Frédérique, chapitre 10 par l’Ange Païen Duel nu: Pancrace 2 contre 2 (Frique humiliée par Sandrine, Vincent sodomisé par Bernard) Chacun à côté de sa partenaire, entre le mur et les cordes, les deux garçons se sont dévêtus complètement et, comme les filles, ont mis des chaussures de lutte, bleus pour Vincent et jaunes pour Bernard. Vincent va avoir ses 18 ans dans deux semaines, c’est un garçon blond, athlétique, qui mesure 1.68m et pèse 64 kg. Il possède un visage ovale animé par des yeux bleu vert au regard franc avec une expression volontaire et déterminée. Son torse puissant, ses bras aux biceps noueux et ses cuisses épaisses, il les doit à la natation et au tennis. Sans doute aussi à la lutte qu’il pratique maintenant contre des filles, aux côtés de Frédérique. Bernard, étudiant comme Vincent, est âgé de 19 ans, il mesure 1.72m et pèse 63 kg. C’est un grand brun aux yeux marron, à la peau très bronzée mais très lisse où, en dehors du pubis, aucun poil n’apparaît. Sa musculature est plus fine que celle de Vincent, il pratique la lutte en compétition au niveau universitaire et fait de l’aérobic. Il a une petite tête, à moins que ce soit sa chevelure abondante qui lui descend sur les épaules qui lui mange le visage et lui donne cet aspect. Les yeux en amande, le nez petit et la bouche aux lèvres charnues font que son visage associé à son corps élancé et finement musclé lui confèrent les caractéristiques d’un bel et attrayant éphèbe. Bien qu’étant quinze mois plus jeune, Vincent a une allure beaucoup plus adulte, plus virile et plus forte. Mais il doit se méfier, car Mireille a précisé que, lors de l’organisation de cette rencontre, Denise, la mère de Sandrine, a indiqué que le garçon qu’elle a choisi comme partenaire pour sa fille, est pratiquement imbattable! Denise aurait même ajouté qu’il est étonnant de trouver autant de vice et de méchanceté chez un être aussi avenant et plein de délicatesse dans la vie courante. Une fois prêts, Vincent et Frédérique se sont souhaité bonne chance et se sont donné un bref baiser sur la bouche, après quoi Frédérique a bondi dans le ring par dessus les cordes. Bernard et Sandrine ne se sont pas souciées l’un de l’autre et la fille s’est glissée entre les cordes sans un regard vers son partenaire. Après un rapide regard à son adversaire que, comme lui, avait pris appui de ses avant-bras sur la première corde du ring, pour connaître sa nudité, Vincent a porté son attention vers les deux filles tournant précautionneusement à l’intérieur du ring. Hormis les chaussures, bleues à petites tiges pour Frédérique, plus montantes en noir, comme les bottes de catcheuse pour Sandrine, les deux adversaires sont nues. Depuis leur combat du mercredi 8 Mars, elles ont évolué morphologiquement. L’une comme l’autre ont grandi de deux centimètres. Frédérique a conservé le même poids, pour 1.72m elle pèse 63 kg, et Sandrine qui mesure 1.62m est descendue à 63 kg également. Elles se sont affinées. Frédérique est toutefois devenue plus femme, ses seins se sont développés et ses hanches se sont élargies. En contrepartie, ses muscles sont devenus moins gros, ils semblent pourtant toujours aussi puissants parce qu’ils sont plus secs. Sandrine de son côté a trouvé une taille plus fine qui met encore plus en évidence l’ampleur de son bassin, mais ses hanches sont un peu plus osseuses. À l'évidence, elle a perdu de la graisse et fortifié ses muscles. Elle a toujours son aspect rondouillard mais elle n’est plus la boule qu’elle était, il y a 6 ou 7 mois avant! Ses fesses se sont affermies ce qui lui donne un beau cul bien rond, très désirable. Le cul de Frédérique est tout aussi désirable, plus petit, fait comme deux gros melons, très proéminent et très cambré, il est aussi animé de muscles que les biceps! Sandrine a deux seins opulents, bien galbés, avec deux mamelons courts mais épais, dressés vers le haut. Frédérique est dotée de deux ogives horizontales, ornées de jolis tétons comme deux petits tubes longs et durs. La peau de Sandrine est blanche et mate ornée de fins poils noirs sur les avant bras et les jambes, celle de Frédérique est velouté par un très léger duvet visible seulement à contre-jour et bien bronzée. Frédérique a abandonné sa jolie natte, sa chevelure est coupée au-dessus des épaules et forme de courtes vagues ondulantes autour de son visage qui a conservé son ovale, mais les joues se sont creusées et font ressortir le saillant des pommettes. Sandrine a conservé ses longs cheveux lisses qui lui descendent jusqu’au bas du dos, elle les a réunis avec un noeud de tissu élastique, dégageant ainsi son visage rond au menton épais et au nez busqué. Autant, le visage de Frédérique est avenant, autant celui de Sandrine est ingrat! On s’attendait à la ruée de deux fauves se lançant dans un combat à outrance où la violence et la bestialité seraient sans limite. C’est une erreur. Une fois dans le ring les deux ennemies, en longeant les cordes, entament un mouvement tournant dans le sens contraire des aiguilles d’une montre en s’épiant avec un regard de côté. Après avoir effectué presque un tour et demi elles s’affrontent, immobiles, face-à-face, ramassées sur elles-mêmes, jambes légèrement fléchies, bras pliés, mains ouvertes, tous les muscles tendus. Imperceptiblement, elles s’approchent l’une de l’autre par de très légers mouvements en avant, les bras s’allongeant vers l’adversaire. Qu’elle belle allégorie d’Amazones en combat! La vision des filles, dans leurs bottines guerrières que les protègent les pieds fragiles mais sont des dangereuses armes d’attaque contre leurs corps nus et sans défense, fortes et musclées, une seconde avant leur premier engagement... excite déjà Vincent. Sandrine est la proche de lui. La presque laideur de son abondante pilosité exacerbe sa sexualité. Il ressent cette chaleur qui descend dans son sexe, crispant son anus. Alors qu’il a posé son pied gauche sur la corde du bas, il sent ses couilles remonter sur sa cuisse et le sang affluer à son pénis!... Et comme les deux filles se lancent à l’assaut de la tête de l’adversaire en levant haut les bras, il voit la touffe de poils noirs qui assombrit l’aisselle droite de la petite lutteuse, ajoutant un nouvel afflux dilatateur dans sa verge, qui s’étend contre sa cuisse!... Subitement, simultanément, c’est la charge! Frédérique bénéficie de sa plus grande taille pour atteindre son but et assurer un collier bien bloqué autour du bas de la tête de Sandrine. Celle-ci doit se contenter d’enserrer la taille de Frédérique. Elles se sont penchées en avant, Sandrine courbée en deux sous l’épaule de Frédérique qui avançant son pied devant ceux de son adversaire se bascule en avant avec un effet de hanches pour tomber au sol sur elle en bloquant sa prise. Sandrine est sur le dos avec Frédérique à plat sur elle, le torse un peu de biais, forçant de toute la puissance de ses bras pour écraser la tête qu’elle enserre. Sandrine se rend compte que sa prise de bras autour de la poitrine de Frédérique ne peut guère la libérer. Elle cherche à obtenir un ciseau de jambes, mais Frédérique a une de ses jambes entre ses cuisses, alors Sandrine active sa jambe coincée pour la glisser sous celle de Frédérique et se libérer. C’est un très beau combat de jambes auquel se livrent les deux filles pendant un long moment. Frédérique qui assure toujours sa prise de tête a des réactions rapides lorsqu’elle sent le pied de Sandrine prêt à se dégager. Elle lance violemment sa jambe vers l’extérieur pour reprendre celle de l’autre. C’est une suite de claquements de jambes sur le tapis qui ponctue leurs efforts. Sandrine simultanément agite son torse et son bassin dans des contorsions sur le côté. Son bras supérieur a gagné de l’aptitude à l’attaque et sa main finit par trouver une prise dans la chevelure de Frédérique qu’elle s’empresse de tirer en arrière. La conjugaison de tous ses efforts lui permet d’aboutir à un ciseau de jambes juste à la ceinture de son adversaire. Tirant toujours sur les cheveux et roulant son corps sous celui de Frédérique, elle réussit à la mettre presque sur le dos. Frédérique sent un danger, dans un effort elle prolonge le retournement engagé par Sandrine et la ramène sur le dos. Elle paye son mouvement au prix de la perte de sa prise de tête et se retrouve à genoux, la taille enserrée dans les cuisses de Sandrine qui n’a pas lâché la prise de cheveux et a amené le front de Frédérique sur sa poitrine. En réalité, elles offrent un beau spectacle de lutte classique. Ce n’est pas le genre de combat attendu, bien fair-play pour un duel! Le spectacle d’un combat féminin comme celui qui s’organise en ce moment dans le ring, est l’objectif principal de la libido de Vincent. Est-ce l’effet de quelques jours d’abstinence sexuelle? Toujours est-il qu’aujourd’hui ses réflexes sont particulièrement rapides, contrairement au combat lent et prudent que les filles livrent