Frédérique, 5ème épisode par l’Ange Païen “Les Femmes s’en balancent”… Frique et Sandrine dans le souvenir de Vincent. Ils sont nus tous les deux. Frédérique seule a gardé ses chaussures de lutte. Elle est allongée sur le dos, Vincent est allongé à côté d’elle, couché sur le côté gauche. Il a glissé sa jambe droite sous la cuisse droite de Frédérique, l’intérieur de sa cuisse prenant appui sur les quadriceps de la cuisse gauche de la jeune fille. Le bras gauche de Vincent est coincé entre les deux corps et les doigts de sa main errent sur le périnée de la fille, allant de l’anus jusqu’au vagin où ils viennent heurter son pénis qui s’active dans le sexe de sa compagne. Son bras droit est passé par-dessus la cuisse de Frédérique et sa main caresse son ventre en remontant vers ses seins. La main droite de Frédérique est en appui sur son pubis et ses doigts semblent vouloir arracher, en le tirant vers le haut, le capuchon de son clitoris, mais parfois la main remonte précipitamment pour bloquer la main droite du jeune homme qui par inadvertance la fait souffrir en s’attardant sur des blessures qui parsèment sa peau. Son bras gauche est allongé sur le matelas où ils sont couchés et ses doigts sont crispés sur une poignée de toile qu’ils ont réussie à chiffonner et à empoigner, tel un noyé qui s’accroche au dernier morceau de voile au cours d’un naufrage. La tête de la fille est cambrée en arrière, les yeux ont les paupières serrées et des rides se sont formées entre les sourcils à la racine du nez, ses lèvres sont écartées sur des dents serrées, comme un fauve menaçant. Vincent a posé le côté gauche de sa tête sur l’épaule de la jeune fille, essayant de suivre sur son visage l’évolution de ses réactions dans le rapport sexuel où ils sont engagés. Les assauts de Vincent sont de plus en plus profonds, son va et vient est de plus en plus long et plus rapide. Il a la sensation d’avoir atteint une envergure jamais atteinte encore. Il plonge maintenant totalement dans un fourreau à la fois velouté, liquide et bouillant. D’ailleurs sur sa cuisse gauche, presque en contact avec la fente des fesses de Frédérique, il sent couler la surabondante lubrification de la jeune femme. De son côté, Frédérique se sent comme gonflée par le membre de Vincent qui semble vouloir dépasser sa contenance. Elle se sent comblée. Elle ressent comme une petite décharge quand le gland arrive au fond d’elle, qui se traduit par une petite douleur qui monte jusqu’à ses gencives. Quand elle le sent se retirer, la sensation de vide la fait aussitôt aspirer de tout l’intérieur de son être, elle se sent se contracter, à ce moment-là elle se sent couler. Puis, comme lui, elle entend le clapotis quand il arrive en fin de course et qu’il se renfonce en elle. Alors, il écarte ses chairs avec sa chair et elle ressent l’immense plaisir de la montée en elle d’une exaltation incontrôlable, une crispation s’empare de tout son être. Sa main droite s'est relevée, pliée, son genou venant appuyer sur le bras droit de Vincent, alors que la cuisse droite du garçon est venue s’enfourcher dans son aine gauche et que son buste s’est écarté de celui de Frédérique. Elle entend les grognements, les ahanements de son compagnon, mais elle ne se rend pas compte de ses propres gémissements de plaisir, du sifflement de sa respiration entre ses dents. Elle sent Vincent fuser en elle, pendant qu’il ressent Frédérique se tendre, s’arquer et hululer doucement sa jouissance... Un instant merveilleux que tous les deux voudraient éternel, ces amants accouplés, s’aimant de tout leur être et du fond de l’âme. Ayant retrouvé leur calme, ils se regardent, yeux dans les yeux, souriants et comblés, et ils se répètent: “Je t’aime!” Maintenant désunis, sur le côté, face-à-face, ils reprennent leurs caresses, qui de la part de Vincent sont plutôt des frôlements sur le corps tuméfié de Frédérique. La fille l’interroge: - Qu’aurais-tu fait si Sandrine avait gagné le combat? Après un moment de réflexion, Vincent répond d’un air sérieux et avec une voix un peu anxieuse: - Je l’aurais violée et ensuite je l’aurais tuée! Ou tout au moins, battue, massacrée, abîmée... Pour te reconquérir! - Salaud!... Tu aurais commencé par la baiser!... Avoue donc que tu en meurs d’envie!... - Tout de suite, tu te fâches... Tu m’interroges, je te réponds!... Tu aurais mieux aimé que je te mente?... Il y a une certaine tension qui s’est créée entre le jeune couple, qui vient de rompre le charme de la minute précédente. Comme Frédérique reste silencieuse, arrêtant même ses caresses sur son amant, Vincent se voit obligé de poursuivre. - Frique, tu es tout pour moi, il n’y a que toi qui comptes, mais... Mais s’il te plaît... Pouvons nous raisonner un petit peu pour... pour mettre... Pour aller... Non, je veux dire... Pour mettre nos sentiments en ac... en harmonie? - Que de grands mots! Que veux tu dire? - Je veux dire qu’avant tout autre chose, je veux que tu sois heureuse, je veux ton bonheur!... Et pour cela je ne veux pas que tu... Je veux que tu restes libre de toi... Oui, c’est bien ça, je désire que tu continues à vivre ta vie... Que tu n’arrêtes pas... À nous exclusivement!... Tes parents, tes amis, garçons et filles, tes études, tes activités sportives, tes distractions... Tout cela ça reste à toi!... Je désire partager ta vie, tout cela avec toi... Tout du moins ce que tu voudras partager avec moi, mais... Mais je