Frédérique, Chapitre 11 par l’Ange Païen Duel nu: Revanche en kick-boxing? Frique & Vincent vs Sandrine et Bernard, dans un match revanche… et vache. Jérôme est de plus en plus excité. Son pénis a pris des proportions énormes. À plusieurs reprises, il a dû glisser sa main dans son pantalon de survêtement pour lui donner de l’aisance. Il a été obligé de le dégager du slip qui fait partie de son flottant, un petit short qu’il porte sur la plage, très court et très échancré sur les côtés. À son côté droit, Jérôme sent la présence de Franck le père de Sandrine. Il sent plus qu’il ne voit, car les deux hommes se sont glissés entre les cordes et le mur du côté droit du ring, et son regard erre entre le ring en face de lui et les lutteuses sur sa gauche, sur le matelas. Un coup d’oeil furtif sur sa droite lui a permis de voir que Franck a ôté son pantalon et que le grand blond porte un petit slip noir déformé par l’énormité du pénis. Il est vrai que tout ce qui se déroule en ce moment dans l’ancien fruitier est très érotique. En dehors du ring, sur les matelas, sa femme Mireille, et Denise la mère de Sandrine, se sont fait l’amour puissamment et aussi sauvagement. Maintenant, elles se sont lancées dans une lutte au corps à corps, violente et rapide. (*) Sur le ring, Frédérique et Sandrine d’un côté, Vincent et Bernard de l’autre s’affrontent dans un combat à coups de poings et parfois de pieds, qui se veut être de la boxe. Les deux paires d’adversaires dans le ring sont toujours nus et en chaussures de lutte, mais maintenant ils ont tous enfilé des petits gants de boxe. Ainsi équipés ils se bombardent les uns et les autres de coups de poings sur toutes les parties du corps. +++++++++++++++++++++++ Après leur combat au corps-à-corps, les deux équipes composées respectivement de Frédérique et Vincent d’un côté, Sandrine et Bernard de l’autre, se sont vues contraintes à récupérer leurs forces et leurs aptitudes au combat. Sandrine, cruellement mordue au vagin est allée au vestiaire pour étancher ses blessures. Bernard, assommé par Frédérique, mais soulagé de son rut homosexuel, s’est rendu au réfrigérateur chercher une boisson après avoir repris conscience. Frédérique qui semble être sortie de son combat en meilleur état que les autres s’est employée à ramener toutes ses capacités dans les genoux affaiblis de Vincent, après l’avoir embrassé et apaisé son excitation sexuelle. Alors, Frédérique s’est rendue au vestiaire et au réfrigérateur pour revenir avec deux serviettes enveloppant des glaçons. Elle en a entouré les genoux de Vincent, après avoir frôlé son sexe avec les linges glacés. En même temps que son sexe retrouvait une demi-flaccidité, Vincent a vu disparaître l’inflammation de ses genoux, la douleur s’est dissipée et après quelques savantes massages prodigués par sa jeune amie, il a récupéré l’usage normal de ses jambes. Sandrine et Bernard sont revenus entre les cordes et le mur, prêt de leurs vêtements. Veulent- ils se rhabiller? Ce n’est pas le projet de Frédérique qui se précipite vers eux, et, entre les deux premières cordes, empoigne la chevelure de filasse noire de Sandrine pour la tirer brutalement à l’intérieur du ring. - Ce n’est pas terminé, grosse vache! Reviens ici prendre ta branlée!... C’est alors que Franck, le père de Sandrine intervient, s’interposant entre les deux antagonistes. Il propose: - Attendez les filles! Vous êtes de même force, alors pour tenter de vous départager, je vous propose à tous de vous affronter avec des gants de boxe, tout permis, même au sol et avec des prises. Les gants seront là pour la difficulté de la lutte, mais aussi pour corser un peu l’affrontement sans trop de dommages et vous permettre de conclure plus rapidement! D’accord? Après s’être silencieusement interrogés du regard, ils répondent tous positivement, y compris les garçons. - O.K... d’accord... Oui, oui!... Mais les gants?... - Ne bougez pas, j’en ai dans le coffre de ma voiture - répond Franck, en se précipitant à l’extérieur. Moins d’une minute après il est de retour avec un grand sac plastique noir (sac poubelle, en réalité) qu’il renverse dans le ring, faisant apparaître huit paires de petits gants de boxe, noires eux aussi, et une poignée de ce qui semble être des légers moufles blancs. Alors aux quatre jeunes gens qui l’entourent, Franck demande: - Faites-voir vos mains. Et après avoir rapidement estimé, il distribue à chacun une paire des légers gants de cuir noir et une paire de moufles blancs. Il ajoute: - Les moufles sont faits dans une toile tissée avec des fibres élastiques. Ils remplacent les bandages... Ne vous trompez pas de mains, le renfort doit se trouver dans la paume de la main... Tirez bien pour les étendre le plus haut possible sur le poignet... Ensuite les gants de boxe... Ils sont en cuir assez souple. Vous devez sentir le pouce très libre et vous devez aussi pouvoir redresser et fermer un peu vos doigts... Essayez de plier vos doigts... maintenant de les tendre... Ça marche? Tout le monde?... Les filles, c’est O.K.?... Les garçons?... O.K. Bon, maintenant serrez bien le velcro, prenez entre pouce et doigt et tirez pour appliquer. Faites voir, tout le monde!... C’est bon! Après avoir examiné les quatre paires de poings gantés, Franck se retire du ring en se plaçant entre ring et mur. Il fait signe à Jérôme de venir le rejoindre, puis il ajoute: - Prêts? Allez-y! Que les meilleurs gagnent! - Tu n’as pas peur qu’ils se fassent de terribles blessures, questionne Jérôme à ses côtés, à mi-voix. - Ce sont nos filles, alors, je crains pour elles. - N'aie pas peur. Les gants sont souples et légers, alors elles vont se marquer plus fort que si les gants étaient plus grands. Mais les coups qu’elles vont se donner ne seront pas assez brutaux et forts pour qu’elles se blessent! Et puis, elles sont bien costaudes. Jérôme fait confiance et n’insiste pas. D'ailleurs, il est trop excité sexuellement pour avoir suffisamment de lucidité et émettre d’autres avis négatifs. +++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Dès que Franck a donné le feu vert pour le combat, les deux équipes se sont lancées à l’assaut l’une de l’autre. Du côté opposé à Jérôme et Franck, ce sont les garçons qui sans atteindre se sont envoyés les premiers coups de poing. Juste devant leurs deux pères ce sont les deux filles qui s’affrontent. D’abord prudemment, elles cognent dans les poings de l’autre, avec précaution, puis avec plus de force. Elles mesurent l’effet des coups reçus et des coups donnés, la vibration dans les bras, les coudes et les épaules. Puis, des poings elles montent aux épaules et sur les biceps, puis les côtes. L’une et l’autre cherchent à se créer une protection, une garde, avec ses