Le Congrès. 1 d’après Aube Saine Lvanduvan@net-up.com Le 1er jour vers 17 heures. Avertissement. Ce récit est réservé aux adultes avertis. C’est un travail de fiction qui comme toutes les oeuvres de ce genre contient une par d’autobiographie. La Floride est entrée dans la saison de printemps il y a trois jours, la nature est en fête et les corps sentent la montée de la sève. Avec mon amie Monica nous avons pris possession de notre chambre, et après avoir partagé une bonne douche pour nous détendre de la fatigue du voyage, nous nous dirigeons maintenant vers la salle d’accueil des congressistes. Il y a foule dans la vaste salle où nous voulons entrer. Une longue table nous coupe l’accès direct et une des filles, de l’escouade de blondes qui y officie, nous délivre nos badges pour la durée du congrès. Dès nos premiers pas dans la salle nous nous heurtons à un couple d’anciennes adversaires qui sont devenues des camarades plus que des amies. Ce sont comme nous deux lutteuses professionnelles qui se sont reconverties dans les "combats underground". L’une est canadienne et l’autre est américaine. La première aux cheveux auburn mesure 1,70 m alors que la seconde est une femme de 1,60 m aux cheveux noirs. Elles ont le même âge 28ans et pèsent toutes les deux 57Kg. Ce sont deux combattantes fortes, agiles et particulièrement violentes. Leurs tactiques d’assaut sont parfois cruelles et vicieuses et c’est pour cette raison qu’elles ont été délaissées par les promoteurs et se sont retrouvées dans les milieux confidentiels et souvent hermétiques de ce genre de combats où elles se trouvent d’ailleurs mieux à leur place. Créa la Canadienne nous fait un accueil sympathique alors que Bekka l’Américaine nous traite dédaigneusement de son masque hautain. Nous ne nous attardons pas auprès d’elles. Monica a repéré plus loin dans la foule un couple féminin qui offre pour nous beaucoup plus d’attrait. Il y a un peu moins de 2 ans que nous l’avons fréquenté pendant quatre jours et bien que nous ne nous sommes pas revues depuis cette époque ces deux femmes sont restées gravées dans nos mémoires car elles ont été à l’origine de notre choix de vie sportive. Ma brune amie m'entraîne vers les deux" K" (nous en parlons souvent comme de deux cas) Ce duo est devenu inséparable depuis 2 ou 3 ans. Il y a Katrina l’ainée aux cheveux noirs qui fait 1,68 m pour 54 kg. Et Kingrid qui fait 52 kg pour 1,57 m une blonde de 26 ans, alors que Katrina a juste 30 ans. Elles forment un couple de lesbiennes grandes gourmandes de corps féminins qu’elles partagent dans des luttes érotiques et des sexfights qui sont de vrais "fuckfights" si on peut s’exprimer ainsi. Kingrid est d’origine germano-danoise. C’est une lutteuse qui pratique la musculation et est dotée d’un corps finement musclé dans une enveloppe de peau de véritable blonde. Une peau rosée fragile aux coups de soleil comme à ceux du combat. Elle a affronté un jour Katrina dans un catfight brutal qui a vite dégénéré en sexfight. Elle y a donné une réplique à sa brune adversaire qui a eu tellement d’effet sexuellement sur celle-ci que depuis elles ne se sont plus quittées !!! Katrina a débuté dans la vie, dès qu’elle a eu atteint l’âge autorisé, comme porno-star. Elle a participé à de nombreux films hétérosexuels avant de devenir un jour une reine de la bisexualité et ensuite de l’homosexualité. Pour résister à l’impact des années sur sa silhouette et sur son corps, elle a commencé à pratiquer du fitness,de la musculation et a tenté un peu de body-building. Au cours d’une présentation elle a rencontré une femme plus engagée dans la vie, en la personne de Chelsea. Très blonde, de même âge que Katrina, de la même taille mais pesant 66 kg, celle-ci bisexuelle aussi, mais de plus pratiquant la lutte, a entraîné la brune dans la pratique de ce sport. C’est ainsi, en s’affrontant dans un catfight underground, que Katrina et Kingrid se sont trouvées et maintenant pratiquent les arts secrets de la lutte et du sexe avec une renommée fantastique dans ces types de combats. Monica a été la première à entrer en contact avec elles lors d’un affrontement avec Chelsea dans un catfight vicieux et sexuel. C’est la blonde Chelsea qui a lancé Kingrid dans un affrontement avec ma brune amie. Monica avait voulu que je vois ce combat. Elle disait à tout un chacun qu’elle voulait qu’Aube (moi) assiste à sa "révolution sexuelle"!!! En réalité ce fut "notre révolution " !!! J’avais découvert la bisexualité depuis longtemps déjà et je me partageais entre Monica et mes amants mâles de passage. Que je partageais aussi avec elle d’ailleurs ! Mais c’est à partir du spectacle de cet affrontement, du défi que m’avait lancé Katrina à la