Conspiration maternelle D'après SITJ akanaive Cette histoire est réservée aux adultes. Si vous êtes offensé par la violence féminine ou par les coups portés dans le sexe d'un homme, ceci n'est pas pour vous. Il était tard ce samedi soir, quand Jason rentra à la maison. L'orage battait son plein, le tonnerre était terrible et les éclairs nombreux. Jason entendit le bruit de la télé dans le salon. Il enleva son manteau et rangea son parapluie. Sa mère n'était donc pas couchée, elle avait des problèmes pour dormir depuis le décès de son mari. Cela faisait déjà un an, mais sa mémoire était encore présente partout. C'était lui qui avait restauré la maison, cela lui avait pris plusieurs années. Ce soir c'était dur de penser aux problèmes de sa mère, il en avait assez lui aussi. Sa petite amie avait toujours été un petit peu excentrique, mais ce soir elle l'avait encore surpris. Elle lui avait demandé de faire l'impossible, mais il aimait tellement Sarah, qu'il avait accepté de réfléchir à son désir. Sarah était son amie depuis cinq ans, mais depuis quelques temps, elle devenait de plus en plus étrange. Elle adorait les jeux de domination, et là, elle désirait franchir une étape que Jason n'était pas sur de vouloir, ni de pouvoir s'y plier. Toutes ses pensées étaient tournées vers sa conversation avec Sarah, il entra au salon. A ce moment la vieille pendule sonna et le fit sursauter. Lorsque la pendule s'arrêta, il nota la nervosité de sa mère. -Bonjour, maman. -Oh ! Jason tu es déjà la. Je suis contente que tu ne laisses pas ta mère toute seule si tard. -Désolé maman, je suis sorti avec Sarah, nous avons longuement discuté. -Rien de grave, j'espère ? -Pas vraiment, dit-il, avec un peu d'hésitation. -Allez, tu peux me parler, je suis ta mère. -Justement je ne peux t'en parler car tu es ma mère. -Ah ! Une affaire de sexe, n'est-ce pas ? -Maman ! Il avait rougit. -Oh ! S'il te plait Jason Je connais les mots et leurs significations. De plus, si je me souviens bien, il a fallut te faire, non ? Elle disait cela avec un sourire carnassier. Elle voyait combien elle l'embarrassait de parler de ces choses là. Mais elle était sa mère et en savait de toute façon plus que lui sur le sujet. -Viens la et assied toi avec moi. Elle tapotait le siège à coté d'elle. Jason ne savait que faire, s'asseoir ou courir dans sa chambre. Et puis après tout, qu'est-ce que cela me coûte, se dit-il en lui-même. Jason s'installa sur le canapé aux cotés de sa mère. Elle avait coupé le son de la télé et l'écran diffusait un film qu'il ne connaissait pas. Il poussa un soupir s'apprêtant à une conversation éprouvante pour lui. Lisa farrow, la mère de Jason, était une femme pleine de vie, à la fin de la quarantaine, mais elle paraissait bien plus jeune avec ses beaux yeux bleus, pétillants et ses longs cheveux blonds. Chaque jour, par plaisir, elle faisait son jogging pour entretenir sa forme. Jason la regarde, un coup de tonnerre éclate à ce moment. Jason est mal à l'aise d'être assis ainsi aux coté de sa maman. Doucement le tonnerre s'estompe, Lisa attendant que son fils commence à parler. -Allez Jason, tu peux me parler. Je sais que tu as peur, mais je peux te conseiller. Elle souriait pour le rassurer. Il devenait très nerveux. -Maman, c'est dur pour un garçon de parler ainsi à sa mère. Il attendait une réponse, mais Lisa restait à coté de lui, le dévorant des yeux. -Bien maman, je m'entends très bien avec Sarah et ... Lisa éclata de rire, l'interrompant. -Tu devrais te voir, tu es à mourir de rire, elle hoquetait entre ses ricanements, allez continue, je veux te dire que tu peux tout me raconter. Vas-y. -Sarah est bizarre en ce moment et elle voudrait faire des choses avec moi et je n'y connais rien. -Sarah me semble être une fille qui a la tête sur les