Frédérique, 3ème épisode par l’Ange Païen “La maman et la putain” se disputent à la lutte l’attention du jeune Vincent. Après les journées affolantes, excitantes et troublantes des 23 et 24 août, Frédérique se trouve dans un imbroglio de situations et de sentiments, ambigus et contradictoires. Après l’euphorie du premier jour et la volupté du second jour, le calme est revenue dans l’esprit de la jeune fille. Le départ des jeunes anglaises a dispersé les nuages orageux dans son entourage. Les garçons ont perdu la mémoire, ou bien fait comme si rien n’était arrivé! Reste Vincent et ses indiscrétions à sa soeur Brigitte, il va falloir éclaircir ce problème. Et puis il y a sa mère! Mireille est tout de suite en quête d’un match de lutte dans le jeu de boules, l’ancien silo à fourrage, de La Longère! En cette deuxième semaine de septembre elle a commencé ses cours en terminale au Lycée et simultanément elle reprend l’entraînement dans ses trois sports du triathlon, la natation, le cyclisme et la course de fond, le tout accompagné de musculation. Peut-elle faire de la lutte en plus de ses études et de ses sports habituels? Jouer avec sa mère et peut- être avec d’autres filles pourrait être une surcharge physique et prendre sur ses études en même temps! À la longue de ruminer ses pensées qui s’embrouillent comme dans un écheveau, elle finit par prendre la décision de “vider l’abcès”. Vincent avant toute autre chose. Ils se retrouvent le dimanche après-midi 25 septembre pour une longue promenade en vélo, seuls tous les deux. Frédérique énonce ses reproches à Vincent. Le jeune homme se trouble de livrer son secret. Mais l’estime, l’amitié, en un mot, les sentiments que Vincent porte à Frédérique sont les plus forts. Il se lance dans une “étonnante confession”!... Brigitte son aînée de trois ans et demi, étudiante à l’université pour devenir ingénieur informaticienne, pratique la lutte depuis au moins six ans. Elle a fait des compétitions inter-régionales, sans avoir pu être sélectionnée pour l’équipe de France. Quant à lui Vincent, à 17 ans maintenant, il se passionne depuis quelques années pour tous les sports de combat féminins. Il est exalté par la puissance et la force des femmes. Il suit régulièrement les compétitions de sa soeur et est à l’affût de tous les événements qu’il peut voir, des reportages, des articles, etc... Il est abonné aux revues de karaté, kick-boxing, etc... qui traitent de sujets féminins... Après avoir mesuré le bon accueil que le visage souriant de Frédérique semble lui accorder et après un long silence... interrompu par les “Et alors?” de son amie... Vincent se lance... Il avoue être très excité sexuellement à la vue des combats, comme à la lecture de certains articles ou reportages... Il révèle aussi que depuis quatre ou cinq ans il lutte avec Brigitte... que leurs assauts l’excitent énormément... à tel point que sa soeur... que Brigitte et lui... qu’ils font... Vincent tremble, les mots meurent sur ses lèvres, sa langue est sèche. Les yeux baissés, n’osant pas affronter le regard de Frédérique, il ne réussit pas à dire clairement et simplement que dans les moments de tension sexuelle extrême où il se trouve, où ils se trouvent parfois lui et sa soeur, ils font l’amour!... C’est Frédérique qui continue pour lui!... “C’est ainsi que mon combat avec les anglaises t’a tellement excité que tu as couru te soulager dans les bras de Brigitte, laquelle a voulu connaître le motif de ton excitation? C’est cela?” Vincent acquiesce en ajoutant que sa soeur a voulu lutter avec lui, qu’elle a été très violente dans sa domination avant de le... soulager!... Alors les deux jeunes gens ont discuté longtemps, cherchant à discerner le bien et le mal de cette situation. En quelques semaines, pour la deuxième fois la jeune fille