Frédérique, 8ème épisode par l’Ange Païen “Touche pas à mon copain!…” Et puis, Frique et Sandrine se battent jusqu’au KO. Affolés sexuellement par les descriptions de Mireille, nos deux amants, Frédérique et Vincent, dès qu’ils sont arrivés à la chambre de la jeune fille, se sont précipités dans un nouveau corps à corps si fort et si violent qu’il les a plongés dans un sommeil comateux. De nuit, Vincent s’éveille doté d’une érection glorieuse qui soulève la couette. À son côté, Frédérique est toujours en son sommeil. Vincent revoit par la pensée, comme sur une vidéo à vitesse accélérée, les événements de la veille. Il imagine facilement la rencontre de Mireille et Éliane, le récit était suffisamment précis et érotique autant qu’évocateur! Il voit très bien Mireille en action, à demi nue, luttant, giflant et fessant. Il voit en pensée les seins de la belle et forte femme, offerts aux claques et aux prises d’Éliane. Il voit les beaux mamelons durcis au centre des larges aréoles... Et puis, doucement, inconsciemment son esprit se concentre sur Mireille, son visage aux yeux dorés, un visage d’ange, auréolé de cheveux teints en brun roux, auburn ils disent, ses épaules larges, son torse trapézoïdal et puissant, sa taille fine avec un ventre très peu bombé au-dessus des hanches larges... Les belles fesses si rondes, si cambrées, le pubis orné d’un trapèze de poils brun foncé, presque noirs, bien taillés... Les cuisses puissantes, les genoux élégants, les mollets très musclés... Il sait, il connaît, la vulve dégagée de tous poils, les lèvres foncées qui s’ouvrent sur des pétales plus roses, si tendres, si douces à défroisser. Le clitoris dur et épais sous la peau du capuchon qui se soulève si facilement... Il rêvasse... Il s’amuse à chercher une comparaison... Si c’était... Si c’était un fruit? Une petite cerise sauvage, ovale, amère. Ou bien plutôt un petit gland de chêne... Non, ce n’est pas tout à fait cela... Oui, un noyau encore sucré, humide du jus de fruit, oui, exactement cela, au goût sucré et pourtant amer! Rien à voir avec Frédérique, chez elle il est acide, un acide aigre. Et puis, Frique, son clitoris est comme un petit bout de haricot vert de deux ou trois centimètres, nerveux et vibrant, et pas facile à le décalotter; le capuchon est serré dessus, plus long, plus rêche?... Ce n’est pas le mot; il est cru, oui, c’est cela, cru!... Il se souvenait de son premier rapport avec Frédérique, c’était entre Noël et le 1er de l’an. Elle n’était pas vierge, car elle s’était déflorée avec le dildo de Sandrine. Il l’aimait pour cela aussi... Il se souvenait de son visage qu’il n’avait pas quitté un seul instant. Il avait lu appréhension avant de la pénétrer. Puis, il avait vu ses yeux s’agrandir d’étonnement quand, doucement, il se glissait en elle. Elle lui avait souri lorsqu’il s'est enfoncé. Enfin, elle avait fermé les yeux quand il avait commencé d’aller et venir; alors, c’était sa bouche qui s’était ouverte, elle avait passé sa langue humide sur ses lèvres rouges, gonflées! Et alors c’est lui qui avait fermé les yeux!... Vincent ne bouge pas, il a trop peur d’éveiller Frédérique, et puis il veut profiter au maximum de ses pensées... Se laisser fantasmer sur ses souvenirs... Et pourtant son pénis dressé comme un phallus commence à être douloureux. Alors pour s’apaiser, il remonte le prépuce sur le gland pour le protéger du frottement du drap... Et ses pensées reviennent à Mireille. Quelle femme, quelle maîtresse femme, quelle meneuse de jeu, quelle initiatrice!... Non, initié, il l’était. Mireille lui avait fat découvrir d’autres secrets, elle l’avait éduqué vers une sorte de perfection. Et ses pensées reviennent à cette journée d’un lundi de la seconde moitié de Février, où il avait rendez-vous avec Frédérique en début d’après-midi dans l’ancien fruitier. Pour s’aimer ils avaient décidé de lutter tous les deux dans le ring! Jeu qu’ils avaient déjà pratiqué plusieurs fois. Au début de ces rencontres, ils s’affrontaient toujours avec conviction, enchaînement des prises, des clés et des ciseaux... Et puis progressivement leur affrontement s’attardait aux contacts des corps, les mouvements de prises et dégagements devenaient plus caressants, jusqu’à devenir de vraies caresses tendres et passionnées... Et ils succombaient facilement à l’excitation qu’en réalité ils étaient venus chercher, le vrai but de l’assaut qu’ils livraient. Ce jour-là, un lundi, froid et pluvieux, était le début de leurs vacances de février. Il ferait bon dans la chaleur de cette salle transformée en gymnase, et dans le ring il retrouverait le corps musclé et puissant de la belle Frédérique, ses petits seins juvéniles et pointus sur son torse large, sa taille peu marquée, ses hanches fortes et ses fesses rondes et fermes, cambrées. Il retrouverait ses bras et ses épaules aux muscles noueux de nageuse, et ses cuisses et ses mollets si puissants de coureuse et de cycliste. Sa championne de triathlon! Sa peau si douce, sa chair si ferme, son parfum de fille de 17 ans bientôt, ses cheveux bien foncés tressés en une natte toujours parfaite, dégageant un visage toujours souriant!... En arrivant dans le local, après avoir garé son vélomoteur sous le garage ouvert, Vincent s’était étonné d’y trouver Mireille en train d’accomplir des mouvements d’assouplissement. Elle était vêtue d’un T-shirt à manches courtes et se terminant au-dessus de son nombril, et d’un caleçon d’entraînement sportif. Aux pieds, elle portait des ballerines de gymnaste. Comme il restait debout adossé à la porte, Mireille lui parle. - Entre, Vincent, Frédérique va avoir un petit peu de retard, nous allons l’attendre ensemble. Viens avec moi échauffer tes muscles!... Vincent se souvenait que plus tard Frédérique lui avait dit qu’elle avait demandé à sa mère de l’informer qu’elle aurait une heure et demie au moins de retard parce qu’elle devait retourner au Lycée chercher des documents qu’elle avait oubliés. Au lieu de prévenir Vincent, Mireille était venue intentionnellement à La Longère pour la rencontrer! Pour le piéger! Il était allé au vestiaire pour se débarrasser de sa parka, ses boots, son jean et son pull à col roulé. Il avait gardé son slip de bain, son débardeur et avait enfilé ses pieds nus dans des tennis. De retour dans la grande salle, il avait rejoint Mireille dans le ring et le plus sérieusement du monde l’avait accompagnée dans ses mouvements d’assouplissement. Il faisait chaud dans la pièce... Au bout d’un moment, Mireille avait fait une proposition: - Veux-tu faire un bras de fer avec moi? À plat ventre, cela va nous reposer en même temps que cela va échauffer nos muscles. L'avant-bras de Mireille était un peu plus long que celui de Vincent. Elle pliait facilement son poignet et retournant sa main le renversait à chaque fois malgré toute la résistance qu’il déployait. Ensuite, la mère de Frédérique a offert: - On fait la même chose sur le dos, avec les jambes? - Et comme il n’osait pas refuser ni accepter, elle a ajouté, Je vais ôter mon caleçon, car la transpiration le rend gênant! En dessous elle portait un slip de bain fait de deux triangles reliés par un cordonnet noué sur chacune de ses hanches. Vincent avait pensé que son propre slip de bain tenait à sa ceinture par un cordon passé dans l’ourlet et noué sur son ventre. La lutte est encore plus inégale! Mireille disposait dans ses hanches d’une puissance très supérieure à la sienne. Assis en tailleur, essoufflés et en sueur, ils avaient repris leur souffle. - Frédérique n’arrive toujours pas! Simple constatation de