamelons de Frédérique. Ensuite, elle se saisit des poignets de Frédérique pour soulager son cuir chevelu. Enfin son ciseau a tendance à glisser et elle doit à plusieurs reprises ouvrir ses cuisses pour le replacer ce qui soulage Frédérique. En plus de tout cela la succession des mouvements a fait avancer leur assemblage et elles se trouvent maintenant près d’un angle et aussi près des cordes latérales. Frédérique lâchant sa prise de cheveux se redresse totalement et se saisit de la corde supérieure pour s’aider à tourner Sandrine sur son ventre. Sandrine bien sûr s’est également emparé de la corde du bas qui est derrière sa tête, mais cette aide est insuffisante pour empêcher Frédérique, qui a passé une jambe par dessus elle, de réussir à forcer l’ouverture de son ciseau et la positionner sur le ventre. Frédérique dos tourné à la tête de Sandrine achève de se positionner au-dessus de celle-ci, puis elle se penche et glissant ses doigts entre la ceinture de la jupe de toile bleue et la peau du dos de Sandrine, elle se saisit de la jupe et l’utilise pour soulever légèrement la petite lutteuse et l’amener au centre du ring, puis elle s’assoit à cheval sur son dos, fesses écrasant le dos juste en dessous des côtes et se penche en avant vers les cuisses de Sandrine. Elle doit faire des efforts pour remonter la jupe en jean vers la ceinture, tant elle est tendue sur le large bassin, et brusquement elle se rend compte!… “Mais sacrée de sale putain dégouttante, c’est vrai!… Tu coulais comme une pomme de douche, ma parole… Le sillon de tes fesses est tout trempé… Qu’est-ce que tu as dégouliné, petite guenon!” Frédérique se met à claquer les fesses de Sandrine, allant chercher haut et loin l’élan pour frapper violemment à pleines mains et à tour de rôle les deux fesses massues qui sont devant elle. Sandrine rue des pieds mais sans effet valable. Elle cherche à prendre de côté ce qu’elle peut agripper de Frédérique ne trouvant qu’un pan de la jupette blanchet sur laquelle elle tire par saccades jusqu’à ce que l’agrafe de la ceinture finisse par céder, ce qui n’apporte aucune aide à Sandrine qui continue à subir le martèlement des fessées qui la brûlent. “Alors connasse, ça va te faire jouir aussi, cette bonne volée?” Pour toute réponse, Sandrine rassemblant ses forces soulève Frédérique en se mettant à quatre pattes et la précipite au sol en se relevant. Aussitôt debout, elles se font face à nouveau mais prenant le temps de souffler et d’examiner les traces laissés sur leurs corps par leurs coups et leurs prises, se caressant les seins, le ventre, le visage et puis aussi, en rétablissant une bonne circulation dans leurs membres endoloris. Sandrine en dandinant du bassin redescend un peu sa jupe de toile bleue pendant que Frédérique tente mais sans résultat de refixer la ceinture de la sienne et à défaut de pouvoir réussir, la fait tomber à ses pieds pour la lancer d’un coup de pied en dehors du ring. Les deux filles repartent alors à l’attaque l’une de l’autre. Frédérique lance ces deux mains pour se saisir de la tête de Sandrine qui, plus petite, fait le même geste, mais ses mains viennent appuyer au-dessus des seins de Frédérique pour la repousser, elle envoie sa main droite en frappant de la paume sur le visage de son adversaire en même temps qu’elle baisse sa tête et se recule. Frédérique a saisi son bras droit qu’elle lève pour prendre de l’élan et la basculer sur le côté, mais Sandrine se plie et se recule. Elles se retrouvent face à face. Frédérique repart à l’attaque, sa plus grande taille lui permet cette fois de saisir une poignée de cheveux et le bras droit de Sandrine qui de son côté empoigne également les cheveux de Frédérique. Mais cette dernière en tordant le bras, fait plier Sandrine devant elle et lâchant les cheveux, elle lui enserre la tête avec son bras droit et, poursuivant d’un coup de hanche, elle la fait tomber au sol sur son côté droit. Elle se laisse tomber, positionnée avec son torse sur celui de Sandrine, ses jambes écartées de côté pour se donner une assise. Mais Sandrine en agitant tout son corps et sans avoir lâché sa propre prise de cheveux, se tourne sur le dos, et vient donner des coups de talons dans le flanc droit et sur le dos de Frédérique. Cette dernière abandonnant sa prise de bras vient bloquer son étau sur la tête de Sandrine, laquelle ayant maintenant retrouvé l’usage de son bras droit s’empare d’une deuxième poignée de cheveux de Frédérique. Alors, à l’aveuglette elle travaille ses prises de cheveux pour tordre en arrière et vers sa gauche la tête de Frédérique, qui pour soulager la douleur sur son cou, soulève légèrement son corps pour se tourner vers l’arrière. Sandrine en profite pour glisser sa jambe droite par dessous et obtenir un ciseau à la ceinture de Frédérique. Frédérique lâche sa prise de tête pour empoigner à nouveau les cheveux de Sandrine. Elle se positionne face à son adversaire et s’apprête à la soulever du sol par la prise de cheveux, mais Sandrine devine le mouvement à venir. Aussi, sans lâcher les cheveux, elle ouvre son ciseau et envoie ses pieds en cognant dans le ventre et les seins de Frédérique qui se relève légèrement. Les deux filles abandonnent leurs prises de cheveux et comme Sandrine toujours sur le dos fait un quart de tour sur ses fesses pour se relever, Frédérique se laisse tomber en croix sur elle, ses seins sur le ventre de Sandrine. Frique envoie sa main droite dans la chevelure de Sandrine et sa main gauche relever le bas de la jupe bleue pour s’en saisir comme d’une poignée. Sandrine avec sa main droite s’empare de cheveux de