se trouvait confrontée à un problème d’inceste. Ils examinèrent les règles morales, le tabou, les exigences de la nature, la maîtrise des sentiments et du corps. Ils évoquèrent l’hérédité, l’atavisme, le subconscient, le congénital et l’inné, etc... Noyée dans toute cette philosophie, pleine de générosité, Frédérique fut sur le point de proposer à Vincent de remplacer Brigitte, mais... que dirait cette dernière?... Ignorante des véritables sentiments de la jeune femme, elle préfère s’abstenir, et fit un effort pour changer de sujet de conversation. C’est ainsi que, “confidence pour confidence”, elle aborda la demande de plus en plus pressante de sa mère pour lutter avec elle. Frédérique exprima sa crainte de se battre à nouveau, ses peurs sur l’incidence d’un engrenage dans sa vie... etc... Et puis progressivement au fur et á mesure de leur dialogue, l’idée vint aux jeunes gens de proposer à Mireille de lutter en présence de Vincent, dans un match fair-play, le plus classique possible et limité à trois reprises de cinq minutes. Et comme la belle saison allait s’éloigner, Vincent proposa alors le mercredi suivant, à cause de l’été de la Saint-Michel et de la fermeture du restaurant ce jour là, il fallait en profiter et se lancer tout de suite! Frédérique sourit à l’excitation du garçon, qui n’était pas seulement dans son cerveau, mais aussi bien visible au gonflement de son pantalon. Cette dernière connivence entre eux leva les derniers ressentiments de Frédérique à l’égard de Vincent pour son indiscrétion. Elle mit dans sa tête de devoir rencontrer Brigitte et elle se sentit plus à l’aise avec toutes ses pensées soucieuses. Le soir même Mireille donnait son accord pour le match! Comme prévu par Vincent, le mercredi 28 septembre est une splendide journée d’arrière saison. Il n’y a pas un nuage dans le ciel où souffle une très légère brise de sud- ouest. La température à l’ombre est de 20º C et à 15 heures de l’après-midi il doit bien y avoir près de 25º C dans l’ancien silo. Vincent est seulement vêtu d’un court short de cycliste et de sandales pour profiter au mieux des rayons de soleil, il est arrivé très tôt en compagnie de Frédérique qui porte son flottant de compétition et un soutien-gorge brassière. Son corps remarquablement musclé sous une peau très bronzée est un image dont le regard peut difficilement s’arracher. Les deux jeunes gens se sont assis dans le sable, dos au mur qui est opposé au soleil apportant un peu d’ombre. Mireille arrive un peu plus tard. Elle est vêtue d’un corsage rouge sans manches, qui laisse voir un peu de peau bronzée au-dessus d’une jupe noire qui moule son magnifique fessier et s’arrête juste au-dessus des genoux. Comme sa fille elle porte aux pieds de légères chaussures de tennis. Elle tient négligemment à la main une serviette éponge et un body blanc à bretelles. Après avoir répondu au salut de Vincent, elle demande à Frédérique si elle va lutter dans la tenue qu’elle porte, et sur sa réponse affirmative elle informe les jeunes gens qu’elle va enfiler son body. Sans aucune gêne, elle ôte son corsage, son mini soutien-gorge qui semble inutile pour contenir son orgueilleuse poitrine et sa jupe. Elle se retourne vers un angle du silo pour poser à plat ses vêtements. Sans aucune pudeur elle enlève le slip qui lui servait de culotte, exposant les deux masses rebondies de ses fesses ornées d’un triangle blanc, là où la peau n’a pas, ou peu, été exposée au soleil. Nue, de dos, elle est impressionnante! Plus petite, d’environ 5 cm, que sa fille, elle a un même torse qu’elle mais avec des seins beaucoup plus volumineux, fermes et horizontaux. Une taille très fine, beaucoup plus étroite que Frédérique mais un ventre légèrement bombé. Des hanches très larges qui la dessinent en amphore et sous le splendide “cul de femme” les cuisses et les mollets puissants témoignent de son entraînement physique. Elle est l’exemple vivant de la parfaite maturité, celle qui trouble les hommes, au sens plus noble du terme! Qui trouble aussi les adolescents, comme en témoigne la rougeur apparue sur les pommettes de Vincent, et encore plus... le développement de son sexe dans son short moulant!... Il s’inquiète d’avoir mis un tel vêtement qui ne lui permet pas de camoufler son émoi, son début d’érection!... qui ne fait que continuer de se développer maintenant que Mireille a tout de mal à faire entrer son anatomie dans la modicité de son body!... “Alors «Frique» on y va?” interroge Mireille. Frédérique est surprise de voir sa mère utiliser ce surnom, abandonné depuis son entrée au lycée, et qui lui vient de sa petite enfance quand elle avait du mal à prononcer son prénom! La jeune fille avec un sourire épanoui, rétorque: “Quand tu veux «P’tite Mamou»!” à la façon que bébé appelait sa mère! Puis elle ajouta, “Il faudrait peut-être qu’on se mette d’accord sur les règles! Vincent qui a des notions peut peut-être définir «les tombés» et agir comme arbitre?... Vincent! À quoi penses-tu? Restes avec nous!” Le jeune homme a fermé les yeux depuis un moment, espérant échapper à son excitation. Mais c’est pire! Le remède espéré n’a fait qu’ajouter à l’imaginaire dans son esprit! Il est maintenant nanti d’un pénis en pleine érection! “Vincent,” insiste Frédérique, “viens nous montrer exactement un tombé!” Lorsque le garçon se lève, son membre prend la position d’aise, si l’on peut s’exprimer ainsi, dans sa culotte de cycliste, créant une protubérance allongée qui monte à l’assaut de son ventre, inclinée sur le côté gauche. Frédérique rougit en exprimant un “Oh!” de stupéfaction. Mireille a un sourire presque sérieux sur les lèvres... “C’est moi?” lui demande-t- elle à mi-voix, et à son hochement de tête elle ajoute, “Merci jeune homme, c’est un très beau compliment!” Alors Vincent les fait s’allonger sur le dos, à tour de rôle, les épaules bien à plat, puis une épaule soulevée du sol, puis en pont avec appui sur la tête. Ensuite, il les fait agir de même mais avec l’adversaire en position sur la poitrine, écrasant, ou cherchant à forcer l’épaule soulevée, etc... Les deux femmes posent des questions... essaient différentes positions... pour finalement se dire prêtes à lutter. “Fair-play surtout,” insiste Frédérique! L’action a permis à Vincent de se décontracter, il a maintenant retrouvé une “contenance” proche de la normale! Alors il les lance: “Deux fois cinq minutes avec une minute de repos et une troisième manche en cas de besoin. Prêtes?... Go!” Sans attendre un seul instant et sans aucun préliminaire, les deux femmes se jettent à l’assaut de l’adversaire. Cherchant à prendre qui un bras, qui un cou, ou à saisir à bras le corps. Il y a des claquements de bras contre les bras ou les épaules. Elles finissent par se saisir en une double ceinture avant. La connaissance du judo favorise alors Mireille qui réussit à se glisser de côté pour appliquer une projection au sol par un tour de hanche. A-t- elle mis trop de force, ou Frédérique s’est-elle laissée aller? Toujours est-il que les deux adversaires tombent sur le côté, toujours enlacées et l’attaquante ne peut prendre bénéfice de sa projection. Elles luttent au sol pour essayer d’avoir le dessus, agitant les jambes pour enlacer celles de l’autre, forçant du bassin pour tourner l’adversaire... mais sans succès. Alors elles rompent l’engagement. Revenues debout, face à face, elles ne prennent aucun instant pour repartir à l’attaque. Mireille a de nouveau réussi une projection, en appliquant encore une technique du judo, bien que peu orthodoxe pour de la lutte: elle s’empare d’une main d’un avant bras de sa