la part de Vincent. - Elle ne va pas tarder maintenant... Veux-tu que nous essayions quelques prises? Frique dit que tu es très fort et que tu la bats bien souvent, j’aimerais voir ta force, tu ôterais mes doutes! La flatteuse jouant avec l’orgueil du jeune coq, et aussi misant sur une certaine forme de provocation pour l’amener là où elle veut. Vincent hésite, rougit de confusion... - Oh Madame, Frédérique exagère toujours un peu. Et puis... lutter avec vous! Je ne sais pas... - Allez, pas de scrupules Vincent. Je te fais une prise et tu essaies de te libérer. Après quoi on renverse les rôles. C’est tout simple. Juste ce qu’on a fait maintenant! Tout en parlant elle s’approche de lui à quatre pattes, le saisit en passant son bras droit autour de sa tête et l’allonge sur le dos alors qu’elle se trouve à plat ventre à son côté. Vincent repousse le coude et le bras en faisant des bonds avec son bassin et réussit assez facilement à se libérer!... Maintenant qu’il y songe, elle a dû laisser aller pour le mettre en confiance... Il lui fait la même prise. Pour se libérer elle se tourne sur le côté, vers lui, saisit sa tête et force de tout son poids en se mettant sur un genou. Vincent est obligé de lâcher, car son épaule travaille en arrière. Suivent alors un certain nombre de prises, ciseau à la taille, ceinture avant, ceinture arrière, Nelson... Vincent n’a pas beaucoup de réussites, mais sur certaines prises Mireille ne réussit pas à se libérer. Alors, insidieusement, les prises s’enchaînent plus rapidement les unes aux autres. C’est ainsi qu’inconsciemment pour Vincent, mais bien intentionnellement en ce qui concerne Mireille, ils sont alors engagés dans une lutte à mains nues, au corps à corps!... Vincent se complaisait dans ses souvenirs de cette rencontre avec Mireille. Il se rappelait qu’il venait de lâcher une prise et se trouvait à quatre pattes. Mireille l’avait chevauché, lui encerclant les flancs avec ses jambes, puis elle s’était courbée sur son dos pour le prendre en dessous les bras et joindre ses mains derrière sa nuque. Il s’était redressé mettant toute sa force dans ses reins pour soulever le poids de la femme. Elle s’était laissé aller en arrière, sur son dos, maintenant sa prise. Vincent était bien immobilisé. Il avait besoin de souffrir, car Mireille avait enchaîné des prises, ne lui laissant aucun répit. Alors, il s’était laissé aller dans la prise, étudiant la position où il se trouvait et la façon dont il allait se libérer, ou tenter de le faire. À ce moment-là, il avait pris conscience que sa nuque était à dégager en premier et que dans sa position, Mireille aurait moins de résistance. Alors, il avait tendu ses bras à l’horizontal, avait tiré son torse en avant en baissant ses bras tendus. Les doigts enlacés de Mireille avaient glissé. Comme lui, elle voyait clairement la manoeuvre. Alors, elle avait lâché ses mains et avait en un éclair amené ses avant-bras sur la poitrine du garçon, agrafant ses mains ensemble pour le bloquer contre elle. Loupé!... Il lui avait fallu à nouveau retrouver sa respiration, il s’était décontracté, et il avait senti sous sa nuque la souplesse accueillante de la poitrine de son aînée!... Douceur et chaleur!... Vincent se perd alors en pensée dans les souvenirs des seins magnifiques, si ronds, si horizontaux, aux mamelons si longs et beaux, et avant, le souvenir de Mireille se déshabillant devant lui dans la chambre vide au premier étage de La Longère. Cette réminiscence lui rappelle sa érection à l’époque, la réaction de Mireille, tendant sa main vers lui, et puis l’apparition de Frédérique en une tenue provocante, sa rapide masturbation «pour se finir», son éjaculation!... Vincent essaye de se concentrer dans la suite de sa lutte-test avec Mireille, alors qu’il est allongé sur elle, avec ses seins comme oreiller, ses bras qui enlacent son torse dénudé par le débardeur maintenant roulé sous son menton. Le ventre chaud de Mireille, ses cuisses dures qui serrent sa taille... Il avait commencé à réagir. Il avait senti dans son corps cet état d’excitation, son coeur qui pompe plus fort, son appareil digestif qui se crispe, et surtout ce brûlant désir qui descend dans le bas de son ventre. Il aperçoit son pénis qui gonfle et ses testicules qui vibrent dans le scrotum qui se ratatine!... Il avait décidé alors qu’il ne devait pas bander. Il fallait qu’il se libère coûte que coûte! De son côté, Mireille avait-elle perçu la modification chez son adversaire? Ou bien, elle aussi, était-elle en phase de récupération? Toujours est-il que d’un mouvement aussi violent que soudain, Vincent se tourne dans les bras et les cuisses qui l’enserraient pour se retrouver à plat ventre sur la femme... Mais toujours tenu! Alors dans le même mouvement il se met à genoux, il prend appui des deux mains au sol, il ramène ensuite son bras droit sur le visage de Mireille et, appuyant de toutes ses forces, il libère son torse; puis, en faisant un quart de tour de sa poitrine, envoyant sa main gauche entre les cuisses de son adversaire et luttant avec ses propres jambes, il réussit à se libérer. Il se préparait à se relever lorsqu’elle avait empoigné une de ses chevilles et l’avait fait retomber à plat ventre contre elle. Elle s’était toute enroulée au tour de son corps: elle lui passe un bras autour du coup, pressant sa tête contre la sienne, presque bouche à bouche, ses cuisses encerclent de nouveau la ceinture du garçon, et de l’autre main elle lui prend une épaule, forçant sa poitrine contre son sein toujours couvert par le T-shirt. Il avait inconsciemment touché les cheveux de Mireille, mais il s’est défendu de les saisir et tirer. De l’autre main, prise entre les deux corps, il trouve un sein chaud, puis trouve appui plus bas sur la masse musculaire sur l’estomac de cette femme gaillarde... Il se mettait progressivement à quatre pattes soulevant son adversaire toujours au-dessous de lui, et qui s’agrippait à lui de tous ses membres. Il lui faut dépenser toute sa force pour se mettre debout, ses lèvres se frôlent par un moment, puis le paquet se délie, Mireille prend appui sur ses pieds et, d’un revirement, prenant le cou du garçon à deux mains, le fait valser autour d’elle, avec l’intention de le ramener au sol, peut-être lui tombant dessus... Vincent agrippât des deux mains le liseré du T-shirt devant soi, l’empoignât de chaque côté, et s’en était servi comme point d’appui pour basculer la femme sur le côté, au même temps qu’il devançait une cuisse entre celles de l’adversaire pour la faire trébucher. Mireille allait tomber en arrière, elle lâche ses prises et, en se redressant et fuyant en arrière, le torse penché en avant, le T- shirt glisse par dessus sa tête et le long des bras, restant dans les mains de Vincent qui, à son tour, presque tombe en arrière! Les deux lutteurs se relèvent. Vincent regardant hébété le T-shirt blanc dans sa main gauche, Mireille se ruant sur lui en vitesse, le prenant en ceinture avant, écrasant ses magnifiques seins nus sur sa poitrine! Il prend connaissance de la chaleur renouvelée qui émanait de son adversaire, laisse tomber le court vêtement, et avant qu’il puisse se concentrer en ce qu’il fallait faire, Mireille le soulève comme un fétu de paille et le projète au tapis, sans le lâcher, pour venir s’écraser sur lui allongée de tout son corps! C’était douloureux, Vincent était un peu sonné, et il tarde à réagir. L’attaquante avait profité pour modifier sa prise, un bras après l’autre elle avait tâtonné le long des deux corps au niveau des hanches, il cru d’abord