veux... Non, je n’aimerais pas être exclusif, j’aurais l’impression de faire de toi une... une prisonnière! Et une prisonnière n’est pas pleinement heureuse!... Comprends-tu ce que je veux te dire? - Je te comprends trop bien Vincent! Tu veux me faire comprendre qu’en me laissant ma liberté s'est surtout à la tienne que tu tiens! - Que tu es dure, Frique. Tu fais un raccourci trop sévère!... Mais tu as raison, et je veux être honnête avec toi... Toutefois, ma liberté passe par la tienne. Si les circonstances veulent qu’un jour tu aies une attirance pour un autre homme, sans me lâcher pour autant, je n’y verrai que ton plaisir... Si ce n’est pas ton bonheur! - Tu appelles ça comment? L’amour ou le proxénétisme? - Frédérique! Tu deviens méchante! Cherches-tu à me faire du mal? - A la vérité, je n’étais pas... Comment dire?... Préparée à un tel débat! Je viens de me battre pour toi!... Pour te garder à moi!... Je n’avais pas envisagé de te perdre... Et encore moins de te partager avec cette petite putain, une... une boule de poils noirs, mal foutue, mal peignée, mal fagotée!... Avoir envie de baiser avec ça!... Alors là, Vincent, tu me déçois! Que tu baises avec ma mère, à la rigueur, j’ai fini par admettre... Elle est tellement belle... Et puis c’était un accident!... Dis... Réponds-moi! C’était accidentel?... - Tu sais bien que je suis tombé dans un piège! Et que la chair est faible. Moi, particulièrement! Je t’ai déjà expliqué. Tu doutes encore? - Le salaud! Il appelle cela avoir une chair faible! C’est du cerveau qu’il faut être faible pour vouloir enfiler une guenon comme cette vicieuse, cette garce de Sandrine, avec sa gueule bouffie et ses cheveux de filasse noire, ses nichons en forme de portemanteaux, sa pense et son gros cul tout poilu. Une salope qui sait se servir si bien de son vibromasseur qu’elle n’a même pas besoin d’un mec pour jouir! Je suis bien placée pour le savoir, je te l’ai déjà dit! Réfléchi un peu, mon petit Vincent! Je ne pensais pas que tu souhaitais être un dildo! Je te croyais normalement constitué, mon pauvre!... - Tu es belle quand tu te mets en colère!... Je t’aime quand tu es méchante!... Tu es splendide quand tu es courroucée!... Maintenant que tu t’es défoulée, on fait la paix? - O.K. on fait la paix, mais je ne retire rien de ce que j’ai dit! - Je ne retire rien non plus, si tu es d’accord!... - Quelle teigne quand tu t’y mets! Et dire qu’il y a une heure à peine je me battais pour toi! - Mais pourquoi dites-vous tout le temps que vous vous battiez pour moi? Pourquoi, toi et Sandrine? Pourquoi Sandrine est-elle venue se joindre au groupe? Et puis d’abord, pourquoi Sandrine est-elle ta copine? - Que des pourquoi, mon cher Vincent! Je vais essayer de t’expliquer mais en échange, après tu vas me raconter le combat comme tu l’as vu! Moi, je me battais! Je n’ai pas vu! Par contre, j’ai ressenti!... “J’ai retrouvé Sandrine dans l’équipe sportive du Lycée et, comme nous habitons la même commune et pratiquons les mêmes sports, nous avons fraternisé et nous sommes devenues des camarades. Par la suite, nous nous sommes entraînées ensemble, et nous avons participé à des compétitions de triathlon ensemble. “Et puis Sandrine, qui a quelques ans de plus que moi, mais n’est pas super intelligente, a eu des difficultés dans la suite de ses études. Si bien que l’année dernière, moi, en terminale avec un an d’avance, je me suis retrouvé dans la même classe que Sandrine, qui était dans l’obligation de redoubler! De fil en aiguille, nous sommes devenues pratiquement inséparables, puisque nous nous retrouvions toujours ensemble! “Sandrine fait donc partie du groupe de mes amis, et elle a été une de celles qui m’avaient informé des rapports entre les deux Anglaises, Leslei et sa soeur Tina, et les garçons, ce qui allait conduire à mon affrontement avec elles. “Puis, l’installation du ring à La Longère, les entraînements à la lutte et les combats qui ont eu lieu, ont bouleversé quelque peu mon mode de vie, comme tu as pu noter. D’abord, j’ai déclaré forfait pour les compétitions de triathlon à venir, et puis j’ai mis moins d’assiduité dans mes entraînements. Mes nouvelles activités ont influencées mon tempérament, et j’ai moins fréquenté mon ancien groupe d’amis, dont Sandrine faisait part. Si bien que Sandrine a senti qu’elle perdait le contact avec moi. Habilement, elle a cherché à savoir. Elle m’a si bien enchevêtré dans des réponses aberrantes, qu’elle a fini par devenir ‘maître chanteur’ sur moi, et elle obtient ainsi de faire partie du groupe des lutteuses. Ce que les aînées, ma mère et Josette, et Brigitte aussi, ont fini par accepter, et le 11 janvier elle a rejoint notre ‘club’. Elle fut surprise de ta présence pendant les entraînements, et au départ ne fit pas le rapport qu’avec ta soeur, car je ne lui avais pas parlé de nous deux. Comment a- t-elle su que nous étions amants? Cela reste à découvrir, et je finirais par le savoir! “Toujours est-il qu’aujourd’hui, exactement huit semaines après son arrivée, Sandrine m’a provoquée, avec toi pour enjeu! “En arrivant cette après-midi à La Longère, elle a commencé à m’invectiver et à me bousculer. Elle m’a traité de tous les noms les plus dégueulasses qu’elle trouvait, de mal baisée, de con à merde, de putain véreuse, de bouffeuse de bites, d’avoir une chatte comme une vasière, et un cul de pute... et encore d’autres que j’oublie! Elle m’a rapproché d’avoir