poings et ses bras. Puis, elles s’initient à parer, à détourner les coups, mais aussi à traverser la garde de l’autre. Tous ces essais, cette école, pouvons nous dire, leur nécessite un très longtemps, pendant lequel elles ont tourné l’une autour de l’autre, cherchant la bonne position, des jambes et du corps. Et puis les coups se font plus précis, plus rapides, plus forts. Elles commencent à virevolter l’une autour de l’autre. La sueur commence à briller sur leurs corps nus. Les muscles, surtout des bras et des épaules, commencent à se crisper, à se nouer. Elles ont l’une comme l’autre sur le visage un discret sourire. Sourire de satisfaction devant ce nouveau jeu. Sourire de plaisir à donner des coups. Sourire de satisfaction suscitée par l’espoir de faire mal, de blesser et de vaincre! Alors, elles se lancent sérieusement à l’attaque, pieds bien à plat sur le tapis, jambe gauche en avant, bras gauche replié avec le poing gauche devant le visage et le coude devant l’estomac, elles commencent à lancer des coups du droit qui cherchent à atteindre la tête de l’adversaire, et trouvant souvent le poing gauche en parade. Et puis progressivement le poing gauche est engagé dans le combat et ce sont alors des séries de crochets gauche-droite avec des “swings”, puis des directs devant des ouvertures engageantes. ++++++++++++++++++++++++++++ De leur côté, les deux garçons n’ont pas pris autant de précautions. Ont-ils quelque pratique dans le noble art? Toujours est-il qu’ils se sont engagés à fond directement. Ils se protègent moins, leur garde est plus évasive, seul le rythme de départ est assez lent. Ils procèdent plus en faisant des feintes avec de faux directs du droit pour suivre avec un crochet de gauche. Les coups sont plus appuyés, plus portés en puissance et lorsqu’un atteint son but, la tête de l’autre marque l’encaissement du coup. Car eux aussi n’ont comme cible au départ que la tête de l’adversaire. Ils bougent beaucoup moins que les filles, par contre leurs corps sont plus mobiles dans des esquives de côté. Ils ont perdu en grande partie leur excitation sexuelle, les pénis, sans avoir retrouvé un total état de repos, sont devenus d’une totale flaccidité. Ce qui n’est pas le cas des deux hommes à l’extérieur du ring, qui sont subjugués par l’assaut sexuel que se livrent leurs épouses sur les matelas! ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Assez bizarrement, c’est Sandrine qui la première engage ses pieds dans la bagarre. Sur une série de coups expédiés par Frédérique, elle est obligée de reculer pour se mettre hors de portée. En reculant, est-ce un faux mouvement? une glissade? Frédérique a-t-elle posé un pied sur un des siens? Toujours est-il qu’elle se trouve déséquilibrée et pour trouver son aplomb, Sandrine lance un pied en avant qui vient heurter Frédérique sur sa cuisse opposée. Le choc sur sa cuisse fait grogner la grande jeune fille, donnant à Sandrine la connaissance du travail que peuvent effectuer ses pieds. Et comme Frédérique a stoppé sa poursuite, Sandrine renvoie son pied à destination de la même cuisse et cette fois en prenant de l’élan et visant bien sa cible. Elle déclenche à la fois un nouveau grognement de Frédérique et un geste de recul de sa part. Sandrine s’avance pour renouveler un même coup de pied, mais cette fois la grande fille envoie-t-elle aussi son autre jambe en l’air, sous la jambe tendue de la “petite boule de poils noirs”, lui faisant perdre totalement son équilibre et tomber à plat sur son dos. Fair-play ou manquant de combativité, Frédérique attend que Sandrine se relève et retrouve son attitude de combat. Les deux jeunes filles, légèrement courbées en avant et bien protégées derrière leurs bras et leurs poings, s’observent à nouveau, en sautillant d’un pied sur l’autre. C’est Sandrine qui relance le combat. Se pliant en deux et en avançant d’un pas, elle envoie un direct du droit suivi d’un crochet du gauche dans le ventre de Frédérique, laquelle prend le premier coup en plein milieu du ventre, et se reculant elle échappe au second heurt. Mais simultanément, ayant reculé sa jambe gauche elle lève brutalement son genou droit qui vient frapper la face de Sandrine dont la tête baissée est une cible bien offerte! Frédérique n’a pas cogné vraiment fort, ne connaissant pas la bonne mesure à donner. Mais une fois encore elle surprend Sandrine qui titube en arrière un peu sonnée. Cette fois la grande fille ne perd pas de temps, elle poursuit sa petite adversaire, l’acculant dans les cordes, juste entre les deux hommes. Elle la mitraille de petits coups secs. Sandrine qui a levé sa garde devant son visage est percutée de crochets à gauche et à droite, dont certains viennent frapper ses gants mais beaucoup d’autres l’atteignent sur les pommettes ou les tempes ou même les oreilles! La petite lutteuse se plie alors en deux en se tournant de côté pour échapper aux coups, mais Frédérique la cogne alors du haut en bas dans le dos et derrière la nuque. Alors pour échapper à ce bombardement, Sandrine trouve refuge dans la fuite en se précipitant vers l’angle du ring. Elle réussit enfin à atteindre un espace libre pour refaire face à son ennemie. Frédérique a dû voir dans la série de crochets qu’elle vient de placer la possibilité d’atteindre Sandrine d’une autre façon. Sitôt qu’elle se retrouve en ligne, elle repart en crochets du gauche sur le côté droit de la tête de Sandrine qui pare les coups en écartant vers son extérieur droit son poing droit. Une fois, deux fois, trois fois... Alors que le visage da Sandrine est aux trois-quarts dégagé, Frédérique fait monter un sec uppercut du droit au menton de la petite brune! Étourdie, Sandrine fait le geste d’envoyer son poing gauche en direct vers Frédérique, mais plus effectivement elle laisse tomber ses bras en titubant légèrement vers son adversaire. Visage offert, corps offert!... Frédérique, maintenant à fond dans son combat, profite d’une telle ouverture et prend pour cible les deux seins volumineux et bien galbés de Sandrine. Directs et crochets se succèdent à une allure vertigineuse jusqu’à ce que Sandrine lui tournant le dos pour fuir cette agression, vient s’appuyer aux cordes. Manifestement, Frédérique a pris un réel plaisir à cette attaque sur les seins de Sandrine. Elle veut poursuivre en ce sens. De sa main droite gantée, elle essaie de saisir le bras droit de son adversaire pour lui faire faire demi-tour et la ramener face à elle. Mais Sandrine a croché son bras sur la corde du haut et résiste au mouvement. Alors de ses deux poings, Frédérique s’en va saisir la tête de Sandrine et la tire brutalement en arrière. Surprise par cette préhension la petite lutteuse est arrachée des cordes et obligée de