qu’elle venait prendre contrôle de ses mains allongées contre son corps, mais non, elle venait de dénouer les deux filets de son slip!... Avant qu’il ne réagisse, elle rampe sur sa poitrine, roulant de nouveau le débardeur de Vincent jusqu’au col. D’un coup, le jeune homme avait son nez entre les masses prodigieuses des seins de la lutteuse, sa tête bloquée par les bras de Mireille, et son sexe écrasé par une cuisse, qui se démenait sur lui, probablement pour mieux sentir la tige du garçon!... Un ricanement mal réprimé arrive aux oreilles vrombissantes de Vincent au même moment que son sexe avait du mal à se dresser, se gonflant et se raidissant dans le slip tendu, et contraint par la cuisse ondulante de Mireille, qui continuait son frottement. Là, dans la tiédeur de la chambre à coucher de Frédérique, Vincent comparait ce moment passé avec la mère de Frique à celui que l’on vit lorsque dans le silence d’une pièce on s’abandonne, on fait le vide en soi... Alors, on perçoit tous les bruits environnants que l’on entendait avant sans se rendre compte, par exemple le «tic-tac» répétitif d’une horloge, si ténu est-il, ces bruits deviennent importants et annihilent tous les autres, et deviennent la seule chose que nos cinq sens ressentent!... La face enfouie dans la touffeur des seins de la jeune mère, le sexe masturbé par une cuisse veloutée mais ferme, son thorax écrasé par le ventre nu de la lutteuse, il s’était passé en lui un brusque changement de comportement: d’un seul coup, il percevait son corps de femme!... Vincent prenait conscience de la peau, de la chair, des muscles, du parfum... Des parfums, de sa respiration, de sa transpiration, de chacune de ses pulsations cardiaques et de chacun de ses mouvements musculaires... Il n’était pas écrasé sous le poids d’une femme solide, il était pénétré d’une femme splendide!... Alors, ses mains étaient parties à la découverte de la belle Amazone qui le dominait. Elles parcourent le dos, les hanches, le haut des cuisses, les fesses dont elles devinent la nudité, elles s’égarent vers le sillon qu’elles n’osent pénétrer, en dépit que leur défense était un string futile, enroulé entre leurs jambes... Que lui importait maintenant le combat-jeu? La gladiatrice ne pouvait ignorer qu’elle l’avait vaincu, mais elle voulait lui porter le coup de miséricorde!... Elle continuait ainsi de faire rouler la hampe virile devant sa cuisse... Vincent voulait être nu aussi, pour que sa hampe raidie porte le drapeau blanc qui signalerait son abandon dans l’arène du plaisir!... Sa verge lui faisait mal soudain... Oh oui, elle n’était pas dans sa position d’aise, le slip la coinçait du côté droit, alors qu’elle est légèrement cambrée vers la gauche. Mireille maintient sa position dominante, et fait onduler son ventre et ses seins sur lui! Il souffle comme un phoque, il essaye de la repousser... Elle l’étouffe, elle l’écrase de plus beau, alors qu’il voudrait être à l’aise pour bander, et jouir!... Parce qu’il sentait que son désir sexuel se transformait progressivement en un impérieux besoin de jouissance, une aspiration à une délivrance de ce tourment doux!... Il avait grogné quelque chose, essayant de dire qu’elle lui faisait mal. Immédiatement, Mireille s’était soulevé, mise à quatre pattes au-dessus de lui. Le temps qu’il prenne une bouffée d’air frais, et qu’il sente son pénis se détendre comme la corde d’un arc, prenant une position qui le soulageait, et Mireille s’était avancée au-dessus de lui, lui avait mis les bras allongés à côté de sa tête, et s’était agenouillée sur ses biceps. Il était à nouveau dominé, la tête encadrée par les deux puissantes, et une vision très rapprochée de ses yeux et de son nez, à leur jonction, une longue fente charnue!... Le temps ne comptait plus, dans la contemplation de l’origine du Monde (*)... Surmontée d’un élégant buisson de poils noirs, elle était couverte d’une peau brune presque foncée, formant deux ourlets épais, entrouverts sur des chairs plus rosés et brillantes d’humidité... Et en haut, juste en dessous des poils, un autre ourlet de chair, comme un tube, rembourré d’un gonflement en son milieu... Il avait senti la femme s’avancer encore plus sur lui par petits mouvements de ses genoux, alternativement à gauche et à droite, et il voyait toutes ses chairs s’animer en même temps, s’entrouvrir un peu, suinter un peu plus, puis se refermer sur les secrets intimes. En même temps, il prenait conscience aussi de l’odeur qui suintait de ce sexe féminin qui s’approchait douce et implacablement pour engouffrer son visage... Alors, il avait replié ses bras en dépit de la douleur, saisi les cuisses de Mireille comme il avait pu, pour trouver un point d’appui et lever un peu ses épaules et lancer sa tête en avant, darder sa langue à l’assaut du vagin offert!... Il avait heurté les chairs avec son nez, alors il avait cambré son cou pour mettre sa bouche au contact. Mireille avait valsé son bassin d’un côté et de l’autre, ouvrant son vagin volontiers sur la bouche avide... La langue cherche d'elle-même, trouve et pénètre la fournaise... Il avait trouvé une tendresse âcre, forte... Il cherchait un souvenir similaire... De la pulpe de coco? de la canne à sucre? du navet? Il s’était trouvé idiot. Puis, il se concentre dans un son qu’il croit entendre... La voix, un grognement ou un gémissement de Mireille! Il avait reculé son visage pour respirer, il pu regarder au-dessus de lui, car elle avait posé ses mains au sol, pour le soulager un peu, et elle le regardait et lui parlait. - Quoi? bredouilla Vincent, enivré de désir et mal remis de sa chute. - Vas-y doucement... Avec la pointe de ta langue, lèche sous le clitoris... Bon élève, il s’était replongé dans les chairs ardentes. Du plat de la langue, il était reparti de très loin, de très bas, près de l'anus, car Mireille avait relevé une jambe et reculé sa cuisse pour lui donner plus d’accès à son corps - et il avait remonté lentement sa langue bien à plat pour tout caresser. Il avait atteint le sommet... Et avec la pointe de la langue il avait creusé dans le repli du sommet, et il s’y était heurté à un petit morceau de chair très ferme, presque un petit pois!... Il avait ressenti une décharge qui était descendue de sa langue à son pénis, devenu maintenant un tuyau d’airain, long et dur!... Et pourtant d’une chair vivante, pleine de muscles bandantes, prête à cracher sa semence. Sur lui, il ressentait les palpitations et les élancements de la femme, faisant danser son bassin à la rencontre rythmique des reins qu’il soulevait du tapis, comme pour mieux happer sa langue... Mireille elle aussi avait vibré de tout son être, il avait perçu un frisson dans les cuisses et le sexe de la femme, puis un tremblement qui agitait la guerrière en spasmes de haut en bas... Comme si elle le chevauchait! Il avait reculé son visage pour mieux voir, et respirer, mais elle lui demandait d’une voix rauque et d’un ton impérieux, «Continue! Allez! Vas-y!...» Et comme Vincent retournait à l’assaut du clitoris avec la pointe de sa langue, il avait senti Mireille bouger au-dessus de lui... Elle s’était redressée et faisait un quart de tour sur elle- même et lançait sa main droite à la recherche du membre du garçon. Elle avait du mal à introduire sa main sous le caleçon, car le filet noué autour de la taille du jeune homme n’avait aucune élasticité. Elle essayait de la dégrafer sans succès, puis elle faufile sa main à l’intérieur, sans vraiment arriver à prendre la hampe durcie, mais toujours glissée entre le nylon du slip de bain et la toile