cassé notre petit groupe d’amis, de t’avoir embobiné, envoûté, pour t’entraîner dans le vice, faire de toi l’esclave de ma sexualité dépravée, et un tas de choses comme cela!... “Alors qu’elle, Sandrine, qui te connaît depuis beaucoup plus de temps que moi, a pour toi un amour pur et infini. La conne!... Que tu devais être à elle où plutôt qu’elle devait être à toi. Toutes tes prévenances et tes attentions à son égard étaient la marque de l’amour que tu lui portais! Alors que moi je n’agissais que par perversion!... Le vice et la vertu, quoi! Le vice devant te laisser à la vertu! “J’étais un peu ébahie de toute sa stupidité, et de sa grande gueule. Comme je savais que Brigitte et Josette avaient prévu de s’engager dans un combat teste, comme elles avaient dit, après un échauffement, j’ai dit à Sandrine que nous aurions le ring pour nous après leur match, et qu’en attendant elle me fiche la paix. Ce qui elle a fait.” - Mais, à propos... Brigitte et Josette! J’ai vu que tu as énormément apprécié!... Je n’ai pas fait que voir! J’ai senti!... La façon dont tu t’écrasais contre mes reins!... Tu as joui?... - Oui, Frique, j’ai joui, mais toi aussi, n’est-ce pas? A la façon que tu te raidissais!... - Un peu, oui, j’étais très, très excitée! Et à ce moment-là, Sandrine était bien loin de mes pensées! Alors, maintenant tu me décris notre combat, tel que tu l’as vu? Toujours allongés côte à côte, sur le côté, ils ont repris leurs caresses depuis un moment. Alors, Vincent commence son récit: “Il faut que je précise que ce qui m’a le plus profondément marqué et excité, c’est l’entrée de vous deux dans le ring. A l’extérieur, je vous ai entendu vous mettre d’accord sur le type de combat dans lequel vous alliez vous engager, ‘tout permis, nues sauf les chaussures, et au finish sur abandon’. Puis, vous vous tournez vers les cordes, et vous vous êtes déshabillé avant d’entrer. “Sandrine, qui est en bikini, a tôt fait d’ôter son slip et son soutien-gorge. Toi, Frique, tu es en maillot de lutteur, de garçon, enfilé à l’envers sur un débardeur, alors tu prends un peu plus de temps à te dévêtir. “Sandrine est entrée la première au ring, se glissant entre la première et la seconde corde. Elle s’est rendue au coing opposé en allant de sa démarche chaloupée, ses cheveux dansant dans son dos, descendant presque à effleurer la naissance de ses fesses! Sandrine mesure 1.60 m et pèse 60 kg environ. Elle a une peau terne et blanche avec des poils noirs sur les bras et les jambes, ce qui te fait dire d’elle que c’est une petite boule de poils noirs! La chevelure, de très longs cheveux brun foncé lisses, lui descend jusqu’au milieu du dos, soulignant la largeur des épaules, mais surtout la largeur de ses hanches, ses fesses rebondies et volumineuses, ses cuisses épaisses et courtes. Ses mollets jaillissaient puissamment au-dessus des chaussures serrées sur ses chevilles... Une fille nue, en chaussures, dans les cordes d’un ring! Mon fantasme de toujours!... Et ensuite, quand arrivée dans le fond elle s’est retournée... Elle a un visage plutôt rond, avec des yeux marron! Elle a passé ses deux coudes pliés sur la corde du haut pour s’appuyer et levé sa jambe droite en arrière pour appuyer son pied droit sur la corde du bas!... Une image fantastique, une vision plus fascinante que dans le plus beau de mes rêves!... Car ces seins volumineux qui ne sont pas trop laids, ils sont bien galbés dessous, se terminent par deux mamelons érigés vers le haut. Mais ne t’en fâche pas, ses seins ne son pas aussi beaux que les tiens, Frique! Sa taille est assez épaisse, mais la largeur de ses hanches et le volume fantastique de ses fesses la rendent mince! Dans cette position, un défi sexuel évident, (je crois qu’elle le faisait pour moi, mais aussi pour toi, Frique) elle mettait aussi en valeur son petit ventre rond très peu bombé, mais marqué, dont tout le bas est envahi par un épais buisson hirsute qui cache son sexe et descend même entre ses cuisses. Oui! J’avoue, j’ai bandé, d’un coup!... Comme une lame de ressort qui s’échappe de son logement!... Pas belle, certes, courte sur pattes, un peu, mais tellement... tellement lutteuse!... tellement guerrière et belliqueuse!... Ses jambes, comme ses bras sont certainement musculeux, sans la sécheresse de tes muscles, et sont donc moins apparents. Je veux dire... J’aime bien voir tes muscles, quand tu les contractes, tes bras et tes jambes sont si beaux, Frique!...” - Tu charges, Vincent! N’en rajoute pas! Tu as déjà dit que tu voulais la baiser!... Maintenant, tu le répètes, et tu dis qu’elle est plus sexy et plus forte que moi!... Ça suffit! - Mais laisse moi dire, enfin!... Tu veux que je te dise ce que j’ai vu? Oui ou non?... - Oui, vas y. - Je ne t’ai pas vu entrer dans le ring. J’ai vu Sandrine se déplacer vers la droite et subitement je t’ai vue en face d’elle!... Si... - Mais dis! Tu ne me regardais même pas, et je me mettais nue pour affronter cette vache pleine de force et beauté, pour défendre ce que je croyais être l’amour de ma vie, Vincent! Quelle conne que j’ai été, merde! Je suis plus stupide que la naine poilue!... - Frédérique, s’il te plaît, laisse moi dire, ou je me tais. J’allais justement dire que je t’ai vue... - Excuse-moi, oui, vas-y! J’essayerai de ne pas t’interrompre de nouveau. Vincent continue alors sa reconstitution du match nu des deux jeunes filles. “J’ai vu Sandrine se déplacer vers