jusqu’à présent. Tous les éléments de cet affrontement permettent au garçon d’apprécier la musculature, les cuisses, les membres, sollicités dans les efforts, tantôt tendus, tantôt écrasés par ceux de l’adversaire. Et ce n’est pas que sportivement que Vincent prend plaisir au spectacle. C’est aussi sexuellement. La vue des seins, des fesses bandées, des vulves exposées, dont les vagins s’entrouvrent sur des chairs roses affriolantes de tendreté... fait que le pénis de Vincent gonfle, se tend, se dresse, que le gland se dégage du prépuce turgescent et vibrant, battant contre la cuisse gauche, témoignant de son état d’excitation à un autre combat!... Frédérique amène son avant-bras droit par dessus sa poitrine pour presser sur le cou de Sandrine pour étouffer et avoir un point d’appui pour libérer sa tête que Sandrine vient, en plus de sa prise de cheveux, de saisir à la nuque avec son autre main. La combinaison d’étouffement et de saccades de son buste permet à Frédérique de dégager sa tête. Sandrine empoigne l’avant-bras qui la presse et lâche son ciseau en repliant ses jambes pour appliquer ses genoux sur la poitrine de Frédérique et la repousser. Mais au contraire, Frédérique s’écrase sur son adversaire, repoussant les genoux sur le côté... Mais Sandrine à son tour s’empare de sa tête! Sandrine se tourne à plat ventre entraînant, par son collier de tête, Frédérique par dessus elle. Cette fausse manoeuvre permet à l’amie de Vincent de se dégager et de se relever, suivie par Sandrine. Revenues debout les deux adversaires reprennent leur souffle en se surveillant et Sandrine repart à l’attaque. Cette fois en se penchant en avant elle tente de saisir Frédérique par une cuisse après l’avoir brutalement repoussée par une violente poussée des deux mains pour déséquilibrer Frédérique, qui elle l’a enlacée au niveau de la poitrine, de l’arrière. Il s’ensuit que leur assemblage se déséquilibre sous la poussée de Sandrine, et Frédérique sautillante sur un pied se retrouve appuyé le dos dans les cordes. Mais avec l’appui des cordes, elle lève également son pied gauche, et passe un ciseau à la ceinture de Sandrine! Leur pyramide s’écroule au tapis. Elles se retrouvent au sol, très près des cordes, Frédérique sur le dos avec Sandrine face à elle dans son ciseau. Sandrine réussit à se tourner immédiatement sur le côté dans le ciseau, dos au sol, amenant Frédérique sur son côté gauche, frôlant les jambes de Bernard. Vincent s’aperçoit que l’autre jeune homme est aussi en érection, puis, son regarde se recentre sur les deux filles emmêlées. S’il avait porté ses yeux plus haut, vers le visage de Bernard, il aurait été surpris de voir que le garçon le regardait plus attentivement que le combat dans le ring... Sandrine se débat dans le ciseau, repoussant de ses deux mains le genou et la cuisse droite de Frédérique. Elle fait le pont, épaules et pieds au sol, soulevant tout le bas du corps de Frédérique dont la prise glisse sur les fesses et le bas-ventre de Sandrine. Celle-ci se laisse tomber brutalement, écrasant la cuisse gauche de Frédérique sous ses fesses. Elle répète ce mouvement plusieurs fois. Frédérique s’empare alors du bras droit de l’adversaire qu’elle tend vers elle, et qu’elle vrille en tournant le poignet à deux mains. En même temps, elle utilise à son profit les montées en pont de Sandrine pour relâcher son ciseau et le réglisse sur la ceinture de l’autre fille, malgré la poussée de la main gauche de Sandrine sur son genou. Sandrine commence à grimacer de douleur comme Frédérique tend ses jambes pour accroître la pression de ses cuisses sur son abdomen. Les yeux fermés serrés, la mâchoire ouverte mais contractée, les mouvements de sa tête, tout son faciès exprime la souffrance qu’elle subit. Elle s’agite dans le ciseau, réussit à se tourner face à son ennemie... Secouant son corps, bondissant, elle réussit à nouveau à faire glisser la prise sur ses hanches et à libérer ses bras. Elle finit à la suite de longs efforts à se mettre à genoux mais le ciseau est revenu écraser sa taille. Frédérique est sur le dos. Sandrine lève ses bras, joint ses deux et les descend violemment en coup de hache sur le ventre de son adversaire. Mais les abdominaux tendus de Frédérique sont un bouclier d’acier. Sandrine se penche en avant et envoie ses mains à l’attaque des seins de la fille de Mireille, qui saisit les poignets de l’assaillante pour les repousser. Ses bras maintenus par Frédérique, Sandrine se met debout. Elle est trop petite pour passer par dessus l’autre, mais elle voit la proximité des cordes, alors en reculant elle traîne Frédérique avec elle, libère son bras gauche qu’elle envoie derrière elle saisir la corde du haut ce qui facilite sa manoeuvre. Craignant de se retrouver prise dans les cordes, Frédérique lâche son ciseau, roule rapidement sur elle-même pour s’éloigner et se relever. Libérée, Sandrine s’adosse aux cordes pour reprendre souffle. Bernard l’approche et tape sa main. Elle accepte de lui céder sa place dans le ring. Frédérique hausse ses épaules, et glisse aussi vers l’extérieur du ring. Vincent examine plus attentivement l’adversaire qui vient à sa rencontre. Les yeux de Bernard brillent dans la fente des paupières, sous des sourcils froncés. Ses lèvres sont serrées sur une mâchoire bloquée. Sa physionomie a pris un aspect d’une grande dureté, presque cruel. Son corps a déjà pris la position à demi pliée du lutteur, épaules remontées, bras pliés aux coudes, mains tendues ouvertes, muscles du torse contractés, mobiles sous la peau très bronzée. Alors que le regard de Vincent, tout comme sa attention est totalement concentrée sure Bernard le lutteur, il a conscience de sa détente sexuelle au profit de cette concentration pour le combat. D’un coup d’oeil vers le bas-ventre de l’adversaire il note que chez lui l’excitation sexuelle n'a pas retombé, et au contraire, son pénis est en pleine érection, une verge plus longue et plus fine que la sienne, dont le gland turgescent semble presque pointu. Ce que Vincent ignore à ce moment-là, c’est que c’est lui qui est la cause de cette émotion sexuelle, c’est la vue de son sexe viril et l’anticipation de leurs corps à corps qui a provoqué l’érection de Bernard, aussi totale et vibrante que celle de Vincent il y a une minute. L’inspection de Vincent est brusquement interrompue par l’attaque de Bernard qui se rue en avant, lançant pour feinter une série de fausses prises de bras, prouvant une grande technique d’attaque. Puis rapidement, comme dans un glissement il se trouve derrière Vincent, le saisit à la ceinture, le soulève du sol et se laissant tomber en arrière, réussit une souplesse arrière du meilleur effet. Seulement, Vincent a acquis suffisamment d’expérience pour se libérer en se cambrant et en reculant sur le côté. Les filles les regardent un moment, en se reposant et en reprenant leur respiration. Leurs corps sont maintenant couverts de sueur. Sandrine repousse en arrière ses longs cheveux mouillés, et a un sourire moqueur, mais très appuyé, vers le ventre de Vincent quand il se défend en pont. C’est alors, quand les jeunes hommes se retrouvent à quatre pattes pour se relever, que Bernard saute à cheval sur le dos de Vincent, encerclant sa taille entre ses cuisses et empoignant ses cheveux à deux mains. Bien qu’ils soient coupés plus courts que ceux de son adversaire, les cheveux de Vincent sont suffisamment longs pour permettre une bonne prise, ce que Bernard réalise avec efficacité. Appuyant de tout son poids sur Vincent, le jeune homme brun tente de lui plier les bras, tandis qu’il tente, par de violentes secousses sur la chevelure, de cogner la tête blonde contre le sol. Vincent a mis toute sa volonté dans ses bras qu’il tient raides. Toutefois, les secousses répétées de Bernard finissent par déséquilibrer leur assemblage et les deux antagonistes se retrouvent au sol. Bernard est sur le dos avec Vincent allongé le dos sur sa poitrine. Bernard a conservé son ciseau à la ceinture de Vincent et il l’a bloquée en croisant ses chevilles. Maintenant, il a lâché les cheveux et ses deux mains sont sous le menton du blond et elles tirent la tête en arrière de toute la puissance des bras. Vincent tente de se libérer, il lance dans l’air ses jambes et son bassin et aussi de gauche à droite, sans succès. Il prend appui sur ses talons pour se soulever, mais cela ne fait que permettre à Bernard de mieux assurer son ciseau et de l’écraser d’avantage sur le ventre du promis de Frédérique. Avec ses mains, Vincent essaye de déplacer les mains de Bernard, alors celui-ci modifie leur position et il croche ses doigts sous la mâchoire de sa proie. Les doigts s’enfoncent alors sous la base de la langue, dans les glandes salivaires, et c’est très douloureux. La tête de Vincent est totalement immobilisée, les cervicales sont élinguées, travaillées à l’étirement, et la douleur devient rapidement intolérable! Vincent