suite de ce combat et du sexfight qui en découla entre nous deux, qu’en plus de nos mâles partenaires nous nous sommes mises à échanger nos femelles adversaires et partenaires !!! Décrire Monica est toujours un plaisir. Elle est d’origine brésilienne, elle a une douce peau olivâtre, une chevelure noire abondante et des yeux marron. Elle a 32 ans, mesure 1,66 m et pèse 65 kg. Elle pratique les entraînements à la fois pour le body-building, la lutte et d’autres arts martiaux tels que jujitsu façonné à la mode brésilienne, vale-tudo, catch, pancrace etc... Elle a voulu s’essayer au catch professionnel. C’est à cette occasion que je me suis trouvée sur sa route et qu’après une longue période d’affrontements nous avons mutuellement mis fin l’une et l’autre à nos engagements dans le catch. Elle possède donc un corps très fortement musclé, des épaules larges aux deltoïdes prononcés, des biceps et des avant-bras puissants, un torse en trapèze aux lignes nerveuses et musculaires bien définies qui est orné d’une paire de seins ancrés hauts grâce à des implants qui leur donne un volume et une fermeté sans pareils tout en leur conservant leur sensibilité érogène, une ceinture étroite et des abdominaux taillés dans du granit, des fesses rondes, musclées et dures, des cuisses qui parfois paraissent énormes lorsque les quadriceps sont sollicités et des mollets noueux. Seul défaut à ce corps d’Athéna la légère masculinité du visage ! Un nez un peu trop allongé dans un visage un peu trop long à l’ovale imparfait. Des yeux marron aux reflets un peu froids et qui ne s’adoucissent qu’avec l’aide de son sourire. Un menton un peu trop volontaire. Mais par contre des lèvres charnues, épaisses et sensuelles qui ourlent une petite bouche appétissante et savoureuse. Bouche qui cache une langue agile et fougueuse ! L’imposante et souple chevelure noire qui entoure le visage cache ce que l’on pourrait appeler sa "dysharmonie". Une masse d’ébène soyeuse aux reflets roux en certaines circonstances qui lui descend jusqu’en dessous des omoplates. Monica m’a devancé d’un mètre et je la suis en contemplant l’ondulation de son bassin que les chaussures aux talons de 10 cm lui impose pour lui permettre de garder son équilibre. Elle porte une mini-robe, formée dans un léger tissu rouge moyen, qui est accrochée à ses épaules dénudées par deux bretelles de spaghettis dorés. Elle est coupée juste au-dessous de ses fesses et laisse volontairement voir une large part de ses cuisses car ses bas noirs arachnéens ne montent qu’au milieu des cuisses. Le balancement de sa croupe me fait rêver et je dois résister à la tentation de caresser la bande de chair ainsi offerte. Glisser ma main jusqu’à ses fesses, que je sais n’être cachées que par le filet de son string glissé entre les deux belles rotondités, et même enfiler mes doigts dans la chaleur de son entrecuisses !!! Il est vrai que l’ambiance s’y prête pour beaucoup ! Tant et tant de femmes qui mêlent les effluves de leurs parfums et de leurs peaux dans cette immense salle !!! Des dizaines, je devrais dire des centaines, de corps féminins aptent à faire un concours de beauté, de force, de puissance et de sexualité... dans un brouhaha de conversations et de rires, ne sont pas faits pour calmer les désirs qui montent en moi et qui se traduisent par la moiteur de ma vulve !!! Il n’y a rien de singulier dans ce rassemblement exclusivement féminin. Le congrès par lui-même a pour objet < l’étude de l’évolution en cours de la combativité, de la violence et de la sexualité dans les sports qui utilisent la force et l’antagonisme > tels que les sports de combat, mais aussi tous ceux où il y a une forme de conflit et de rivalité. Une attention toute particulière devant être accordée à l’incidence de ces sports sur la sexualité féminine, et celle de cette sexualité sur les sports eux-mêmes. Des ateliers vont être créés pour analyser, étudier et comprendre les divers points de vue pour parvenir à une synthèse finale. De plus des "travaux pratiques" auront lieu dans des salles qui sont aménagées pour recevoir de telles "compétitions" ! La participation est réservée aux femmes qui pratiquent ces différents types de sports. Voilà pourquoi le centre qui accueille le congrès est aujourd’hui envahi d’autant de belles, fortes, puissantes et jolies femmes. Mais nous avons rejoins dans la foule les deux belles lutteuses que sont Katrina et Kingrid. Avec impertinence Monica se précipite pour enlacer Kingrid alors qu’elles sont en conversation avec une grande et puissante femme rousse, d’environ 50 ans, vêtue dans un costume trois pièces qui la rend masculine. La femme-mâle est un peu décontenancée et devant l’attitude de ses interlocutrices