de propreté qui se trouvait à l’intérieur. Mais ses efforts pour sortir le pénis à l’air libre, s’ils ont échoué, ont quand même produit des résultats. En accentuant la pression sur le bas ventre, en écrasant la verge et le gland entre les deux tissus tendus du slip, coiffant et décoiffant le prépuce tumescent, les doigts de Mireille ont ouvré tant et si bien une sorte de masturbation maladroite qu’une marée de lave incandescente jaillit du ventre de Vincent dans les doigts de la femme! À ce moment, il avait engouffré à pleine bouche et le capuchon, et le clitoris! Il a raison de son réflexe de ne pas serrer ses dents sur le petit pois féminin, et au contraire, de bonne raison il ouvre grande sa bouche et darde sa langue à saccades dans les profondeurs du vagin. Il se souvenait maintenant de leurs spasmes de plaisir simultanés, de leurs secousses accompagnées de grognements et de gémissements de bêtes assouvies... Son manque d’expérience l’avait conduit à se détendre et à se satisfaire de cet acte incontrôlé, mais Mireille n’entendait pas en rester là!... Alors qu’il restait allongé sur le dos, elle s’étend couchée sur le côté près de lui, tête bêche. Elle s’était évertué à lui ôter son slip après avoir dénoué le cordon, et il l’avait aidé en soulevant les fesses et relevant les jambes. Aussitôt, elle avait engouffré dans sa bouche le pénis encore gonflé et gluant, qui sous la caresse linguale, un peu râpeuse, puis douce de salive chaude, avait très vite retrouvé son volume, sa raideur, et ses vibrations! Plongé dans ses souvenirs, son phallus avide était maintenu par deux de ses doigts qui pincent le prépuce, protégeant le gland, mais Vincent a des difficultés à conserver son calme!... Une autre main passe sur son estomac et descend vers sa cuisse et agrippe la hanche à sa base... Mais il ne peut pas être sa main gauche, car il l’a passé hors des draps tout à l’heure! Alors, c’est Frédérique qui en s’éveillant vient participer au fantasme de son mec! La main droite de Vincent bat en retraite devant la détermination de la jeune fille endormie et elle prend possession de hampe de la bannière fière de son ami et amant qui passe d’une excitation difficile à maîtriser à pleine effervescence. Les pulsations de la verge animent la fille à se relever un peu, tandis qu’elle baisse sa tête sous les draps pour lui mordre un mamelon. - Scout toujours!... Dit-elle d'une voix somnolente. - Stoppe Frédérique! Arrête s’il te plaît! Je suis prêt à jouir... Je me viens... - Je m’en rends compte toute seule! Dans qui rêvais-tu donc pour atteindre un tel degré d’excitation? Es-tu en train de me tromper avec cette putain de Sandrine? En disant ces mots, pour prévenir toute révolte à la suite de sa remarque, Frédérique vient se lover sur son mec en le bécotant un peu partout. - Je revivais l’aventure que j’ai vécue avec ta mère le jour où elle m’a piégé dans le ring, l’après-midi où tu étais absente. - C’était donc si bon que cela? - Je te mentirais si je disais non!... Mais pour être totalement franc, je peux dire que c’était surtout instructif!... - Et où étais-tu rendu dans tes souvenirs de cette partie de baise? - Tu veux vraiment que je te dise?... Tu vas encore me massacrer de jalousie! - Non, sincèrement... J’ai dépassé ce stade... Je pense avoir compris. Alors raconte. Tiens, pour te prouver... Viens... Prends-moi! Et tu vas me dire tout bas, au creux de l’oreille... En me faisant l’amour!... - Oh! Frédérique!... Si je ne te connaissais pas, je dirais que tu es vicieuse... - Peut-être te reste-t-il des choses à découvrir, pour bien me connaître! Allez, viens... Et puisque c’était... «Instructif», récite donc ta leçon! Maintenant qu’ils sont tendrement enlacés, Vincent résume très brièvement son arrivé, les échauffements et puis la lutte, le déshabillage progressif de Mireille, et puis sa première faiblesse... - Tu es arrivé dans mes souvenirs où après avoir ôté mon slip, elle venait de m’engloutir dans sa bouche et par les maniements de sa langue, elle exacerbait à nouveau ma virilité, m’amenant à un nouveau paroxysme. À ce moment, j’ai ôté mon T-shirt toujours roulé sur ma poitrine. Je me sentais prêt à éclater, je poussais mon bassin en avant comme pour m’enfoncer dans sa gorge. En retombant, mes fesses claquaient sur le tapis. Elle m’a abandonné, s’est redressée... - Doucement!... Du calme!... Va doucement, lentement... Elle s’est mise sur le dos et m’a attiré sur elle, mes jambes jointes entre ses cuisses écartées... Je me suis soulevé pour la pénétrer! Alors, elle m’a saisi... - Attends, ne bouge pas, laisse-toi faire... Elle a utilisé mon gland pour écarter ses lèvres, ouvrir son vagin... Elle l’a fait glisser de haut en bas sur toute la longueur de sa vulve... Sans appuyer... Une caresse dans les chairs tendres, douces, chaudes... Longtemps. Puis, elle a positionné le bout à l’entrée du vagin. - Doucement... Enfonce... Tout doucement!... Je descendais dans un fourreau bouillant qui semblait s’ouvrir devant moi! J’étais toujours en appui, bras tendus. Nous étions yeux dans les yeux... Je sentais dans mon pénis monter les pulsations du plaisir! C’était puissant. - Ne bouge plus, arrête... - Et puis, quand elle a senti le calme revenir un peu en moi, elle m’a dit, Sans bouger ton sexe, repose tes bras, l’un après l’autre, plie les coudes... C’est bien. Maintenant laisse-toi aller sur moi... Là... Oui, comme ça!... Maintenant doucement, enfonce-toi à fond... Non, doucement!... Et puis reste sans bouger. Tu es bien? J’ai fait «han-han», alors elle a commencé à serrer tout doucement la gaine de son vagin sur mon pénis, j’ai eu l’impression que c’était sur toute la longueur, et puis elle a relâché, et puis resserré, et encore, lentement, longtemps... - Comme cela? - C’est Frédérique qui questionne, en reproduisant les contractions vaginales que Vincent lui décrit, réussissant à maîtriser l’action des muscles constricteurs de son vagin. - Oh Frédérique!... Oui, c’est magnifique!.. Oh mais non, pas si vite... Et serre moins fort, progressivement... Oui, c’est ça... Plus longtemps... Oh oui!... Oh... Oh Frique! Arrête.. Je vais... Je vais... Oh oui... C’est bien cela... Si tu savais comme c’est bon!... Je t’adore, Frique! - Moi aussi! Mais continue de raconter. - Et bien, tout d’un coup, ta mère a senti que j’allais jouir, elle s’est arrêté comme je t’ai demandé, mais elle s’est mise à me serrer, de plus en plus fort et je ne pouvais plus bouger!... Ça me cuisait et ça m’irritait énormément, au point que c’est devenu insoutenable à la longue. J’avais beau lui demander de me lâcher, elle ne bougeait pas! Je ne pouvais pas voir son visage, elle m’avait enserré la poitrine entre ses deux bras, j’étais bloqué contre elle et dans elle. J’ai crié, imploré et puis je l’ai insultée!... Je ne sais plus très bien ce que j’ai dit... - Moi, je sais, j’étais arrivé un moment avant. Tu l’as traitée de vieille putain dégueulasse, de garce, de salope... Je crois que tu as dit de «bique à légionnaire», c’est ce que j’ai compris, ça m’a choqué!... Et puis elle t’a parlé tout bas après... - Oui, elle m’a dit quelque chose comme «Je vais te libérer, alors fais attention, ne bouge pas tout de suite... Quand je te dirai, tu remonteras tout doucement et puis tu te renfonceras doucement aussi, et puis tu recommenceras en allant un tout petit peu plus vite, mais très progressivement... D’accord?» Alors, elle m’a relâché, j’ai fait comme elle a dit, c’était brûlant, cuisant. J’ai eu mal la première manoeuvre et puis j’ai senti que je plongeais dans un