doit coûte que coûte se libérer. Ses mains n’ont accès qu’aux mains et aux genoux de son adversaire, sur le côté il ne lui est possible que de donner de faibles coups dans les côtes ou les cuisses. À la transpiration due à la chaleur et aux efforts, Vincent mêle une suée de peur!... Ses mains reviennent à l’assaut des mains qui lui arrachent la vie, il n’a plus aucun sentiment de fair-play, il réussit à glisser ses doigts sous le petit doigt de la main droite de Bernard, alors sans aucun scrupule il le tire en arrière, s’aidant de sa main gauche il empoigne à pleine main cet auriculaire peu puissant et de toute sa force il le tire en arrière. Ignorant le brusque cri de douleur de son adversaire il continue à tordre sans aucune hésitation et sans souci de le déboîter ou le casser. La façon peu orthodoxe dont Bernard lui a saisi la jugulaire semble avoir donné à Vincent toute liberté sur les techniques de défense. Bernard a relâché ses prises de mains et son ciseau, mais ses cris de douleur n’arrêtent pas Vincent... Il veut être totalement délivré de son adversaire avant de lâcher! C’est au moment où il croit entendre un craquement que Bernard, ruant de tous ses membres, repousse le garçon plus jeune loin de lui. Vincent se relève rapidement en faisant des mouvements d’assouplissements de son cou meurtri et douloureux. - Canaille! Salaud! - lui lance Sandrine de derrière les cordes, tandis que Frédérique garde son air digne. Bernard s’est agenouillé au centre du ring, tenant sa main droite dans sa main gauche, et de ses doigts massant son petit doigt. Ses yeux sont brouillés de larmes de souffrance. Et en se relevant il a un rictus mauvais de vengeance. Il se recule jusqu’aux cordes où il attend l’assaut de Vincent, refusant d’accepter de changer de place avec Sandrine. Lorsque le blond s’avance pour le saisir en sautant vers sa tête, Bernard le reçoit avec un coup de genou à destination du sexe. Heureusement pour Vincent, sa jambe droite va en avant et légèrement levée. Le coup arrive ainsi atténué, la rotule de Bernard s’enfonçant dans les muscles de l’intérieur du haut de la cuisse gauche, touchant quand même le testicule gauche, au lieu d’écraser le scrotum. Le coup est suffisamment douloureux pour faire vaciller Vincent, qui recule rapidement. Alors Bernard le poursuit lui lançant des coups de poings du gauche à destination de la tête, dont la plupart sont déviés par les avant-bras repliés de Vincent, et des coups de pied hauts, dont tous vont meurtrir les cuisses du blond. Mais la rapidité de l’attaque tracasse Vincent, et le garçon brun voit enfin l’ouverture propice pour envoyer un violent coup de pied dans les parties génitales du blond qui, cette fois, a ses couilles pratiquement broyées par le bout de la chaussure du pied droit qui l’atteint! Le cri aigu de Frédérique et le rire salace de Sandrine recouvrent un moment le gargouillement de plaintes de Vincent, effondré à genoux, puis assis sur ses talons avant de se coucher doucement sur le côté dans la position foetale, ses deux mains en coupelles protégeant et essayant de soulager ses testicules meurtris. Laissant son ennemi à terre, Bernard repasse sous les cordes. Frédérique va entrer dans le ring, quand Sandrine lui crie: - Attends, ma mignonne! Bernard n’est pas finit avec ton mec. Vincent ne t’a pas tapé la main, comme convenu. C’est vous qui avez dicté les règles! Si le regard de Frédérique pouvait tuer, l’équipe de Bernard et Sandrine serait de moins un à ce moment-là! Mais Frédérique rentre dans les cordes, regardant ce qui fait Bernard. Bernard avait pris dans son sac une bande dont il enroule sa paume de main et son petit doigt avec l’annulaire. Il prend alors une bouteille d’un genre d’onguent huileux dont il s’enduit tout le bas ventre et particulièrement son pénis qui, comme celui de Vincent, a perdu sa rigidité du début du combat, bien que restant encore gorgé et gonflé. Retraversant la barrière des cordes, le lutteur brun se précipite sur son rival, qui est à genoux, massant son sexe, tournant le dos au coin de ses adversaires. Trop humilié pour leur laisser voir son visage angoissé? Ruse? Prémonition? Toujours est-il qu’au moment où Bernard va se saisir de sa tête, avant que Frédérique puisse lui crier de faire attention, Vincent se lève, cognant son épaule contre la poitrine du garçon brun et l’empoignant le bras droit par surprise, simultanément au poignet et au coude et se laissant tomber sur le côté, entraînant Bernard au tapis en un bras roulé parfait. La trêve écoulée a permis aux deux hommes de retrouver leur aptitude au combat... Alors là, au sol, les deux adversaires se livrent à un assaut de lutte presque classique, prenant tour à tour le dessus. C’est un enchaînement de prises et contre-prises, clés aux bras, prises d’épaule, simple ou doubles, tentatives avortées de doubles Nelson, etc. Les jambes aussi jouent un rôle très actif d’écartements ou, au contraire, de blocages. C’est plus de dix minutes de lutte dure, jusqu’à ce que Vincent se trouve à plat ventre sur Bernard, qu’il tente de maintenir sur le dos, jambes et bras en croix en un “body-press”. Mais dans un tel affrontement, c’est une prise qui ne peut pas apporter grand-chose, si ce n’est permettre aux lutteurs de reprendre leur souffle et obtenir un peu de repos. Il n’y a pas d’arbitre pour compter les immobilisations de trois secondes! Et puis, comme les deux hommes sont nus, Vincent s’aperçoit que Bernard bande à nouveau, sa verge se dresse contre la sienne, et il ricane, le regardant droit dans les yeux. Alors, à la surprise de Frédérique, Vincent se lève et lui demande de rentrer au ring! Sandrine y est au même temps que Frédérique, avant même que Bernard, aux reculons, passe sous les deux cordes supérieures, les yeux vrillés dans ceux de Vincent et se masturbant carrément devant lui. Sandrine s’avance vers Frédérique qui tend ses bras vers elle mains ouvertes. Elles se repoussent mains et bras avant que Sandrine se relance dans une prise de la cuisse droite de Frédérique en se pliant en deux sur sa gauche. Comme elle va pour se redresser, Frédérique se saisit de sa tête en la serrant sous son aisselle droite et amenant son avant-bras sur sa gorge. En même temps, Frédérique lève sa jambe gauche et tend sa jambe droite embrassée par sa rivale. Elle obtient tout de suite un nouveau ciseau et dans cette prise les deux jeunes filles sont précipitées au tapis. Frédérique sur le dos et Sandrine sur elle de face. La tête de cette dernière vient cogner au sol dans la chute, et son bras droit est coincé sous la cuisse droite de la petite amie de Vincent, entre leurs ventres. Frédérique relâche son ciseau pour ne conserver que le collier de tête et utilise la réaction de Sandrine pour libérer son bras, pour l’amener sur son dos. Sandrine se trouve maintenant sur le dos, Frédérique l’écrasant de tout son corps, serrant ses cuisses de chaque côté de ses hanches, faisant saillir les quadriceps et biceps fémoral en donnant à la cuisse une épaisseur énorme! Frédérique lâche sa prise de tête, soulève légèrement son torse pour appuyer sur les épaules de Sandrine. La petite jeune fille essaie de se dégager, prenant appui sur ses pieds posés à plat, jambes repliées, elle tente de soulever son bassin, ne réussissant qu’à décoller ses fesses de quelques centimètres. Sandrine tente de libérer son bras droit en le vrillant et en le tirant par saccades. C’est alors que dans cette tempête d’efforts, d’attaques et de contre-attaques, il se produit un grand calme. Les deux filles semblent bloquées, concentrées, leur regard plongé dans celui de l’autre, elles semblent s’envoyer des messages silencieux. Seul le bras de Sandrine reste animé d’un court et rapide mouvement de va et vient, et seuls aussi les muscles des fesses de Frédérique sont animés de brèves contractions rythmées sur le mouvement du bras de son adversaire. De loin, les garçons ne peuvent pas voir, un soupçon de sourire ironique apparaît sur le visage de Sandrine, comme une crispation monte dans l’expression de Frédérique. - Salope! Petite boule de poils noirs! Putain de salope!... Chuchote Frédérique. - Ton con dégouline comme une gargouille!... Tu jouis, merde, tu jouis et tu m’insultes! Hein!... Lui répond en voix aussi basse sa rivale, comme deux petites filles d’internat, se faisant des choses la nuit. - Oh non! Pas encore, branleuse dégueulasse... Arrête, salope, arrête! - Salope toi-même! - Ça va barder, petite pisseuse, fouine! - Arrête tes grimaces et jouis, tu aimes autant que moi... Frédérique met en appui son avant-bras gauche sur la gorge de Sandrine et se redresse pour assurer une pression maximum. Sandrine en profite pour engager son bras droit plus bas et serrer la cuisse droite de Frédérique, en la pinçant entre ses ongles, réussissant à la soulever et tirer vers son côté droit. Elle réussit à faire glisser cette jambe entre ses