Euthanasie
By Isaiah
Le suprême sacrifice d’une mère
Je m'appelle Sylvie, j'ai 38 ans, je suis
divorcée, professeur en
collège, et mère d'un garçon. Je parle encore de lui comme s'il
était vivant car pour moi il l'est toujours. Je veux
raconter ici l'acte
d'amour qui m'a poussée à lui ôter la vie.
Jérémy est né lorsque j'avais 20 ans. Il était en bonne santé
durant les premières années de sa vie. C'est à l'âge de 16
ans
que la dépression a commencé, sans raison. Il s'est
replié sur
lui même et n'a plus pu rien faire. Il était comme paralysé, ne
voulant plus rien si ce n'est rester dans sa chambre
prostré.
Jérémy
dépérit très vite.
Il avait grandi mais restait maigre. Il ne
mangeait rien, ne bougeait pas. Ses muscles
s'atrophiaient.
Hasard ou pas, c'est à cette époque que je me mis à
l'aérobic.
Avec le père de Jérémy, je venais de me séparer et
éprouvai le
besoin de me sentir séduisante. Je mentionne ce fait parce que
c'est en partie à cause de cela que Jérémy sombra
totalement.
J'en suis consciente aujourd'hui, il me l'a dit avant de
mourir. Il
éprouvait déjà une attirance pour moi et le fait que j'embellisse
mon corps le fit perdre pied. Il prit alors conscience du
dépérisssement de son corps en voyant le mien se développer.
C'est ce que je ne compris pas pas. Il
m'expliqua au moment de
mourir qu'il perdit alors toute volonté pour remonter à la surface.
Il vécut alors par procuration à travers moi. Mon
corps était le
sien et chaque amélioration que j'y apportais lui
faisait plaisir
comme si c'était son propre corps qui se musclait. Je pris ses
encouragements et son intérêt pour mes progrès comme une
preuve d'amour et je me pris au jeu, pensant lui faire plaisir,
alors que je le détruisait. Il aimait voir mes jambes
se muscler.
Je pris alors l'habitude de lui montrer mes progrès.
Quand je
revenais de l'aérobic, je me mettais en culotte et lui
laissais
toucher mes mollets, mes cuisses. je dois dire que
j'adorais les
changements que le sport apportèrent. Mes jambes
commencèrent par durcir, puis je m'aperçus que les muscles
se galbaient et devenaient plus voyants. Mes mollets
devinrent
vite anguleux et mes cuisses plus rondes. La
première fois que
je montai sur la balance depuis que j'avais commencé
l'aérobic,
je crus que l'appareil était détraqué. Je croyais avoir perdu du
poids mais la balance m'indiqua 61 kilos, alors que 6 mois
avant je pesais 53 kilos. Ce n'est que lorsque je remis un
vieux
jean que je compris que j'avais grossi des jambes. Il
me fut
impossible d'enfiler ce jean qui pourtant m'allait parfaitement un
an avant. Mes muscles avaient grossi, mais je ne m'en étais
pas aperçue. C'est à la suite de cela que je commis une grave
erreur. Je voulais comparer mes jambes à celles de Jérémy.
Lorsque je lui demandai de se mettre en slip, il se ferma
brutalement. Il y avait des années que je n'avais
pas vu mon fils
en slip: il avait pris l'habitude de cacher son corps que je savais
trop maigre. Lui caressant la tête, je lui demandai
à nouveau
d'ôter son pantalon. Il le fit
finalement. Mais je vis ses mains
trembler lorsqu'il ouvrit le bouton. Ses jambes apparurent
et je
fus horrifiée. Il n'y avait plus que la peau sur les
os. Jamais je
n'aurais imaginé un tel désastre. Ses
cuisses étaient d'une
blancheur absolue et tremblaient légèrement. Mais je cachai ma
surprise pour éviter d'aggraver l'humiliation. J'étais déjà en
culotte et jambes nues: il était trop tard pour faire
Je regardai dans le miroir de l'armoire de Jérémy et
m'aperçu de
la différence impressionnante. C'est la première fois
que je
prenais conscience du volume musculaire que j'avais acquis
dans les cuisses. Jérémy regardait par terre, maisje
vis que des
larmes lui étaient montées aux yeux. C'est cet incident qui
précipita Jérémy vers sa demande insensée.