fille et de l’autre main elle se saisit du short en prenant par le dessous de la jambe sur le côté extérieur de la cuisse. Comme le flottant est assez large et fendu, elle découvre presque tout le bas ventre de Frédérique. Vincent a une brève vision d’un côté du triangle de poils noirs et constate ainsi que sa jeune amie ne porte pas de slip sous son short. Cela l’étonne et l’excite en même temps, ressentant un nouvel afflux de sang dans son pénis. Mais la lutte se poursuit. Mireille a fait tomber Frédérique sur le dos, celle-ci a forcé sur le mouvement pour ne pas subir un tombé. Mireille se redresse à demi pour retomber lourdement sur la jeune fille et écraser ses épaules. La triathlète réagit en soulevant encore un côté de son corps et en essayant de déstabiliser sa mère, lui enlaçant les jambes... La lutte continue ainsi un bon moment avant que Mireille libérant ses jambes, fait un bond en l’air pour retomber les genoux les premiers sur le haut des cuisses de Frédérique qui pousse un cri de douleur, restant les épaules suffisamment de temps au sol pour que Vincent puisse crier, “Tombé... Stop!...” Premier tombé pour la mère. Le garçon regarde sa montre et précise: “Quelques secondes de moins que cinq minutes!...” Les deux femmes assises dans le sable reprennent leur souffle. Frédérique dit alors: “Tu m’as fait mal aux aines avec tes genoux!... Qu’est-ce que tu es forte!” “Tu manques de technique,” répond Mireille. “Moi j’ai des restes de judo, pour bien faire il nous faudrait des leçons...” “Comment te sens-tu?” demande Vincent à Frédérique. “Ça va aller!...” “Bon!... Prêtes, mesdames? Alors, 3 - 2 - 1 - luttez!” Mireille fait un nouveau rush pour se saisir de Frédérique, mais celle-ci s’écarte au dernier moment, et se place derrière sa mère, elle la saisit à bras le corps en dessous des seins, elle la décolle du sol et tente de la basculer au sol. Dans un effort de contorsion, Mireille réussit à remettre un pied dans le sable pour éviter la chute. Alors comme Frédérique maintient sa prise les deux femmes semblent se livrer á un ballet. Elles virevoltent à gauche, à droite, en avant et en arrière pendant un long moment avant que la jeune fille ait l’idée de se laisser tomber en arrière. Elle tombe dos au sol, sa mère écrasée sur elle dans la prise toujours maintenue. Dans le même mouvement Frédérique se tourne sur le côté, crochetant les jambes de sa mère avec les siennes, elle réussit à tourner leur assemblage et elle se retrouve à plat ventre sur le dos de Mireille. Alors lâchant ses mains nouées sous les seins de sa mère elle glisse ses bras vers le haut sous les aisselles et vient rejoindre ses mains derrière la nuque de l’autre. Le résultat est que Mireille se trouve un moment le visage dans le sable... Elle secoue son corps dans tous les sens, essayant de tourner son bassin sous celui de sa fille pour se dégager. Elle réussit à tourner son visage pour respirer et cracher un peu de sable. Elle se démène comme une lionne pour se libérer, secoue son corps à gauche et á droite, surtout à gauche et de plus en plus à gauche comme elle sent qu’elle arrive à pivoter de ce côté-là et se libérer de l’écrasement de Frédérique. Laquelle ne lâche pas sa prise, appuyant son menton au creux de l’épaule. Dans les contorsions de son bassin Mireille a malmené son maillot, il est maintenant profondément encastré entre les deux masses des fesses dont il a libéré les merveilleuses rotondités e faisant apparaître les bouclettes de poils noirs qui ornent le fond de son sillon. Côté face, le devant du body a glissé énormément du côté droit du corps qui est bloqué sur le sol. L’épais buisson noir frisé est offert aux regards, la vulve elle-même est légèrement entrebâillée exposant les chairs roses des petites lèvres. Dans ses mouvements la