deux cuisses et à libérer son bras droit. Alors de ses deux mains elle libère son cou, et s’agite follement des bras, des jambes, de tout le corps, comme le fait sur elle Frédérique pour essayer de rester maître de la situation. Elles se heurtent l’une et l’autre, de coups de tête, des mains et des coudes, mais aussi des genoux. Les seins, les ventres et les pubis entrent dans de violentes et sonores collisions!... De nombreuses fois, Frédérique est désarçonnée et semble perdre sa position dominante, mais elle revient à l’assaut, avec brutalité, et reprend la chevauchée sauvage. Finalement, Sandrine réussit à mettre la grande fille sur le dos, bien qu’elle se retrouve une fois de plus avec la taille enserrée entre les cuisses de l’adversaire. Chacune a sa main droite qui tient le poignet gauche de l’autre. Sandrine réussit à se mettre debout, Frédérique garde son ciseau, son corps reposant sur ses épaules. Sandrine s’écrase sur elle. Les têtes se cognent front contre front, avec un son cave. Sandrine se relève, les cuisses de Frédérique retombent, écartelées... Sandrine se recoupe et s’apprête à lancer son pied botté dans le sexe offert de sa rivale. Mais Frédérique d’un effort prodigieux lance son bassin sur son côté gauche, fauchant Sandrine avec un coup sec de ses deux jambes, la projetant dans les cordes. La petite fille heurte violemment la corde du milieu avec le côté droit de son cou. C’est l’effet d’un atémi... Elle s’amollit d’un seul coup... Frédérique a perçu la modification dans l’état de la brune, et se lève lentement. Elle titube sur ses jambes, encore sonné par le coup de tête de Sandrine, et se penche pour prendre les grands cheveux de l’adversaire à deux mains. Dans un éclair, Bernard est là, en appui sur la corde supérieure, et donne un coup de tête plein sur le front de Frédérique, qui s’effondre sur le corps de Sandrine, le bras gauche tombé hors du ring... Les deux hommes entrent dans le ring, mais avant que Vincent s’approche d’eux, Bernard a soulevé Frédérique comme une plume, et passé une ceinture arrière à la fille, frottant son sexe érigé contre son cul... - Lâche-là, canaille, viens te battre comme un homme! - c’est le défi de Vincent. - Volontiers, mon petit ami... lui répond Bernard, jetant la fille à demi assommée hors du ring. Sandrine reprend un peu ses esprits, et se retrouve enchevêtrée dans les cordes. À quatre pattes, elle passe entre les deux cordes du bas, et sort du ring. Seulement alors, l’écho des deux poitrines viriles se cognant au centre du ring l'a fait regarder ce qui se passe, et elle comprend que sa période de lutte contre Frédérique doit être terminé... Comme d’un accord tacite, les deux hommes reprennent leurs hostilités se ruant l’un sur l’autre, bras ouverts, se cognant de front, de tout leur corps. Puis, sauvagement, ils s’enlacent dans une double ceinture avant, essayant de se briser la colonne vertébrale! Ils perdent le souffle peu à peu, ils ruissellent de sueur, dans un effort de jeunes titans. Puis, tandis que Vincent essaye toujours de soulever son rival du sol, pour le projeter avec violence et l’assommer, Bernard fait onduler son corps en sueur contre celui du grand blond, ses bras noués autour de Vincent descendent plus bas, accentuant la pression de leurs bas ventres, jusqu’à que Vincent s'aperçoit que Bernard ondule son bassin sous son ventre. Car effectivement Bernard fait durer son plaisir, tandis qu’il sent monter la sève dans sa hampe raide et dure, lubriquement tendu entre les deux ventres. Vincent comprend que le petit salaud cherche à l’exciter, peut-être pour le vaincre quand il aura son orgasme, et il essaye de se dégager. Bernard ronfle comme un chat rassasié, et se colle de plus belle au corps de Vincent, d’une main lui pinçant une fesse, de l’autre cherchant son anus. Vincent sent alors sa verge monter tout d’un coup contre celle de l’adversaire, s’entrechoquant comme deux poignards. Bernard lui lèche un mamelon... Alors, pour refroidir les ardeurs sensuelles du autre lutteur, Vincent lui assène un coup de front sur le nez. Bernard regarde le blond des yeux étonnés et les bras ballants. Vincent l’atteint avec un deuxième coup, encore plus violent, et le jeune homme brun recule en titubant, jusque son dos trouve un des piliers du ring. Vincent sent son érection monter et, d’instinct, il se couvre le sexe d’une main pudique. Face à lui, Bernard reprend vite ses esprits, arborant un pénis orgueilleusement dressé dans une majestueuse érection. Comme les deux adversaires s’observent, dans une sorte de provocation sensuelle, Bernard empoigne son membre turgescent avec sa main gauche et en quelques coups de poignet ajoute à la tumescence de sa verge, sous le regard glacial de Vincent, le regard mauvais de Frédérique et le regard rigolard de Sandrine. - Viens te battre, Bernard! Arrête ton jeu dégueulasse... - Lui dit Vincent. - N'aie pas peur, mon chéri, tu ne perds rien pour attendre... Je me mets en forme pour toi!... Bernard stoppe rapidement sa masturbation pour venir à l’assaut de Vincent. Après une feinte, il réussit à prendre celui-ci par la tête, l’enserrant sous son bras droit et bloquant sa prise avec sa main gauche à hauteur de son coude. Vincent, plié vers l’avant, a posé ses mains sur les hanches de son adversaire, il donne l’illusion de subir la prise, mais subitement il lève ses deux bras pour repousser ceux de son assaillant et, simultanément, il se laisse tomber à genoux dégageant sa tête. Sans perdre un instant il se relève, il est derrière Bernard, lui saisit l’avant-bras droit prés du coude et, appuyant sur l’épaule, il fait un demi- tour sur lui-même, entraînant l’autre dans la chute. Il lâche Bernard subitement, l’envoyant voltiger à travers le ring comme un gamin malhabile! Dans ce mouvement, Bernard vient heurter Frédérique de plein fouet. Il l’entraîne avec lui et il vient s’affaler dans les cordes par dessus elle, l’écrasant de tout son poids. Le garçon et la fille sont enchevêtrés l’un dans l’autre. Frédérique se libère du garçon en rut lui envoyant des coups de poing et de pieds. Il se dégage très vite, et sans plus s’occuper de cette femelle en furie, le jeune brun revient face à son adversaire, avec une attitude quelque peu désorientée. Vincent en profite pour saisir son rival en ceinture arrière. De la même manière que Bernard l’avait faite au début de leur affrontement, Vincent exécute une parfaite souplesse arrière. Relevé du sol bien avant son adversaire, le blond se tourne à demi pour saisir en renversé à la ceinture son adversaire qui est à quatre pattes pour se relever. Alors, il se redresse pleinement, écrasant contre sa poitrine les fesses dures et musclées du jeune homme, serrant son ventre à pleins bras. Il est à même d’observer la tige tendue et gonflée, qui bat rythmiquement sur ses bras... En une seconde Vincent songe que ce garçon est vraiment un étalon en rut perpétuel. Dans une telle prise, il est logique que Vincent se plie en avant pour plaquer au sol les épaules de son adversaire, mais compte tenu des prises et des coups indélicats, pour ne pas dire incorrects qu’il a subi, c’est la tête de l’autre qu’il écrase au sol en marteau-pilon! - Bravo! s’exclame Frédérique. - Ta gueule, putain! Tu diras ça quand j’aurai ta peau... - Lui répond Sandrine. Vincent réalise aussitôt qu’il a endolori les cervicales de Bernard. Il tente de renouveler son coup et soulève l’autre à nouveau, mais son rival pose ses mains au tapis pour protéger la chute. L’élan du blond dans sa tentative les amène au sol, le brun dessous, dos au sol, plié en deux, Vincent écrasant les fesses et les cuisses de Bernard, recroquevillé en boule. Pendant leur chute, ses bras ont glissé de la ceinture aux hanches de Bernard et il a senti la raideur et la chaleur du pénis tendu entre les cuisses. Alors, Vincent s’imagine qu’une prise de ce côté pourrait émousser l’esprit belliqueux de son ennemi. C’est la première fois qu’il va tenter un tel geste sur un adversaire mâle et il s’étonne de l’excitation qui monte en lui... De sa main droite, il empoigne le pénis bandant de Bernard, le saisissant très bas près des testicules. Il sent l’organe vibrer dans sa main qu’il laisse remonter vers le gland et redescendre vers la base en serrant un peu plus. Il ressent une certaine contraction du corps en-dessous de lui et un mouvement du bassin sur le sol, comme si le manipulé cherchait une meilleure position ou un contact plus précis. Vincent a aussi constaté que tout le bas du corps du brun, et particulièrement son pénis, est visqueux. Il ne s’est pas rendu compte que Bernard s’est enduit après avoir bandé sa main droite. Il redresse la tête pour scruter les yeux du grand brun. Il découvre un regard d’une totale ambiguïté! C’est un mélange de froideur et d’agressivité, de provocation lubrique et d’assurance virile... Et c’est Bernard qui interpelle Vincent: - Tiens, tiens, le