Frédérique et de la gauche tente de repousser son bras droit. Frédérique s’écarte d’elle se tenant á genoux, mais les prises de cheveux tiennent bon, elle est obligée de lâcher la jupe pour venir prendre appui au sol de sa main gauche. Sandrine amène sa main gauche avec sa droite pour tirer la tête de Frédérique vers sa poitrine obligeant cette dernière à venir appuyer sa main gauche sur sa poitrine. Alors Sandrine lève sa jambe droite et vient s’appliquer l’arrière de son genou plié sur la nuque de Frédérique qui se trouve ainsi la tête bloquée. Pour se libérer avec son bras gauche elle repousse la cuisse droite de Sandrine et posant sa main gauche à terre Frique se relève légèrement et se pousse en avant sur le côté droit de Sandrine l’entraînant avec elle. Mais Sandrine tient toujours les cheveux à deux mains et poursuit le mouvement engagé par Frédérique qu’elle bascule par dessus elle, pattes en l’air pour venir choir sur le dos. Sandrine ramène sa cuisse gauche contre sa droite et comme elle n’a pas lâché les cheveux, ceux-ci se trouvent coincés entre ses deux cuisses et le crâne de Frédérique bloquée derrière elles. Aussitôt, Frédérique s’empare des deux chevilles qui sont devant sa poitrine pour les écarter, mais Sandrine ne se laisse pas faire, elle écarte largement ses jambes pendant une fraction de seconde et libérer ses chevilles, puis elle resserre brutalement ses jambes amenant ses talons cogner violemment sur les seins de Frédérique. Frédérique se tourne sur son ventre, sa main droite sous la cuisse droite de Sandrine et sa gauche tentant de libérer ses cheveux, alors que Sandrine plie son genou droit pour venir en appliquer l’arrière sur le cou de Frédérique. Frédérique se met à genoux, ramenant ceux-ci sous sa poitrine, et Sandrine glisse sa cheville gauche sous le bras gauche de Frédérique. Frédérique relève son corps en prenant appui sur sa main droite au sol, presque à genoux, en tournant Sandrine sur son côté droit. Elle essaie un mouvement de balancier de gauche à droite avec son corps. Sans succès. Avec sa main gauche, elle cherche une attaque dans la fourche de Sandrine mais elle est protégée par les deux mains accrochées aux cheveux, alors elle envoie sa droite au-delà du biceps gauche de Sandrine pour empoigner son sein gauche. Pour l’empêcher d’atteindre son but, Sandrine se tourne sur son côté droit, toujours sans lâcher les cheveux et la pression de l’arrière du genou gauche sur la nuque de Frédérique. Comme Frédérique lui pince à pleine main l’intérieur de sa cuisse droite, Sandrine fait des basculements de son côté droit sur son dos et vice versa. Frédérique en profite pour prendre une meilleure assise sur ses genoux. Le pied gauche de Sandrine qui était bloqué sous le ventre de Frédérique glisse jusqu’à ce que sa jambe se redresse. Comme Sandrine est allongée sur son côté droit, Frédérique lance sa main droite entre les fesses de son adversaire, et ses doigts touchent…l’anus?…le vagin?… Sandrine pousse un hurlement. Frédérique la tourne sur le ventre. Mais les deux mains de Sandrine dans le haut de ses cuisses ne lâchent pas les cheveux. Frédérique avance ces genoux. Sandrine dégage son genou gauche de dessous le bras gauche de Frédérique, qui ressent une sensation de liberté et lâche sa prise de main gauche sur la cuisse de Sandrine. Mais la prise de cheveux tient toujours. Frédérique a abandonné son attaque au niveau des fesses ou du vagin et Sandrine revient sur le dos et lançant sa jambe gauche en l’air elle abat sa cuisse sur la nuque de Frédérique lui cognant le front sur le sol. De sa main gauche, Frédérique essaie de repousser la cuisse gauche de Sandrine, et elle tire par saccades sa tête en arrière au risque d’abandonner des mèches aux mains de Sandrine. Prenant appui sur son genou gauche Frédérique lance des coups de genoux dans les reins de Sandrine qui est revenue allongée sur son côté droit, et de sa main gauche elle cogne sur la cuisse gauche de Sandrine qui relève sa jambe pour échapper à ses gifles et porter un cou de cuisse sur la nuque de Frédérique. Mais Frédérique s’est avancée, la cuisse gauche reste levée et maintenant le sexe de Sandrine est accessible aux doigts de Frédérique qui lance ces griffes de la main gauche à l’attaque des chairs tendres. Aux cris d’effort et de douleur de Frédérique, se mêlent maintenant de véritables cris de souffrance de Sandrine. Mais elle n’a pas lâché les cheveux qui sont maintenant bloqués dans le pli de son genou gauche. Alors, elle utilise toute sa puissance, la concentrant dans son genou pour appuyer sur la tête de Frédérique, la baisser, l’amener front au sol et ainsi refermer l’ouverture de ses cuisses et de son sexe. Mais Frédérique pousse de sa nuque sur la cuisse et si l’une maintient sa prise de cheveux, l’autre poursuit la griffure de ses doigts dans les chairs tendres de la vulve. Les deux jeunes femmes sont tétanisées dans leurs efforts, tous les muscles tendus et bandés, complètement trempées en sueur, Frédérique aveuglée de ses larmes de douleur, Sandrine les yeux rouges et grands ouverts de douleur et d’effroi. Elles se sont lancées à fond dans un combat qui ne va pas pouvoir durer longtemps à ce rythme-là… Elles crient, elles hurlent parfois, mais elles poursuivent leurs attaques sauvages sans plus de souci de défense! Sandrine gagne le combat, et sa main gauche lâche la prise de cheveux de son adversaire, tenant une bonne mèche entremêlée dans ses doigts. Immédiatement, elle veut gagner la guerre et de sa main libre elle vient chercher aussi le sexe de Frédérique qui se trouve presque assise sur ses talons, les genoux très écartés, offrant son sexe très ouvertement, inconsciente du nouveau danger. Maintenant, chacune attaque rageusement le sexe de l’autre, aucune des deux veut montrer sa défaillance et elles se font mal très longtemps dans la même prise, Sandrine sur le dos, maintenant Frédérique à moitié à genoux, en la tenant par ses cheveux passés sous son genou gauche replié… Alors que Frédérique qui a saisi avec sa main droite le poignet de son adversaire tente de libérer sa chevelure. C’est méchant, c’est sauvage, c’est acharné, c’est animal, c’est émoustillant, c’est beau!