la droite et subitement je t’ai vue en face d’elle!... Si... Si belle!... Si différente physiquement! Plus grande, plus fine, plus élancée, plus musclée et... Nue, sauf pour tes chaussures blanches. Ta peau bronzée comme si elle était brillante... Ton triangle noir, fin, bien dessiné, bien taillé... Pour laisser voir ta vulve, ta jolie fente... Dans mon pantalon de survêtement, ma verge avait soulevé le short et maintenant elle essayait de battre la mesure!... De plus en plus haut!... Et j’ai failli exploser de jouissance lorsque j’ai regardé vos visages!... L’une comme l’autre, vous aviez une expression... de méchanceté... de haine, une expression cruelle, non, plutôt... bestiale!... Oui, c’est cela, bestiale, que me faisait peur et du même coup m’émoustillait, pour ce que cela signifiait de la mesure que vous attachiez à nos rapports... Vous reteniez vos respirations... Crispées de tous vos muscles, tendues... Oui, c’est cela, vous étiez des bêtes sauvages!... Oh! Bon Dieu!... Non, arrête Frique... Arrête! Je vais jouir!...” Comme pour se rattraper de ses paroles de réprobation, dès que Vincent a commencé à parler d’elle, Frédérique a pris le pénis de Vincent, l’écrasant de toute la puissance de sa main fermée en tuyau, en tirant vers elle, comme pour l’arracher à son socle poilu, puis le masturbant. De l’autre main, la fille lui a empoigné le scrotum qu’elle manipule doucement, ajoutant à l’excitation apportée par le récit. Maintenant, la jeune femme a un visage un peu ironique, un sourire espiègle qui fait briller ses yeux gris bleu. Un peu à contre-goût elle stoppe, et se limite à regarder le sexe bandant, érigé, comme s’il était l’instrument de mesure du jeune homme pour elle... - Je t’obéis, Vincent, car je veux t’écouter jusqu’à la fin... Promis! - Comme je t’ai dit, c’est ce prologue au combat qui m’a marqué, beaucoup plus que les coups sauvages et les prises de force que vous vous êtes appliquées de suite. Je n’ai pas enregistré que des flashes de la lutte, ma mémoire n’est pas si bonne pour tout enregistrer, ou alors, ma tête était trop absorbée par le désir et l’excitation sexuelle... Je ne sais pas. Mais je continue... “Vous vous êtes affronté du regard, mesurant une l’autre pendant un bon moment, puis en un éclair, Sandrine couru vers toi et s’élança dans l’air, les deux pieds en avant dirigés vers ta poitrine. Tu t’es contentée de faire un écart sur ta droite, et elle est venue s’affaler dans les cordes d’une manière grotesque. Tu l’as empoignée par les cheveux et tirée vers le centre du ring. Tu t’es laissé tomber les deux genoux sur ses seins en écartant tes cuisses et tu as serré sa tête entre tes mollets. Ainsi, tu immobilisais sa tête, tandis que tu regardais son ventre et avais tes bras libres. Tu t’es penchée en avant et à deux mains tu as croché dans sa forêt noire. Tu as tiré vers le haut si fort, que tu as décollé ses fesses du sol par les poils de sa chatte! Elle s’est mise à ruer, lançant des coups de genoux vers ta tête, et essayait de libérer ses avant-bras de sous tes jambes. Un de tes genoux a glissé, le droit, je crois. Elle a fini de dégager son bras et a lancé sa main à l’assaut de ton sexe. Elle n’a pas trouvé de prise, alors elle a lancé ces doigts tendus à l’assaut. Tu as rompu ta prise et tu t’es relevé rapidement. “À peine debout, comme elle se relevait à quatre pattes, tu lui as lancé quelques coups de pied, elle en a pris un au-dessus de l’oreille et d’autres dans les côtes. Elle s’est tournée pour te faire face en se mettant à genoux. Tu as envoyé ton pied droit pour cogner vers son visage, mais elle recule sa tête et saisi ton pied, tordant et se relevant au même temps, te faisant beaucoup de mal à ta jambe, et te faisant tomber en arrière. Mais pendant ta chute, elle a vrillé ta cheville en poussant ton autre pied. Elle t’a fait tomber à plat ventre, et est tombée sur tes reins en te faisant une clé sous le genou avec ton autre jambe. Là, elle s’est montrée habile!... Ensuite, elle s’est montrée méchante, car elle a empoigné ta natte en tirant vers elle de toutes ses forces. Elle t’a obligée à te cambrer, décollant ta poitrine du sol. Avec tes mains derrière ta tête, tu as agrippé son poignet. Je te voyais de front, tes deux petits seins pointus étaient admirablement tendus en avant... Mais toi, tu grimaçais de douleur!... La pression sur ton dos devait être énorme, et tu devrais avoir ta chevelure en feu! Mais tu étais si belle! Sandrine a renversé subitement le mouvement, elle a très violemment poussé ta tête au tapis, y cognant ton visage à plusieurs reprises, très fort. Si vous vous battiez au sol de ciment ou de madère, tu serais assommée par ce coup-là! Son visage exprimait un sentiment de grande satisfaction. Vous étiez toutes deux magnifiques de hargne et de force! Je ne sais plus comment tu es sortie de... Ah! Si! Oui... Tu as été prodigieusement forte! Malgré les prises de ‘la boule de poils noirs', tu as pris appui sur tes coudes, puis tu t’es dressée à bout de bras et tu t’es pliée aux hanches. Tu soulevais Sandrine sur ton dos, elle t’encerclait la ceinture de ses jambes musclées, et elle remplaçait la prise de cheveux par un étranglement, mais toi, hors d’haleine et tout, t’es mise à quatre pattes et tu l’as bousculée! Quelle puissance tu as, ma chérie! “Ensuite, je ne sais plus très bien, vous étiez au sol emmêlées, tu avais pris ses cheveux d’une main et... Et