bel Adonis a aussi d’autres passions que sa Vénus! - Qu’est-ce que tu racontes, pauvre con? - En termes clairs, mon chéri, je dis que tu branles bien!... Tu aimes ma bite? Tu la trouves assez longue pour ton cul, n’est-ce pas? - Merde! Il est homo, ce salaud... J’aurais dû m’en douter! Monsieur s’épile, Monsieur se pommade la bite... Eh! Mais il va jouir, ce cochon-là!... Attends un peu, tu vas voir! Vincent a senti la goutte annonciatrice sur le bout du gland qui épiait hors de son poing fermé sur la hampe de son rival. Il lâche le membre affolé de pulsations, et atteint le scrotum pour broyer les testicules gonflés du jouisseur. La douleur stoppe instantanément la monté de la sève, et Bernard pousse un cri de bête blessée. Les deux filles détournent leurs visages des hommes pour se regarder à travers du ring, et se surprennent toutes deux avec leurs mains droites sur leurs sexes, comme si le coup vache leur avait été adressée. Alors, Sandrine détourne rapidement sa tête et crie vers les hommes: - Vincent, tu lui arraches les couilles, et j’arrache les yeux de ta Frique!... - Garce, sale chienne... C’est mois que vais te faire chier, et puis te faire manger la bite de ton gars! - lui répond Frédérique, dandinant ses seins contre la corde du haut, pour mieux exciter ses mamelons. Bernard se raidit sous la souffrance et par réaction il enserre facilement la tête et le bras gauche de Vincent entre ses genoux. Les deux lutteurs tombent sur le côté. Bernard empoigne la chevelure de Vincent et tire à lui pour repositionner sa prise à hauteur de ses cuisses. Avec sa main droite, il s’empare du poignet de Vincent pour neutraliser toute attaque de ce côté. La tête de Vincent se trouve contre le bas-ventre de l’homme brun, son menton au-dessus de ses poils pubiens et son biceps écrasé sur son pénis, toujours en état de pleine érection. Une fois encore Vincent constate avec un peu de dégoût l’état graisseux du bas du corps de son adversaire, car les poils du pubis et des jambes sont maintenant dégoulinants de sueur et de l’huile aphrodisiaque dont il s’était servi. Vincent tourne le bas de son corps sur le côté gauche et réussit à se mettre à genoux, plaçant Bernard à nouveau sur le dos. Il peut alors utiliser plus librement son bras et sa main droite qu’il projette en coup de poing vers le visage du rival. Bernard est obligé d’abandonner la prise de cheveux pour se saisir du poignet et se protéger des coups à venir. Vincent force sur ses pieds faisant décoller du sol le dos de Bernard, puis il balance son tronc à gauche et à droite à plusieurs reprises, ce qui lui donne de l’élan pour un nouveau même mouvement. Il lance sa jambe droite vers sa gauche, en passant par dessus Bernard, soulève avec sa main droite l’épaule gauche de son adversaire et le bascule sur le ventre au prix d’une douleur atroce dans son épaule gauche et à une rude friction de son visage sur le tapis. Mais il réussit non seulement à se libérer du ciseau, mais aussi à s’emparer des chevilles de Bernard et à s’asseoir sur ses reins... Il est en position de brise-reins! Aussitôt, se reculant jusque sur la ceinture du brun, il lui relève les pieds, il les glisse sous ses aisselles et assure sa prise jusque sous les genoux. Alors, il se cambre en arrière, tirant en arrière la colonne vertébrale de son adversaire, lui faisant faire un arc douloureux, faisant Bernard hurler et cogner le tapis de ses poings inutiles. Puis, Bernard essaye de se soulever en prenant appui sur ses avant-bras. Vincent applique un mouvement de balancier, comme dans une chaise à bascule! Bernard geint à chaque mouvement. Il est vrai que son caractère un peu sado-maso et l’huile aphrodisiaque dont il s’est enduit maintiennent son pénis fièrement en érection, mais justement les balancements font que par moments la hampe se trouve dégagée et comme un plantoir piqué vers le tapis, mais au retour, elle se trouve écrasée et déformée sous la masse du corps, forcée à se cintrer. Le gland, bien que huilé, est contraint à gratter sur le tapis trop raide pour lui, il est tout rouge et fais souffrir Bernard... Vincent est satisfait de sa prise, il joue ainsi à se balancer, en se détendant, et il devient trop négligeant, trop inattentif aux réactions de Bernard qui se soulève sur un coude et, glissant l’autre bras sous lui, réussit, en force, à se retourner sur lui-même, et d’un coup se libérer et projeter Vincent au sol. - À moi, crie Sandrine. Avant même que Bernard avance vers son équipière, Frédérique était dans le ring, prenant Vincent par un bras et le rejetant en arrière, hors du centre du ring, marmonnant des obscénités. Mais elle fait gaffe, car elle continue de marcher, se retournant pour engueuler son compagnon, regardant encore sa verge gonflée. Frédérique n’a pas aimé les attouchements de son partenaire sur le bas ventre de Bernard... Et ça lui coûte un coup de pied dans son estomac, qui la fait tomber à quatre pattes devant les jambes écartées d’une Sandrine échevelée et rageuse. Elle empoigne la chevelure de Frédérique et guide sa reprise d’aplomb, non pas pour l’aider, mais au contraire pour la tenir face à l’extérieur du ring et lui écraser le cou sur la corde du haut. Y prenant appui de ses deux mains Frédérique tente de s’éloigner de la corde, mais Sandrine s’acharne sur la tignasse de grande fille, pour appuyer, en ajoutant un effet de cisaillement de gauche à droite, brutalement! Sandrine est sur la pointe des pieds, vibrante de tous ses muscles, son corps écrasé sur celui de la rivale, ses gros seins aplatis débordant de chaque côté de son torse, sa chevelure gluante de sueur dégoulinant emmêlée sur son dos et sa poitrine. Pour avoir plus de force, elle se décale sur la gauche, ne gardant que son sein droit enfoncé dans l’omoplate gauche de Frédérique. Celle-ci sentant le sein gauche de l’adversaire sous son aisselle gauche, lâche sa main gauche des cordes et envoie un coup de coude en arrière. C’est le triceps qui vient frapper le sein, une fois, deux fois, trois fois. Sandrine tient bon, acharné à racler la corde du haut avec la gorge de Frédérique, mais après le dernier coup en succession rapide, endolorie, elle se recule. Alors, Frédérique réussissant un rapide mouvement vers la droite, en envoyant violemment son coude à nouveau en arrière, plonge son coude dans le sein de Sandrine, jusqu’à heurter les côtes au travers de la masse de glandes et de graisse. Cette fois le coup a vraiment porté! Avec un court cri de douleur, Sandrine abandonne sa prise et se recule encore, portant ses mains en coupelles sous ses seins pour soulager la douleur. Face à Vincent un court moment, elle fait comme une offrande de ses mamelons à la bouche qu’il ouvre par réflexe... Mais Frédérique n’attend pas, elle volte face pour attaquer sauvagement et venger la meurtrissure de son cou, maintenant rayé de larges striures rouges. Elle commence par envoyer un coup de pied sec entre les cuisses de Sandrine à destination du sexe, mais qui l’attend en plein sur l’os pubien. La grande lutteuse atteint son but qui est de faire baisser les mains de la “petite boule de poils noirs”... Alors, elle va chercher loin derrière elle l’élan nécessaire à un formidable “swing” du droit qui vient s’enfoncer dans le sein gauche déjà blessé. Une expression de douloureuse stupeur emplit le visage de Sandrine qui relève ses mains vers son sein meurtri et ne voit pas venir un crochet de gauche identique mais cette fois à destination du bas du foie! Sandrine laisse échapper un cri rauque et recule en tendant ses mains en avant, comme pour se protéger! C’est une garde inhabile et inefficace contre l’action de Frédérique qui renouvelle son “swing” du droit dans le sein gauche qu’elle aplatit à nouveau. Elle poursuit ainsi son adversaire jusque dans les cordes opposées. Est-ce la fin? Sandrine est-elle battue, dépassée par la violence de Frédérique?... Non, Sandrine voit que l’angle du ring est à moins d’un mètre sur sa gauche, alors elle se glisse vivement dans le coin, en levant ses deux bras pour prendre appui des bras pliés sur les cordes du haut. Ce mouvement subit amène Sandrine à faire un écart de sa jambe droite pour faire face à l’assaillante avec un bon appui. La petite lutteuse n’aurait pu rêver d’un meilleur mouvement de la part de son ennemie qui, maintenant, jambes bien écartées devant elle, s’apprête à lui cogner encore les seins, mais lui offre en cadeau son sexe... Sandrine a les jambes moins longues, mais la distance est la bonne, elle lance brutalement son pied gauche botté dans l’entrejambes si gentiment proposé comme cible! Seulement, fatiguée, de peur de rater la chatte de sa rivale, Sandrine a mal apprécié les distances, et elle tend trop sa jambe. Alors la pointe de la bottine frappe le cul avec peu de force, et c’est le bas de son tibia qui vient cogner violemment dans la vulve de Frédérique. Plus exactement, ce sont les lacets