fourreau gluant qui adoucissait mon irritation, et quand je m’enfonçais, j’entendais un clapotis énorme!... J’ai entendu mon ventre qui claquait contre le sien et un bruit de succion quand je me suis soulevé... C’était... C'était plus que je ne pouvais tenir. Assourdi par le bruit de mes tempes, j’ai éclaté... J’ai dû crier de plaisir... Je ne sais plus. J’étais... Ailleurs!... Je ne sais rien des réactions de Mireille. J’étais trop plongé dans la jouissance pour savoir ce que faisait l’autre!... J’ai repris conscience sous l’effet de la douleur, engendrée par les coups de pieds que tu me lançais dans le flanc, comme tu le faisais aussi à ta mère! - Oui, j’étais entrée dans le ring, folle de rage de vous voir accouplés ainsi! Avec le recul du temps, je crois que ma jalousie du moment était surtout due au plaisir que vous aviez, vous étiez vraiment transcendés dans vos orgasmes!... J’étais jalouse du plaisir que tu donnais à ma Mère et du plaisir que tu prenais avec elle... Moi aussi j’étais au delà de tout esprit logique, j’étais submergée de haine... J’avais envie de détruire... Tuer peut-être, je ne sais pas... Inondée non seulement de violence, mais de brutalité.. De bestialité!...J’ai peur lorsque j’y repense. Si maman n’avait pas réussi à me maîtriser et me calmer, je n’en sais pas ce que j’aurais pu faire, jusqu’où je serais allée! Tout en parlant à mi-voix, Frédérique avait puissamment enlacé Vincent, son buste avec ses bras, ses hanches avec ses jambes!... Et consciemment ou involontairement, elle s’était contractée intérieurement, y compris son vagin!... - Tu me fais mal, Frique!... Tu es aussi forte que ta mère... Veux-tu jouir aussi? - Oui, comme elle!... Je vais te lâcher doucement, fais la même chose!... Alors, Vincent répète les mêmes mouvements, mais il s’est dressé sur ses coudes pour contempler les réactions de Frédérique, voir, lire, admirer la montée du plaisir dans les expressions des yeux et du visage de la jeune fille. Dans une parfaite harmonie, graduellement, leurs orgasmes progressent jusqu’à l’explosion... Ce moment où ils ne se voient plus après avoir perçu le voile qui envahissait les yeux de l’autre! Explosion chez Vincent et implosion chez Frédérique, puisque simultanée, violente et brutale chez lui, une progression comme la lave qui bouillonne et déborde sans retenue de l’ourlet du cratère chez elle. Longtemps après, Frédérique est encore agitée de spasmes du plaisir, écrasée par la masse inerte du jeune homme, repu, épuisé!... Et puis sans bouger, Frédérique reprend le fil du récit interrompu!... - J’avais vu ton vélo en arrivant, je savais que tu étais là. En entrant j’ai ôté mon casque et ma combinaison de moto. Puis, je me suis tourné vers le ring. Je t’ai vu nu, allongé sur quelqu’un!... J’ai été stupéfiée, choquée!... Je me suis approchée lentement. J’ai vu que tu étais immobile, ta tête cachait le visage de ta partenaire. Seules ses hanches semblaient animées d’une légère crispation! Mais j’ai bien vite reconnu la teinture des cheveux de ma Mère!... J’étais affolée!... Je sentais la colère monter en moi!... Brusquement, j’ai transpiré, une suée m’a inondée comme on dit! J’ai enlevé mon pull de grosse laine mohair à col roulé blanc... Il faisait chaud dans le local, le seul bruit était celui du flux d’air conditionné. “J’étais arrivée aux cordes... À ce moment, tu as demandé qu’elle te lâche, tu lui as dit que tu souffrais et au bout d’un moment tu t’es mis à l’injurier!... C’était à la fois inquiétant et un peu rassurant pour moi... Cela me troublait... Et puis elle t’a parlé tout bas... Et tu as commencé à t’agiter... J’ai compris que vous faisiez l’amour!... J’ai eu une espèce d’étourdissement! Une bouffée de violence m’a submergée et en même temps j’ai ressenti des contractions et des élancements dans mon ventre et mon sexe... Comme un orgasme!... “Elle a commencé à gémir, puis à crier de plaisir!... C’était terrible pour moi, atroce à supporter. J’ai disjoncté, j’ai perdu la raison! Je suis entrée dans le ring, et je vous insultais en vous lançant des coups de pied, sans retenue!... J’étais vraiment dans un état de folie. Et lorsque tu t’es relevé, ta verge encore gonflée et tendue, luisante de semence et de sucs, j’ai été bouleversée... J’ai trouvé ton aspect... vulgaire... obscène!... J’ai crié sur toi, après toi... Je ne sais plus!...” Frédérique se tait, émue, frissonnante dans ses souvenirs. Et c’est Vincent qui reprend la parole. - Moi, je peux te dire, car je suis marqué à tout jamais par la suite des événements... Car je n’ai perdu à aucun instant le spectacle ahurissant que tu as présenté avec ta mère!... - Raconte-moi alors, dis-moi tout, j’ai besoin de savoir! - Entrer dans tous les détails et dans l’ordre chronologique ce n’est pas possible. Mais il y a certaines actions, certaines scènes ou certaines émotions qui peuvent résumer assez bien toute l’action...Et puis si j’en oublie, j’ai la possibilité de te les dire une autre fois... Si cela t’intéresse encore!... “Bon alors, lorsque je me suis relevé tu étais vêtue de tes bottes de cuir noir arrivant à mi- mollets, sur des bas nylons à bande élastique serrée en haut des cuisses, et ta petite jupe de chevreau noir. Tu m’as donné des coups de poing dans la poitrine en me traitant de salaud, «le pire des salauds» tu as dit... Et puis tu m’as renvoyé, «Fous le camp, va-t’en, je ne veux plus de toi»... Je suis allé dans le vestiaire en récupérant mes vêtements, mais j’ai laissé la porte entrouverte... “C’est alors que tu as poussé ce cri aigu, immense, qui m’a percé les tympans... «Touche pas à mon mec!» et j’ai pu voir la suite des événements. Tu étais tournée vers ta mère, elle avait encore un genou au sol, et tu lui as envoyé un coup de pied du bout de ta botte qui l’a atteinte entre les seins. Elle a remit son autre genou au sol et tu as relancé ton pied, mais elle l’a saisi et elle t’a fait tomber en arrière!... Vous vous êtes remises debout ensemble. “Elle te disait, “Frédérique, écoute-moi! Je vais t’expliquer, tu vas comprendre, mais écoute! Ce n’est pas ce que tu crois!... Écoute-moi à la fin!» Et elle reculait devant toi qui la poursuivais autour du ring!... Mais tu semblais sourde. Tu lui envoyais des coups de poings vers le visage, mais elle parait les coups qui arrivaient sur ses bras ou ses épaules! Et puis progressivement tu t’es mise à l’invectiver, la traitant de tous les noms et des plus obscènes qui soient. Je ne pensais pas que tu pusses émettre de telles injures!... Mais c’est certain que lorsque je voyais ton visage, tu avais une expression de sauvagerie bestiale. Ce n’était plus du tout toi!... Ta peau était creusée sur tes joues, tes pommettes étaient saillantes, ta bouche dont les lèvres semblaient relevées sur des crocs serrés avait un aspect féroce. Ton regard exprimait une cruauté impitoyable. Ton cou semblait ramassé entre tes épaules comme un félin en chasse! Et l’ensemble de ton aspect, torse nu, les bras pliés, poings serrés, les biceps contractés, les deltoïdes et les trapèzes saillants sous la tension... Cette demi-nudité associée à l’ensemble noir de la jupe de cuir, les bas brillants et les bottes de cuir à petits talons te donnaient l’allure d’une Amazone guerrière, une aura de puissance impressionnante. Tu étais splendide de force et de beauté. “De plus face à la totale nudité de ta mère, il y avait une touche de sadisme. J’ai pris intensément plaisir à te contempler... À vous admirer! Ma libido a été de nouveau exacerbée et j’ai retrouvé une totale érection et un désir sexuel puissant, un