pivoter sous la pression des poings de Frédérique sur sa tête. Et aussitôt la grande fille repart à l’attaque des seins. Cette fois Sandrine s’avance pour se protéger en enlaçant Frédérique autour de la ceinture avec ses deux bras. Alors, reculant puis avançant, baissant sa tête pour la presser du front contre l’épaule de Sandrine et la repousser, Frédérique réussit à les placer toutes les deux, légèrement pliées en avant, joue contre joue, la tête enfoncée contre le dessus de l’épaule de l’autre, dans une position de saisie, bien connue des lutteurs en début de combat. Mais bien sûr, avec leurs gants de boxe, elles ne peuvent saisir les bras! Et les seins de l’une comme de l’autre, pointés vers le sol, sont la cible naturelle de l’attaque qui aussitôt commence. Longtemps, sans presque bouger, elles se matraquent les seins, les écrasant vers le haut sous de puissants uppercuts, les distordant vers la gauche pour le sein droit et inversement sous l’effet des crochets secs lancés alternativement. D’ailleurs au bout d’un moment les filles ont prit un rythme alternatif, à un coup droit de Frédérique succède un coup droit de Sandrine, puis un coup gauche à un coup gauche, etc. On dirait deux bûcherons en forêt qui entaillent le pied d’un arbre. Chacun d’un côté du tronc et qui lancent la cognée alternativement. Les corps vibrent à chaque coup et tous les muscles sont sollicités, depuis ceux du cou qui tiennent la tête au creux de l’épaule, les épaules, les biceps, les deltoïdes et plus bas, les muscles du ventre contractés, ceux des cuisses qui tiennent l’équilibre, qui poussent sur le sol pour adhérer avec la crispation des mollets. Ce sont deux corps athlétiques dont la puissance musculaire est totalement sollicitée! Même, les fesses paraissent durcies dans l’effort, les petites fesses rondes de Frédérique et les grosses masses rondes et abondantes de Sandrine. Elles forment un tableau vivant, puissant et brutal. Ni l’une ni l’autre ne cherchent à se protéger, elles ne cherchent qu’à cogner le plus dur et le mieux possible. Et elles atteignent leur but avec efficacité, leurs grognements, les “aie” et les “oh” qu’elles laissent échapper au milieu de leur respiration bruyante et accélérée se font de plus en plus souvent et bientôt à chaque coup. Et puis cela devient une mélopée de souffrance, un mélange de plaintes et de pleurs, ponctuée de brusques suspensions pour permettre d’exhaler un “han” de bûcheron lorsque l’une comme l’autre veut placer un coup particulièrement violent. C’est un spectacle rude, lancinant, obsédant et à la fin duquel c’est Frédérique qui succombe la première! En sanglots, elle se redresse, portant ses deux mains gantées à sa poitrine. Sanglotant bruyamment, elle vient s’appuyer des deux bras sur la première corde, son front en appui sur la corde du haut. Et elle geint en osant à peine regarder ses deux seins: - J’ai mal!... Oh que j’ai mal!... Aidez-moi! Sandrine, elle-même en larmes, continue à battre des poings dans le vide, en titubant en avant... Puis, quand elle s’aperçoit qu’elle n’a plus son adversaire devant elle, elle reste debout dans le ring, à demi pliée en avant, ses deux poings en appui sur les genoux, bras légèrement écartés aux coudes de chaque côté de ses deux globes massacrés qui pendent sous sa poitrine: - Oh la sacrée putain, elle m’a amoché!... C’est plus des seins que j’ai, c’est de la viande hachée! Oh merde! Je suis foutue!... Ça brûle, merde!... Ils vont éclater!... Mais la garce, elle va me payer ça... Je vais te foutre!! Il est visible que les seins des deux filles qui ont rougi sous les coups prennent rapidement les couleurs de l’arc-en-ciel! Et ils sont plus gros, enflés. Les mamelons égratignés par le cuir, presque en sang, sont devenus marron très foncé, presque gris ou noir! Les veines apparentes sont devenues noires, elles aussi ont augmenté de volume... Si les deux mères, Mireille et Denise, n’étaient lancées de leur côté dans un combat très violent, elles auraient pu apporter une aide ou un soulagement aux deux jeunes filles! Les deux hommes, Jérôme et Franck, sont incapables de réagir et d’agir! Pétrifiés d’effroi... et d’excitation. +++++++++++++++++++++++++++++ Bernard, plus grand que Vincent, dispose d’une plus grande allonge et il a pris sa distance avec son adversaire. Le combat des deux garçons est devenu un peu plus rapide et un peu plus direct, avec moins de feintes. Bernard en a pris la direction et on peut dire qu’il marque des points avec ses poings. Les tentatives de Vincent sont toutes trop courtes et son visage est vraiment marqué de tous les coups qu’il a reçus et qu’il reçoit encore! Il réussit parfois à atteindre les côtes, l’estomac et le foie de Bernard, mais ses coups arrivent sans force et Bernard n’en souffre pas! Doucement et progressivement il repousse Vincent le dos dans les cordes, d’une manière inexorable. Vincent a sa pommette droite éraflée et son oeil gauche est énormément gonflé, presque fermé par un hématome en dessous de la paupière inférieure. Acculé dans les cordes, Vincent n’a d'autres ressources que de mettre ses pieds en action. Il se trouve un peu court pour porter des coups de genoux dans le sexe de son adversaire, mais aussi un peu trop long pour y porter des coups de pied. Alors, il porte ses coups de pied en direction des tibias de Bernard. Plusieurs coups bien portés le font reculer. Alors, Vincent en profite pour lancer son pied vers le sexe, mais Bernard le dévie avec son genou et se rapproche au plus prêt pour éviter les pieds. Vincent porte alors un coup de genou juste dans sa cible mais toutefois en manquant de force. Bernard se rapproche encore plus pour se protéger. Cette fois les uppercuts de Vincent sont efficaces, mais Bernard finit par venir s’écraser contre Vincent, enfourchant une cuisse de l’adversaire entre les siennes, et le prenant en ceinture avant. Le jeune blond y trouve là sa porte de sortie libératrice. Il enserre Bernard à la ceinture et, doublant la prise de lutte du jeune homosexuel, il le soulève et dans une torsion le projette au sol en s’écrasant sur lui!... Il lui a fallu un gros effort pour vaincre la résistance de l’adversaire, mais ça a payé. Le choc à plat sur le dos a quelque peu étourdi Bernard. Vincent en profite pour se mettre à cheval sur son ventre et le bombarder de crochets au visage et à la tête. En moins d’une minute, il fait payer à Bernard le petit quart d’heure qui vient de s’écouler depuis le début du combat. D’autant plus que la tête de Bernard reposant sur le tapis du ring, tous les coups de Vincent arrivent avec justesse et une force quasiment doublée par l’impossibilité où se trouve la victime d’accompagner les heurts par des reculs de tête ou du