… Puis, Frédérique se déplace vers la gauche, sur ses genoux, jusqu’à ce que son vagin soit hors de portée de la main gauche de Sandrine qui aussitôt lui assène des formidables fessées. Alors elle aussi, elle abandonne son attaque sur le vagin de Sandrine et en quelques violentes secousses et en se redressant, elle réussit à se libérer la chevelure. Alors prenant appui de ses deux mains sur le sol du autre côté de Sandrine elle s’élance pour retomber à genoux sur le ventre de Sandrine. Cette dernière toujours sur le dos a lancé ses genoux et ses mains en défense.. Elle donne des coups dans les seins et les reins de Frédérique, mais celle-ci est déchaînée, elle ne sent que son crâne et sa vulve en feu, et elle cogne en retour, au visage et sur les seins, ses deux bras comme des pistons d’un moteur puissant. Sandrine a vu derrière sa tête une des cordes du ring, elle s’en empare en lançant ses mains en arrière par dessus sa tête. Cette aide lui permet de faire glisser son dos pour échapper au massacre qui s’annonce. La voyant à demi en dehors du ring, hors de sa portée, Frédérique suspend son assaut, se relève et revient vers le centre du ring. Sandrine s’est relevée entre les cordes et le mur. Les deux adversaires sont haletantes et baignées de sueur, reprenant leur souffle, se jetant de biais des regards hargneux. Sandrine se rend compte que sa jupe en jean bleu ressemble à un accordéon mouillé, tordu sur ses hanches, et elle se plie à ta taille pour l’enlever. Alors, Frédérique se précipite, lançant ses bras entre les deux cordes du haut et elle s’empare à nouveau de la tignasse noire et gluante de sueur, puis faisant demi-tour sur elle-même avec un effort prodigieux elle amène en vol plané la petite lutteuse à plat ventre au milieu du ring. L'ensemble de l’action qui suit est époustouflant de rapidité, d’agilité et d’agressivité. À peine a-t-elle chuté sur son ventre que Sandrine se tourne sur son dos pour voir venir Frédérique qui se précipite pour s’aplatir sur elle. Alors Sandrine lève ses pieds et l’accueille à coups de plat des pieds dans le ventre, les seins et le visage. Frédérique tente de contourner cette furie mais Sandrine se tourne sur le dos et la suit pour rester face à elle. Un coup plus violent atteint Frédérique en pleine gorge, ce qui la fait tousser, rompre l’attaque, et reculer. Sandrine se remet à quatre pattes pour se relever et Frédérique la contourne pour venir la saisir dans cette position avec une ceinture arrière en enserrant sa tête entre ses cuisses. Il s’ensuit une suite de roulades au sol, où chacune vient dessus et dessous. Finalement, elles terminent dans une position tête bêche, dans laquelle Frédérique se trouve allongée dos au sol avec le dos de Sandrine sur elle, tandis qu’elle tient le buste de son adversaire dans un ciseau arrière qui se défend, cherchant avec des ruades de ses jambes à prendre à l’envers la tête de Frédérique entre ses genoux ou ses mollets. La grande brune prend d’ailleurs quelques coups de talons sur son visage, comme la “petite boule de poils noirs” n’aboutit pas dans ses tentatives, mais d’un de ces gestes elle lui coupe un peu la lèvre supérieure. Pour bien assurer la maîtrise de la situation Frédérique glisse sous ses aisselles, l’une après l’autre, les jambes de son adversaire qu’elle maintienne ainsi à hauteur du haut des mollets sous les genoux. Sandrine qui a les pieds de son adversaire croisés aux chevilles, entre ses seins et son menton, essaye de débloquer l’étreinte à l’aide des deux mains mais sans aucun succès. Alors prenant appui au sol sur son coude elle tente de basculer leur assemblage sur le côté afin de pouvoir revenir sur le ventre et se dégager. Mais Frédérique connaît la manoeuvre et si elle laisse aller, c’est pour prendre d e l’élan et les ramener sur le dos en un effet de balancier. La situation semble bloquée!…et seul un relâchement ou une inattention de Frédérique pourrait faire évoluer la position. Et cependant!…oui, un autre phénomène va se produire et changer le cours du combat. Fermement assurée dans sa prise, consciemment maîtresse du jeu, dirait-on sagement allongée sur le dos, Frédérique contemple la fourche béante de Sandrine bloquée devant ses yeux. Les cuisses massives, légèrement noircies de petits poils fins qui émergent de chaque côté de son corps, escaladant son torse pour venir se joindre sur ses seins… Ces cuisses striés de griffures rouges, unies par un dense buisson de longs poils noirs brillants de sueurs et de sucs qui lui font songer à un bout de queue de vache… Cette forêt de poils de filasse noire qui court depuis le sillon des fesses jusqu’au ventre bombé qui lui sert d’horizon à cet instant. Ces fesses massues et charnues qui écrasent ses seins dont la fille est si fière, si orgueilleuse! Et au-dessus, le buisson noir partagé par le long et large sillon des chairs fragiles et tendres, faites d’une multitude de rousseurs nacrées ou rougeâtres, humides et brillantes d’onctuosité qui s’ouvrent sur un abysse palpitant et odorant!