de la botte haute de catcheuse qui viennent s’encastrer dans l’espace entre les ischions, râpant les lèvres de la vulve et particulièrement les pétales fragiles et tendres de la vulve. Frédérique n’est pas finie, mais elle a souffert une brûlure atroce qui lui déchire les entrailles. Elle ouvre la bouche pour crier, mais elle étouffe, tandis que ses jambes instinctivement amorcent un recul. Le pied gauche de Sandrine vient à peine de quitter sa fourche, et le pied droit y arrive avec une vitesse de missile. Seulement, Sandrine a mieux ajusté son tir et, le recul de Frédérique aidant, cette fois, c’est la pointe de la botte qui vient atterrir dans le haut de la vulve en relevant et écrasant le clitoris contre l’os du pubis. Les yeux de Frédérique se révulsent sous la douleur, sa bouche se crispe laissant échapper un cri rauque d’agonie et puis, comme un arbre scié, elle penche du côté gauche, son corps se pliant en “Z”, deux ou trois pas sur sa gauche, et elle s’étale sur le tapis, roulée en foetus... Bernard lance un cri de victoire, tandis que Vincent se montre très décontenancé. Bien sur, c’est lui et Frique qui ont dit que le duel se poursuivrait jusque les deux personnes d’une équipe ne pourraient plus continuer, mais il ne s’attendait pas à voir Frique subir un KO aussi brutal... Sandrine reprend son aplomb, quitte le coin du ring et s’approche de la fille tombée. Après l’avoir observé un instant, elle se penche sur elle, sans ménagement la tourne sur le dos et, après s’être redressée, elle se lance en vol plané pour atterrir en portant son bras gauche plié sur la poitrine de sa victime. Elle se relève alors pour se laisser tomber à genoux sur le ventre de Frédérique, toujours allongée au sol et sans connaissance de l’humiliation qu’elle est en train de subir... Vincent entre dans le ring pour venir au secours de sa dame, mais Bernard le devance, et le prit dans un double Nelson, le forçant à regarder les actions de Sandrine. Relevée à nouveau, Sandrine tâte du pied de la botte une éventuelle réaction de Frédérique, en lui donnant des coups de pied dans les flancs à hauteur des côtes et des reins. Comme la grande fille ne réagit pas, elle la tourne sur le ventre, met un pied sur son dos au-dessus des fesses et l’empoigne par la chevelure. Puis, elle regarde Vincent en face et courbe la jeune femme en arc vers l’arrière, menaçant de lui briser l’échine!... - Arrête, salope, putain! Tu as gagné, c’est fini, maintenant laisse-là... - Je ne suis pas fini avec cette pufiasse de merde, Monsieur Vincent. Je veux l’abîmer pour qu’elle se rappelle toujours qu’elle a eu affaire à une plus forte qu’elle... Sandrine met ses pieds à terre, et relève Frédérique par sa seule prise sur ses cheveux, en aidant un peu avec son genou entre les cuisses de la grande fille, qu’elle prend contre le pilier le plus proche. Puis, elle gifle et crache sur le visage de Frédérique. Si celle-ci avait bien perdue conscience, elle retrouve un peu de vitalité, prenant appui contre les cordes, elle essaie de rattraper les mains qui la giclent... Sandrine rit haut, prenne Frédérique à la gorge meurtrie, met le soulier de sa botte gauche sur l’estomac de la rivale, et se laisse tomber en arrière, faisant Frédérique voler sur elle, et atterrir seins et tête les premiers sur le tapis, l’assommant encore! Les yeux hagards, Vincent lutte avec toutes ses forces contre une prise imbattable, et les muscles puissants de son adversaire homo qui, une fois de plus, profite de sa prise d’élection pour se frotter le sexe contre les fesses de Vincent. Vincent se fait mou dans l’étau d’acier des bras de Bernard, et celui-ci se laisse confondre... Alors, Vincent lui échappe, et se lance contre Sandrine, la prenant en ceinture avant, et la jetant contre les cordes. Bernard lui saute sur le dos, et les trois lutteurs se battent de façon confuse contre les cordes. - À deux contre un, c’est vraiment courageux, eh!?... Ces mots de Vincent ont l’eût l’effet de faire stopper Bernard, qui doit crier pour se faire entendre de son équipière déchaînée. - Sort, laisse-moi un peu de plaisir avec Monsieur Vincent!... - Je vais te crever, truie puante, tu vas vomir tes tripes quand j’aurai terminé avec toi! Sandrine dit, et va encore vers Frédérique, qui est en train de grimper vers les cordes, en gémissant très fort. Le visage de Sandrine exprime une bestiale satisfaction, il est évident qu’elle a pris une forte option pour la victoire... Elle considère son sein blessé, qui tourne à une vilaine couleur jaune et bleue, elle caresse son ventre qui a pris des coups lui aussi. Elle est à quelques centimètres de sa rivale, qui ne l’a pas sentit venir, et elle se laisse à nouveau tomber de tout son poids, les deux coudes en avant pour piocher les côtes de Frédérique. La grande fille crie, un cri dément, et se retourne dos au sol, pour protéger son dos meurtri. C’est alors que Sandrine se lève et saute dans l’air, pour descendre avec son genou droit sur le ventre de Frédérique. Cette fois Frédérique ne crie plus, elle se recroqueville en boule en vomissant, son corps secoué de grands spasmes de douleur. - Sorts la du ring, merde!... Lui cria Bernard. Sandrine l’écoute et, pleine de pitié, achève de rouler Frédérique hors du ring à coups de pied! Aucune des filles pouvait voir le déroulement du combat des garçons... Frédérique était sonnée, bien qu’elle bavait toujours de la salive et le peu de boisson et d’aliments qu’elle avait encore à l’estomac. Sandrine se refaisait une beauté, avec l’aide de ses affaires, d’une carafe d’eau, et de l'huile que Bernard avait utilisée, et qu’elle trouve très bon, car il répend sur ses seins et ventre meurtris une sensation de chaleur et un picotement très agréables... Les deux jeunes lutteurs se livrent alors de beaux assauts, de belles attaques et de belles parades, de beaux enchaînements, mais surtout des prises de force, pour saper mutuellement leurs énergies, et pour venir enfin à bout de l’autre. Bien qu’il soit encore endolori au niveau de ses vertèbres, c’est Bernard qui reprend plus souvent l’offensive en se saisissant de la tête de Vincent, assurant à nouveau un collier bien bloqué, le ramenant progressivement à genoux, puis l’aplatissant au sol, et le chevauchant. Puis, il lui saisit la tête, mains à la jugulaire sous la mâchoire, et il tire la tête en arrière. Vincent lance ses bras en arrière par dessus ses épaules et il réussit à saisir une poignée des longs cheveux bruns qui pendent, mouillés de sueur, de chaque côté de la tête de Bernard. Alors, tirant violemment en relevant son bassin, il réussit à projeter son adversaire par dessus lui, ce qui le dégage du collier. Mais maintenant Bernard se trouve pratiquement assis sur ses épaules, un genou de chaque côté du visage de Vincent, qu’il s’empresse de serrer bien sûr en empoignant ses cheveux. Un bref moment on dirait une “lutte de chattes”, une lutte entre femelles se tirant les cheveux! Mais c’est très bref... En un éclair, Vincent roule sur lui-même, se trouvant avec le sexe tendu de Bernard sur son visage, un sexe qu’il empoigne à deux mains, pénis et scrotum, et qu’il broie autant qu’il peut. Presque en même temps il lève brutalement ses genoux qui viennent heurter le dos de Bernard, l’envoyant dans les cordes, tête la première, mais criant sa souffrance à la douleur que lui cause le fait d’arracher son sexe de l’étau des mains de Vincent. Comme Bernard se met à genoux, utilisant les cordes pour se relever, Vincent vient à genoux derrière lui, le saisit en passant ses deux bras au-dessus des épaules... Bernard s’assoit sur ses talons en écartant ses bras, Vincent le tire en arrière contre sa poitrine et s’assoit à son tour, passant ses jambes autour de la ceinture de son adversaire, continuant à l’allonger dos au sol. Il lui a coincé le bras droit sous son aisselle droite, son ciseau glissant à la ceinture du brun. Vincent est en appui sur son coude gauche, maintenant le menton de Bernard avec sa main droite. C’est alors qu’il voit le pénis de son adversaire dressé comme un mât, à la portée de son pied droit, et il envoie son talon botté cogner cette “gloire”. Bernard tressaute dans ses bras, puis Vincent frotte son talon entre les cuisses bronzées, malaxant les testicules, augmentant s’il était possible l’érection. - C’est cela que te plaît, hein, mon cochon? s’enquérait Vincent. - Oui, j’adore la lutte... Dure et forte... - Tu adores surtout te branler et la baise avec un autre garçon, sous le prétexte de lutter avec lui! Tu es un sale cochon, et tu me dégoûtes plus que Sandrine! - Oh, mon petit chou... Si tu n’aimes pas cela, ce n’est pas la peine d’en dégoûter les autres! - J’essaie seulement de te dire que ce n’est pas mon truc!... - Pas ton truc?... Alors attends d’y avoir vraiment goûté!... - Ne cherche pas à jouer à ce petit jeu avec moi... Ou je te tue! - N’exagère pas, Adonis à femmes... On en