je ne sais plus!...” - Tu mens, Vincent! C’est quand nous nous sommes prises dans une double prise de cheveux et de chattes, et on a essayé en vain de s’arracher les clitos une à l’autre! Tu te rappelles fort bien, car je vois que tu bandes bien, maintenant! Vas-y, raconte-moi tout. Vincent regarde vers son ventre, et comprend alors quand homme ne pourra jamais mentir à une femme en matière de sexe. Cette partie de son corps ne le permet pas! Alors, il continue son récit. “Ban... Oui! Je crois que vous vous donniez des coups de poing dans les seins et les visages avec une main, tandis que l’autre prenait l’adversaire par les cheveux. Comme ça, vous êtes restés un très longtemps au sol, roulant une sur l’autre, toujours prises par vos bras cloués aux cheveux longs de l’autre! C’est un corps à corps rapproché, devenu plus vicieux quand votre main libre a fait des égratignures dans les seins et les côtes, puis vous vous êtes acharnées... à vos sexes. Je l’ai compris quand j’ai vu que vous aviez cessé de bouger, et vous criez à hauts cris, les fesses sursautant sur place, vos mains droites clouées entre les cuisses de l’adversaire. Ce que les femmes peuvent être sauvageonnes... Je dirai qu’elle a gagné ce combat, car tu as dû abandonner la première, lui laissant les cheveux, pour lui tordre sa main qui attaquait ton sexe. Elle doit avoir plus de protection, avec tous ses poils et plus de graisse que toi, n’est-ce pas? (Frique fait oui de la tête.) Vous vous êtes relevées à deux mètres une de l’autre, yeux dans les yeux, et alors j’ai vu Sandrine sentir ton odeur dans ses doigts, puis, d’un geste obscène, sucer deux doigts - peut être ceux avec lesquels elle t’avait pénétré. C’est alors que j’ai éjaculé, mouillant mon slip, et me forçant à retirer le pantalon pour me nettoyer. Et pendant ça... Tu lui répondais au tac-à-tac... frottant ton indicateur sur l’anus! Tu lui disais que tu pourrais être aussi vache qu’elle, n’est-ce pas, mais mois, j’ai encore perdu un peu de sperme, à cause de ton spectacle... “C’est curieux que, pendant un bon moment, vous étiez presque incapables de marcher, et vous teniez les cuisses le plus ouvertes possible, et justement, vous vous attaquiez à coups de pied inhabiles, et de coups de poings de loin, comme pour profiter des faiblesses de l’autre, que vous sentiez dans votre propre corps! Et vous ne vous faisiez pas de cadeaux, d’ailleurs là preuve est là, sur ton corps tout marbré de bleus! Et Sandrine est sortie encore pire! “Un moment, elle t’a décoché un coup de son avant-bras à la nuque, quand tu lui tournais le dos, en massant un sein meurtri, et t’es presque affalée à ses pieds. Mais quand elle s’approche pour te donner un coup de pied, tu lui as donné un coup de coude au foie, et elle a pédalé en retraite jusqu’aux cordes! Tu l’as poursuivie et acculé dans les cordes, dans un angle, et tu cognais les seins! Elle levait ses mains pour se protéger, et le coup suivant allait au ventre, elle baissait les mains, tu remontais au visage, elle levait encore ses poings, et vlan! un coup de genou dans sa vulve (ou le pubis, je n’ai pu voir)... Et puis tu recommençais... Jusqu’à qu’elle comprend qu’elle ne pourrait pas se défendre comme ça, et elle t’a poussé de tout son corps, avec un cri de rage démente, sautant sur toi comme un octopode, et vous avez roulé encore sur le tapis, toutes deux emmêlées, qui dessus, qui dessous. “Un peu plus tard, il y a eu un truc que je n’ai pas compris... Tu étais sur le dos, et elle avait empoigné ta natte à deux mains. Comment a-t-elle pu te décoller du sol pour te faire tourner autour d’elle? Tu avais bien accroché ses poignets mais quand même! C’est pas compréhensible! Comment se peut-il que tu as encore des cheveux? Puis, elle t’a larguée, et à ton tour tu es allée tomber contre les cordes, les seins en avant, et je t’ai encore entendu crier de douleur. J’ai tremblé, Frique, de peur pour toi, car Sandrine t'a alors payé presque coup pour coup, ce que tu lui avais fait, et comme tu lui donnais le dos, tu ne te pouvais pas défendre du tout. C’est là qu’elle a voulu t’empaler l’anus avec son doigt, et toi, tu as poussé de forme démentielle, brûlant tes seins contre les cordes, et te jetant hors du ring entre la troisième et la seconde corde! Tu m’as fait mal, en tombant comme ça sur moi, mais je n’ai pas pu te rattraper au vol! “J’ai été ébahi de voir ton regard hagard, et comme tu as sauté sur le ring, comme si de rien était! Le coup de pied au visage t’a fait ce bleu énorme, mais tu n’as pas reculé un centimètre! Tu étais devenue dingue... Tu sentais le sang de ta proie! Tu lui as fait une projection magnifique, mieux que dans un combat de catch où les adversaires s’entraident pour faire du spectacle! “Puis, aussi bien elle que toi, les soulèvements, les lancés, les vols planés! Une fois tu l’as prise à bras-le-corps, la soulevant du sol d’au moins 20 à 30 cm, l’agrippant par la ceinture, tu as fait deux ou trois pas en avant comme pour prendre de l’élan et tu l’as plaquée au sol avec tout ton poids sur elle. (J’ai voulu la jeter hors du ring, mais je n’ai pas pu! - interrompt Frédérique.) Tu l’as écrasée, j’ai vu son visage, elle a gonflé les joues, ouvert sa bouche très grande comme pour se vider de tout l’air de ses poumons. C’était vraiment bien fait! Mais elle a fait aussi un beau mouvement quand elle t’a empoignée par le cou et par la vulve, et qu’elle