Les jours suivants, il me demanda chaque soir la permission
de toucher mes cuisses. Lorsque j'arrivais de l'aérobic, il
était
déjà couché. Je venais le voir près de son lit; il se
redressait et
regardait mes jambes. Parfois me voir dans mon collant
d'entrainement lui suffisait. Il passait les mains
autour de
chacune de mes cuisses pour en ressentir toute l'épaisseur.
Parfois je me présentais en slip pour qu'il puisse sentir l'odeur
de ma peau.
C'est après cet épisode que Jérémy refusa de manger. Je
devais user de toute ma persuasion pour lui faire avaler une
compote par jour. C'était bien sûr insuffisant pour qu'il puisse se
mouvoir. Il se mit à rester continuellement au lit.
En revanche, je
mangeais pour lui. J'avais un tel appétit que ce que
j'achetais
avant pour deux me suffisait à peine. Il fallait nourrir ma
musculature, c'est ce que le médecin m'expliqua.
L'état de Jérémy, évidemment, me faisait horriblement souffrir.
Je ne comprenais cependant pas à quel point mon
attitude
égoiste le détruisait. Je pensais, en développant mon corps, lui
faire plaisir et ainsi le sortir de la dépression. Mais l'inverse se
produisait, évidemment. Paradoxalement, c'est lui qui me
poussa à aller encore plus loin. Un soir il me
demanda de me
mettre au vélo, pour muscler davantage mes jambes. Ce que je
fis très rapidement. En trois mois, je pris encore 2 kilos de
muscles. La vue de mes cuisses et mes mollets gonflés
semblait faire revivre Jérémy.
Ce fut un soir alors qu'il était passé par une période de profond
abattement qu'il me demanda l'acte ultime. "Maman, je
veux
mourir, aide moi", dit-il simplement. Curieusement, je ne fus
pas outrée. je pressentais ce désir depuis
longtemps. Mais lui
caressant le visage, je lui dis qu'il n'était pas encore l'heure.
Dès lors, tous les soirs, il me refit cette demande. Durant des
mois. Au fil du temps, l'idée s'imposa dans ma tête
comme
quelque chose de naturel. Aussi un soir qu'il me refit
sa
demande, s'arrêtant entre chaque mot parce que même parler
l'épuisait, je lui dis que je le comprenais. Le lendemain, je
revins le voir et lui demandai pourquoi il voulait mourir
de ma
main. "je veux une mort douce, toi seule pourra me la donner".
Je lui demandai comment je pourrais procéder. Il montra d'un
doigt faible mes jambes croisées: "étrangle moi avec tes
jambes". Je souris, lui caressai la tête. "Tu
es amoureux de mes
jambes?", lui demandai-je. "Oui", me dit il. je lui demandai
comment je pourrai l'étrangler sans douleur. Il m'expliqua qu'il
poserait ma tête entre mes cuisses et que je les fermerai
doucement sur son cou. cette idée fit son chemin et
trois jours
après j'acceptai. C'est alors qu'il me demanda de me mettre à la
musculation, pour "blinder" davantage mes cuisses et
les
rendre surpuissantes. Je me mis à lever de la fonte dès
le
lendemain. Le professeur de la salle me fit un programme
destiné à donner rapidement du volume à mes cuisses pour en
augmenter la force spectaculairement. Il me donna un
programme destiné aux cyclistes sur pistes, ces athlètes aux
cuisses si développées. Au bout de 6 mois à ce
rythme je me
pesai devant Jérémy. Mes cuisses étaient impressionnantes:
elles semblaient boursouflées de muscles et je n'arrivais plus à
marcher correctement tellement elles étaient volumineuses. La
balance indiqua 78 kilos. J'en fus suffoquée: je ne mesurais que
1,68 m.
Jérémy me demanda de mourir le jour de son anniversaire.
