Etudiantes 3 Audrey et Lynn se sont installées chez moi depuis trois mois. Le premier week-end elles ont précisées la teneur exacte de nos relations. Elles sont les Princesses, nom dont je dois impérativement précéder à leurs prénoms. Je suis l'esclave, et me prénommerai de tout adjectif humiliant de leur choix. Elles m'imposent toutes les corvées, taches ménagères. Elles me contrôlent financièrement. Ma CB, mon chéquier sont confisqués. Je dois justifier du moindre centime dépensé. Une procuration est faite à leurs noms sur mon compte. Ma voiture leur est prêtée avec défense pour moi de l'utiliser sans autorisation. Je suis condamné à marcher ou me déplacer en métro pour aller travailler. Elles exigent une hygiène de vie irréprochable, interdiction de boire la moindre goutte d'alcool, interdiction de fumer, je dois suivre un régime draconien et il est très efficace j'ai perdu 7kg. Je dois me doucher deux fois par jour, plus si nécessaire. Elles exigent mon silence total sauf pour les remercier ou répondre à une question. Elles m'imposent la vénération de leurs pieds au minimum 30 minutes par jour pour chacune. Elles veulent pouvoir disposer de mon corps, entièrement, de la façon dont elles désirent sans restrictions. Elles exigent de pouvoir me punir même sans raison, à la cravache ou au fouet ou de la manière adéquate selon la situation. Ma sexualité ne les intéresse pas mais je dois demander l'autorisation des deux jeunes femmes pour pouvoir me masturber. Un refus est irrévocable pour 24 heures. En échange de ma totale soumission, elles me piétineront une fois par jour au moins. J'ai signé le document me liant pour l'année universitaire avec empressement. La vie est devenue simple. J'obéis un point c'est tout. Je suis très fatigué, les femmes ne m'accordent pas de répit. J'ai constaté qu'elles sont d'excellentes gestionnaires. Au début, j'ai craint être dépouillé de l'argent amassé pendant de longues années. Mais après quelques achats compulsifs, les femmes sont très coquettes et coquines, elles ne s'accordent qu'un repas par semaine au restaurant. Audrey a veillé a ce qu'elles possèdent chacune une dizaine de paires de chaussures pour me piétiner. Je trouve d'ailleurs qu'elles ont très bon goût. Moi qui n'aimais pas les chaussures sans talons, j'ai changé d'avis. Lynn possède des chaussures de sport très belles, Audrey raffole d'une paire de ballerines Chanel. Moi si je les trouve sublimes à ses pieds, je redoute lorsqu'elles entre en action. Elles sont si douces lorsqu'elles caressent ma verge et si cruelles dès qu'elles écrasent mes testicules. C'est le seul moment ou Audrey se montre cruelle et sadique. Par contre Lynn aime me voir pleurer. Pour payer le droit à la voir nue ou en dessous, dit-elle. J'ai également appris à aimer l'abstinence. Lors de ma rencontre avec Audrey et Lynn je me masturbais quotidiennement. Mais depuis l'installation des filles je n'ai joui que deux fois. C'est peu, mais je n'ai plus le temps de me toucher, je dois dormir le peu de temps que m'accordent Audrey et Lynn. De plus, mon sexe se dresse bien plus souvent. Etre dépendant à ce point, m'excite. Même lorsqu'elles me piétinent, je bande. Je suis couvert de marques de talons, j'ai même du avouer mes plaisirs cachés à la doctoresse que je consultais pour la visite annuelle du travail. Elle n'a rien dit mais mon slip était tendu comme jamais. Elle a forcement vu ! C'est hyper excitant d'avouer à une femme que l'on est sous la coupe de deux jeunes lesbiennes. J'ai depuis tâté le terrain avec une collègue, mais elle a semblé surprise d'imaginer que des hommes puissent être tenu en laisse. Si sa remarque était purement théorique, je me suis jeté en rentrant aux pieds de Lynn. - Princesse Lynn, pardonnez mon audace mais vous me traitez en chien. - Oui et alors ? Tu le voulais ! - Oui, Princesse Lynn. Mais pourquoi votre chien ne porte-t-il pas de collier ? Pourquoi ne pas le promener en laisse ? - Hey, voilà un chien savant ! Très bonne idée, Audrey rentre dans 20 minutes, nous irons te chercher un joli collier, à nos noms. - Merci Princesse Lynn. - Bien tu as parlé sans autorisation, cherche ma cravache, chien. Son dernier mot a été prononcé avec dédain. Je cherche l'instrument qui va me punir. J'arrive devant Lynn, lui tend la cravache. Mon sexe est tendu vers elle, elle fait une mou en voyant mon sexe ou une goutte