t’a soulevée au-dessus de sa tête, en force, tous muscles bandés; en s’élançant, elle t’a projetée à plat ventre sur le tapis où tu as rebondi! Tu avais écarté tes bras et tes jambes pour amortir le choc, elle est venue derrière toi, te donner des coups de pieds bottés entre les cuisses! Le premier a fait un effet électrique sur toi, tu as été propulsée 20 cm en avant, couinant de douleur, et tu as essayé vainement et de te soulever, et de fermer les cuisses. Il me semble que c’est à partir de là que c’est devenu plus vicieux! “Tu t’es roulée en boule, et elle te poursuivait, te donnant de coups de pied et t’injuriant de tous les noms dégueulasses qu’elle connaît. Tu ne pourrais pas continuer au sol, car elle visait mieux à chaque coup, et elle cherchait ta tête de plus en plus... Alors, tu as risqué de te lever, le plus vite possible. Elle t’a donné encore un coup de pied au flanc, puis s’est rapproché pour te donner un coup de genou en plein estomac, et elle t’a agrippé les deux seins, toutes griffes dehors! Tu lui as pris les gros seins de la même façon, et vous avez fait une sorte de danse autour du ring, vous projetant le dos aux cordes l’une après l’autre, et vous donnant parfois des coups de genoux au ventre ou l’intérieur des cuisses... En vous broyant les seins, vous tiriez et tordiez, et ce faisant vous vous faisiez tourner l’une autour de l’autre, venant vous heurter aux cordes à tour de rôle, d’où vous rebondissiez... Vous vous êtes fait mal, car, toutes les deux, vous aviez des brûlures rouges des cordes sur les flancs et la peau du dos, surtout Sandrine, avec sa peau si blanche, et vos seins et tout votre corps suintait des perles de sueur. Des larmes silencieuses vous roulaient sur les joues, et vos grimaces de douleur faisaient peur! Tu as eu l’avantage! Elle a les seins plus développés que les tiens, ta prise était sans doute meilleure ou la force d’écrasement de tes doigts fut supérieure. Alors, elle a commencé à gémir sans contrôle, et puis elle a lâché prise, en pleurant ouvertement! (Ce n’était rien! Je ne lui ai mis que trois ongles quelques millimètres dans une aréole! - Frédérique donne cette explication avec un air de grande dame, levant son menton, mais ses mains caressaient ses propres mamelons encore endoloris du combat vache qu’elle revivait par les mots de son jeune cavalier. Il reste bouche bée quelques secondes, avant de poursuivre.) Tu l’as trompée, alors. Tu as fait comme si tu allais lui mettre un coup de poing au bas-ventre, elle se protège d’une jambe et des deux bras baissés, et tu lui assenais une paume ouverte au nez! Elle titube en arrière, et tu lui plantes une manchette à la gorge. Elle s’étrangle dans ses larmes, et tombe en arrière. “Je croyais que tu allais encore te lancer à pieds joints sur son estomac, mais tu as rapidement pris ses chevilles, et de ta position avantageuse entre ses cuisses ouvertes, la pliant en deux par la ceinture pour mieux t’offrir sa cible délicate, tu l’as meurtri le sexe et le pubis de coups de pied. Elle trébuchait bien, une fois tu as perdu une des chevilles, ce qui te coute un coup de pied plein dans le sein droit, et encore autre au foie, puis tu t’es doublée, et rattrapé sa jambe, et tu as poursuivi ton attaque meurtrière... Tu pressais ta poitrine contre ses hanches, pesant de tout ton corps, et tes coups de pied n’avaient pas beaucoup de force, mais tous tes coups portaient! La toison noire, les grandes lèvres du sexe, le clitoris - tu les choisissais lentement, et à chaque coup elle criait, et pleurait continuellement, se tordant le corps, se mordant les lèvres. Tu dois avouer qu’elle n’a pas manqué de courage, et qu’elle a tenu beaucoup dans ces conditions. Puis, tu as mis ta jambe droite sur sa vessie, et tu l’as comprimée fortement, et Sandrine se tordait et gémissait de plus fort. Puis, tu as essayé de frotter la semelle rugueuse de ta chaussure sur son clito! J’ai pensé, ‘C’est dégueulasse!’ et là, j’ai eu peur pour elle. Mais c’était ta fin... Sa douleur a été terrible, et avec un ‘Ah!’ épouvantable, elle s’arc-bouta et te projeta au loin! “Elle a pris beaucoup de temps à se relever, en appui contre les cordes, et tu as pu choisir ton angle d’attaque. Les larmes pleines les yeux, elle ne t’a pas vu l’approcher par- derrière, lui sauter au dos, la ramenant au sol dans un ciseau arrière. Tu améliorais ta prise avec une empoignade de cheveux et aussi par un sein, mais tu l’as perdu, à cause de la sueur (Non, c’était du sang et du plasma, qui suintait du téton que je lui avais abîmé! - expliqua Frédérique, très professionnelle.)... mon Dieu! Ce que vous vous êtes fait!... Vous êtes folles, les dames... Bon, tu as changé ta prise, et tu lui as fait un étranglement de ton bras sous le menton. Tu te balançais en arrière, faisant beaucoup de force avec ton dos, tes cuisses et ton bras, et tu la soulevais du sol entre tes cuisses, tu prenais appui du dos au sol pour te relancer en avant, et elle venait cogner des cuisses et des fesses sur le tapis. Tu devais tellement lui comprimer son intérieur en la claquant au sol, qu’à chaque fois elle fusait sous elle un petit jet de liquide. J’ai très bien vu entre ses jambes écartées, à ce moment elle était face aux cordes juste devant moi! Elle pissait, des petits jets, souillant le tapis et ses fesses et ses cuisses, car sans doute tu lui écrasais encore la vessie!... (Elle m’a toute souillée, la