reparlera... En disant cela, Bernard réussit à se tourner dans la prise de Vincent. Alors, ils se retrouvent allongés sur le côté, vis-à-vis, Vincent assurant un ciseau à la ceinture de Bernard. C’est au tour de ce dernier de s’emparer du pénis gonflé mais un peu flasque de Vincent. La main gauche s’agite doucement mais habilement sur le membre que Vincent voudrait insensible à une caresse d’homme mais qui réagit à la masturbation contre sa volonté! Alors, en autodéfense instinctive, il envoie ses poings, droite, gauche, au visage du rival. Sentant la faiblesse qui gagne Bernard et son rétrécissement, il resserre l’étau de ses cuisses, s’empare de ses longs cheveux et les tire, entamant de l’autre main un bombardement de “swings” au visage, à la poitrine au niveau du coeur, puis plus bas, au plexus solaire et au ventre... Bien que handicapé de sa main droite, Bernard n’est pas en reste. Il est mal positionné pour atteindre le visage de Vincent, alors il compense utilisant sa main gauche comme broyeur sur le sexe qui est à sa portée. Cet échange apporte peu de résultats aux combattants, qui s’essoufflent et se fatiguent inutilement. Bernard est un peu plus meurtri, mais il semble dur et capable d’endurer plus que Vincent lui donne. Vincent ne sent presque aucune douleur - mais c’est lui qui rompt l’engagement, relâche son ciseau et repousse Bernard qui roule à plat ventre et se relève très rapidement. Vincent avait commencé à sentir son membre trop dur et chaud, et a eu peur de se laisser faire par ce lutteur homosexuel. Alors que Vincent est encore à quatre pattes, Bernard l’allonge à plat ventre en le saisissant aux chevilles. Puis, il croise une cheville du blond dans la pliure du genou et obtint une prise de jambes en élongation sur les ligaments du genou droit de Vincent. Il appuie de tout son poids, forçant la prise. Abandonnant sa position d’écrasement, Bernard vient s’asseoir sur le torse du rival et tire vers lui la cheville en vrillant le pied simultanément. Vincent exprime sa souffrance par des grognements et des grimaces. Il lance ses bras en arrière mais ne réussit qu’à effleurer les chevilles de son adversaire. La prise dure longtemps. Vincent semble prendre son mal en patience bien que son genou devienne de plus en plus douloureux. Devant l’immobilité stoïque et courageuse du jeune blond, Bernard s’autorise quelques privautés! Il palpe et caresse la fesse gauche de sa victime, celle qui n’est pas sous la pression du pied droit. Il l’effleure, pince, teste la fermeté! Puis, il va même jusqu’à glisser ses doigts dans le sillon des fesses... Par jeu, il tire quelques poils blonds qui ornent la rainure de chair. Ce jeu lubrique active l’excitation du pédéraste, qui se mesure aux mouvements de métronome de sa hampe durcie, qu’il frotte contre la jambe et la bottine du rival. Il va même jusqu’à tester la rosette de l’anus qu’il ne voit pas mais que son index a atteint... Sans doute, cherche-t-il à forcer l’entrée, par une pression accentuée de son doigt, car Vincent se met à lui crier des injures et des menaces! Comme pour satisfaire Vincent, Bernard abandonne ses attouchements, et change de jambe dans la prise. Il glisse le mollet de la jambe droite dans la pliure du genou gauche à qui il fait supporter les mêmes douloureux efforts, apportant sur la cheville gauche des effets de torsion identiques à ceux qu’il avait appliqués sur la cheville droite. Vincent s’est senti soulagé momentanément, mais il doit bientôt ressentir les mêmes douloureuses conséquences, identiques à des crampes brûlantes et lancinantes. Sous l’effet de cette torture, son coeur commence à battre de plus en plus fort et de plus en plus vite. Il ressent et il entend les pulsations à ses tempes, et il ne peut retenir des gémissements. Bernard est conscient du résultat acquis sur son adversaire. Tout en conservant sa prise, il se penche en avant, au-dessus des fesses de Vincent. Il modifie la position de la jambe droite, faisant glisser la cheville à la place du mollet. Il glisse sa main gauche entre les deux cuisses écartées... Et saisit le scrotum, empoignant bien les deux testicules... Incapable de se défendre, un sentiment d’effroi traverse les pensées de Vincent qui tente de réagir en agitant son corps et ses bras comme un poisson hors de l’eau... Mais au lieu de serrer et de broyer, Bernard roule doucement les organes fragiles entre ses doigts experts, il caresse, il masse doucement... Il glisse ses doigts par en-dessous pour atteindre le pénis, mais celui-ci est écrasé sous le ventre de Vincent, et en quelque sorte protégé de toute attaque, comme de toute caresse!... Mais le pénis de Vincent, assujetti aux lois de la nature, et sous la pression et fortement entre le ventre et le tapis du ring, reste gonflé et tumescent, exigeant la liberté!... Bernard tente de glisser sa main par le côté, sous le ventre de Vincent, pour s’en emparer, mais sans succès, car Vincent se raidit pour bien appliquer son bas ventre sur le tapis. À ce moment de l’action, les deux lutteurs sont relativement proches des cordes du côté de l’équipe de Sandrine. Vincent se trouve tourné vers le centre du ring, alors que Bernard, presque assis sur son dos, est tourné vers les cordes. Vincent regarde devant lui, Sandrine traversant le ring, vers Frédérique, sa Frique, allongée sur le ventre, sous les cordes de l’autre côté. Sandrine prend la fille dont il est amoureux par les cheveux, et la ramène de force dans le ring, puis elle s’affale sur elle, frottant son pubis dans la chevelure de la grande fille! Sandrine caresse son sexe, puis commence à se masturber lentement, érotiquement... Se prenant à son propre jeu, Sandrine accélère le rythme de ses doigts. Elle perçoit un mouvement de Frédérique... Alors Sandrine se lève, la tourne sur le dos, puis se laisse tomber des deux genoux sur les seins de son ennemie vaincue, puis elle la tourne de 90º la prenant par les pieds, elle soulève les jambes et amène les talons en appui sur la corde du milieu. Sandrine se penche à l’extérieur du ring, se saisit de la corde du bas, la soulève et vient l’appuyer sur les chevilles, bloquant ainsi les pieds de Frédérique entre les deux cordes. Puis, même les bras sont écartés en croix... Son amoureux est encore inconscient, dos au sol, jambes levées, pieds liés, esclave à la merci d’une adversaire sans merci! Frédérique semble incapable de réagir, mais son corps s’anime d’un léger tremblement. Sandrine, seins dressés haut et mamelons durcis, la domine du regard, du haut de ses bottines à hauts talons, jambes écartées au-dessus du visage de sa victime, un pied de chaque côté de la poitrine, donnant à Frédérique tout loisir de contempler les lèvres de son sexe béant, d’un rose brillant, perdues au milieu d’une forêt de poils gluants qui couvrent son pubis et sa vulve charnue. Le visage de Frédérique, caché de Vincent, exprime une douleur indicible et la crainte de ce que Sandrine va lui faire subir maintenant. Sandrine posément descend sur Frédérique, elle s’agenouille sur ses biceps, face aux seins de la rivale, puis prenant appui sur le ventre de la prisonnière, elle s’avance légèrement, par saccades, jusqu’à ce que son sexe repose sur le visage. Alors, se balançant des hanches d’un côté à l’autre, la petite lutteuse s’arrange pour ouvrir sa vulve, bien la positionner pour avaler le nez avec son vagin, et écraser son clitoris sur le menton. Frédérique a tout de suite deviné l’objectif de Sandrine, connaissant son appétit sexuel et sa collection de godemichés!... Si elle veut une partie de plaisir, pense Frédérique, qu’elle prenne du plaisir... Car pendant ce temps-là, de son côté, elle va pouvoir récupérer ses énergies! Mais c’est compter sans l’immense besoin de Sandrine, ses déhanchements sur sa tête, ses balancements dans tous les azimuts, ses rotations et girations, faisant une pression très forte ses poignets et les avant-bras endoloris, les pincements et les griffures de ses mamelons quand Sandrine ne s’occupe pas d’exciter encore ses propres tétons... Frédérique n’avait pas prévu non plus la situation d’étouffement où elle se trouve bien vite, car les bonds qui accompagnaient les premiers spasmes ont disparut, la vulve de Sandrine a englué son nez, et il n’y a plus d’arrivée d’air frais pour les poumons de Frédérique. La forte odeur qu’elle a accueillie au début s'est maintenant transformée en miasmes au fil des orgasmes successifs, qui pénètrent et son nez et sa bouche, transportés par les sucs aigre-doux devenus une liqueur grasse qui la l’écoeure. La jouisseuse devient de plus en plus lourde, ses mouvements sont devenus très lents, on les dirait visqueux... Et pourtant elle n’arrête pas de jouir. Et si les tripotages de Bernard ne sont pas désagréables, ils ne soulagent aucunement l’ankylose douloureuse qui envahit progressivement tous les membres inférieurs de Vincent. Mais voilà que les manipulations