… Cette vue de l’intimité de son ennemie, de sa prisonnière, submerge Frédérique d’un besoin physique de jouissance et fait remonter ses pensées dans ses souvenirs doux…quand Vincent lui fait gentiment l’amour, et puis c’est l’image de la bite noire de Jack, qui l’a comblé si bien la seule fois qu’ils ont lutté chez Douchka… Ah!…sentir en elle cette plénitude du mâle qui la comble, qui la couvre, qui le remercie le don de son corps secret… Frédérique veut une bite… pour se soulager! C’est une boule qui l’envahit soudainement, comme si son sexe écrasant son estomac, comprimant son coeur, remontait dans le cerveau désormais vide! Elle s’entend émettre un long râle et elle se sent raidie de tout son corps, prise d’une crampe géante… Frédérique revient à la réalité du moment. Elle rouvre les yeux pour contempler à nouveau le vagin béant dans son nid de poils noirs… Alors, elle serre plus fort son ciseau, et entend le glapissement de sa rivale, faible comme un vagit d’enfant. Tout en fardant ses coudes bloqués sur les genoux de Sandrine, lui interdisant d’échapper, elle conduit lentement ses deux mains vers le sexe de son adversaire. Elle ne sait plus ce qu’elle fait… Ses pensées retombent dans sa session de sexe après le combat avec Douchka, elle en frémit! Elle se souvient du pouce jouant avec son clitoris érigé, et des autres doigts immenses de la rouquine plongés dans son sexe, la labourant comme un pénis de mâle en rut, et encore mieux jusqu’à l’orgasme qui l’avait comblée… Avec des mouvements pleins de précautions, pour ne pas aviver les douleurs des griffures et des pincements qu’elle y avait portés quelques instants plus tôt, Frédérique finit d’écarter les pétales de la corolle, terminant d’ouvrir le pistil brûlant qui transpire des sécrétions voluptueuses. Tandis qu’elle promène affectueusement le bout de ses doigts sur les parois sensibles à l’entrée du gouffre des plaisirs, elle entend les couinements de Sandrine, étouffés, comme une réponse automatique à chaque mouvement des doigts. Tout en continuant ses caresses amicales elle ressent la décontraction qui détend le corps de Sandrine au-dessus d’elle. Elle prend conscience de la langueur qui envahit le corps de l’autre fille, les muscles de ses cuisses se sont relâchés, les cuisses sont ouvertes d’avantage, ses fesses se sont amollies, les mains de Sandrine viennent caresser les cuisses de Frédérique, qui la tiennent serrée dans un étau d’acier… Sandrine se rend à sa rivale, elle est bien à sa merci!… Cette silencieuse acceptation des attouchements est pour Frédérique l’équivalent d’un appel à la prolongation de son action. Elle avance plus loin sa main gauche pour que ses doigts puissent atteindre le clitoris, ils agissent par caresses roulantes sur le capuchon gonflé qui se laisse retrousser progressivement. Puis, elle avance encore sa main, de ses deux doigts index et majeur elle finit de relever et d’écarter ce prépuce allant de son pouce écraser et rouler la boule de chair découverte. Frédérique renvoie son pouce à l’entrée du vagin cueillir une dose de lubrifiant pour revenir rouler la racine érectile qui gonfle et qui durcit sous cette action. Frédérique entend Sandrine exhaler un nouveau gémissement, mais celui-ci long, rauque, profond et comme elle a libéré son blocage sur la jambe droite de Sandrine, elle la voit plier sa jambe et lever son genou, pied à plat sur le sol, puis laisser sa jambe pliée descendre vers le sol, ouvrant encore plus son bas ventre à l’accès des mains brûlantes. Sandrine maintenant lance son bassin au-devant des mains de Frédérique, allant à la cueillette d’un plaisir espéré, et d’une voix basse et creuse, elle supplie Frédérique. “Vas-y Frique, branle-moi fort. Vas-y, vas-y… enfonce tes doigts, plus fond, Frique, défonce ma chatte, baise-moi fort!” Pour Frédérique, ces prières sont un coup de fouet. Elle a une réaction assez curieuse, l’appétit de son sexe est tel qu’elle a besoin de plus de contact, de chaleur, et encore de violence! Décroisant ses chevilles, elle commence à donner des coups de talons sur les seins de Sandrine, écrasant et déformant l’une après l’autre les deux belles masses qui ornent sa poitrine. En même temps, elle enfonce deux doigts dans l’entre de chair, de muscle et de sang et commence à pistonner dans ce gouffre inondé d’une liqueur qui oint les doigts branleurs leur donnant habileté, adresse et agilité pour monter, descendre, caresser, échauffer, embraser la totalité des parois aux terminaisons nerveuses impatientes et avides de plaisir. “Oh - oh - oh - oh… Que c’est bon! Vas-y, encore plus vite - oh - oh - oui - oh - oui - oh!… Oh! Ah! Ooooh…” Sandrine est agité de tremblements incoercibles. Tout son corps vibre sur celui de Frédérique qui a bien du mal à la maintenir. Elle se tend comme la corde d’un arc, ses talons posés sur le sol, ses genoux serrant la tête de Frédérique à hauteur de la mâchoire, ses mains crochées dans les cuisses de Frédérique, sa nuque en appui sur le sol, son corps maintenant décollé de Frédérique, criant un long “oh” de plaisir qui roule dans sa gorge, avant que le pont retombe, s’écrase les fesses les premières sur le corps de Frédérique, toujours animée et vibrante de spasmes qui la secouent pendant un long temps, avant que Frédérique, patiente, ne se dégage de dessous elle. Frédérique est heureuse d’avoir provoqué un tel orgasme chez Sandrine. Jusqu’ici elles n’avaient fait que jouer ensemble avec les dildos de Sandrine, aujourd’hui elle veut beaucoup plus, aller beaucoup plus loin. Elle fantasme toujours sur sa jouissance avec Douchka