buste. Finalement Bernard bloque les bras de Vincent et à son tour le saisit à bras-le-corps. Les deux combattants s’engagent alors dans un assaut qui est un mélange de lutte et de boxe, allongés au sol ou tout au plus à quatre pattes! Alors s’engage un combat long, méchant, violent, sans règles! Poings, pieds, coudes, genoux, têtes, tout sert à attaquer et tout est cible, même les sexes prennent des coups au hasard de la bagarre. Chacun des deux combattants prenant tour à tour le dessus et le dessous... Tous les muscles bandés, tendus au plus haut point, ils s’engagent dans un combat sans merci! C’est ainsi que tour à tour... On voit Vincent la tête prise dans l’étau des cuisses de Bernard recevoir sur le visage une volée de coups de poings et pour se libérer venir cogner dans le sexe orgueilleux exposé devant ses yeux, d’une manière un peu malhabile mais suffisamment efficace pour que Bernard lâche sa prise... Puis d’une manière un peu similaire, Bernard à quatre pattes avec sa tête en collier sous le bras gauche de Vincent, reçoit au visage des petits crochets secs et violents, et pour se dégager, tenter de saisir entre ses deux poings gantés les bijoux de famille du jeune blond! Et Vincent pris de l’arrière dans un ciseau à la ceinture, cogne des coudes avec une puissance inimaginable dans les côtes et l’abdomen du grand brun... Cette longue prise de Vincent, également en ciseau arrière sur Bernard, est bloquée avec un étirement du cou, les deux gants de boxe du blond sous le menton du brun... Maintenant Vincent est sur le dos avec Bernard assis sur ses hanches. Les deux sexes sont presque en contact et les deux boxeurs se lancent des coups de poing depuis la taille jusqu’au visage. Bernard a bien sûr beaucoup plus d’efficacité et comme il sent Vincent faiblir, il s’allonge carrément sur lui pour l’écraser et le maintenir au sol. C’est une manoeuvre qui apporte à l’évidence une très impressionnante excitation sexuelle chez le garçon aux longs cheveux bruns. Mais cela ne fait pas l’affaire de Vincent qui fait le pont et rue de tout son corps sous son adversaire jusqu’à réussir à glisser un genou entre les cuisses du brun, puis un deuxième pour le propulser en avant par dessus sa tête. Le mouvement ne réussit que partiellement, car, si Bernard est bien soulevé et lancé en avant, il atterrit avec son bas ventre sur le visage blond! La longue et fine verge en érection ayant sa pointe carrément sur les lèvres de Vincent! Alors, Vincent sans aucune inhibition ouvre sa bouche pour saisir entre langue et palais le pénis turgescent et rouler avec sa langue la prune duveteuse rose foncé du gland, titiller le méat et faire vibrer le filet, finissant de faire du sexe de Bernard un phallus vibrant de pulsations prémonitoires!... ++++++++++++++++++++++++++++++++ Les deux jeunes filles cherchent à résorber la souffrance de leurs seins meurtris. Sandrine, après avoir reposé délicatement la masse concave de ses seins sur le dos de ses deux poings gantés, est venue saisir à travers les cordes son sac de sport qu’elle a pure et simplement renversé. Dans tout le bric-à-brac répandu, comprenant notamment un dildo à deux têtes, elle a trié un soutien gorge qu’elle a enfilé avec beaucoup de précautions afin de soutenir ses globes volumineux soulageant ainsi la tension de l’enveloppe de chair blanche et lui permettant de retrouver un peu de liberté d’action et de mouvement. Frédérique s’est agenouillé sur le tapis, dans le coin où Vincent a soigné ses genoux un bon moment avant. Elle a récupéré les serviettes qui contenaient les glaçons et qui ont conservé une froideur importante. La compresse glacée sur ses deux têtes d’obus gonflées la fait vibrer à une nouvelle souffrance mais qui estompe progressivement la douleur engendrée par le martèlement subit peu de temps avant. Quelque peu rassérénées les deux jeunes adversaires se font face à nouveau, silencieusement elles relèvent leurs poings en position de garde et s’observent un long moment. Finalement comme avec un accord tacite, elles ouvrent leurs bras et s’enlacent en une double ceinture avant. Elles semblent vouloir protéger leurs seins de nouveaux coups. Malhabilement à cause des poings gantés elles s’engagent dans une sorte de lutte au corps à corps qui ressemble un peu à une danse silencieuse sans tempo et dont le seul but vraisemblable est de faire arriver l’autre au sol sur le dos en ayant la position supérieure. Progressivement les têtes entrent dans la bagarre les premières avec des petits coup d front, de face ou de crâne de côté. Puis ce sont les jambes qui tentent de s’infiltrer pour permettre aux genoux de remonter cogner dans la fourche de l’autre. Alors chacune engage son pubis, pour le serrer, le presser contre celui de l’autre et ainsi le rendre moins accessible aux assauts des genoux. L’écrasement et le frottement des seins sont encore douloureux et à différentes reprises, en grognant, les deux filles écartent leurs poitrines pour les soulager. Alors que Sandrine est tendue sur la pointe de ses pieds, Frédérique, bénéficiant de l’avantage de la grandeur, finit par placer sa cheville gauche derrière le mollet droit de Sandrine et la précipiter au tapis, sur le dos et sous le poids de celui de la grande fille qui l’écrase. Frédérique s’active à entrelacer les jambes de la petite brune avec les siennes et, dans le but de boxer à nouveau au visage, elle relève son torse en se positionnant en appui sur son bras gauche tendu comme support. Elle relève son poing droit pour attaquer, alors que Sandrine ramène son poing gauche devant sa tête pour se protéger. Mais Frédérique suspend son mouvement, après que son poing ait marqué un temps d’arrêt en l’air elle le ramène lentement au sol!... Avec un grand étonnement sur son visage, elle regarde fixement devant elle! Puis abandonnant toute velléité agressive à l’égard de Sandrine, elle s’agenouille sur les cuisses de cette dernière... - Tu vois ce que je vois? dit-elle, en laissant Sandrine se dégager et se mettre également à genoux. - Les salauds!... On se bat pour eux, blessées, massacrées!... Et ces coqs là ils se font jouir!... Ils se sucent la queue, les salauds!... +++++++++++++++++++++++++++++++ Après avoir sucé le pénis en érection de Bernard pendant un moment et senti sa réaction, l’état d’excitation où il se trouve, Vincent tourne Bernard sur le dos et faisant demi tour lentement, vient chevaucher tête bêche, en soixante neuf, présentant son propre pénis turgescent aux caresses buccales de son adversaire. Vincent ne ressent pas la répulsion qu’il avait éprouvée lors de la sodomie que Bernard a pratiqué sur lui un long moment plus tôt. Depuis les trente ou quarante minutes qui se sont écoulées depuis le début