Djamila Alors qu'il se rendait au travail, Marc dormait d'un sommeil léger dans le RER, quand deux jeunes filles montèrent dans la rame. Elles faisaient du bruit, gueulaient même. Elles s'assirent au fond du wagon chacune sur une banquette. Un homme se leva de son siège et alla s'asseoir en face de l'une d'elle. "Sale chien, retourne à ta place" lui dit-elle. Elle lui cracha au visage, et il retourna à sa place humilié. Les filles étaient tout sourire. Marc ne rata rien de la scène et s'imagina à la place de l'individu. Il décida de leur parler et de descendre au même arrêt pour le faire. Elles continuèrent à gueuler, à chanter et elles sortirent de la rame trois stations plus loin. Marc les suivit, et les accosta: - "Bonjour Mesdemoiselles, j'ai remarqué que vous avez pris du plaisir à humilier cet homme dans le train. Seriez-vous d'accord pour me faire subir le même traitement?" - "Quoi, tu veux que l'on te traite de chien?" dit Djamila morte de rire. - "Oui, j'aimerais bien et vous pourriez aussi me faire mal. Je vais vous expliquer: j'aime être humilier par des femmes, j'aime être battu. S'il vous plait, je serais à vos pieds, je lécherais vos chaussures." Elles rirent de plus belle. - "Ok, on va te démonter, mais pas ici il y a trop de monde." - "Ouais on a qu'à aller dans le parc à deux rues d'ici, vu l'heure il n'y aura personne" ajouta Mounia. En chemin elles posèrent des questions à Marc: "Pourquoi aimes-tu être battu par des femmes ?", "T'aimes nos chaussures?"... Marc ne savait quoi répondre, à part qu'il croyait en la suprématie féminine, qu'il éprouvait du plaisir à être humilier- dominer par des femmes, et qu'il était très attirer par les chaussures féminines. Marc leur expliqua ses préférences pour le ballbusting, le facebusting, le piétinement... - "T'es vraiment un minable, une merde et tu vas souffrir" dit Djamila alors qu'ils rentrèrent dans le parc. Elle mis un coup de pied rapide dans les noisettes de Marc qui tomba sur ses genoux. Il mis ses mains dessus pour se protéger, mais Mounia le frappa au visage lui appliquant la semelle de sa Nike sur sa joue et son nez. Et elles lui donnèrent plusieurs coups de pied au visage, au ventre... Marc essaya de se protéger le visage avec les bras. Immédiatement, Mounia lui donna une série de coups de pied dans les valseuses. Puis elle écrasa le sexe de Marc sous la semelle de sa Nike. - "Alors, c'est bon?" demanda Djamila alors que marc commençait à pleurer. - "Oh, il chiale le petit chien. Donne lui ta pompe à lécher, c'est sa nouvelle tétine" dit Mounia s'esclaffant. Djamila écrasa la semelle de sa Buffalo sur la bouche et le nez de Marc. - "Vas-y, lèche mes semelles, elles sont dégueulasses" ordonna Djamila. Marc embrassa la semelle et commença à la lécher en l'embrassant de temps en temps. Elles rirent. Pendant ce temps, Mounia continua à ecraser le sexe de Marc y mettant de plus en plus de poids. Quand Marc eu fini de lécher les semelles des buffalos de Djamila, Mounia dit: "a mon tour". Elle mis son deuxième pied sur le torse de Marc s'appuyant sur son premier pied qui reposait sur le sexe de Marc, et elle avança jusqu'a présenter la semelle de sa Nike sous le nez de Marc. - "T'a intérêt de bien nettoyer mes semelles, esclave, sinon je vais te défigurer". Marc embrassa la semelle présenté et la lécha. Il trouva que la semelle avait une bonne odeur et un bon goût. Il appliqua sa langue de plus en plus fortement contre la semelle. Pour enlever un vieux morceau de chewing gum collé, il du mordre la semelle avec ses dents, et il avala tout. - "Bien, c'est un bon toutou" dit mounia gloussant. Pendant ce temps, Djamila avait écraser sous les grosses semelles de ses buffalos les mains, les bras et les jambes de Marc. Puis, elle se défoula sur le sexe de Marc alternant les coups et une masturbation sous la semelle de sa Buffalo. - "T'aime ça, petite merde?" demanda-t-elle. Marc n'eu pas besoin de lui répondre. Il éjacula sous la pression exercé par Djamila, une tache foncé se forma sur son jean souple et clair. - "Regarde ça" dit-elle s'esclaffant à Mounia. Celle ci descendit du corps de Marc et jetta son regard sur la tache. Elle rit et ajouta: "Allez on se casse". Elles commençèrent à s'éloigner. Marc se mis avec difficulté sur ses genoux et les supplia de lui accorder un peu de temps pour leur donner son numéro de téléphone au cas ou elles auraient envie de recommencer. Mounia et Djamila s'approchèrent: - "T'as pas eu ton compte, sale chien". - "Tiens prends ça". Les coups de pieds pleuvèrent sur toutes les parties du corps de Marc. Et elles partirent heureuses, laissant Marc se relever. Ce fut dur, il avait mal partout. Fin