impétueux besoin de rejoindre le plaisir sexuel. Ce qu’il y avait de curieux c’est que ta mère se protégeait, mais elle ne répondait à tes attaques. Je l’entendais dire, «Arrête Frédérique... Ne fais pas cela... Nous devons nous expliquer...» À chacune de ses demandes tu cognais encore plus fort, et tu disais d’une voix méchante, «Touche pas à mon mec!» “Tu avais amené ta mère dans un angle du ring et tu avais réussi à envoyer une de tes mains saisir une bonne poignée de cheveux. Tu t’en es servi pour amener son visage à la porté de tes coups de poing de l’autre main, et tu continuais de lui cracher au visage, «Touche pas à mon mec, touche pas à mon mec!» Elle t’a saisi le poignet de la main qui la tabassait, alors tu as cherché à lui donner des coups de genou, mais ta jupe trop étroite limitait ton action de ce côté. Alors, méchamment, tu as écrasé ses pieds nus sous tes bottes. Elle a crié et t’a repoussée en forçant de ses deux mains à ta taille. Vous vous êtes légèrement décollées de l’angle du ring. À ce moment, tu l’as saisie des deux mains aux cheveux. Tu l’as pliée en deux en appuyant sur ta prise. Tu l’as bousculée en tirant sa tête de gauche à droite et vice- versa, l’envoyant balader d’un côté et de l’autre par tes tirades violentes. “Jusqu’à temps que tu l’amènes au tapis, à genoux d’abord, et puis tu l’as bousculé sur le dos. Vivement, tu as lâché ta main droite et tu lui as envoyé plusieurs coups de poings à la face et au cou. Elle s’est encore protégée avec son bras, puis en pliant un genou devant son visage! Alors, tu as cogné un peu partout où tu pouvais, l’épaule, la cuisse, les cotes. Et tu criais toujours, «Touche pas à mon mec!» tandis que ta mère, sous le déluge de coups rapides que tu lui portais, avait cessé de te parler. “Et puis tu essayais de t’installer sur elle, de la chevaucher un peu n’importe comment, mais sans grand succès! Enfin, elle a réussi à se tourner à quatre pattes. Tu la contrôlais toujours avec une main enfoncée dans sa chevelure. De l’autre tu as cogné son dos, sa nuque, ses épaules. Elle se protégeait de ses mains, qu’elle levait au niveau de ses épaules. Tu étais à cheval sur ses reins, te cramponnant à ses cheveux parce qu’elle essayait par des mouvements de hanches de te désarçonner! Et comme tu écrasais ta poitrine sur son dos à la suite d’une secousse, ton poing droit qui cherchait ses côtes est venu cogner le côté de son sein droit!... Alors, tu t’es lancée dans un rapide bombardement de cette nouvelle cible. Elle a crié de nouveau, «Aie!... Arrête Frédérique, tu me fais mal!... Aie!... Aie!...» À chaque coup que tu lui portais. J’ai vu ton visage un instant, tu arborais un rictus de satisfaction! Ta jupe était retroussée très haut au-dessus de tes cuisses écartées, laissant voir la dentelle élastique qui les ornait, et le slip noir bien évidemment. C’était très érotique, j’aurais aimé pouvoir me gorger longtemps de cette vision, mais ta mère a fait basculer votre assemblage sur le côté gauche, en hurlant «Petite salope, tu me fais mal!», et elle a rué des jambes pour finalement se relever. “Mireille était trempée de sueur, échevelée et tenait son sein droit que tu avais certainement blessé. Elle t’a crié en se reculant, «Mais vas-tu arrêter, petite salope?... Ou veux-tu que je te rende tes vacheries?» Tu étais bouche bée, cherchant à te débarrasser de ta jupe qui était roulée en boule à la taille et sur ton ventre. Il semblait que tu ne trouvais pas les agrafes!... Ta mère a fait un mouvement vers toi. Alors, tu as pris une position de défense, suspendant ton travail à ta ceinture, et tu lui as crié, «N’approche pas Mireille!... Laisse-moi défaire ma jupe, salope, et on va régler ça femme contre femme!» Ta mère a marqué le coup, tu l’appelais par son nom de femme, pas maman chérie... Elle ne s’approche plus, et demande à son tour: «Enlève tes bottes aussi, si tu veux te battre au corps à corps dans ce ring!» Mais tu t’es contentée de rire grassement sans obtempérer... Finalement, tu t’es retrouvée face à face avec elle, toi en petit slip et bas noirs, et tes bottes d’Amazone, hautaine et puissante, ta mère nue et échevelée, en sueur et marbré de coups, passive et résigné à se battre. Fascinant!... “Alors avec précaution, comme des lutteuses professionnelles, vous vous êtes rapprochées au centre du ring. Comme en un éclair tu as lancé ton pied droit botté vers l’entrecuisse de ton adversaire, mais ta mère a resserré sa cuisse gauche pour se protéger en amorçant un quart de tour vers sa droite. Tu as violemment cogné sa cuisse avec ta botte y marquant une estafilade perlée de sang. Elle a crié, «Sale garce, tricheuse!» et s’est précipitée sur toi. Vous vous êtes empoignées par les cheveux, d’une main d’abord, têtes baissées, vous envoyant des coups de poing de l’autre main aux seins et au ventre de l’autre guerrière, tout en vous faisant virevolter l’une autour de l’autre. Ce ballet endiablé, rapide, était marqué de vos «Han» et «Aie» fréquents, quand vos cibles étaient atteintes en plein... Et puis tu as cherché à cogner de tes pieds, en direction des tibias. Ta mère a reculé, elle s’est accroché des deux mains à ta natte et vous êtes parties dans une sarabande encore plus effrénée pour vous projeter au sol. Vous avez trouvé les cordes, qui vous ont, l’une comme l’autre, sauvées de la chute à plusieurs reprises! “C’était enthousiasmant de voir les mouvements de vos muscles sous vos peaux dans les efforts déployés par toutes les deux, deux grands félins dans un combat singulier, sans autre règle que d’utiliser tous les moyens pour dominer! Et brutalement le caractère de cette beauté particulière s’est assombri quand j’ai songé que devant moi, dans ce combat acharné, il n’y avait pas que deux femmes, mais surtout la mère et la fille! La joie de mâle que j’éprouvais devant deux femmes qui se disputaient pour moi alors c’est un peu terni, mélangée avec une sorte de confusion embrasée. Mais votre affrontement se poursuivait. “Tu as réussi à la projeter au sol, sur son dos, toi dessus. Elle t’a soulevé de ses deux pieds et propulsé par dessus sa tête. Tu es tombée lourdement à plat dos, pieds dans les cordes. Elle s’est précipitée sur toi, essayant de prendre tes jambes pour les bloquer à l’aide des cordes. Mais elle t’a violemment boxé le côté de la tête en voyant que tes coups de pieds te libéraient... Tu t’es mise à plat ventre et tu lui as fui. Elle s’est jetée sur toi. Elle a réussi à prendre un de tes pieds, mais de l’autre, en te tournant, tu lui as donné un coup de talon sur l’oreille. Tu l’as presque mis KO et tu l’as saisie en prenant sa ceinture entre tes deux jambes dans un beau ciseau. Tu étais sur le dos, elle a pris appui sur ta poitrine pour se dresser et se dégager de ta prise. Elle a réussi à faire glisser tes jambes et s’est retrouvée enserrée entre tes bottes. Elle t’a plié, puis écrasée et finalement a réussi à ouvrir ton ciseau, en criant, «Sale petite putain, regarde ce que tu m’as fait avec tes bottes!... Enlève-les, salope, ou c’est moi qui te les arrache... En te cassant les pattes s’il le faut!» Même de loin, on pouvait voir que les fermetures éclair ou les tirettes des bottes avaient strié la taille de Mireille avec deux larges balafres! “Mais tu t’es remise debout, avec sur le visage un sourire mauvais, et sans rien dire tu t’es relancée à saisir ses cheveux et ses seins! Mais cette fois elle t’a vu venir. Avant que tu n’atteignes sa tignasse, Mireille t’a saisi l’autre bras et d’un tour de hanche, elle t’a projetée au sol,, elle a bloqué