Etudiantes 2 Je n'ai pas revu Audrey ou Lynn pendant une semaine. Le week-end approche et je désirerai les inviter. Ce soir, il est déjà 21 heures, peu de monde se presse au bistrot. Soudain, je frémis, sans rien demander mes deux jolies jeunes femmes se sont assises face à moi. - Commande nous de la bière, intime Lynn ! - Oui, Mademoiselle. - Tu as honte de nous appeler Maîtresse, réplique Audrey ? Sa voix porte, les quelques rares clients jettent un œil vers nous, souvent amusés. - Maîtresse Audrey, pas ici ! - Nous avons à te parler, nous allons chez toi ! - Mais ... - Tu veux que je cri ce que tu aimes, Alain ? Sa voix est clairement menaçante. Je ne dis rien. Elle boivent leur bière puis me conduisent chez moi. Elles semblent particulièrement excitées, surtout Lynn qui tâte mon jean dans l'ascenseur et me sourit malicieusement. A peine franchie le seuil d'entrée de mon appartement, Audrey me gifle. - Déshabilles toi, esclave, tes Maîtresse ont pensé à ton avenir. - Oui, Maîtresse Audrey. Excusez moi pour tout à l'heure ... - Tes couilles seront punies pour ton attitude. - Merci Maîtresse. Je me retrouve nu devant elles, je les conduits au salon. Je m'agenouille devant les deux femmes assises dans le canapé. Je me penche pour embrasser leurs pieds. Elles portent toutes deux des sneakers aux talons compensés. - Je veux un état de ta situation financière, me lance Audrey. - Les clés de ta voiture et de ton appartement réplique Lynn. - Doucement Lynn, notre esclave n'a pas encore accepté notre marché ! - Un Marché, Maîtresse Audrey ? Mon pénis est au garde à vous. Audrey et Lynn sont de superbes jeunes femmes. J'attends avec impatience ce que va dire Audrey, je parie qu'elles désirent me piétiner chaque jour, faire de moi leur esclave. Je cherche mes extraits de banque. Audrey les étudie avec attention, mon salaire est supérieur à 4500€ mensuel, mon compte épargne dégage un bénéfice de plus de 85000€. - Donne moi ta carte bancaire et le code. J'obéis, conscient de me mettre à sa merci, Audrey me sourit. - Bon courage, esclave. Je ne comprends pas, Audrey part. Lynn se penche et saisi mon pénis toujours aussi dur. Elle fait rouler mes testicules dans sa main. - Tu me fais plaisir, tu ne jouis pas avant le retour d'Audrey. - Je vais essayer, Maîtresse Lynn. - Je n'ai pas dis, essayer, je t'interdis de jouir, OK ? - Oui, Maîtresse Lynn. Elle caresse ma verge. Je frémis. Lynn est une sacrée masturbatrice, malgré mes efforts je suis en quelques secondes à sa merci. Elle le sait, loin de s'arrêter, Lynn redouble de vigueur. J'éjacule en moins d'une minute. - C'est trop facile ! Tu as des problèmes, chéri ? - Mon problème c'est vous, Maîtresse Lynn, vos doigts sont trop efficaces. Je suis désolé. - Tu connais ta punition ? - Non. - Souviens toi, l'autre jour j'ai frappé tes couilles ! - Vous ... Vous voulez recommencer ? - Et comment, mais cette fois je change les règles, tu t'agenouille face à moi et tu me demandes de te frapper. Je ne veux même pas résister, j'exécute son ordre. Humblement je pose mes lèvres sur ses chaussures. - Divine Maîtresse Lynn, votre esclave est prêt pour recevoir le juste châtiment qu'il mérite ! - Ainsi soit-il, éclate de rire Lynn. D'un coup de pied, je me retrouve en position fœtale, mon pénis réduit en bouillie. Lynn pose sa semelle sur ma joue. - C'est ainsi que tu vas vivre, esclave, à nos pieds. Nous allons te mater et faire de toi un pantin. Je tremble, de peur, de douleur. Lynn monte sur moi. C'est dans cette position que Audrey nous trouve. Elle jette 1500€ sur la table. - Pas cher paye pour être masturbé par Lynn, cochon ! Lynn descend de mon ventre, embrasse Audrey. - P'tite bite a joui ! J'ai du le punir ! - Parfait. J'arrive à me redresser. Lynn a cherché deux bières au frigo. Je regarde mes deux déesses j'admire leurs pieds. Audrey s'adresse à moi. - Esclave, nous avons le même but, notre plaisir. Lynn et moi désirons vivre ici, profiter de ton argent, de toi. Nous te dominerons, exigerons d'être servies et traitées en Reines. En échange tu seras piétiné selon notre bon vouloir. C'est à prendre ou à laisser. Tu acceptes et nous sommes tes Maîtresses ou tu refuses et nous partons. - Je ... Maîtresse ... C'est si soudain. - Réponds, chien, Esclave ou solitaire ! - Esclave, Maîtresses ! Esclave ! Lynn et Audrey s'embrassent. Mon sexe est s'érigé en honneur à leur beauté. Audrey se lève, se présente face à moi. - Cela fait mal un coup de pied dans les testicules ? - Oui, Maîtresse Audrey. - Dommage, je n'ai pas d'autres idées pour te signifier que je t'accepte comme esclave. Je n'ai pas le temps de réagir. Audrey a atomisé mes testicules. Après un long moment à récupérer, je me retrouve à baiser deux paires de sneakers. Je suis pitoyable, misérable ver de terre léchant des semelles de deux femmes qui ne se gênent pas pour se caresser. Pourtant je suis heureux, mon rêve de servir est réalisé. Ce soir elles ont autre chose à faire qu'à me piétiner. Elles veulent de l'amour et pour cela je ne suis pas dans leurs plans, ni d'ailleurs à la hauteur. Je couche donc dans la baignoire, tandis que les deux femelles en chaleur se font jouir dans mon lit. Mais c'est un petit sacrifice comparé à l'honneur de servir deux si jolies femmes. Je ne me doute pas que l'année universitaire va être terrible. Je ne me doute pas combien il peut être difficile d'être l'esclave de deux femmes. Et je n'imagine pas la fragilité de mes testicules, m'entraînant chaque jour vers un enfer fait d'humiliations et de douleurs.