Etudiantes. Comme tous les soirs j'ai pris place à une table du bistrot situé juste à coté de mon appartement. Il y beaucoup de monde. Je commande une bière et allume une cigarette. Deux minutes plus tard interrompant la lecture de mon quotidien, deux étudiantes demandent à s'asseoir à ma table. Le bar est bondé, j'acquiesce. Je suis plutôt flatté de partager quelques instants avec ces deux superbes créatures, en tant normal je n'aurai jamais leur adresser la parole. J'ai 40 ans, plutôt mignon, célibataire. Les filles commandent aussi des bières, puis discutent entre elles. Elles évoquent le coût exorbitant de la vie. Je paye alors leurs boissons. - Merci ? - Alain. - Merci Alain, enchantée, je m'appelle Audrey et ma copine s'appelle Lynn. - De rien, vous avez assez de soucis. - On t'embete avec nos problèmes d'argent, désolé. - Non, j'ai la chance d'avoir un très bon salaire. Comme je vis seul je n'ai aucun problème. Cela me fait plaisir de vous aider. Audrey jette un œil brillant à Lynn, celle-ci bouge imperceptiblement les yeux. - Alain, tu veux nous aider ? Plus ? - Pourquoi pas. Je sors mon portefeuille et pose un billet de 50€ sur la table. Lynn me fait un sourire charmant. Elle prend le billet. Audrey me fixe dans les yeux. - Si tu veux nous sonnes libres ce soir, Alain. Nous aimerions mieux te connaître. - Heu, c'est sympa, mais non. - Tu es homo, me demande Lynn ? - Non, vous êtes ravissantes, sublimes. - Alors c'est quoi ton problème, rétorque Audrey. Au milieu de la foule j'ai l'impression que tout le monde écoute. Je rougis, m'avance vers les deux jeunes femmes et baisse ma voix. - Vous êtes bien jeunes, vous ne connaissez pas les faiblesses des hommes. - Moi je veux les connaître, dit Audrey. - C'est bien, dis-je. - C'est tout, raconte. Allez, on verra bien. - Heu ce n'est pas facile. - Pense à ce que nous cachons sous nos robes, deux chattes bien excitées. Je suis étonné de la façon dont parle Audrey. Sans réfléchir j'avoue alors mes penchants. - Voilà chaque mois je vais voir une prostituée. - Oh mais tu vas nous payer, qu'est-ce que cela change ? - Elle me piétine ! Oui, je paye pour me faire marcher dessus, comme une carpette. - Pas mal, tu es maso ? - Oui, Lynn. - Moi, poursuit Audrey, je ne vois pas le problème, cela doit être amusant de marcher sur un mec ! - Torse nu, c'est la condition. Mais je ne cherche pas à vous faire l'amour. - Cela me convient, dit Audrey, combien proposes-tu ? - 200€ si vous voulez. - Pas mal. Cinq minutes plus tard nous sommes au distributeur en face du bar. Je tends 200€ à chacune des deux femmes. Elles sont surprises, pensant que j'avais proposé une somme globale. Nous discutons un instant de ce que j'attends. Je suis ravi qu'elles portent des talons. Nous allons chez moi. Je vais prendre une douche après avoir servi une bière aux filles. Je suis en train de me sécher lorsque Lynn entre dans la salle de bain. - Oui, Lynn ? - Je viens voir ce que je vais piétiner. - Ah ? Elle s'approche s'empare de la serviette qui cache mon sexe. Elle la balance au sol et prend mon pénis dans sa main. Aussitôt il durci. Cette inspection est une terrible humiliation. Lynn se moque de la taille de mon sexe. Puis elle glisse un doigt entre mes fesses pour en vérifier la propreté. Je veux remettre mon boxer mais Lynn s'y oppose. Elle serre sa main autour de mon pénis et me conduit au salon. - Audrey, je sais pourquoi monsieur est maso. Regarde ! Une nouvelle fois, je suis humilié. Audrey éclate de rire en voyant mon pénis. - Tu bandes là  ? - Oui ... S'il vous plait ... - Allonges toi, ordonne Audrey, nous allons t'en donner pour ton argent ! Je m'exécute. Lynn se positionne au dessus de mon visage. Je voie sa culotte sous sa robe. C'est magnifique, émouvant. Audrey s'est placée entre mes jambes, son mocassin au large talon se pose sur mes couilles. - Es-tu prêt ? Nous pouvons encore partir ! - Je suis prêt Maîtresse Audrey, ne m'épargnez pas. - Tu entends, Lynn, ce porc m'appelle Maîtresse, il croit peut être que je vais épargner sa minable virilité ! - Vas-y, ne te gêne pas, chérie. Aussitôt je sens la semelle écrasé mes testicules. La douleur est vive. Lynn monte sur mon torse, elle porte des escarpins dont les talons font environ 4 cm. Elle racle mes tétons, je pousse un cri. Audrey la rejoint bientôt sur mon ventre. Elle semble obnubilée par mon sexe car elle alterne caresse et écrasement. Lynn est plus efficace, elle fait peser son poids sur mon torse, vrille ses talon dans ma peau. Je souffre beaucoup mais les deux jeunes femmes sont douées. Elles mettent du cœur à l'ouvrage. Je les regarde s'embrasser, des lesbiennes ! Sans se soucier des parties qu'elles écrasent, elles se font l'amour sous mes yeux. Leurs doigts s'activent avec vigueur. Le traitement dure trente minutes, jusqu'à leurs plaisirs. - Voilà , nous avons fini - Mercis mes Maîtresses. Je veux me relever mais Audrey me l'interdit. - Nous avons aimé, si tu veux on revient n'importe quand, dit Audrey. - Oh oui, j'en ai très envie, dis-je. Audrey pose alors ses fesses sur mon visage. Je l'entends dire à Lynn. - Joue avec lui, chérie. - Tu me laisses combien de temps ? - Le moins possible, il est à bout ! J'entends leurs rires. Mon pénis est vigoureux entre les doigts de Lynn. C'est délicieux. Je mets 20 secondes pour éjaculer. C'est très frustrant de ne pouvoir résister à cette main ! Audrey se relève, les deux femmes vont partir. Chacune pose une chaussure sur ma bouche, je baise les semelles qui ont meurtries mes chairs. Puis Audrey rejoint l'entrée tenant par la main son amie. - Audrey, j'ai oublié quelque chose, dit Lynn ! Je regarde Lynn revenir, elle vient entre mes cuisses et donne un grand coup de pied dans mes bourses. - Bonsoir, minable et la prochaine fois essaye de tenir un peu plus longtemps !