ton bras derrière ton dos, le relevant vers les omoplates et elle a fini de te tourner à plat ventre. Du tranchant de la main elle t’a assené une sorte d’atémi sur le côté du cou. Elle t’a sentie molle. Alors en s’asseyant sur ton bassin, tournée vers tes fesses, elle s’est allongée pour s’emparer de tes jambes qu’elle a pliées en arrière, l’une après l’autre. Elle a descendu le long de tes mollets les fermetures éclair et t’a arraché des pieds les bottes litigieuses qu’elle a lancées au loin. Et elle t’a coincé une jambe dans la pliure du genou de l’autre, elle a forcé, tiré vers elle, elle s’est soulevée en appuyant sur la jambe pour forcer le genou. Tu as hurlé je ne sais trop quoi. Elle t’a demandé, «Arrêtes-tu?» Et tu as répondu «Lâche-moi!» Ta mère a demandé encore, «Tu abandonnes?» Mais sans lui répondre vraiment, tu as dix d’une voix un peu plaintive, «Lâche moi d’abord!» “Ta mère t’a écoutée et s’est relevée. Tu as massé ton genou endolori. Relevée, pliée en deux, tu tenais toujours ton articulation douloureuse. Elle était devant toi, adossée aux cordes. «Tu abandonnes?» Je croyais que tu allais enfin admettre que tu ne pouvais plus continuer... Subitement, tu t’es rué dans elle, la tête la première, dans son ventre! Elle fit «Ouf!» et s’est courbée en deux, en ouvrant une bouche démesurée, et ses yeux aussi... Elle me faisait face et j’ai pu apprécier combien le coup l’avait assommée. Tu as profité de son inertie, pour la redresser et passer ses bras par dessus la corde supérieure. En tenant ses poignets, tu la bloquais. Alors, vicieusement tu t’es mise à lui porter des coups de genoux entre les cuisses, sur le pubis et la vulve. Elle se protégeait en déplaçant son bassin, en relevant ses genoux, mais elle ne pouvait pas être aussi rapide que toi. Puis, pour mieux la maîtriser, tu t’es appuyée sur elle, écrasant tes petits seins coniques sur ses deux belles masses rondes, et tu as cogné de tes genoux, au même temps que de tes mains tu lui massacrais les seins... Cela a pris des minutes, jusqu’à ce que l’effort et la fatigue peut-être t’amènent à appuyer aussi ton visage contre le sien. Elle a dû te faire quelque chose que je n’ai pas vu... Tu as reculé ta tête, et alors violemment elle t’a lancé un coup de boule, son front venant heurter ton nez! Cela t’a un peu assommée!... Tu as lâché tes prises sur elle, et tu t’es écartée aux reculons... Alors, Mireille délivre ses bras des cordes, elle te saisi à hauteur de la ceinture, et avec un grand effort, elle te soulève du ring et te laisse tomber sur son genou, alors qu’elle venait au même temps de poser l’autre au sol!... Ton sexe a cogné directement sur la rotule, et tu as crié de surprise et de douleur... “Mireille ta repoussée, et tu as roulé contre les cordes. Tu t’es assise, dos aux cordes, cuisses ouvertes, massant ton entrejambe, et groggy! Mireille a perdu quelques secondes à masser ses propres cuisses et son ventre encore endoloris par ton attaque précédent, puis elle s’est à moitié agenouillée sur tes cuisses, posant ses fesses sur ses propres talons et écrasant ton corps contre les deux cordes du bas avec sa poitrine. Tu as essayé de réagir, griffant ses seins... Avec sa tête posée sur ton épaule gauche, elle t’a donné un petit coup de tête de côté sur la pommette, et ordonna, «Ça suffit... Tiens-toi tranquille!...» “Vous êtes restées ainsi bloquées pendant un très long temps, certainement plus de dix minutes. Mon effervescence sexuelle s’est d’ailleurs un peu apaisée, je me suis détendu, puis au bout d’un bon moment je me suis impatienté de votre quasi-immobilité. C’est toi qui as tenté de te dégager en tirant sur tes bras et tes épaules, en secouant violemment ton bassin. Tu as procédé par des sursauts subits au milieu de mouvements d’inertie. Tu as proféré des onomatopées et des éléments de phrases n’ayant aucun sens apparent!... Je te regardais de côté, je ne voyais que ton profil droit et le profil gauche de ta mère. Je ne voyais pas sa bouche, mais il y avait des chuchotements... Puis, ta voix s’est élevée, mais pas celle de ta mère. Alors, je n’ai entendu que la moitié de votre dialogue! “«Non!... Et merde à la fin! Ferme ta gueule!... Dégueulasse! Tu es dégueulasse!... Non, non et non!... Alors, là!... Oui, alors là, qui est la plus putain des deux?... Quoi?...» Ce «Quoi?» est revenu à plusieurs reprises, et puis, déjà d’une voix plus contenue et par la suite, tu as dit, «Oui, je t’écoute!... Oui... Han, han!... Ah bon... O.K... Oui, oui... Oh oui!» Et je me suis rendu compte qu’imperceptiblement vous aviez changé de position! “Vous étiez assises sur vos talons, mais ta mère n’était plus sur tes cuisses, elle avait reposé les siennes sur te tapis entre les tiennes très écartées. Tes bras n’étaient plus pris dans les cordes, ils encerclaient le buste de ta mère et tes mains sont vite parties errer sur toutes les zones de son corps qui t’étaient accessibles. Elle tenait la corde du milieu de sa main gauche, bras tendu, et je ne pouvais pas voir son bras droit et, à plus forte raison, sa main droite, mais j’ai deviné qu’elle était en train de caresser ton bas-ventre et t’exciter!... Tu disais, d’une voix plus grasse et plus rauque à la fois, «Oui, comme ça... Vas-y!... Non, plus bas... Encore... Encore, plus loin... Encore, plus fort!... Non, vas-y, vas-y, n’arrête pas!...» Ton bassin était agité de mouvements que je connaissais, et ta respiration, puis tes soupirs qui devenaient des gémissements de plaisir, ne me laissèrent point de doutes. Ta main droite que j’avais vue escalader les seins de ta Mère, puis lui pincer, rouler et tirer ses mamelons, s’est rabattit sur ton mamelon droit, pour lui faire subir le même traitement! Ta tête rejetée en arrière, tu as joui... Beaucoup, fort, en gémissant très fort, sans crier, secouée de spasmes, de secousses... Depuis tes épaules, ton ventre et tes cuisses!... “Mon pénis était redevenu une tige d’acier, un sceptre de désir dédié à Vénus! Je me suis dit, «La vieille mère a gagné la deuxième manche aussi!» Mais que vous étiez belles! Que j’avais envie de toi!... J’étais sur le point d’aller vous rejoindre, d’aller vous séparer pour te prendre, lorsque ta mère s’est relevée. Elle a relevé tes genoux, libéré tes pieds et, comme on tire une brouette, elle t’a amenée sur le dos de façon à te libérer des cordes... Et puis elle s’est mise à quatre pattes au-dessus de toi en écartant tes cuisses, têtes bêches en position de 69, et elle a plongé sa tête entre le haut de tes cuisses, en amenant ses mains par en-dessous de tes fesses!... Alors, j’imagine, car j’étais trop loin pour voir ce qui se passait entre vous, qu’elle a dus te gouiner... Excuse l’expression mais je n’en connais pas d’autre!... De ton côté, tu as passé tes bras autour de ses hanches ou sur ses fesses et tu as soulevé ta tête et le haut de ton torse, et je pense que tu lui rendais toutes les caresses que sa langue te faisait!... Vous vous êtes aimées comme cela longtemps!... Et puis tu t’es trouvée tout le corps suspendu à elle, seuls tes pieds prenaient appui au sol, jambes pliées aux genoux. L’une et l’autre, vous étiez agitées de soubresauts, de saccades presque violentes!... Vos respirations étaient des soufflets de forge, fortes et accélérées! Ces respirations mélangées à des cris intérieurs, des ronronnements, des grondements!... Et puis vous avez dégagé vos visages pour laisser passer des feulements qui se sont transformé en un cri long, fin, aigu chez toi, et quelques secondes plus tard un cri rauque et guttural, presque bref chez ta