C'était un dimanche, et je n'étais pas triste. Il m'avait demandé
de me mettre entièrement nue. Je me déshabillai dans sa
chambre. Puis je m'échauffai les cuisses en effectuant des
flexions de jambes. En quelques instants mes cuisses
semblèrent encore plus énormes, sous l'effet de la congestion
musculaire. Alors Jérémy souleva les draps de son lit, révélant
un corps squelettique et nu. Il
se laissa glisser au sol et rampa
jusqu'à mes pieds. je m'étais assise au bord de son
lit. Son
sexe était en érection. Il n'avait jamais connu
aucune fille. Ce fut
naturellement que je posai la main sur son sexe dur et
brulant. Il
ne dit rien lorsque je m'accroupis à coté de lui pour
lui offrir une
fellation. Une de mes mains en
même temps passa sous ses
fesses. Le soulevant un peu sans peine, je pénétrai
son anus
pour augmenter son érection. Je m'arretai avant qu'il n'éjacule
puis me rassis sur le bord du lit. Jérémy n'avait plus la force
d'amener sa tête a la hauteur de mes cuisses. Je
la soulevai
donc et la dirigeai entre mes cuisses écartées. Sa langue
commença à lécher mes cuisses. Il semblait têter et je le
laissais faire, attendrie, en lui caressant les cheveux. Mes
cuisses n'avaient jamais été aussi grosses. Sachant faire
plaisir à Jérémy, je pris derrière mois le mètre de couturière que
j'avais posé discrètement et soulevant une jambe un peu, je
mesurai ma cuisse. La mesure était sans appel: 72 cm. Avant la
musculation, elles mesuraient 61 cm. Alors commença le
dernier acte. C'est Jérémy qui le demanda: "délivre
moi
maman", chuchota t il. Je
m'avançai un peu pour mieux prendre
en tenaille son cou., écartai les cuisses et les
refermai
doucement sur son cou. Jérémy commença alors le plus doux
acte d'amour: il donna ses dernières forces pour
stimuler mon
clitoris déjà dur avec la langue. je jouis une
première fois,
réussissant à maitriser les mouvements de mes cuisses qui
auraient pu le tuer trop vite. Je ne voyais presque plus la
tête de
Jérémy, tant mes cuisses l'entouraient totalement. Après mon
premier orgasme, j'entrouvris les cuisses pour regarder une
dernière fois le visage de mon fils vivant. Il me
sourit faiblement.
Je replaçait sa tête dans la bonne position et
refermai les
cuisses pour la mise à mort. Je commençai à serrer
doucement. La puissance de mes adducteurs était telle que je
ne forçais pas. La langue de Jérémy était entrée dans mon
vagin et me procurait un plaisir incroyable. J'avais posé mes
mains en arrière sur le lit et regardai mes cuisses
faire leur
besogne. Je serrai de plus en plus, et simultanément
les
mouvements de langue de Jérémy ralentissait. Je décidai de
serrer franchement. Les muscles de mes cuisses saillaient
superbement. je pouvais voir tous les faisceaux du
muscle. Le
corps de Jérémy futr alors pris de spasmes violents. Je sentis
son nez se briser et du sang couler sur mon sexe. sa langue
était encore à l'intérieur de mon vagin. je gardai
cette pression
sans l'augmenter. Je me supris à prendre plaisir à voir les
spasmes qui secouaient Jérémy. Dans le miroir en face, je me
regardais et une impression de toute puissance
m'envahit. Je
sentis un nouvel orgasme monter. A
son apogée, je décidai
d'achever Jérémy. Je laissai parler toute la puissance
de mes
cuisses sans aucune retenue. L'effet fut immédiat: mes cuisses
écrasèrent son cou instantanément et brisèrent les
vertèbres.
Ce fut comme une secousse, mes cuisses s'enfonçant
brutalement dans son cou comme dans un coussin. Je jouis
avec une telle puissance que je ne pus me retenir de hurler. Le
sexe de Jérémy éjacula au moment où son cou se brisait et
continua à laisser gicler du sperme sur mes pieds plusieurs
secondes. Tout le corps de Jérémy s'était affaiscé. Mais je
n'enavais pas assez. Sous l'effet de l'exciotation, je saisi ses
cheveux et écartais les cuisses pour dégager sa tête. L'intérieur
de mes cuisses était rouge de sang. Je posais la tête sans vie
entre mes cuisses mais plus loin, près des genoux, là où mes
quadriceps internes se rejoignent et forment une masse
de
muscles. Une fois la tête bloquée, je pus glisser ma main entre
mes cuisses et atteindre mon sexe malgré le volume de
mes
adducteurs. Me caressant le clitoris, je serrai à nouveau
brutalement, appuyant cette fois directement sur le crane. La
pression le fit éclater en un instant. me levant, je me mis debout
et enjambai lecorps de Jérémy et me donnai un orgasme en me
caressant ainsi.