épaules et je ne la vois pas faire des choses bizarres, qui pourrait te mettre dans cet état. -Maman, tu ne sais pas ! -Racontes. -C'est une sorte de fétichisme. Il était embarrassé, Lisa lui caressait la jambe et le pressait de s'expliquer. -Quelque chose d'un peu SM, elle veut m'initier à des pratiques terribles dès que je serai prêt. Jason guettait une réaction de Lisa. Etonnamment, elle semblait apprécier la tournure que prenait la discussion. -Quel genre de SM ? -Tout un tas de choses différentes. -Juste t'attacher ou aussi te faire souffrir ? Elle regardait amusée son fils qui était abasourdi. Il n'avait jamais vu sa mère comme une créature sexuelle, et encore moins comme une spécialiste du SM. -Eh bien tu as perdu ta langue ? demanda-t-elle, se moquant ouvertement de lui. -Les deux, maman, elle veut me faire mal et elle prétend qu'elle fera attention. -Je n'aurai jamais cru que Sarah serait intéressée par ce genre de chose. Elle paraît si douce. -Elle est gentille, grogna-t-il -Tu l'aimes vraiment, n'est ce pas ? Elle ne l'aidait pas, mais souriait, le mettant mal à l'aise. Il était comme son père, il y a si longtemps, timide et désarmé face aux femmes. Jason avait 25 ans, il était beau, mais à présent elle sentait combien il était ignorant des choses sexuelles. -Je ne disais pas qu'elle n'était pas gentille, je ne pensais qu'elle était une dominatrice. Tu dois savoir que ton père était comme toi -Lui ? -Oui, il a du accepter que son amie, moi sa future femme, le domine. Elle prit sa main et la tint fermement. Son mari lui manquait beaucoup en ce moment. Elle n'aimait pas être seule à la maison. -Racontes moi à présent ce qu'elle a dans la tête. Jason rougit à nouveau. Elle commençait à s'étonner de la naïveté de son fils. Sarah devait être sa première partenaire. -Elle veut me donner des coups de pieds. -Vraiment ? Et elle siffla d'admiration. -Elle veut me donner des coups de pieds là. Il baissa les yeux vers son sexe. -Eh bien... -Oui, elle dit que ce n'est pas si terrible. -Tu ne le sais pas ? Dit-elle étonnée. Tu n'as jamais reçu un coup dans tes couilles pendant ton enfance ? Il secoua la tête, négativement. -Pourquoi n'essaye-t-elle pas ? Tu saurais alors. -oui, mais je n'ai pas confiance en elle. Je ne veux pas devenir un eunuque. Je mourrai si je ne peux avoir d'enfant, et je ne sais pas ce qui peux se passer. -Tu connais Sarah depuis cinq ans, et tu n'as pas confiance en elle ? Tu mériterais vraiment qu'elle te gifle pour cela ! -Je crois que j'ai peur, maman. Elle a l'air d'avoir vraiment envie de faire cela, ses yeux brillent dès qu'elle en parle, elle m'a dit qu'elle aime cela. Et si moi je n'aime pas, que se passera-t-il ? Il était honteux. -Tu dois avoir confiance. Il faut que tu fasses une expérience avec quelqu'un. Tu as bien un copain, comme Brian, qui pourrai t'aider. -Non, il se moquerait de moi. Je n'ai pas envie, en plus, que cela se sache. Je n'ai confiance en personne. -Tu n'as pas confiance en moi ? -Bien sur, j'ai confiance en toi, mais tu es ma maman. -Et alors, qu'est-ce que cela a à voir ? -Tu ne vas pas frapper les parties de ton fils ! Ce serait comme un inceste. -Ah bon ? Dit-elle avec un large sourire. Te frapper tes petites noisettes est une relation sexuelle ? -Non bien sur, je ne crois pas. -Moi non plus je ne le crois pas, mais je crois que je peux te rendre ce service. Cela me paraît plutôt sympa d'aider son fils à s'accomplir sexuellement. Sa voix était à présent plus dure, plus autoritaire. -Vraiment ? Je ne sais plus quoi penser. -Veux-tu faire une expérience, pour savoir si tu aimes ? Mais tu préfères peut-être dire à Sarah que tu as peur ? Lisa avait un petit sourire étrange, elle n'aurait jamais cru qu'un jour son fils se révèlerait soumis. Mais elle savait combien son fils