du combat, son excitation sexuelle n’avait fait qu’aller en augmentant. Maintenant il était arrivé dans un état intenable, il lui fallait jouir, baiser, se vider... pour retrouver son équilibre! Il avait acquis maintenant, auprès de Frédérique et de son entourage, une certaine maturité sexuelle. Il avait perdu son tempérament précoce et animal. Désormais il n’atteint à la jouissance que lorsqu’elle est partagé par une partenaire. Et si cet après-midi c’est un partenaire?... Son besoin est devenu trop pressant, trop indispensable pour faire “la fini bouche”!... Alors le plaisir, il va le prendre et le donner, même si c’est d’une façon inhabituelle! D’ailleurs il ne commande plus à son cerveau. il est noyé dans la volupté qui monte en lui. Plus question d’arrêter la fusée est lancée et elle ne s’arrêtera qu’avec l’explosion finale! Les deux adversaires sont maintenant devenus partenaires et Vincent a vite appris les exemples que Bernard lui prodigue. Alors maintenant ils procèdent symétriquement l’un sur l’autre aux mêmes exploits. Comme Bernard, Vincent lèche le dessous de la verge en allant avec sa langue chercher loin auprès des couilles la grosse veine gonflée. Écrasant sa langue sur celle-ci il remonte lentement comme pour aplatir le tube de chair gonflée. Puis en arrivant sous le gland la langue se déforme pour faire comme une gouge et râper rapidement le filet sensible. C’est alors la bouche qui s’empare de la grosse prune, et pendant que la langue fait le tour avec sa pointe du bourrelet tendre et irritable, et aspire le plus loin possible toute la hampe pour que les lèvres viennent constituer un anneau serré au milieu du phallus... Léchage, succion... Encore, et encore... La fièvre monte et les lance-flammes sont bientôt prêts à cracher!... C’est Vincent qui sent jaillir la sève brûlante de Bernard lorsqu’il est brutalement saisi à deux mains par la tête et arraché du sol en même temps que le fourreau gluant de sa bouche laisse échapper le pénis de son partenaire, et qu’il est lui-même extirpé de la ventouse qui faisait bouillir sa sève!... Frédérique, pendant que Sandrine exprimait son mépris à sa façon, s’est ruée sur les deux garçons enlacés et d’une manière violente et coléreuse les a désaccouplés. Encore une fois Vincent est frustré pendant que Bernard crache vers le plafond les restes de sa jouissance! Vincent arbore un phallus énorme, à la hampe échauffée et rougie par les caresses linguales, au gland brillant de teinte violace. Un pénis légèrement cambré qui bat au rythme de pulsations spasmodiques non assouvies. Le visage du garçon est cramoisi, ses yeux sont exorbités et gonflés, sa bouche crispée dans une grimace de colère. Frédérique et Vincent s’invectivent simultanément en criant. - Qu’est-ce qui te prend Frédérique? Tu es jalouse ou tu es en manque? Alors viens baiser, parce que je n’en peut plus!... - Espèce de con! Où tu te crois? En train de partouzer dans un bordel? Interrompu dans son action et excité à la vue de Frédérique, son Amazone nue, chaussée aux pieds de ses souples chaussures de lutteuse et aux poings de légers gants de boxe, sa peau bronzée couverte d’une fine pellicule de sueur qui la fait miroiter, ses cheveux bruns en désordre et eux aussi trempés de sueur, son pubis bombé orné du soyeux triangle bouclé de poils noirs et ses seins tendus en avant comme deux ogives de torpilles prolongés de deux longs et rigides tétons très foncés... Son corps splendide, sa position debout jambes écartées, son attitude orgueilleuse et vindicative, poings sur les hanches, regard brillant de colère!... C’est la vision qui finit de faire basculer le cerveau de Vincent, lui faisant atteindre le point culminant de son besoin sexuel. Dut-il la violer, rien ne va plus arrêter Vincent pour la posséder!... En parlant de bordel, Frédérique a fait du regard le tour de la pièce. Sandrine et Bernard sont à genoux dans le ring, pas très loin l’un de l’autre et les regardent s’engueuler. À l’extérieur du ring sur les matelas, sa mère Mireille, et Denise la mère de Sandrine, sont engagées, nues totalement, dans un enlacement qui est peut-être de la lutte, bien que les gémissements et les expressions qu’elles émettent relèvent plus d’un accouplement sensuel ou sexuel que d’un combat! Entre le ring et le mur de droite, Jérôme et Franck sont sans pudeur en train de se masturber. Franck est quasiment nu, Jérôme est en short flottant et son pénis a soulevé le pan droit du vêtement. Tous les deux à pleines mains manipulent leurs organes tendus aux glandes tumescentes. Elle entend Vincent ajouter: - Viens ma belle petite putain, viens finir ce que tu as arrêté!... Ton con, ta bouche ou ton cul, je m’en fous, mais viens!... Frédérique se retourne vers Vincent au moment où il s’apprête à l’enculer. Il lui fait peur, nu, avec ses gants de boxeur, sa bite en folie et surtout son regard, comme celui d’un drogué vicieux!... Elle se rejette en arrière. Elle pense: «Un bordel, un vrai bordel... Et ce con-là qui veut me traiter encore pire qu’une putain!» Alors, elle s’écrie: - Salaud!... Non, mon salaud, pas comme cela, tu ne m’auras pas! Et tout en reculant, elle lui envoie, gauche, droite, deux crochets au visage qui atteignent leur but. Le droit en plein sur la bouche coupant intérieurement les lèvres sur les dents entrouvertes. Le coup arrête Vincent qui de la langue tâte ses lèvres et ressent le goût du sang qui perle dans sa bouche. Mais son besoin n’est pas tombé!... Au contraire, même l’attitude de la jeune fille semble le surexciter. - Sale garce! Tu ne veux pas? Tu veux me résister? Et bien cela me plaît énormément, de gré ou de force! De force... c’est excitant!... - Et comme Frédérique lui envoie un nouveau direct du droit qu’il dévie aisément, il ajoute: O.K. petite putain, tu veux te battre? Alors allons-y! Je vais réaliser mon fantasme, t’écraser les seins sous mes poings, casser leur arrogance, en faire une bouillie!... Oh bon Dieu, mon rêve!... Tout en parlant il se met en garde, bouillant à la réponse de la fille, et sa pose provocante: - Tu n’es qu’une bite ignoble! Un cochon en rut, dégueulasse, un animal malade... Malade de sexe!... Malade de foutre!... Tu es répugnant avec ta bite hypertrophiée!... - Et tes nichons à toi, ils ne sont pas aussi un peu hypertrophiés? C’est ta copine qui les a fait virer au jaune et au bleu? Tu veux vraiment que je te les massacre, que je te casse la gueule, que je te bourre la chatte dans tous les sens du terme? Oui?... O.K.?... - Si tu n’as pas peur pour tes couilles de primate en chaleur, O.K.! Essaie de me toucher... Vincent se rue en avant, confiant en sa puissance, à l’attaque de la jeune fille qui n’est même pas en garde! Attaque classique, direct