gouine merdeuse! Et elle n’a pas voulu se rendre, la vache! - Frédérique révélait ce que Vincent croyait déjà, qu’une fois dans une lutte tout permis contre une rivale, une femme n’est plus de l'espèce humaine.) Je t’ai entendu lui demander, trois ou quatre fois, si elle abandonnait, et elle sanglotait, se vidait la vessie, et criait ‘Non’ à chaque demande... “J’étais très bouleversé. J’ai voulu monter au ring pour te stopper, mais quand j’ai monté sur un des coings, la scène avait changé. Elle t’avait mis presque KO, avec un ou deux coups de coude dans le ventre, car tu te tordrais, massant le nombril et la zone du foie. Elle sautillait sur place, près des cordes, pour se dégourdir les jambes, incapable de marcher, te regardant de biais. Tu as pris ton temps à te relever du tapis, et tu es restée un moment assise sur tes talons, cuisses écartées, et tu allais prendre appui au sol avec tes bras de côté, pour te mettre debout, quand elle court sur toi et profite de ta position pour décocher un coup de pied juste sur ton sexe offert en cible! Mon dieu, quel cri. J'ai sursauté de surprise et en ressentant ta douleur à cause de ton cri, tu étais de dos pour moi, et justement tu n’es pas tombée tout de suite, car tes mains étaient là pour te soutenir. Alors elle, debout devant toi, a pu t’attaquer le sexe sans défense plus d’une fois, comme tu lui avais fait. C’est pourquoi je ne te voulais pas faire l’amour maintenant. C’est juste parce que tu insistais... (Merci Vincent, mais nous, les femmes, nous ne sommes pas aussi faibles que vous, avec vos couilles si sensibles! - interposa Frédérique, se branlant le sexe doucement.) J’étais presque fou, seul de regarder ces petits coups de pieds secs, sur la partie charnue de ton sexe, et, par le bruit que j’entendais, parfois même le comprimant contre l’os pubien. Tu t’étais projeté en avant, essayant de la faire tomber, et elle t’agrippe ta tête de sa main gauche, et la gorge de la droite, te soulevant les genoux du tapis, pour pouvoir continuer son jeu de football, tandis qu’elle t’étrangle. J’ai vu comme tu essayais de lui mordre le ventre et les seins, tandis que ta tête montait, comprimée contre son corps... (Je lui ai fait quelques morsures, mais la chienne était trempée de sueur, comme ouillée, et je n’avais pas de prise! - expliquait Frédérique.) Tu lui décochais de coups de poing sur les côtes et tu lui griffais les cuisses, mais elle s’en fichait! “Finalement, tu es arrivée à dérober tes jambes, et lui faucher les siennes, et vous vous êtes affalées sur le tapis, roulant confusément, chacune essayant de faire un ciseau de ceinture à l’adversaire. Ce qui est arrivé c’est que vous avez réussi à prendre les pieds de l’autre, à enchevêtrer vos jambes, et vous étiez en position de vous tordre les membres inférieurs, ce que vous faisiez, vous forçant à écarter les cuisses de toute la longueur de vos bras. Alors, vous avez grimpé une vers l’autre, jusqu’à que vos aines se touchent, et insensiblement, vous avez commencé un combat de chattes, frottant vos vulves béantes une contre l’autre, comme si vous étiez des gouines en chaleur! (Même maintenant ça te fait bander, cochon! Tu as joui alors, dis? - s’intéresse Frédérique.) Oui, j’avais ôté le pantalon, pour ne pas le maculer, et j’avais passé mon mouchoir à la ceinture, après ma première éjaculation. Alors, que vous poursuiviez votre attaque sexuelle par de longues minutes, grognant de douleur et gémissant, je ne sais pas si prises de désir ou de quoi, j’ai regardé vos seins, les tétons en érection, je ne pouvais pas voir vos visages, car vos cheveux étaient tombés sur vos faces, et puis, minute après minute, l’érection était trop forte, je me suis touché, et explosé tout de suite, là, sur le bord du ring. “Bien sur, vous ne pourriez pas tenir beaucoup plus, et puis tu as décidé pour la fugue. Primo, tu as laissé de tordre ses jambes et ses pieds, secundo, tu t’es assise sur tes fesses devant elle, reculant ton ventre hors de sa portée. Elle a fait de même, et grimpa sur ses genoux, venant claquer ses gros seins contre les tiens. Vous vous êtes prises par les mains, ouvertes en croix, dans un test de force tardif dans le match. Puis, elle a sorti sa main gauche, et la dirigea vers ton sexe. Tu as essayé de l’empêcher de ta main droite, mais je crois qu’elle avait déjà atteint sa cible, en vue du sursaut de tes fesses! Alors, tu acceptes les termes du duel, et tu répètes l’attaque des doigts de ta main droite. (Elle puait d’une odeur agressive, nauséabonde, l’urine et les sucs, et la sueur, tout! Mais je ne pouvais pas faire autrement. On était là pour finir l’autre, et j’avais juré que la chienne n’aurait plus envie de toi! - Vincent regarde Frédérique, qui lui disait ça, l’air le plus sérieux du monde.) J’ai vu le va et vient de vos bras, comme vous... comme vous... (Nous nous foutrions, quoi! - dit Frédérique.) Oui, enfin, mais c’était un viol mutuel, presque consenti, mais sauvage, violent, pour vous faire mal... Et vous ne criez plus, c’était écoeurant, car mi-temps, vous vous mordiez sur les bras et les épaules! A vous mettre dans cet état! (Vincent regardait plusieurs morsures sur les deux épaules bronzées de sa belle Amazone.) Je ne pouvais pas voir ce que vos mains faisaient, plongées dans vos grottes au plaisir, mais toi, tu le sais bien... Puis, vous avez commencé à donner des coups d'épaule contre les mentons, pour