allait souffrir, aimerait-il toujours sa mère, après s'être fait humilier par elle ? Elle avait vu à plusieurs reprises des hommes se faire frapper à cet endroit, tous avaient crié de douleur, tous avaient rampé devant leur tortionnaire, aucuns n'avaient pu résister à ce supplice. Lisa n'avait jamais pratiqué cela, mais l'idée la séduisait et elle ne connaissait pas la pitié pour les hommes soumis. Son fils avait besoin d'une expérience et elle n'allait pas rater cette occasion. Avec le père de Jason, elle avait l'habitude de lutter et elle n'avait pas oublié le plaisir et l'excitation qu'elle éprouvait à le dominer. -Maman j'accepte, mais juste pour voir. Quand je dis stop tu arrêtes ! Lisa acquiesçait. Ils se levèrent, Jason se plaça devant Lisa, jambes légèrement écartées. Elle remarqua aussitôt son érection, pour une pratique non sexuelle, il semblait bien excité. Elle-même sentait de délicieux frissons parcourir son corps. -Prêt ? Jason fit signe de la tête. Lisa bascula en arrière et lança sa jambe en avant, sans avertissement. Jason fut surpris par la vitesse du coup. La douleur parcourue son corps, des points brillants envahissaient ses yeux et son repas semblait prêt à régurgiter de son ventre. -Ass...fut juste ce qu'il put crier avant que le tonnerre ne couvre sa voix. Il plaçât ses mains sur ses genoux, souffrant trop pour saisir ses couilles douloureuses. Juste à ce moment un second coup vint le heurter par surprise. Ses testicules semblaient prêts à exploser dans son jean's qui se gonfla en quelques secondes. Sa vue s'était brouillée, il ne savait plus si l'orage l'aveuglait ou si c'était la douleur. Il desserra ses dents et tenta de dire stop, mais il n'avait plus de souffle et il ne pouvait plus articuler sa mâchoire. Jamais, il n'avait connu une telle douleur, pas du moins depuis qu'il s'était cassé la clavicule. Lisa le regardait se redresser un petit peu après le deuxième coup. Il semblait, pour elle, aller bien. Il ne bougeait pas et n'avait pas dit stop. Elle donna donc un troisième coup de pied. Elle se disait que son fils était robuste. Elle sentait monter le plaisir en elle. C'était le contact le plus intime qu'elle n'ai eut avec un homme depuis le décès de son mari. Elle se sentait bien. Elle lança son pied an avant, avec vigueur, voyant la main de son fils s'agiter en ce qu'elle croyait être un encouragement, en réalité il tentait d'arrêter le massacre. Son pied s'écrasa en plein dans les parties sensibles de son fils. Jason laissa échapper une longue plainte. La douleur mobilisait toutes ses forces, et la seule chose qu'il pouvait faire était de tenir ses noisettes, à travers son pantalon, pour vérifier leurs consistances. Il s'effondra par terre. Heureusement, il porta ses mains en avant pour amortir sa chute. Lisa le regardait tranquillement, le cri de Jason se perdit dans l'espace. Une vague de plaisir envahissait Lisa, jamais elle n'avait connu une telle sensation de puissance. Une montée de spasmes la saisissait, son orgasme était intense, elle se surprenait de sa réaction corporelle, à la vision de son fils, qu'elle avait anéanti avec facilité et plaisir. Elle prenait plus de plaisir qu'avec un rapport sexuel traditionnel. Son plaisir commença à décroître lentement, elle vit son fils qui ne bougeait plus, et commença à s'inquiéter. Jason était dans son lit ; La douleur était terrible chaque fois qu'il bougeait. Il baissait les yeux pour constater qu'il était allongé tout nu sur la couverture. Un sac de glace était posé sur ses couilles. Mon dieu, pensa-t-il, je n'ai jamais eu aussi mal. Maman m'a émasculé, elle m'a mis minable en moins d'une minute ! Pour une raison inconnue, il avait une violente érection. A ce moment Lisa entra dans sa chambre. Il saisit le sac de glace pour tenter de