Crushed par GG. Une histoire courte par GG, une histoire pour valkyries et leurs admirateurs pressés. Carla avait été réellement une garce furieuse toute cette journée. Je ne l’avais jamais vu devenir folle et c’est la fois ou dans ma vie j’ai le plus transpiré de peur. Nous sortions ensemble depuis plusieurs mois et j'avais admis depuis longtemps qu’elle soit plus forte que je ne l’etais, tant physiquement que mentalement. Elle travaillait durement son physique dans une salle de gym minable, plutôt que dans le club à la mode que je fréquentais et dont elle disait qu’il etait pour jeunes cadres dynamiques. Elle etait dur comme du fer, et ce que l’on pourrait appeler rugueuse. Coté charme, elle ne faisait pas d’effort s’habillant n’importe comment – bottes de motarde, jeans usés, veste de cuir. Elle etait casse-pieds, mais un casse-pieds séduisant de 1m80 pour 77kg, brune aux yeux marrons. Elle avait remporté un tournoi de body-building en amateur. Elle faisait quelques combats de lutte pour gagner un peu d’argent, mais elle pensait que je l’ignorais. Elle pouvait être gentille avec moi mais elle avait un tempérament volcanique. Il valait mieux être autre part lorsqu’elle sortait de ses gonds et s’etait précisément le cas ce soir là. Nous rentrions juste d’un bar lorsque cette voiture de police ralentit et avança à notre allure. L’officier sur le siège passager ne fit pas mystère que notre look ne lui plaisait pas. La voiture accéléra pour s’éloigner puis s’arrêta deux maisons plus loin. Quelque chose avait du se passer en ville et peut-être nous soupçonnait-il Soudain s’en fut trop pour Carla. Elle explosa. « Pourquoi vous ne foutez pas le camp ? Hurla-t-elle à leur attention. Je sursautais de tout mon être. Elle marcha vers la voiture et donna un coup de pied dans la portière. La lourde botte, renforcée par ces puissants muscles, enfonça la portière comme du papier. Il y eut un terrible cri dans la voiture et je tentais de savoir pourquoi. « Ma jambe est cassée. Ma jambe est cassée criait un homme. Je tremblais quand je m’aperçu que les deux hommes etaient armés. Carla etait comme une tigresse sauvage. Elle déchira la portière de droite, esquintée, à la hauteur des gonds tandis que je la regardais avec incrédulité. En un instant elle fut dans la voiture et à présent on entendait des cris et des jurons nombreux mais pas longtemps. Elle sortit du véhicule avec les deux policiers inconscients, espérant pour ma part qu’il ne soit pas morts. Elle avait du sang sur le visage et me dévisageât durement toujours aussi excitée. « Qu’est-ce qu’il y a, mauviette ? Ricana-t-elle, tu n’as jamais vu une fille se battre auparavant ? Traduit par Elric elric stg@aol.com