et, surtout, la jeune et puissante virilité de Jack. À ce moment précis, Frédérique ressent le besoin de jouir, d’être envahie par un sexe, d’être pistonnée par une bite en chaleur. Allongée à côté de Sandrine, elle murmure, inconsciemment, rêvante: “Une bite! Par pitié, je veux une bite!” Et puis elle se penche sur Sandrine maintenant indolente, en supination, et elle couvre son corps allongé de son propre corps, ventre contre ventre, sein contre sein, et comme Sandrine ouvre sa bouche pour émettre encore un petit gémissement Frédérique enveloppe les lèvres pulpeuses de la “petite boule de poils noirs” de sa bouche ouverte. C’est la première fois qu’elle l’embrasse de cette façon, la première fois que sa langue écarte les lèvres de l’autre, pousse sur la barrière des dents qui s’entrouvrent, dociles, lui donnant permission de s’enrouler avec la langue de Sandrine et en goûter l’intérieur. Encore, Sandrine se soumet, prolongeant le baiser, roulant son pubis contre le pubis enfiévré de Frédérique, et lui caressant les hanches. Les langues dardent une contre l’autre, dans un duel d’amour, longtemps… Comme les filles écartent leurs bouches pour reprendre haleine, Sandrine exprime à son tour les pensées qui encombrent son cerveau: “Mer. Merci!… C’était bon… J’ai aimé… Pourquoi m'avais-tu caché que tu es une si bonne branleuse? Tu branles merveilleusement!” “Je ne la cachais pas. Ce que je ne le savais pas…avant!” “Et alors, pourquoi demandes-tu une bite? On n’a pas besoin de mâles pour atteindre les étoiles du ciel!” “Et bien, parce que moi, j’en ai envie. J’ai envie de jouir, comme j’ai jouis avec mon homme… heu!… avec des hommes, pour dire vrai…” “Je crois que je te comprends, mais comme il n’en a pas ici, des hommes, je peux te dépanner. On fait un marché! Là, tout de suite: tu me donnes Vincent, et je te donne un de mes dildos, un des meilleurs. Dits, tu acceptes?” “Ça ne va pas dans ta tête!… Tu négocies mieux que tu luttes, Sandrine. OK, je te prête Vincent pour que tu goûtes un soir ce qui est un vrai homme, mais puis tout me le rends, tu entends?! Et maintenant tu me fais jouir, on partouze avec ta grande bite à deux têtes en caoutchouc. Alors?…” “Bon, ça va… J’accepte. Je t’ai déjà coupé la lèvre, mais tu m’as bien tabassée. J’accepte tes termes du marché.” Sandrine va fouiller dans son sac et en revient avec son pénis artificiel fait de deux membres en caoutchouc rigide, liés à la base. Frédérique l’aide à ôter sa jupe mouillée de sueur qui lui ceint les hanches. Cet entracte permet aux deux jeunes filles de constater qu’elles ne sont plus seules dans la salle. En effet, ce n’est pas Vincent qui est arrivé, mais leurs mères, apparemment nues et tendrement enlacées sur les matelas devant le ring. Sandrine constate: “C’est à croire que…c’est contagieux!” Frédérique éclate de rire, et les deux jeunes filles s’enlacent elles aussi. Debout, elles se blottissent l’une contre l’autre, comme dans une double ceinture avant, cherchant à mettre chaque centimètre carré de peau en contact avec l’autre, les mains parcourant le dos de l’autre fille en lentes et savantes caresses qui s’attardent sur les hanches fermes, et le haut de la raie des fesses. Elles se regardent les yeux dans les yeux, tête légèrement levée pour Sandrine et baissée pour Frédérique. Sandrine baissant sa tête vient embrasser la base du cou de Frédérique auprès de l’épaule, puis elle répète son baiser du autre côté et de la pointe de la langue elle parcourt lentement toute la largeur de l’épaule. Ensuite, elle glisse tout doucement le long du corps de la fille plus haute, parcourant de ses lèvres humides toute la peau, s’arrêtant aux points sensibles, les entrées d’aisselles, le petit bénitier à la base du cou et surtout les seins dont elle suce les mamelons à tour de rôle, léchant le dessous des “obus” à ligne de raccordement avec le torse, puis les mordillant. Frédérique a fermé les yeux et exprime tout son contentement par des soupirs qui deviennent vite des ronronnements de plaisir, puis des vagissements en réponse aux dents de sa copine sur ses tétons durcis. Sandrine poursuit sa course sur le corps de Frédérique qui se tient debout et écarte ses pieds, faisant place pour les genoux de Sandrine qui étreint le haut des cuisses de la fille haute avec ses bras, faisant glisser ses doigts sur toute la masse charnue des fesses, allant jusqu’à les couler dans le sillon encore moite de sueur. Maintenant, elle lèche le ventre s’attardant dans le creux du nombril, poussant la pointe de sa langue dans l’escargot salé de sueur. Au fur et à mesure que Sandrine descend sur son ventre, Frédérique commence à être de plus en plus agitée de frissons électriques, et elle cesse de caresser les joues et la bouche de la jeune fille pour lui prendre la tête, d’abord par les oreilles, puis par les cheveux, lui interdisant de poursuivre trop vite, et imposant la répétition de certaines caresses. Frédérique sent tout son bas ventre se liquéfier, elle sent sa chatte devenir affamée de sexe, il lui semble que les papilles de ses parois vaginales sont avides de contact, de pouvoir goûter et palper. Alors, impatiente, elle appuie sur le sommet de la tête de Sandrine pour la forcer à descendre directement vers sa vulve. Elle voudrait écarter ses cuisses, s’ouvrir aux attouchements, aux caresses, aux baisers… Mais Sandrine l’étreint juste au-dessus des fesses, elle caresse l’arrière musculeux des cuisses et apprécie le volume, l’extrême fermeté et la puissance des muscles bandés pour maintenir son équilibre. Et puis elle perçoit l’intrusion des doigts de Sandrine