des testicules s’arrêtent, et Vincent s’interroge sur ce que Bernard peut mijoter encore. En fait Bernard crache abondamment dans les doigts de sa main gauche et englue de salive la crevasse des fesses de Vincent. L’amoureux de Frédérique envisage avec effroi ce qu’une telle manoeuvre peut précéder. Mais son adversaire se relève, fait demi-tour, s’empare de la tête blonde en la saisissant sous la mâchoire et soulève Vincent, le projetant violemment en arrière pour tomber à plat sur le dos. Vincent a tenté de tendre ses jambes pour contrer le mouvement, mais la douleur de l’ankylose l’en a empêché. Il tombe lourdement sur le dos, et pire, il vient heurter sèchement du haut du cou, juste à la limite de la nuque, les deux cordes du bas. Ce faisant, il s’assomme à moitié, restant étendu dans cette position, le cou reposant sur la corde du bas, tendue. Alors, Bernard s’empare des chevilles du blond, il soulève les jambes vers le haut, pour plier Vincent en deux à la ceinture et, en forçant de toute sa puissance, il glisse les pieds l’un après l’autre sous la corde du bas, y coinçant les tallons d’Achille. Vincent se trouve immobilisé en petit paquet, ne pouvant s’en libérer qu’en dégageant ses pieds ou sa tête. Toutefois, presque inconscient par sa chute et le cou reçu sur les cervicales, Vincent ne réalise plus ni ce qu’il faut faire, ni les machinations de son assaillant. Bernard vient appuyer son bas ventre sur les cuisses relevées de Bernard. D’une main, il écarte la masse charnue des fesses, dernier rempart de la modestie du lutteur vaincu, et de l’autre main il guide son pénis qui a atteint l’apogée de son érection vers l’anus de l’homme blond... C’est la douleur de la pénétration qui ramène Vincent à la réalité des choses et du viol que Bernard pratique sur lui!... Les larmes troublent la vision de Vincent, qui souffrait déjà de voir sa Frique humiliée par Sandrine. Vincent s’affole de tout son être, et tente de repousser le membre qui le tenaille le ventre. Il agite, ou tout du moins, il tente d’agiter son corps en tout sens, mais il est bien bloqué et une douleur lancinante commence à envahir son cou et ses cervicales... Il n’a que l’usage de ses bras et ses mains pour repousser le grand brun Alors que Bernard s’enfonce en lui lentement mais inexorablement, sans l’aide de ses mains, et peut s’emparer des poignets que le violé lui lance à l’aveuglette... Une deuxième brûlure inonde le corps de Vincent, qui devient plus cuisante lors que Bernard, ayant atteint son but, commence lentement à aller et venir en lui. Vincent est indigné par l’activité de Bernard - et de Sandrine - et chez lui la colère a fait place à une fureur difficilement concevable. Il lui faut se dégager à tout prix de ce piège!... Son cerveau travaille d’une manière rationnelle. Dégager ses jambes? Maintenant, après l’ankylose continuée qu’il a dû soutenir, il manque de force. Dégager sa tête? Peut-être... Mais comment? Il n’y a qu’une solution, s’avancer, ramper sur le dos, pour la faire tomber au sol. Oui... Mais, sans l’usage de ses bras pour repousser la corde?... C’est un problème insoluble. Frédérique, dont les oreilles sont bouchées par les grosses cuisses de Sandrine, percevait les râles et les cris aigus du début, bien que d’une manière étouffée. Maintenant, elle entend des bruits intérieurs qui semblent se transmettre par le vagin de son ennemie. Sandrine produit comme des feulements profonds, et ces petits claquements doivent être dus aux suites de convulsions abdominales. Mais Frédérique ne peut rester ainsi, elle va étouffer pour de bon... Elle entend son coeur qui cogne à grands coups... Elle sent ses poumons près d’éclater, qui la brûlent. Alors, folle de peur, Frédérique a une réaction animale... Elle libère son nez d’une forte secousse, enfonce volontairement encore plus son visage entre les cuisses de l’assaillante, et elle mord! Elle croche à pleines dents! Elle serre ses dents sur les chairs tendres!... Et elle n’a qu’une chose à la tête - tenir, n’a pas lâcher, ne pas desserrer les dents. Une - deux - trois - quatre secondes, et Sandrine réagit! Brutalement arrachée au plaisir, elle revient à la réalité, ressent la morsure et se soulève, brusquement. Frédérique... Sauvée!... Souffle et aspire à pleines narines, mais ne desserre pas ses dents! Et pendant que Sandrine continue à se lever en hurlant de douleur, Frédérique sent glisser entre ses dents des chairs brûlantes, grasses et tendres. Et pendant ce temps, au-dessus de son corps plié en deux, il y a Bernard qui s’avance et se recule, qui commence à ahaner, à vibrer... Comme le plaisir commence à le gagner!... Il se détend un peu sur sa prise... Les poignets de Vincent sont moins serrés et il peut tourner ses mains à plat sur le tapis... Une prise? Non, mais une friction, un accrochage des ongles courts pour s’accrocher, oui!... Alors profiter du recul de Bernard pour s’avancer, le suivre? Oui, un essai... Quelques millimètres... C’est bon, c’est cela!... Recommencer, à chaque fois!... Au bout d’un moment, Bernard a réalisé le mouvement de Vincent, mais il l’interprète à sa façon... - Tu aimes ça! Eh, mon salaud?... Quand je te disais que tu aimerais!... Vincent ne répond rien, mais il continue et gagne du terrain. Mais au prix d’une formidable érection qui le gagne!... Car la douleur a disparu et c’est une grande excitation qui le gagne!... Comme quoi Bernard n’a pas entièrement tort... Va-t-il succomber à cette oeuvre lubrique? Sandrine s’est éloigné à petits pas, les jambes ouvertes, elle s’agenouille au milieu du tapis, puis s’assoit sur ses talons, ses deux mains devant son sexe, et elle finit par se rouler en boule sur le tapis. Frédérique en redressant son buste, dégage ses pieds des cordes et se relève. Bien qu’elle souffre de partout, surtout aux jambes et aux genoux, elle se dirige vers Sandrine et lui saute sur la tête à pieds joints!... Sandrine crie, presque aveuglé par le talon d’une bottine, et essaye de se relever. Alors, la gentille Frédérique lui donne un coup de pied à la mâchoire, qui lui brise deux dents, lui coupe les lèvres, et finit d’assommer sa rivale. Frédérique se penche sur elle, voit le grand hématome sur le front de sa rivale, les dents brisées sur le tapis, puis elle se redresse... - Oeil pour oeil, dent pour dent! Frédérique, éprouvée, endolorie, veut prendre le repos de la guerrière. Mais il y a des bruits étranges, un râle de mâle en rut, des succions et des gémissements. On dirait... Frédérique se tourne vers les deux garçons, et elle voit la scène ahurissante dont elle n’avait pas pu s’apercevoir avant! Juste au moment précis que Vincent lève la tête vers elle, qui tout près d’eux, et les contemple d’un regard à la fois étonné et excité. - Frique!... Aide-moi!... Arrête-le!... Vincent appelle au secours de toutes ses forces. Frédérique empoigne à deux mains la longue tignasse brune de Bernard, gluante de sueur, et la tire en arrière, libérant Vincent de sa position... Catastrophique! Elle allonge le grand brun sur le dos et tombe à genoux sur sa poitrine, privant ses poumons de tout leur contenu d’oxygène. À sa surprise, la seule réaction du garçon est d’empoigner son pénis luisant à deux mains, pour se finir, en giclant de longs jets de sperme vers le plafond, qui retombent sur les fesses de Frédérique et ses propres cuisses. Alors, Frédérique lui porte un violent atémi sur le côté du cou, qui envoie son deuxième adversaire au pays des rêves! Vincent essaye de se dégager, mais il est encore tout embrouillé dans les cordes. Frédérique l’aide à se relever, mais les genoux de son amant ne le lui permettent pas, alors il reste assis, le dos appuyé aux cordes. Sa verge, elle, est toujours orgueilleusement gonflée, tendue à l’horizontale, et le gland violacé semble prêt à éclater! - Je ne savais pas que tu avais des goûts pour les garçons! Tu avais bien caché ton jeu! - Ne te moques pas, Frique! Je te raconterai après... Maintenant, je... souffre trop. Mais j’ai bien cru que, malgré moi, j’allais éjaculer tandis qu’il... Et toi? Ça n’a pas été trop dur? Tu es toute égratignée et marbré de bleus! - Moi aussi, j’ai des choses à... te dire, t’expliquer! Mais l'affaire n'est pas finie et cette garce de Sandrine va payer pour toutes ses vacheries... - Et bien, pour ma part, je vais faire payer ce grand pédé pour ses dégueulasseries! Que fais- tu, Frique? Je suis tout souillé... Non, non, ma chérie... Mais Frédérique s’est agenouillée devant lui, et lui fait la besogne de sa hampe avec les paumes de ses mains... Puis, elle lui prend le gland dans sa bouche. C’est trop vite pour le cerveau de Vincent, travaillant encore au ralenti. Et il éclate dans une gerbe d’étoiles et lumière: - Oh, oui!... Tu me veux encore! Je t’aime, mon amour! À suivre… Frédérique 11 - “Duel nu: Revanche en kick-boxing?” (une sorte de Duel nu, Part 2) © Ange Païen 1996.05.03 © Édition de Raf, 1996