du gauche, crochet du droit. Frédérique se contente de relever en un éclair ses deux poings devant son visage, coudes devant l’estomac et de pousser à droite et à gauche pour dévier les deux coups de Vincent. Mais simultanément elle fait un pas en avant et violemment relève son genou droit entre les cuisses du garçon!... Mais le genou est freiné par l’intérieur de la cuisse et ne fait que cogner mollement les testicules. Le garçon a compris, il lui faut combattre de profil pour être moins vulnérable et il doit compter avec la rapidité de Frédérique. Alors sans attendre, il fait tomber sur elle une pluie de coups, en se lançant en avant et la faisant reculer. Il cogne sans trop viser, vers la tête, la poitrine et les côtes, et plus bas aussi, l’estomac et le ventre. Son but est de lui faire ouvrir les bras pour qu’il puisse atteindre les seins. Il veut les seins, cogner dans les seins, c’est une obsession qui fait croître encore son érection si cela est possible! Et qui psychologiquement, renforce son état sexuel débridé... Frédérique recule en prenant des coups, beaucoup aboutissent dans les gants ou sur les bras et les épaules, mais certains atteignent son visage sur les côtés et aussi son ventre et son estomac. Ces coups lui font mal, car les gants légers sont propulsés par la force d’un mâle déchaîné, plus forts que celle des bras d’une lutteuse comme Sandrine. Frédérique est trop orgueilleuse pour gémir devant le jeune homme qu’elle a provoqué. Elle mord sa lèvre inférieure et fuit en arrière plus rapidement et, dans ce mouvement, elle vient heurter des talons les jambes de Bernard qui toujours à genoux, ne s’est pas écarté suffisamment - par manque de réflexes, ou par méchanceté... La fille perd son équilibre et instinctivement étend ses bras en croix pour chercher un point d’appui. C’est l’ouverture que Vincent attendait et qui se rue à coups redoublés sur la poitrine orgueilleusement offerte. Déjà douloureusement contusionnés par Sandrine, les seins de Frédérique sont d’une très grande fragilité, aussi dès le premier direct reçu entre les deux globes elle crie de douleur et tente de se dégager. Mais Vincent comblé de plaisir en atteignant son but vient au corps à corps, au contact, propulsant sa Frique (mais la reconnaît-il comme son amoureuse à ce moment-là?) en arrière, pistonnant les seins d’uppercuts avec ses deux poings à la hauteur du ventre, et elle vient s’effondrer, dos aux cordes, pleurant et criant de douleur!... Pour se mettre hors de portée de Vincent, elle se tourne vers les cordes, s’accrochant à celles-ci, à demi pliée pour se protéger. En tournant le dos à Vincent elle protège bien la poitrine dans les cordes, mais elle oublie que ses jambes un peu ouvertes et son bassin en arrière présentent au jeune homme en rut une autre cible... - Quel beau cul tu as, Frique, un cul de déesse! Merci de ton cadeau!... Frédérique réalise aussitôt que Vincent va tout faire pour la sodomiser, dans cette position qui doit être tentante pour lui. Et aussitôt qu’elle l’entend, elle sent les deux gants ouverts la prendre aux hanches. Alors, prise d’une peur effroyable et d’une colère incontrôlable, elle arrache la bande velcro qui tient le gant sur son poing droit et ôte la masse de cuir souple qui lui rend ainsi la liberté de ses doigts. Tandis que le garçon active son pénis contre le cul de la fille, elle glisse sa main enveloppée dans le moufle élastique entre ses jambes et peu après elle trouve et empoigne, et commence à broyer de toutes ses forces le scrotum plein du jeune homme viril!... Vincent veut tout faire en même temps: reculer pour s’éloigner de son adversaire, repousser la main qui l’attaque, cogner sa compagne à la nuque pour l’assommer. Son cerveau, atteint d’une douleur aiguë qui se répand rapidement par tout le corps, ne l’obéit pas. Il trébuche en arrière, aggravant l’effet de pression sur sa virilité, un poing ganté bat mollement sur le dos de l’attaquante, et l'autre main gantée ne peut même pas se glisser là où il faut... Enfin, il émet un cri qui va en croissant et devient un hurlement de bête blessée! C’est une dernière défense de tout animal de chasse pour effrayer les prédateurs, mais Frique devenue tigresse blessée ne lâche pas sa prise, continue à broyer se tournant à demi, et s’agenouillant lentement. Elle tourne sa tête et plonge son regard féroce dans les yeux inondés de larmes de Vincent. - À genoux, espèce de salaud... À genoux!... (Et comme il essaie un swing de gauche au visage, elle lui crie.) Arrête où je te les arrache! Vite, enfant de putain!... Elle tire sur le paquet plein, et broie encore plus fort, pour se faire obéir, en augmentant sa puissance lorsqu’elle est agenouillée. Son cri à lui est devenu un halètement sourd qui marque encore plus sa souffrance. Il tombe à genoux, blotti contre les épaules de Frédérique, les inondant de larmes, ses bras contre les côtes de la fille, poings gantés appuyés faiblement sur le tapis. Frédérique vérifie les résultats de son travail de contrôle sur la bourse ou “son homme” garde ses bijoux de famille... - Tu es folle, Frédérique! Lâche-moi, tu me fais trop mal! - Ta gueule pauvre con! Tais-toi! - Mais Frique, tu as perdu la tête! Je vais être malade, je ne pourrais plus te faire l’amour... - Ferme ta gueule! Je peux choisir tous les mecs du pays, et tu pourras baiser avec ton “saint Bernard”! - Mais Frique... Et comme Vincent dans ses sanglots a des hoquets de douleur, elle ajoute: - Ne dégueule pas sur moi, compris? Écoute. Frédérique s’est rendu compte que Sandrine est engagé dans un combat au sol à coups de poing avec Bernard, et que son adversaire est en train de dominer le garçon... Frédérique rend sa pression plus légère sur les couilles de son amant, mais pas suffisamment pour qu’il se libère. - D'abord, tu vois que je te fais du bien, je te soulage, tu sens que ta bite est moins raide, dans une minute, tu ne vas plus bander! Ensuite quand je vais te lâcher, tu vas finir Sandrine pour moi, n'oublie pas que je me bats pour toi, alors à toi l’honneur de l’achever!... Enfin quand tu l’auras mise à plat et rendue, tu pourras la baiser tant que tu voudras... Si tu le peux encore!... Mais maintenant tu vas me demander pardon, gentiment, et tu vas promettre de ne plus être méchant avec moi. Allez, vas-y!... Dis-le... Dis, «Pardonne-moi Frédérique, je te promets d’être toujours sage et obéissant avec toi.» Répète! - Je te promets d’être sage avec... - Non! Dis tout! «Pardonne-moi Frédérique, je te promets d’être toujours sage et obéissant avec toi.» Répète! - Pardonne-moi Frédérique, je te promets d’être sage avec toi. - Recommence, et fais attention! «Pardonne-moi Frédérique, je te promets d’être toujours sage et