entre ses cuisses, juste sous ses fesses, que viennent s’insinuer contre les lèvres gonflées et avides de sa vulve. En même temps, elle sent le souffle chaud de la respiration de Sandrine qui effleure, d’abord de son nez, puis de sa langue la pilosité humide du pubis, la peignant de sa langue pour mettre en vue la fente de sa fleur d’amour. Frédérique sent sa raison défaillir à l’arrivée de ces caresses, plus savantes et dociles que les meilleures qu’elle a eues de Vincent! Ses forces la trahissent, elle ne peut plus contrôler le tremblement qui secoue tout son corps avec l’épicentre au vagin… Elle s’écroule en arrière, d’un coup, ouvrant larges ses cuisses, à plat sur le dos comme un arbre qui s’abat. Sandrine crie, car Frédérique a conservé sa prise sur les cheveux de la fille, qui tombe à genoux, la tête enfourchée contre la vulve béante et fiévreuse de son amie. Sandrine se dérobe, se rebiffe et chevauche la fille qui l’a vaincue. Elle toise Frédérique du regard quand sa copine l’interroge du regard. Elle tressaute assise sur le bas ventre de la grande fille, en se pinçant ses mamelons, puis elle se laisse tomber de tout son poids écrasant les masses des seins de Frédérique de ses seins, et arrachant à ses lèvres meurtries de coups encore un baiser sauvage et prolongé. Alors, elles échangent de profonds et voluptueux baisers, se caressant les cheveux trempés de sueur et les seins, les yeux… Sandrine force un genou entre les cuisses de Frédérique qui ne demande qu’à s’ouvrir et commence un mouvement caressant de sa cuisse sur la vulve déjà moite de Frédérique qui, en pliant son genou enclavé entre les deux cuisses, essaie de lui rendre la pareille. Bien vite cet échange de massages, si excitant qu’il soit, ne satisfait plus Frédérique qui bascule leur couple enlacé sur le côté. Puis, elle se dégage de leur étreinte et se positionne tête bêche face à Sandrine. Elles se trouvent maintenant chacune sur son côté gauche, le visage à la hauteur des cuisses de l’autre. Frédérique, en même temps qu’elle le fait elle- même, amène Sandrine à soulever son genou droit plié et la plante de son pied droit à venir se poser sur le bas de la cuisse gauche, en appui sur le ronflement du genou qui en quelque sorte sert de cale pour maintenir l’ouverture des cuisses. L’une comme l’autre a à sa disposition le sexe de l’autre, la fleur d’amour au pistil luisant d’appétit sexuel, les pétales délicats, onctueux, entrouverts, fripés sur l’entrée du calice déjà pulsant de sensualité. Les deux chattes sauvages qui semblaient prêtes à se déchirer les ventres il y a quelques minutes, s’en emparent alors comme deux chatons pour jouir avec, les griffes rentrées dans leurs pattes veloutées… Frédérique dont le ventre est crispé, pétrifié par une intense émotion, perçoit les palpitations de sa chatte agacée par la caresse du brûlant courant d’air produit par le souffle de Sandrine. Elle a perçu plus qu’entendu le ronronnement de plaisir de Sandrine que l’initiative qu’elle vient de prendre comble de satisfaction. Elle a conscience de son avidité à l’égard de la vulve charnue garnie de longs et abondants poils noirs, raides, humides, où perlent des sécrétions de sueur et de sucs vaginaux. Cette chatte poilue qu’elle a souvent traitée de fente de vache cachée sous un faubert vaseux…et qui lui fait tant envie en ce moment! Quelle est cette nouvelle attitude de sa part? Pourquoi ces sentiments nouveaux d’attirance vers un sexe, vers un corps, vers une fille qui sans lui être déplaisants n’avaient pour elle rien d’agréable?… Serait-elle affamée de corps féminins? Elle s’interroge encore plus… Serait-elle devenue lesbienne, depuis… depuis… euh!… Mais pourtant, il y a Vincent. Elle l’aime toujours, elle le veut!… Elle le veut!?… Les pensées de Frédérique sont brusquement interrompues. Elle ne peut pas s’empêcher de laisser échapper le feulement de plaisir qui monte en elle, tel un grandement de tonnerre qui jaillit de son sexe et remonte exploser sur ses lèvres!… Sandrine a pris possession de son vagin. Elle possède mille doigts qui la fouillent partout, du bourrelet de grandes lèvres gonflées jusqu’au fond de son vagin. Elle sent les pétales de son calice se distendre sous l’étirement des doigts, elle sent les muqueuses intérieures sollicitées par mille titillations, elle sent les doigts s’enfoncer dans son fourreau brûlant et gluant qui déverse sa lave, la faisant crier d’un plaisir douloureux. Elle sent son clitoris échapper en vibrant au contrôle des doigts humides qui le pétrissent, l’allongent, le font gonfler… la font hurler de joie incontrôlable… Une joie qu’elle subit, une joie qui se décuple quand elle entend en écho le cri déchirant de plaisir poussé par Sandrine sous ses doigts. Les doigts qu’elle, elle Frédérique, a envoyé à l’assaut de la fente de Sandrine, lui attisant le feu au sexe et à l’anus, d’une manière sans doute très efficace en jugeant par les spasmes violents et répétés qui accompagnent son cri d’orgasme… Quel plus grand plaisir que celui de l’orgasme simultané de deux partenaires?… Et pourtant Frédérique ne se sent pas totalement comblée! Pendant cette semi-sieste après l'orgasme, son cerveau continue a être assailli de pensées libidineuses! Elle rêve encore d’un énorme sexe mâle, épais, gonflé, brûlant…à un profond va-et-vient qui la défonce…et elle s’interroge encore: serait-elle aussi nymphomane? Ah! Si Vincent était là!… Ou alors Jack - un énorme pénis noir!