mère!... “Tu t’es écroulée au sol comme une poupée de chiffon, ta Mère s’est écrasée sur toi quelques instants, puis elle s’est remise à quatre pattes. Elle a regardé vers la porte entrebâillée derrière laquelle j’étais caché, mon sexe dans un état de turgescence phénoménal, les couilles douloureuses, le coeur battant la chamade... Avide de sexe, de jouissance physique, violente!... Elle m’a fait signe de vous rejoindre. La fièvre m’envahit! Elle m’avait vu sans surprise, alors, elle savait que j’étais là, tout le temps!... Que j’avais tout vu, votre combat et votre jouissance, vos orgasmes!... J’ai suivi mon pénis érigé jusque dans le ring, encore tout nu, avec mes vêtements encore roulés en une trousse dans ma main gauche, oubliée bêtement dès que je vous ai commencé à regarder à travers la porte... “Tout bas, ta mère m’a dit, «Tu vas la prendre comme je vais te dire. Il va falloir bien te maîtriser, te contrôler. D’accord?» J’ai fait oui de la tête, incapable de parler, tant ma langue semblait sèche et épaisse dans ma bouche! J’ai laissé tomber mes affaires et je me suis approché de toi, tandis qu’elle s’agenouillait de chaque côté de ton visage, et commença à me donner des instructions, que tu as aussi entendu. «Passe-moi ses jambes» pour que je prenne tes chevilles, et dresse tes jambes vers ta tête. «Tu vas la pénétrer doucement!» Je me suis agenouillé, presque assis sur mes talons devant ton entrecuisse offert. Tu étais toute trempée, brûlante, tes chairs humides étaient d’un rose vif, presque rouge. J’ai eu peur de te faire mal, et j’ai regardé ta mère. «Vas-y.» Mon pénis trouve facilement l’entrée de ton vagin. Tu étais serrée, étroite, et ta mère l'a deviné... «Pousse lentement, tu vas descendre bien à fond, sans secousses.» Elle a tiré encore plus en haut sur tes chevilles, tu étais pliée comme une contorsionniste! «Cette position raccourcit le vagin... Tu vas aller doucement buter contre le col de l’utérus, et dès que tu touches tu recules un peu... Après je vais te dire...» C’est ce que j’ai fait, jusqu’à écraser mon pubis sur le tien. Je descendais dans une fournaise douce et gluante... Je n’ai rien senti, mais tu as eu une réaction de recul et tu as poussé un petit cri, et tu as reculé. “«Tu as senti?» enquérait ta Mère. Et comme je répondais que non... «Ça ne fait rien. Maintenant fait des petits mouvements de coït, courts et rapides, mais sans descendre!» C’est ce que j’ai fait. Tu as émis un soupir de plaisir, accompagné d’un long «Ah-oh!...», Et sous les instructions précises de ta Mère, je redescendais buter mon prépuce contre le col de ton utérus, et remontais. J’avais compris, et tu as eu la même réaction, le même petit cri de souffrance... Je me suis reculé un peu et agité en toi, et tu répondais «Ah-ooh-ah!...» Et plus je répétais mon mouvement, plus ta satisfaction devenait évidente. Tu as ouvert tes yeux pour me regarder... Enfin, je ne sais pas si tu m’as vu, ton regard était sérieux, ton expression attentionnée... La peau de ton visage était tendue sur tes pommettes, tes lèvres entrouvertes étaient rouges et gonflées au milieu de ton teint crémeux, presque blanc... Tes yeux étaient pleins de l’eau de larmes prêtes à couler!... J’étais bouleversé, comblé, heureux... J’ai accéléré la cadence des chocs, la cadence de mon piston en ton ventre. J’ai allongé la longueur de ma pénétration, j’ai senti qu’à chaque remontée de mon pénis, comme un piston de pompe, je remontais l’abondance de tes sucs féminins, odorants, qui m’enivraient. J’ai levé ma tête, regardé ta mère, un peu confus. Elle avait deux grosses larmes qui descendaient le long de ses joues, mais elle gardait sa prise sur tes jambes, pour les maintenir convenablement hautes. Nos regards se sont croisés, elle a fermé les yeux écrasant deux autres larmes qui ont coulé le long de son visage!... Cela a fait déborder mon émotion. Je me suis rué comme un fou... Et tu as crié ton orgasme, secouée de nouveaux spasmes qui agitaient tes seins, ondulaient ton ventre, faisaient houler tes hanches et vibrer tes cuisses dans l’air!... J’ai cru que mon éjaculation n’allait jamais finir!... “Je n’avais jamais joui comme cela... Je n’ai jamais recommencé à jouir comme cela!... J’étais transporté dans un éden de bonheur. Je pensais t’avoir aussi apporté du plaisir et peut-être un même bonheur. Et puis j’étais certain que ta mère était heureuse, à cause de son sourire et des mots qu’échappèrent sa bouche: «Oh, mon bébé!...»” Frédérique a écouté ce récit avec beaucoup d’attention, et aussi beaucoup d’émotion. Puis, elle dit: - Merci Vincent, de m’avoir dit tout cela, si bien décrit... J’ai vraiment tout revécu comme ça s’est passé. Et surtout, merci de ton honnêteté, tu n’as rien caché, tu as été sincère!... Si tu t’étais dérobé ou si tu avais triché dans ton histoire, tu aurais perdu ma confiance et mon amour. Je doutais un peu... J’avais peur de t’interroger sur cette aventure... Aussi intime qu’étrange. Mais maman avait raison, je dois avoir confiance en toi... - Tu dis que ta mère a raison... C’est après la lutte, en te parlant tout bas qu’elle t’a dit quelque chose? Elle te parlait de moi?... Qu’est-ce qu’elle t’a dit? - Oh! Beaucoup de choses, trop, peut-être, mais j’en ai surtout retenu une, à laquelle je m’accrochais et que je voulais croire. Elle m’a dit, «Tu dois avoir confiance en ton mec, il t’aime de tout son être, avec passion et sans réserve. Il n’aime pas seulement ton corps, il aime autant ton âme et peut-être encore plus que lui!... Moi, il m’estime, c’est tout, il ne m’aime pas!... Il a seulement pris du plaisir à baiser une femme plus âgée, plus savante que lui, mais qui a encore un beau cul... Il n'a put s’empêcher de goûter à mon sexe, comme je n’ai pas résisté à une aventure avec ton jeune étalon, c’est tout! Je ne toucherai plus à ton mec!» - Comme elle a raison, Frique! Ta mère me connaît très bien! - Au sens biblique, aussi!... Tu vas lui sauter dessus encore combien de fois? - Déconne pas, Frique... Ta mère est une bonne femme, et puis notre aventure m’a appris beaucoup de choses intéressantes... Surtout, comme te faire jouir! - Bon, revenons sur ce point... délicat! Tu as dit tout à l’heure que tu n’avais jamais joui à nouveau comme avec moi cette soirée-là!... Pour moi aussi, c’était plus que merveilleux. Veux-tu qu’on essaye à nouveau? Vincent saute littéralement sur Frique, que crie de surprise, puis ricanne. Il lui prenait les seins, attisant ses mamelons, puis il prend position entre ses cuisses, prend ses mollets et lève les jambes de sa compagne en haut, les tenant le mieux possible... Le test était commencé!... suivre… Frédérique 9 - Douchka, sévices et ses vices. Le sous-titre du huitième épisode est un hommage à la comédie de Bernard Bouthier (France 1976), film non distribué hors le Continent, et assez misogyne. Son correspondant américain pourrait être “Touch and die”, polar de Piernico Solinas (USA 1991) avec Renée Estevez et Véronique Jannot. (*) Hommage à la peinture “L’origine du Monde” (1866), par Jean Désiré Gustave Courbet (1819-77), peintre Français qui développe le mouvement du Réalisme, manifeste son credo pour un art et une vie socialistes (c.1860), protège les musées d’art dont il était directeur pendant la révolution de la Commune de Paris (1871) et vit les dernières années de sa vie en exile en Suisse (dès 1873). “L’origine du Monde” a disparu dès la seconde Guerre Mondiale, et a été récupéré d’une collection particulière (Arabe) et exhibé à Paris, en 1995. © Ange Païen, 1996.02.08 © Édition de Raf, 1996