slave elric by Elricnec@aol.com Lorsque j'ai rencontré Martin, je me trouvais dans un bar à Jazz de Paris, il était assis à une table non loin de moi. Avec ma soeur Carole nous buvions une vodka au comptoir. Il fixait mes chaussures. Je portais de ravissants escarpins noirs avec un talon de huit centimètres. Je dois avouer que je mets rarement des talons car comme ma soeur, je suis très grande, je mesure 1m84 et Carole 1m82. J'ai abandonné Carole quelques instants, et je me suis dirigée vers Martin. - Bonsoir, pourquoi regardez-vous mes chaussures ? Elles sont sales ou abîmées? - Heu... pas du tout. Martin était devenu rouge comme une pivoine. Il baissa, comme je le prévoyais, ses yeux. Je décidais de m'amuser avec lui, je fis un signe a Carole qui me rejoignis. - Regardes, monsieur trouve mes pompes à son goût ! Tu crois que... - J'en suis certaine, répondit Carole, eh toi ton prénom ! - Mar... Martin, mesdemoiselles. - Moi je m'appelle Carole et je te présente Valérie ma soeur. Nous nous étions assises sur la banquette, moi face à Martin. Immédiatement je glissai mon pied vers ses jambes. Martin n'osait plus bouger, pétrifié. - Et mes chaussures comment les trouves-tu ? Demanda Carole. Elle tendis sa jambe et montra sa chaussure, des sandales à talons plats, au bout de la table. - Je suis sure que tu as envies de nous baiser les pieds, n'est-ce pas ? Martin hocha la tête, tandis que je lui écrasais ses pieds avec mes talons. - Bien alors tu vas nous suivre, tu paye les consommations et tu marche derrière nous, regard fixé sur nos pieds ! C'est un ordre ! J'avais donné cet ordre naturellement, sachant que Martin obéirait aveuglement. Nous sortîmes du bar, Martin était petit, environ 1m72, mince mais très mignon. Nous marchâmes environ 10 minutes jusqu'à l'appartement de Carole. Dans l'appartement, je donnais l'ordre à Martin de se dévêtir, totalement, en faisant un streap-tise. Il s'exécuta, encore plus rouge que précédemment. C'est Carole qui d'un geste autoritaire lui arracha son caleçon. Il bandait, un sexe bien gros, mais pas très long. Nous rigolions, le touchant, lui palpant son corps et sa queue. - La suite du jeu est simple, dis-je, ou tu pars tout de suite ou tu acceptes nos conditions pour avoir ta récompense, nos chaussures. Il ne dit rien, consentant tandis que Carole refermait sa main sur les couilles offertes - Je comprends que tu accepte nos conditions. Moi mon désir c'est de me battre contre toi, dit Carole Et joignant le geste à la parole, elle entraîna Martin, en le tirant par ses couilles, jusqu'au milieu du salon. Je poussais la table basse et les deux fauteuils. Carole le lâcha et lui envoya une paire de gifles, Martin porta ses mains au visage, mais Carole le ceintura et le souleva. Elle le jetait au sol et vint sur lui, il ne se débattait pas, semblant terrorisé. Elle le saisit à nouveau par les testicules et se mit à les serrer. - Tu ne te bats pas, si tu tiens à tes couilles, defends toi ! Il hurla de douleur et Carole le relâcha. Enfin il se décida à se battre, il fut pitoyable. Carole le boxa, le frappa et lui fit un ciseau, bloquant la poitrine de Martin. Aucunes des tentatives du male ne faisait mouche. Il cria grâce, mais je refusais en temps qu'arbitre la mesure de clémence. Carole se dégagea et le retourna sur le ventre, il tentait de résister mais elle s'assis sur son dos, ramenant les bras du malheureux dans son dos, lui tordant sans ménagement. Martin tentait de désarçonner Carole mais n'y parvenait pas. - Maintenant, tu vas t'excuser d'avoir regardé de manière indécente les pieds de Valérie ! - Je... Je... M'excuse. - Mieux que ça ! Ordonna Carole tout en tordant plus fortement les bras de Martin. - Je m'excuse Valérie. - Mademoiselle Valérie ! - Je m'excuse Mademoiselle Valérie Carole se releva non s'en avoir donné deux coups de pieds dans les cotes de Martin. Il se tourna sur le dos et Carole lui offrit sa récompense, elle posa la semelle de sa sandale sur la bouche de Martin. - Lèches ! Il sortit sa langue, et dévotement astiqua la semelle offerte. Puis Carole lui tendit son autre semelle quelques secondes. - Ca suffit ! Debout ! Je vins devant Martin, lui caressant son sexe flasque. Il mit quelques instants à retrouver sa vigueur. Carole se moquait de lui. - Je crois que tu as compris qui est le sexe fort, n'est-ce pas ? - Oh Oui, Mademoiselle Carole ! - Bonne réponse, au tour de Valérie de s'amuser un peu. - Voila, moi tu m'as offensée, je choisis donc de te frapper tes petites couilles avec l'objet de tes désirs. Martin me regarda semblant ne pas comprendre. Il était vraiment mignon et je m'imaginais déjà le plaisir que je lui forcerais à me donner. Je l'obligeais à écarter ses jambes, puis faisait le tour de son corps palpant ses bras, titillant ses tétons, posant des petits baisers sur son visage. Soudain, face à lui, je reculais et je lançais ma jambe en avant, frappant avec violence ses testicules. Il se plia, tremblant et tomba sur le sol, ses mains se crispant sur son sexe. Carole et moi éclatâmes de rire. Il resta ainsi cinq minutes, le temps pour Carole de nous servir un verre de vodka. Je bus un peu, puis je me penchais et je saisis Martin par les cheveux, le forçant à se relever. - En position, round deux, dis-je tout excitée. - Pitié, Mademoiselle Valérie, pitié, j'ai mal... - Cesse de pleurnicher et écarte tes jambes ! Comme il n'obéissait pas, Carole se plaça face à Martin et le gifla à cinq reprises. Elle se plaça ensuite derrière Martin et lui bloqua ses mains dans le dos. Il écarta ses jambes, je le voyais trembler comme une feuille et des larmes coulaient de ses yeux. Je suis sans pitié, j'adore voir la déchéance d'un male terrassé par ma force, terrorisé par ma cruauté. Je frappais de nouveau les testicules de Martin, encore plus violemment, il s'écroula ne parvenait même pas à crier. Son visage tomba près de mes pieds. Je reculais de deux pas. - Rampes et embrasses mes escarpins ! Maintenant tu es pardonné. Martin mit près de cinq minutes avant d'enfin s'exécuter. Je sentis sa bouche se poser sur mes pieds, moment délicieux, je sentais monter une vague de plaisir en moi. Carole le remarqua et posa son pied sur la tête de Martin qui eut sa bouche clouée sur mes pieds. Je fus secouée par un immense orgasme suivit par Carole, qui avait glissé sa main droite dans son jean pour accélérer sa jouissance. Peu de temps après nous nous couchâmes, je ne voulais pas rentrer chez moi, et je me lovais dans les bras de Carole. Sur ma descente de lit, Martin s'endormait, les couilles en feu, une paire d'escarpin sur son ventre. A suivre Elricnec@aol.com