La dentiste broyeuse de testicules…… Traduction de : The ball busting dentist by Kandor Pas de ciseaux, de prises de lutte dans cette histoire impertinente, juste une magnifique dentiste et son assistante malmenant les couilles d'un patient, au nom de la science ! ! C'etait le premier rendez-vous de Matt chez la nouvelle dentiste de la ville et ce qu'il pouvait voir le séduisait. Le docteur Larusa etait une métisse, aux larges pommettes, magnifique femme de descendance italienne, non seulement la plus belle dentiste qu'il ait pu voir, mais aussi la plus belle femme qu'il ait vu de sa vie. Comme il etait installé dans le fauteuil pour un plombage, il commença par regarder les grands yeux marrons sur la peau douce de ce visage encadré de courts cheveux noirs. Il tomba amoureux, tandis qu'elle fraisait sa dent et que l'assistante aspirait la salive et le sang de sa bouche. Comment nous trouvez-vous Matthew ? demanda le docteur Larusa qui marchait dans une blouse terne de couleur verte, un masque chirurgical sur son visage. Derrière elle se tenait Connie, terriblement belle, à la peau claire. Belle, très belle, docteur Larusa, vous etes fantastiques, répondit Matt d'un ton dragueur, vous savez même dans ces habits ternes vous avez un visage angélique, toutes les deux etes de charmantes femmes. Et je ne sais pas ce que je donnerai pour vous voir toutes les deux sans cet accoutrement. La dentiste et son assistance se regardèrent, souriant à l'évidence sous leur masque. Matt etait fier de lui il allait pouvoir c'est sur sortir avec l'une ou l'autre. Matthew, aujourd'hui nous allons procéder un peu différemment, dit le docteur Larusa, poussant et refermant à clé la porte du cabinet derrière elle. Nous allons faire une anesthésie alternative. Vraiment, et comment ? Elle est appelée – douleur relocalisée - , dit-elle. Je crois que tu vas aimer. Enfin peut-être pas mais je sais que NOUS oui ! Matthew regarda d'un coté à l'autre, du docteur Larusa à Connie, d'un air interrogatif. Les deux femmes bougèrent, soudaines, saisissant rapidement les bras et les jambes de Matt qu'elles attachèrent aux bords du fauteuil. Qu'est ce que … balbutia-t-il, regardant ses membres prisonniers. C'est très simple, vraiment, dit le docteur Larusa déboutonnant le pantalon de Matt et le descendant ainsi que son slip sur ses genoux, dévoilant ainsi ses organes génitaux. Nous allons déplacer simplement la douleur de ta bouche autre part. Ou autre part docteur ? Elle sourit et forçat Matt à ouvrir la bouche avec sa roulette pour examiner la dent malade. La douleur fut instantanée et intense et Matt voulu hurler mais ne put le docteur Larusa bloquant sa mâchoire de ses longs doigts fins. A TES COUILLES ! ! dit fortement le docteur Larusa par-dessus le bruit de la fraiseuse. Il ne vit pas mais sentit la main gantée de caoutchouc de Connie descendre en direction de ses couilles. Il voulut crier à nouveau et put cette fois, son cri se perdant dans le bruit de la fraiseuse. Le docteur Larusa sourit en observant le regard terrorisé de Matt et accentua son travail sur la dent avec la fraiseuse ceci sans anesthésiant. Elle fraisât tout en faisant des signes de tête à Connie qui à chaque fois frappait de son poing ganté les couilles offertes. Finalement le docteur Larusa s'arrêta et sortit la roulette de la bouche de Matt. Les larmes coulaient sur la face de l'homme qui essayait de parler. S'il vous … arrêt.. s'il vous…. Implorait-il incapable de terminer ses mots. Patience Matthew, maintenant je vais juste boucher ce trou, dit calmement le docteur Larusa comme si rien ne sortait de l'ordinaire, comment se passe ton anesthésie alternative, la douleur dans tes testicules ne depasse-t-elle pas celle de ta bouche ? Elle inclina sa tête vers Connie qui cette fois ne frappa pas ses noisettes, mais saisit de sa main caoutchoutée les testicules qu'elle broyat si fort que Matt se raidit dans ses liens, se coupant la chair au niveau de ses mains et de ses jambes prisonnieres. Je t'ai posé une question, Matthew, est-ce meilleur ? Il regarda le docteur Larusa, sanglotant et hocha la tête, prêt à n'importe quoi pour abréger les souffrances infligées par la main de Connie. La jolie brunette le regarda amusée. Il est bien, mieux que la plupart des hommes qui nous draguent, docteur Larusa, dit-elle. OK alors on augmente le dosage. Ainsi elle put inspecter la bouche grande ouverte de Matt, cette fois lui cerclant la dent avec un anneau métallique. Cette fois Connie enleva ses sandales puis s'assis sur un tabouret pour pouvoir lever ses jambes. Elle frappa de ses talons, violemment, les couilles martyrisées. Encore et encore elle repliait ses jambes puis les dépliait, frappant les couilles, ses talons punissant inlassablement les testicules tandis que le docteur Larusa travaillait tranquillement sur la dent malade. Pourquoi ne finirais-tu pas ce travail, je continuerai l'anesthésie dit le docteur Larusa à Connie. Ainsi fut fait. Connie s'empressât d'achever le travail dans la bouche meurtrie de Matt. Le docteur Larusa tirait vers elle les couilles flacides de sa main fine. Pendant ce temps sa main libre caressait les testicules martyres, les faisant rouler sous la peau entre ses longs doigts. Elle fit signe à Connie qui plongea sa main dans la bouche de Matt. Il cria sous l'effet de la douleur, le docteur Larusa écrasa fortement les couilles dans sa main, puis elle pressa sa main gantée le testicule droit. Matt cria de toutes ses forces, tant etait grande la douleur dans ses couilles. Comme si rien ne s'etait passé le docteur Larusa avait saisi l'autre testicule, l'etirant pour l'éloigner de l'autre. Brusquement elle claqua ses mains l'une dans l'autre, les testicules s'entrechoquèrent. Juste à ce moment Connie achevait son travail, la tête de Matt balançât d'un coté à l'autre et put juste à temps se pencher sur le lavabo pour vomir. Le docteur Larusa et Connie calmement remontèrent le slip et le pantalon de Matt le boutonnant puis le détachèrent de ses liens. Matt gisait dans le fauteuil totalement absent, ses yeux dans le vague, une douleur constante dans son bas ventre. Pas mal pas mal, dit le docteur Larusa à Connie et elles sortirent, encore quelques expériences comme celle-ci et je crois que j'aurai un article publié dans une revue médicale ! ! Ou dans l'hebdomadaire des broyeuses de couilles, répliqua Connie Les deux jeunes femmes rigolèrent et sortirent, refermant la porte derrière elles laissant dormir Matt. Traduction : Elricnec@aol.com