cacher son sexe, mais celui-ci était trop petit pour tout cacher. -Arrêtes Jason, le froid va te faire du mal. Tu ne vas pas te faire du mal toi-même ! Elle souriait. Elle revivait cette expérience incroyable dans sa tête, mais son fils ne paraissait vraiment pas bien. La prochaine fois, se dit-elle, je serais plus prudente. -Rassures-toi, je t'ai déjà vu nu. Il faisait des efforts pour supporter la douleur. -Peux-tu me couvrir ? demanda-t-il à Lisa -Non, pas tant que tes couilles sont aussi grosses. Je veux être sure que tu ailles bien. Elle avait saisit délicatement les couilles de son fils et les soulevait avec précaution. Sa verge était dure, d'une bonne taille, plus grande que celle de son père. Il devait bien mesurer18 cm. Lisa admirait ce sexe dressé pour sa gloire, malgré la douleur qu'elle lui avait infligée. -Pourquoi ne m'as-tu pas demandé d'arrêter ? -J'ai essayé, dit-il d'un ton acerbe et colérique, mais toi tu voulais me détruire, écraser mon sexe. Elle se sentait à peine coupable et ne supportait pas qu'il lui parle sur ce ton. -Tais-toi. Je ne savais pas que tu voulais arrêter. -JE LE VOULAIS ! Mais tu étais trop égoïste, tu ne m'as pas laissé le temps de dire stop, et tu as massacré ton fils ! Il aurait voulu crier plus encore, mais il avait peur de sa mère. -Je n'ai pas vu bouger tes lèvres. -Et tu ne pensais pas être une salope, une mère sadique. Tu m'as donné la vie, et je crois, à présent, que tu veux la reprendre. J'ai mal, par ta faute. Lisa appuyait le sac de glace sur les couilles de son fils, Jason eut une convulsion de douleur. Il se redressa, et la douleur se propageait dans tout son corps. Il compris avec effroi que sa maman, à présent contrôlait sa douleur, elle était belle, souriante, mais déterminer à prendre le contrôle de son faible fils. -C'en est assez jeune garçon. Tu es chez moi, tu dois me respecter et obéir à mes caprices. -Oui, mère. Sa réponse étonna Lisa. Puis elle nota que Jason avait saisit le sac de glace. Elle appréciait d'avoir le contrôle total sur son fils. Elle aimait ce pouvoir, dominer son fils. -C'est mieux, maintenant allonges-toi. Il obéit. -Reste tranquille, je vais m'assurer que tu n'as rien de sérieux. Lisa souleva les couilles de son fils, appréciant leur consistance. D'une voix faible et soumise, il dit : -Je m'excuse, maman. Je sais que tu voulais m'ausculter, mais pitié, ne recommençons jamais cette expérience. -Bien sur, dit Lisa. Elle sentait, à travers leur peau, la consistance des testicules. Lisa faisait rouler entre deux doigts, les billes qu'elle trouvait petites. Lisa ne cessait de penser aux mots qu'il avait prononcé : mère sadique ! Elle serra plus fortement les testicules de son fils qui se raidit, ses yeux se convulsèrent. Lisa serra encore plus fortement le sexe masculin. Et le vit au bord de l'inconscience. A ce moment le penis de Jason fut prit de spasmes. Lisa vit le sperme sortir de la queue de son fils, par saccade. Elle se recula, sans relacher sa prise. Il avait joui partout, sur lui, sur son lit. Finalement, son fils se calma rapidement. Lisa se dit qu'avec Sarah, elles allaient bien s'amuser, une discussion avec elle s'imposer. Sa relation avec son fils allait forcement évoluer, pour son plus grand bonheur de femme. Cette relation intime avec son fils lui plaisait. Avec un doigt, elle prit un peu de sperme qu'elle passa sur ses lèvres. Son visage était radieux, elle absorbait avec délice, la semence de son fils. Puis, tout en se masturbant, elle continua à presser les testicules de Jason. Il pleurait, mais se laissait faire, vaincu, docile. Elle jouit, sachant son fils totalement sous son contrôle. Son plaisir dura un temps qui dura une éternité pour le supplicié. Pour Lisa le plaisir ne faisait que commencer. Traduction : elricnec@aol.com