perle sur mon méat. - Voilà votre cravache, Princesse Lynn. Princesse Lynn je désire me masturber. - Refusé ! Pour une semaine, compris ? - Oui, Princesse Lynn. Je suis déconfis, mes bourses débordent d'énergie. Lynn les saisit, la peau se tend. Je suis dans une position inconfortable. - Je t'interdis de te masturber pendant une semaine, mais je peux t'aider à tenir. Je n'ai pas le temps de répondre, la cravache s'abat sur mes bourses. Je m'agite, gémissant de douleur. Lynn me maintient fermement, les quatre coups suivant frappent le même endroit. Elle me lâche, rigole tandis que je pleure de cette humiliation. - Je n'ai pas réussi, tu es toujours en érection et la punition est achevée. Je te propose donc de cravacher ton pénis jusqu'à ce qu'il soit redevenu flasque qu'en dis-tu ? - Princesse Lynn, tout ce que vous désirez mais j'ai peur. Elle se lève, sa robe caresse ma cuisse, elle m'allume sans vergogne, masse mes bourses meurtries, griffe mes tétons. Je ne bouge pas, me délectant des sensations douces, qu'elle me prodigue. Puis sa main libre saisi mes cheveux. Je me retrouve courbé vers l'arrière. Mon sexe est une cible parfaite. Le premier coup tombe aussitôt suivi d'un second. - Et voilà , le male est réduit à l'impuissance ! Effectivement il est impossible de résister à un pareil traitement. Pourtant Lynn ne me lâche pas, je reçois même deux coups supplémentaires. Elle me lâche, je tombe à ses pieds. Je baise ses pieds, amoureux. Audrey arrive. Lynn me fait rouler sur le dos et monte sur mon torse. De sa place, elle explique la situation à Audrey. Audrey s'avance, pose sa semelle sur ma bouche. Je lèche avec ardeur. Les femmes me donnent une liste de travaux et quittent l'appartement. Deux heures plus tard mes ravissantes jeunes femmes sont de retour, il est presque 20 heures. Je sers l'apéritif, j'ai très envie d'un verre d'alcool. Audrey et Lynn me font mettre à genoux. Elles déballent leurs achats. Audrey s'adresse à moi. - Esclave, nous avons trouvé un sex-shop très bien, tu verras ! Voila ton collier, tu le porteras en permanence chez nous. - Oui Princesse Audrey. Audrey me passe le collier. Lynn fouille dans le sac et retire une laisse. Puis elles me promènent dans la pièce. Les ordres fusent, à genoux, fais le beau, fais semblant d'uriner patte en l'air, assis, aboie, etc. Puis nous retournons au canapé. Audrey en ressort une paire de menottes. - Il est temps d'être un vrai homme soumis, pendant nos virées tu ne dois pas pouvoir te masturber en douce. - Princesse Audrey jamais je ne me suis masturbé sans votre autorisation que d'ailleurs vous ne m'avez accordée qu'à deux reprises cet honneur. - De toutes façons il ne pourra plus nous faire d'infidélité, dit Lynn. Du sac elle retire un paquet qu'elle ouvre sous mes yeux. - Une ceinture de chasteté. Tu verras six mois c'est très long. - Merci Princesse Lynn. - Cela te plait, esclave demande-t-elle surprise ? - Oui, Ma Princesse. Je suis fier de vous prouvez ma soumission totale. Audrey et Lynn se sont relevées après avoir bu un nouveau verre de vodka. Audrey n'hésite pas une seconde, elle frappe du plat de son pied mes testicules. Je m'effondre, sans voix. Les deux filles discutent un instant, entre elles, puis vont chercher toutes leurs chaussures. Lynn me frappe dans les cotes. - Sur le ventre, esclave, nous allons tester nos fétiches sur toi. J'obéis. Pendant près de deux heures je suis piétiné. A chaque fois, les filles se présentent devant moi, j'embrasse les chaussures qui vont piétiner mon corps. J'adore cela, je remercie plusieurs fois mes bourreaux. Finalement, épuisé nerveusement, je suis conduit à la salle de bain Lynn me fixe la ceinture de chasteté. Puis sans dîner Audrey et Lynn me conduisent dans leur chambre. Elles se déshabillent mais je ne profite pas du spectacle, allongé sur le sol, les vêtements tombent un à un sur mon visage. J'apprécie l'odeur qui en émane. Puis pour monter sur le lit, elles me piétinent. Mon sexe est bien prisonnier. Impossible de montrer mon excitation. Je les entends se gouiner, elle teste le nouveau double gode que j'ai entrevu tout à l'heure. Leur amour semble inépuisable, c'est la première fois que je voix ou plutôt entend mes Princesse faire l'amour. Je voudrais dormir, mais elles se déchaînent. Je suis partagé entre l'honneur d'être à leurs pieds et la frustration de voir mon plaisir confisqué.