jeune femme a aussi déplacé le short de sa fille dont la fesse gauche est pleinement exposée. Le coeur de Vincent est encore affolé... et pas seulement son coeur. La combinaison des deux corps enlacés, les mouvements et les contractions des muscles, l’essoufflement des lutteuses accompagné de ahanements d’efforts, s’ajoutant aux quelques éléments dénudés obnubilent Vincent qui est concentré sur le spectacle, oubliant les minutes qui s’écoulent!... Jusqu’au moment où il entend Mireille murmurer, “Frique... tu crois pas que... ton copain s’est endormi?” ...Alors, le visage congestionné, les yeux brillants, la bouche sèche, Vincent s’écrie: “Stop!... Terminé.” Calculant alors rapidement il s’aperçoit qu’il y a presque huit minutes d’écoulées!... Les deux adversaires restent un moment allongées le dos sur le sable chaud, reprenant leur souffle et régularisant leur coeur. Puis Frédérique se lève et va dans le coin du silo boire à longs traits au goulot d’une bouteille d’eau. Mireille qui a remis de l’ordre dans sa tenue, remettant en place le sein gauche qui avait pris l’air, souffle au garçon: “Qu’est-ce que tu faisais? Tu te branlais?” “Ce à quoi il répond en rougissant: “J’en avais bien envie, Madame!” Après que Mireille se soit rafraîchie à son tour, elles reprennent le combat. Cette fois elles commencent par tourner prudemment l’une et l’autre. Elles se prennent mutuellement les avant bras, tournant encore et cherchant à se déséquilibrer. C’est encore Mireille qui atteint son but en utilisant une technique de fauchage de jambes empruntée au judo. Elle surprend totalement Frédérique en la précipitant au sol et la tournant immédiatement sur le dos elle la cloue au sol pour un nouveau tombé, que Vincent étonné de la rapidité et de la facilité doit confirmer!... Alors comme Mireille est déclarée gagnante par deux tombés à zéro, ils s’assoient tous les trois sur le sable pour commenter le match, donner des impressions et critiquer les actions. La conclusion des deux femmes est qu’elles ont besoin d’un bon entraînement et comme Vincent étale les qualités de sa soeur Brigitte à cet égard, ils conviennent tous les trois de convaincre l’étudiante en informatique de les rejoindre pour les initier. Ils remarquent aussi qu’ils ne pourront pas continuer à utiliser le terrain de jeu de boules. D’une part, avec la mauvaise saison qui arrive, le plein air sera pratiquement impossible et d’autre part, le sol de sable fin n’est pas adapté pour la lutte. Mireille propose d’utiliser une des pièces encore non aménagées dans le corps de bâtiment de l’ancienne ferme. Et après que la jeune femme ait enfilé sa jupe sur son body ils prennent en choeur le chemin de La Longère pour s’organiser vers d’autres aventures. Mireille pense qu’elle n’a pas été très excitée au cours de la rencontre. Puis elle admire la silhouette athlétique des deux jeunes qui la devancent, alors elle songe à érection de Vincent, imagine des choses... alors elle sent son ventre se contracter en même temps qu’une chaleur bien connue échauffe son sexe... Elle pense à des affrontements surprenants, consciente que de beaux jours se profilent à l’horizon!... À suivre… Frédérique 4 - “Chacun sa chance”. Le sous-titre du troisième épisode est une hommage au film de Jean Eustache (France, 1973), dans lequel un jeune homme vit partagé entre deux femmes, Bernadette Lafont et Françoise Lebrun, comme le Vincent de cet épisode. La belle et osé actrice Bernadette Lafont a lutté contre une autre belle garce, et aussi bonne actrice, Geraldine Chaplin, dans le film maudit de Jacques Rivette, “Noroît, ou Northwest Wind” (France 1976), jamais distribué en France ou ailleurs; il est trop osé pour Le Système, et trop commercial pour Le Circuit Underground… © L’Ange Païen, 1995.08.12 © Edition de Raf 1995