… Elle en éructe à cette pensée et brusquement songe au dildo. Elle l’a aperçu tout à l’heure en se retournant, il doit être près de sa tête, elle se contorsionne pour regarder et l’entrevoit derrière son dos. Alors, doucement elle se dégage de Sandrine et l’allonge sur le dos, toujours pantelante dans son plaisir et sa vitalité non retrouvée. Frédérique se relève pour prendre la longue verge à deux glands, puis revenue près de Sandrine toujours allongée sur le dos, jambes et cuisses bien écartées, Frédérique caresse les lèvres vaginales offertes avec une des têtes du dildo et douce mais implacablement l’enfonce dans le vagin, lui donnant un mouvement de vis. Les gémissements de satisfaction de Sandrine sont une musique merveilleuse aux oreilles de Frédérique qui se sent couler avec abondance. Alors, impatiente, elle s’allonge à son tour sur le dos, présentant son vagin bouillant face á la seconde tête, glissant une cuisse dessous et une cuisse dessus celle de l’autre, et s’empale, poussant douce, mais puis violemment son corps vers celui de Sandrine, s’empalant d’un seul coup. Le coup lui semble énorme et froid, mais il l’emplit merveilleusement. Alors comme Sandrine commence à agiter son bassin, l’avançant et le reculant et le tournant de gauche à droite, Frédérique prend son rythme, calquant sur elle des passages de retenue du dildo, et d’autres où elle le laisse librement aller en elle, pour le retenir à nouveau. Les deux filles, maintenant devenues partenaires, se redressent en appui sur leurs coudes et se contemplent en train de s’accoupler. C’est alors que Frédérique prend une nouvelle initiative… “Veux tu essayer une position…peut être difficile à tenir, mais que doit être excitante?” “Dis toujours, Frique… On va bien voir…” “Il faut que nous comprimions très fort notre vagin, toutes les deux, et puis nous allons nous redresser pour nous appliquer le ventre et la poitrine l’une contre l’autre, debout!” “Mais le dildo va nous échapper, il va se redresser!” “Pas si nous serrons assez fort! Et puis il faut que nous le fassions entrer très…à fond, il faut que nous en laissions peu dehors. Si nous réussissons, nous serons assises face à face, et nous pourrons nous embrasser et nous caresser, nous frotter seins contre seins tendis que…nous nous baisons!” “Tu as vraiment des folies dans ta tête, Frédérique! Mais on peut toujours essayer. Si nous y arrivons, cela pourrait être très excitant! Allons-y…” À la fois inquiètes et exaltées par cette aventure, les deux jeunes lutteuses font un certain nombre de tentatives et de contorsions, parmi des gémissements et des exclamations d’alerte ou de soutien, telles que “Ça glisse - Attends, il faut que je reprends ma prise - oh, merde, je coule trop - tiens bon, serre, mais serre, merde - ça force… ça plie pas… ah si, ça y est - oh putain… ça m’appuie à l’intérieur.” Par fin, elles réussissent à se rejoindre et à s’enlacer. Il est à remarquer au passage qu’ainsi disposées, assises face à face, chacune cuisses ouvertes avec la droite reposant sur la gauche de l’autre, elles sont presque de la même taille. Elles ont les épaules rigoureusement de même niveau et si la tête de Frédérique est un tout petit peu au-dessus de celle de Sandrine c’est parce que son cou est un peu plus long! Cette observation entraîne à conclure que si les deux jeunes filles ont une égalité de hauteur de corps, leur différence de taille vient surtout du fait que les jambes de Sandrine sont plus courtes que celles de Frédérique, elle est comme on dit “courte en pattes”. Et pourtant quand on contemple en ce moment leurs cuisses écrasées les unes sur les autres on ne peut pas rêver de membres aussi puissants, charnus et musclés. Soufflant fort, en sueur, les deux jeunes femmes font une longue pose l’une contre l’autre, avant de laisser leurs bras partir le long du dos, remonter vers les épaules et le cou ou descendre vers les fesses, s’arrêtant sur les hanches en appui sur les os du bassin. “Tu tiens bon?” “Oui. Et toi?” “Oui, c’est formidable. C’est très dur à l’intérieur!” “Oui et ça me presse. C’est sensationnel! Ça me chauffe le petit trou.” “Tiens, c’est vrai, moi aussi, comme si on forçait dedans.” Sandrine pousse alors un bref cri, suivi d’un grognement de plaisir. “Qu’est-ce que tu as?” fit Frédérique. “Tu as bougé! Tu as approché ton ventre…le truc a remué, il a bougé dedans moi…oh!…quelle décharge… Je coule… oh!… recommence!” “Soulève un peu ta cuisse droite, comme moi… oui, et maintenant on se colle!… Oh - oh- oh - oh là là… Je jouis - is -is…” De son côté, Sandrine émet un “Ah!…” sans fin. Les seins pointus de Frédérique sont venus s’enfoncer dans la masse ronde des seins de Sandrine, les estomacs ont claqué l’un contre l’autre et les os des pubis sont venus se heurter. Les ventres en s’écrasant l’un contre l’autre ont produit un “pshtt” de chasse d’air. Elles ont leur menton sur l’épaule de l’autre, les bras serrés dans le dos. Elles vibrent à l’unisson et chantent la mélopée du plaisir qui les envahit. Elles se reculent, se ravancent, avec des bruits de succion des corps trempés de sueur. Elles s’accrochent de leurs griffes au dos de l’autre ou de leurs dents à son épaule. Elles vivent alors un très long moment de jouissance, une série d’orgasmes ou un orgasme géant qui croit et décroît comme les vagues qui montent à l’assaut d’une plage, et qui fluent et refluent sur le sable. La navigation de Sandrine au milieu de ses orgasmes a entraîné Frique dans des délires d’images et de souvenirs! Chacun de ses courts fantasmes l’élève au paroxysme d’un orgasme qui se déclenche dans son cerveau comme une aurore boréale aux couleurs d’arc- en-ciel qui la transporte dans un au delà de jouissance. En atteignant ce point culminant, au