obéissant avec toi.» Répète encore! - Pardonne-moi Frédérique, je te promets d’être toujours sage et obéissant avec toi. Alors, Frédérique finit par lâcher sa prise. Elle se tourne vers lui, lui caresse la bite en lui donnant un léger baiser sur les lèvres gonflées. - Regarde ta queue, tu vois! C'est, bien n’est-ce pas? Tu es encore gonflé mais tout mou... Alors, vas-y. Sandrine est à toi!... +++++++++++++++++++++++++++++++++ Lorsque Sandrine a vu Vincent se ruer sur Frédérique pour l’attaquer, elle a été envahie par une folle espérance, celle de voir la jeune fille sortir le garçon de sa vie, ou bien encore de voir Vincent s’éloigner d’elle après une attaque aussi brutale et vicieuse. Lorsque Sandrine a vu que Bernard, par son inertie à dégager le terrain, mettait Frédérique en difficulté, un sentiment de révolte l’a envahie. Et puis le sourire niais de son équipier durant la tournure prise par les événements l’a submergé de colère. Alors, Sandrine, elle aussi s’est ruée sur Bernard qui toujours assis sur ses talons, est assailli par une volée de coups de poing et de coups de pieds. Mais le garçon réagit très vite, il enserre la taille de son agresseuse, croisant ses poings gantés dans le dos de la fille et en se levant, il la bascule sur le dos et s’écrase sur elle. Une courte lutte s’engage au sol, Sandrine cherchant à prendre la position supérieure, mais Bernard ne lui laisse aucune chance. Il utilise à son avantage les différents mouvements et réactions de la fille pour finir par la bloquer allongée au sol, les deux bras le long du corps bloqués entre les cuisses du grand brun qui est à cheval sur son ventre. Alors, Bernard, sans tenir compte des coups de genoux que la petite lutteuse lui donne dans le dos, commence un massacre de la forte poitrine. Il pose son poing gauche ganté sur le sternum de la fille pour lui réduire la respiration et de son poing droit en larges swings, il remonte sur le côté la masse du sein gauche, et massacre avec des coups du haut en bas la masse du sein droit, l’écrasant contre les côtes. Après plusieurs coups, il change de poing et répète le même mouvement en changeant ses poings. Après l’abattage que les filles se sont donné précédemment, la poitrine de Sandrine, prise dans les bonnets du soutien-gorge est devenue une volumineuse paire d’outres informe! La fille hurle de douleur en gigotant dans tous les sens, mais elle reste incapable de se défendre. Au-dessus de ses cris, on entend le “floc” glauque du poing qui s’écrase, qui concasse tout l’intérieur, la masse graisseuse et surtout les glandes et les tubules mammaires. La voyant incapable de réaction, le garçon défait ses grands cheveux aplatis de sueur, avec un fort mouvement de sa tête, et arrête son travail sur le punching-ball féminin. On dirait que le frottement de son sexe avec la forêt pubienne de sa victime a excité l’homosexuel musculeux, car sa fine et longue hampe est en pleine érection, mais c’est juste l’image de souffrance qui a allumé en lui sa libido sadique. Il tourne la jeune femme sur le ventre, lui écarte les jambes et, avec ses poings gantés, il écarte les deux magnifiques globes des fesses. D’un pouce de gant, il caresse la rosette du trou du cul et d’un choc violent fait pénétrer moitié de sa verge dans le fragile orifice! Le hurlement sauvage de bête blessée poussé par Sandrine stoppe Frédérique qui marchait vers les cordes. La grande fille d’un coup d’oeil a jugé la situation critique de sa rivale, sous l’assaut vicieux de Bernard. Alors, elle change d’avis, et elle se précipite sur le grand garçon, en criant à Vincent de nouveaux ordres. - Vincent, tu dois m’obéir!... Commence donc par finir ce salaud, après tu auras Sandrine! D’une main gantée de cuir et l’autre nue dans la mitaine, elle s’empare de la tête de Bernard, qu’elle tire en arrière par les cheveux, pour l’arracher à sa proie, au même temps qu’elle grogne des injures. - Crasseux! Saleté! Crapule! Dégueulasse! Pédé! Il faudrait te couper les couilles... Ce disant, elle enfonce le pouce de son gant dans l’oeil gauche du jeune homme surpris et bandant, et lui griffe de ses doigts nus toute l’orbite droite. - À toi Vincent, tue-le! Vas-y, que la bête crève!... Vincent se relance à l’assaut comme un chien de garde aveuglé par la présence d’un intrus chez son maître. Bernard se tient mal sur ses jambes, momentanément aveuglé par l’attaque de Frédérique... Frédérique s’approche de Sandrine, lentement, en enlevant son dernier gant. Sandrine pleurniche de douleur, de ses seins battus et de ses reins embrochés. Alors... Haine du mâle au profit de la solidarité féminine? Estime enfouie au tréfonds de la mémoire animale qui resurgit et dépasse un moment la rivalité et l’orgueil de la femme civilisée? Ou tout simplement parce que leur combat a dépassé la ligne rouge?... C’est avec douceur que Frédérique prend les épaules de Sandrine, pour la consoler, soulager, materner son ennemie! Aux pieds de leurs pères, toujours en rut, elle retrouve les serviettes, de l’eau et le flacon d’huile de Bernard. Alors, elle soigne Sandrine, enlève son soutien- gorge, oint les meurtrissures, la soulage avec tendresse et eau fraîche, et ses doigts nus... Les caresses deviennent de plus en plus tendres et soulageantes, on dirait même langoureuses. Puis, ce sont ses lèvres qui viennent embrasser les blessures d’abord, et puis... Le sexe tendre et gonflé au milieu de l’abondante pilosité visqueuse, et l’anneau meurtri de l’anus, faisant trembler Sandrine tout entière! Progressivement, les deux filles se sont glissé sur le tapis, maintenant disposées tête-bêche, et elles se lancent dans une fellation symétrique. Le combat à mort pour la possession de Vincent est bien loin! C’est le combat visant la petite mort qu’elles cherchent de leurs langues à l’assaut des vulves, de leurs langues dardant dans les sexes béants... C’est la petite mort qu’elles se donnent, pour assouvir ce désir commun immodéré, une sorte de communion sexuelle... Frédérique qui s’est allongée à plat ventre sur Sandrine se soulève en entendant les plaintes de celle-ci qui ne peut supporter le poids du corps sur ses seins. Elle se met à genoux, jambes et cuisses très écartées au-dessus du buste de l’autre. Puis, elle s'assied au delà de la tête de Sandrine, et la libère de ses deux gants de boxe. Sandrine, allongée sur son dos ramène ses pieds à plat sur le tapis, en pliant un peu ses genoux qu’elle écarte au maximum de ses possibilités, offrant tout son entrejambes à l’appétit de sa jeune... rivale? copine?! Frédérique écrase ses seins sur le ventre de Sandrine, en gémissant... De douleur? de plaisir?! Et plonge sa tête de nouveau dans la fourche ouverte. De ses doigts libérés, elle fouille