fuir les morsures, et alors, j’ai entendu - vous avez grogné, gémi, et même crié!... Vos fesses étaient agitées de soubresauts, de saccades et de mouvements dans tous les sens. Vous souleviez un genou de temps à l’autre, semblant poursuivre les dérobés de l’adversaire, ou reculer devant ses assauts... Maintenant que vous aviez cessé de mordre, vous cogniez vos fronts, vos pommettes et vos mâchoires, une contre l’autre... C’était démentiel!... J’ai vu des taches s’élargir au tapis, près de vos genoux, car la sueur et vos sucs de femme faisaient des rivières parmi les poils de vos cuisses jusque-là! C’était fantastique, vraiment fantastique! Nues, toutes marquées de coups de poing et de griffures et morsures, et les deux tigresses déchaînées s’attaquaient encore sans réserve! (A ce point-là, je ne pensais plus à toi. Je n’avais plus qu’un désir, la martyriser, lui faire le plus mal possible, la détruire sexuellement, et après!... - Vincent interrompra Frédérique, car il n’a pas voulu entendre plus. Cette affaire de femmes n’était pas seulement une question de duel pour sa bite, c’était une sorte de duel d’honneur, aussi stupide que ceux des hommes d'autrefois et... à mort!) Tu l’éclates les lèvres d’un coup de tête, et j’ai entendu ses dents claquer! “Alors, elle a perdu sa prise sur ton bas ventre, et tu lui tombes dessus, mettant ton bras droit entre ton corps et sa poitrine, cognant son ventre du coude droit. Je l’ai entendu hurler, ‘Stop! Arrête! Stop!’ mais tu feignais ne rien entendre, ou tu n’entendais plus ce qu’elle disait (Je l’entendais parfaitement! J’allais justement la finir... Pour de bon! - Frédérique paraissait vieille en disant ça. Vincent a encore peur, et son érection baisse.) Et c’est alors que j’ai sauté dans le ring pour t’empêcher de... Enfin, pour ne pas permettre que tu poursuives l’étranglement. J’ai eu beaucoup de difficulté à déployer tes doigts, cloués sur sa gorge, tu sais? Et tu n’as pas été gentille, quand je l’ai aidée à descendre du ring, presque inconsciente, avec ce coup de pied sur le flanc, qui l’aurait projeté dans une chute de deux mètres, tête la première sur le ciment, si n’avais pas été là... - Oui, Vincent le chevalier blanc, protecteur de demoiselles nues, quand elles sont de salles vaches pourries, des naines noircies et poilues! Tu ne m’aimes pas! Tu voulais aller avec elle aux vestiaires, et tu n’as pas voulu me faire l’amour tout de suite! Quand je t’ai demandé de faire l’amour dans mes odeurs du combat, là sur les matelas empilés! - Frique, sois raisonnable. Elle avait besoin d’aide, et puis, tu étais... Tu es... dans un terrible état. J’avais peur de te faire mal! Et j’avais dépensé de sperme deux fois pendant votre lutte! - Ah! Oui, mais parce que tu bandais en la regardant!... - Tu n’as pas apprécié la façon dont je me suis conduit... après? - Tu m’as bien soulagé les lèvres de mon vagin avec une langue douce et tellement humide, que c’était mieux que d’huile pour bébé. Vrai! Tu as été très doux, et mes souffrances là se sont vite dissipées! Tu m’as bien soigné... C'était très bon!... - Dis aussi que tu étais dans l’excitation de la lutte! Dès que je t’ai effleurée de ma langue, tu as bien vite mélangé ta liqueur de femme avec une telle abondance! C’est la preuve que tu étais au bord de la jouissance, pendant que tu luttais!... - Trois fois, j’allais atteindre l’orgasme! Quand je l’avais, cette chienne de Sandrine, dans mon pouvoir, et je croyais que j’irai monter le dernier assaut, et la dominer complètement... Je sentais ça!... venir... monter, non, descendre du cerveau à ma fente... Puis, la vache s’en allait, recommençait à me faire mal, et la vague se dissipait!... Mais, finalement, ta mémoire semble en assez bon état, tu te rappelles toutes les 20 minutes de lutte, coup par coup! - Tu m’as comblé comme jamais encore... Je t’aime, Frique! Et ce n’a pas été 20 minutes... C’est presque 18 heures, vous avez commencé à 17:15 h.. C’est énorme, ce que tu as subi... Et ce que tu lui as fait! - Oui, c’est temps que vais à la douche. Tu m’aides, bien sûr, car ma mère est partie avec Brigitte et Josette. - Je suis sur que ta mère jouissait au spectacle de l’affrontement de Brigitte et de Josette. Tu as une mère formidable, si ouverte et compréhensible, si moderne... - Oui, oui, je sais, ne me le rappelles pas souvent! J’ai vu comme tu la reluquais, aussi. Et je sais déjà comme tu connais les fantasmes et les orgasmes de ma mère. Vincent, tête baissée, la suit pour la douche. En chemin, il rattrape les baskets que Frique avait ôtés tandis qu’ils bavardaient, et son maillot de lutteur et son débardeur, et encore son slip noir. Presque inconsciemment, il comprime les vêtements contre son nez, en trottant après la fille aimée - sa déesse. Serait-il capable de lutter contre un autre homme, à un tel extrême, pour le droit de la garder à lui seul? Il comprime ses couilles, d'un coup sec, et il grimace de douleur. Il s’en doutait... À suivre… Frédérique 6 - “Te souviens tu, mon amour?” Le sous-titre de l’épisode 5 est un hommage au film de Bernard Borderie (France, 1953), avec Nadia Gray et Dominique Wilms, qui s’affrontent dans ce film, et aussi: - Dominique Wilms, dans les films français “Poison Ivy” (1953), “This Way Out” (1957) et “Four Queens for an Ace” (1966); et - Nadia Gray, dans le film anglais “Slave Girls” (1966). © L’Ange Païen 1995.10.27 © Édition de Raf 1996 (*)