moment de l’éclatement de cette lumière astrale elle subit un genre de petites syncopes qui l’isole du moment présent et lui fait entrer dans un nouveau souvenir. C’est ainsi que Frédérique se voit faisant l’amour avec Vincent dans ce même ring après s’être battue avec sa mère… Elle se voit dans la chambre de ses parents à l’hôtel, prenant dans la corbeille á linge le slip moite et odorant de la liqueur vaginale de sa mère… Elle se souvient de Vincent, debout dans la chambre vide de La Longère, comprimant son sexe et éclatant devant elle et sa mère d’une abondante éjaculation… Elle se souvient du bas ventre odorant de Leslie assise sur son visage et de sa main accrochant la bande de tissu du short en jean avec les poils gluants de la chatte de l’Anglaise… Elle revoit aussi Vincent et Bernard, nus, méchants, avec leur pénis orgueilleusement dressés, s’empoignant, et Bernard faisant jaillir, entre ses mains serrées sur sa tige, de longs jets de semence qui faisaient de petites flaques laiteuses sur son ventre… Et puis elle imagine voir les doigts interminables de Douchka plongés dans son vagin et extraire de son sexe une onctueuse et abondante jouissance… Et enfin Jack, son sexe noir à la tête rouge, rond, énorme, vibrant et vivant, qui la fouille jusqu’à la gorge et qui éclate d’interminables pulsions de sperme… Et après chaque souvenir…il y a cet éclatement de plaisir lumineux dans sa tête, derrière ses yeux fermés! Elle sent encore les chairs tendres de Sandrine glissant d’entre ses dents serrées comme elle la mordait à pleine bouche…et après chaque souvenir il y a cet éclatement de plaisir lumineux dans sa tête, derrière ses yeux fermés! Est-elle ou Sandrine qui vient de pousser ce long cri de bête fauve? Elle sent contre son ventre la houle des spasmes du ventre de Sandrine! Elle sent la sueur, le sexe, l’odeur des cyprins!… Et tout d’un coup elle se sent devenir molle, aussi molle que Sandrine et simultanément elles se laissent glisser en arrière, allongées sur le dos, avec leurs mains, leurs ongles sillonnant le dos de l’autre dans un ultime effort pour rester en contact… Retrouvant progressivement ses esprits, Frédérique amorce un mouvement pour se tourner sur le côté. Un cri de Sandrine l’arrête. Elle fait un autre mouvement pour se redresser sur un coude et voir ce qui lui arrive, mais elle est encore stoppée par un hurlement presque inhumain. Douleur? Plaisir?!… “Va doucement, Frique! C’est presque insupportable - tellement c’est bon!” “Quoi?” “Le…dildo!… Il sort…c’est trop…trop bon…très fort… Oh! Oh! Oh!… Dou - doucement! Oh! Mon Dieu…Je…je coule… Je jouis!…” Très très lentement, centimètre - non - millimètre par millimètre, Frédérique glisse sur son dos pour s’éloigner de Sandrine, emmenant avec elle le dildo qui excite les parois irritées, tuméfiées même, du vagin de Sandrine. Elle se guide sur les gémissements de sa petite partenaire pour la libérer du pénis artificiel, en lui laissant profiter de cette ultime et douloureuse jouissance. Lorsque Sandrine est libéré, Frédérique se met à quatre pattes. La bite de latex est toujours enfoncée dans son vagin et le seul effet des vibrations de l’appareil, dues à ses mouvements lui font ressentir l’extrême sensibilité de son antre sexuel. L’esprit encore embrouillé dans ses fantasmes précédents, elle fait un effort de volonté pour se décontracter, agrandir la gaine qui étreint le dildo pour qu’il coule hors d’elle par lui-même. Mais cet espoir n’est pas satisfait. Va-t-elle devoir conserver ainsi encore longtemps cette verge? Elle angoisse à cette pensée… Alors elle empoigne à pleine main l’imitation de bite et violemment l’extirpe de son vagin, au prix d’un frottement insoutenable le long des parois qui l’amène aussi à pousser un cri de douleur avant de se rouler en boule sur elle-même, enfin libérée, les yeux emplis de larmes. Le temps ayant passé, Frédérique regarde devant elle. Sandrine est assise sur le sol, le dos appuyé sur les cordes du bas. À quatre pattes, elle s’approche d’elle et la contemple. Elle a les yeux bouffis et encore brillants de larmes, elle aussi, les pommettes sont rouges, les cheveux collés sur le visage dont l’expression traduit un profond épuisement. D’après ce qu’elle ressent, elle doit être dans le même état. Sandrine se penche vers elle, prend son visage à deux mains pour le lever vers le sien qu’elle approche et, lèvres entrouvertes, elle embrasse sa bouche d’un tendre baiser. “Merci, Frique!” “Merci à toi aussi, Sandrine!” “Tu sais ce que tu m’as promis?” “Oui!… Ah, tiens, voilà… Il est arrivé… Mais tu as dit que… c’est juste pour goûter?” “Mon premier garçon!… Oui, juste pour savoir ce que c’est! Merci!…” “Alors, on prend une bonne douche…avant!…” “J’espère qu’elle va soulager mon inflammation, sinon je doute pouvoir recevoir qui ou quoi que ce soit.” “Aie confiance… Une bite d’homme ne dure pas si longtemps que ton truc, mais elle est plus docile et maniable, et elle t’arrose l’intérieur avec une huile magique… Si ce n’était pas ça, on les jetterait à la poubelle!” Elle rit, puis, elle prend Sandrine par la main et court vers la douche. “Allez, viens!” Fin Le titre du chapitre 12 copie sans honte le titre “Branle bas le combat”, traduction française du thriller érotique de Rod Gray, “The 69 Pleasures”, Éditions et Publications Premières; France 1967, 1974. À suivre… Mireille (la mère de Frédérique) s’affronte à Denise (la mère de Sandrine) dans une courte série de combats tout permis. Du même auteur, voire aussi la narrative “Catherine”, en trois chapitres. © Ange Païen 96.12.09 - 16:25h © Édition de Raf, 1997