dans la vulve offerte, écarte les longs poils gluants de sucs et de sueur, elle déplie et lisse les pétales du vagin, ouvre l’antre secret déjà comblé d’une liqueur âcre et acide et lance sa langue et ses lèvres à l’assaut de l’intérieur de la gangue. Avec frénésie, avec voracité, elle lèche, suce, mordille, englue de salive et absorbe la “sauce” chaude que Sandrine répand de ses lèvres secrètes, tandis que son bassin se démène, se trémousse sous la caresse savante. Sandrine est moins à l’aise, elle s’accroche aux reins de Frédérique pour se soulever, atteindre la grotte écumante qui dégouline au-dessus de son visage, mais elle fatigue rapidement et la souffrance de ses seins l’empêche de se lancer à fond pour rendre les caresses de qualité à sa grande rivale. Elle a un peu honte, car à ce moment elle veut donner du plaisir à sa rivale? complice?!... Frédérique a trouvé le clitoris de la petite lutteuse, elle le titille de la langue, le fait vibrer avec la pointe de sa langue, l’enroule, le décalotte, le pousse, l’écrase et l’aide à plus s’étirer. Puis, d’une main maladroite, elle happe avec ses lèvres, le mordillant, le suçant, l’aspirant... Jusqu'à ce qu’elle ne puisse plus contenir les ondulations du bassin de Sandrine qui s’accompagnent de grandes saccades et de puissants soubresauts, les bras ouverts en croix sur le tapis, hurlant fort son plaisir! Obligée de lâcher sa proie, Frédérique relève sa tête, ce qui lui permet de contempler juste de l’autre côté des cordes du ring, à deux mètres sur les matelas, installées de profil, sa mère et celle de Sandrine, accouplées dans une prise sexuelle aussi symétrique que celle des jeunes filles. Mais les femmes mûres sont allongées à coté l’une de l’autre, les mains enfouies dans le ventre de son adversaire, pistonnant deux out trois doigts dans la vulve de l’autre d’une rapidité surprenante. Leurs ventres et leurs seins tressautent, agités de cette attaque qui les fait elles aussi, soupirer, gémir, grogner, et crier des syllabes sans suite!... (*) Elle vit Bernard, le visage couvert de sang, plié en deux, marchant à petits pas, et les mains couvrant ses couilles, se diriger vers le vestiaire. Vincent avait un sourire rieur sur ses lèvres éclatées et suintants de sang, et restait affalé contre un des postes du ring, mais sa verge était à nouveau dressée vers le plafond, et il se caressait l’intérieur des cuisses. Les deux pères étaient nus tous les deux, presque mous, mais entre leurs pieds on pourrait apercevoir deux petits lacs de sperme!... Ils regardaient maintenant leurs femmes d’un air hagard... À la fois, fouaillée par l’orgasme royal de Sandrine et excité par ce tableau érotique, licencieux, Frédérique est traversé par une nouvelle idée! Ses propres besoins de jouissance inassouvie, la vue du godemiché de Sandrine imitant deux phallus opposés, tombé près du sac sous les cordes, lui font revoir en un éclair le jour où, en déplacement pour un triathlon, elle était logée avec Sandrine dans une famille d’accueil. Elle revoit le sous-sol, la petite salle de gym, le sauna et le jacuzzi. Et surtout elle revit en un court instant le moment passé avec Sandrine dans l’eau bouillonnante, en se donnant des gifles amicales, se taquinant comme des petites filles qu’elles n’étaient plus... Et puis le moment où Sandrine s’étire et lui montre le dildo double caché sous une serviette de bain, et le manoeuvre dans sa vulve, l’invitant de ses yeux à prendre l’autre bout du jouet d’adulte! Elle s’approche sous les jets chauds du jacuzzi et présente son ventre bombé à Sandrine, qui se positionne pour que l’introduction du second dildo ne lui fasse pas trop de mal. Leurs cuisses écartées se frôlant, leur accouplement, en se baisant dans la bouche pour étouffer leurs gémissements, la brûlure dans son vagin à elle, le plaisir montant, roulant, gonflant en elle et explosant dans une vague de chaleur, bien plus chaude que l’eau du jacuzzi qu’elle ne sentait plus! Alors, Frédérique se relève, s’agenouille près du visage de Sandrine et elle lui propose la paix à mi-voix. - Sandrine, ton dildo, veux-tu? Gentiment, toutes les deux?... Sandrine ouvre les yeux, séchant les dernières larmes, la regardant bien dans les yeux. Elle répond, soulagée: - Oui, Frique, oh oui, donne-le moi! La fille haute va chercher la bite artificielle à deux verges symétriques, en évitant de souiller sa main sous une morve de sperme qui pend d’une corde du ring. Sa main était prise de convulsions lubriques, et Denise la chevauchait se caressant les seins. Apparemment, Mireille avait été “vaincue” la première... Revenue près de Sandrine toujours allongée sur le dos, jambes et cuisses bien écartées, Frédérique caresse les lèvres vaginales offertes avec une des têtes du dildo et douce mais implacablement l’enfonce dans le vagin, lui donnant un mouvement de vis. Les gémissements de satisfaction de Sandrine sont une musique merveilleuse aux oreilles de Frédérique qui se sent couler avec abondance. Alors, impatiente, elle s’allonge à son tour sur le dos, présentant son vagin bouillant face à la seconde tête, glissant une cuisse dessous et une cuisse dessus celle de l’autre, et s’empale, poussant douce, mais puis violemment son corps vers celui de Sandrine, s’empalant d’un seul coup. Le coup lui semble énorme et froid, mais il l’emplit merveilleusement. Alors comme Sandrine commence à agiter son bassin, l’avançant et le reculant et le tournant de gauche à droite, Frédérique prend son rythme, calquant sur elle des passages de retenue du dildo, et d’autres où elle le laisse librement aller en elle, pour le retenir à nouveau. Les deux pères se sont allongés à côté de leurs femmes respectives, et ils sont en train d’essuyer la sueur de leurs corps avec la langue, ce qui divertit les femmes, et les réchauffe pour une nouvelle partouze. (*) Vincent, après avoir essuyé ses blessures dans une serviette, s’approche des filles dans le ring. - Frédérique... Tu triches encore, où tu me laisses Sandrine? À suivre… Frédérique 12 - “Branle bas le combat” entre Frédérique et Sandrine. (*) Ceux qui aimeraient suivre le combat des deux mères tellement apprécié par leurs maris, ont tort. L’auteur ne l’a pas développé au cours de cette saga de “Frédérique”. Mais la bonne nouvelle est que l’Ange Païen a écrit (au moins) trois longs chapitres d’une narrative séparée, dédiés à ces deux femmes mûres, encore fortes et brûlantes d’adrénaline et d’érotisme. On dirait donc de Mireille et Denise, «Telles filles, telles mères!» Il se peut que vous trouverez ces récits dans quelques semaines, sur ce site virtuel si accueillant de Diane the Valkyrie sous la désignation générique de “Mireille”. © Ange Païen 1996.06.19 © Édition de Raf, 1996