qui paraissent ravies de l’irruption de la Brésilienne s’éloigne aussitôt. Kingrid est vêtue d’un débardeur à bretelles orange fluo, d’un collant corsaire blanc qui s’arrête au milieu des mollets et dont la ceinture est très basse en-dessous le nombril, et des chaussettes également blanches roulées sur des chaussures de lutte de couleur noire. Comme elle est d’une taille très modeste, la blondeur de sa chevelure est noyée bien en-dessous du niveau des yeux de toutes ces femmes en chaussures dont les talons rivalisent de hauteur ! Katrina, est restée un peu porno star dans sa tenue vestimentaire ! Elle porte tout simplement un body collant en dentelle translucide de couleur noire et rien en-dessous, ce qui la rend plus nue que totalement déshabillée !!! Aujourd’hui elle a relevé ses cheveux noirs en un volumineux chignon aéré au-dessus de sa tête. Les talons interminables sur lesquels elle est perchée la rendent presque aussi grande que moi. Monica a soulevé Kingrind du sol et elle l'entraîne dans un tourbillon de toupie en lui couvrant le visage de baisers voraces. Katrina et moi nous nous enlaçons plus calmement, et avec moins d'exubérance. Pourtant tout mon corps frémit de désir au contact de la belle brune exhibitionniste. Nous caressons nos corps l‘un contre l’autre. Nos seins s'écrasent ensemble, nos ventres se moulent, nos cuisses s’étreignent pour permettre à nos vulves de s’attoucher. Nous sommes en train de lier nos chairs autant que nos corps. Et par-delà les tissus qui nous séparent je trouve sa fine musculature. Je respire Katrina, son parfum et son haleine, je suis au paradis et toutes les autres choses autour de moi se sont évanouies!!!...c’est merveilleux !!! Nous avons effleuré nos lèvres enfiévrées et humides, mais nous n’avons pas engagé nos bouches dans le baiser que je désire. Katrina place sa tête sur le côté de mon visage et murmure à mon oreille. Elle me chante mon corps tel qu’elle le voit ou comme elle le rêve. Elle me vente la longue et soyeuse algue blonde qui encadre mon visage. Elle dit son plaisir à contempler mon visage oblong avec mon nez légèrement en trompette, mes yeux si gais et parfois si cruels dans leur couleur noisette, ma bouche un peu large aux lèvres si parfaitement dessinées par dessus mon petit menton volontaire. Elle me dit apprécier mon cou puissant et ramassé sur mes épaules larges qui dominent mon long bassin. Elle dit son adoration pour mes seins lourds qui ne sont pas trafiqués et que leur poids incline sur ma poitrine en un galbe toujours gracieux. Son plaisir c’est de rêver à mon torse long au ventre plat et musclé au bas duquel elle aime trouver, d’un côté la paire de fesses proéminentes, rondes et dures, et de l’autre l’antre du plaisir....des plaisirs !!! Le pubis rasé, la vulve gonflée et saillante aux lèvres épaisses suintantes de rosée liquoreuse avec dans la pointe haute le clitoris qui saillit à la pointe des lèvres lors des érections !!! Katrina me chuchote aussi son émerveillement au contact de mes cuisses. Elle dit apprécier sans bornes leur musculature puissante mais non volumineuse, elle dit qu’elle aimerait que ce soient les siennes. Pendant ces confidences, elle a glissé sa cuisse droite entre les miennes et je lui ai rendu la réciproque. Nous avons maintenant nos cuisses qui se pressent sur la vulve de l’autre. Je sens ma moiteur et la sienne. Je sens nos chairs brûlantes qui s’ouvrent, s’offrent et quémandent un contact peau à peau. Mon clitoris s’est gonflé, tendu et allongé Ma robe s’est relevée entre nous et seuls les fins nylons de mon slip et du collant de Katrina nous isolent. La friction de mon organe en érection commence à m’irriter autant qu’elle m’excite, d’autant plus que les tissus trempés de nos sucs sont devenus en quelque sorte abrasifs. Et il y a autre chose qui est venu s’ajouter comme motif d’excitation. Monica et Kingrid ont suspendu leur virevolte. Elles sont derrière et un peu à droite de Katrina, presque à la toucher. Kingrid est face à nous avec Monica derrière elle qui semble l’avoir enlacée à la ceinture. En penchant ma tête sur ma gauche je me rends compte que Monica a glissé sa main et son poignet droits sous la ceinture du collant de la jeune blonde et qu’elle la masturbe sans pudeur et avec vigueur, ce qui fait geindre de plaisir contenu la petite lutteuse. Quant à ma brune brésilienne elle frotte son pubis sur la hanche droite de Kingrid tout en caressant sa joue gauche sur la joue droite de la blonde. A voix basse Katrina continue sa confession à mon oreille. Elle me dit que depuis les journées passées ensemble il y a bientôt deux ans, elle n’a cessé de penser à nous. Elle dit avoir passé des jours et des nuits à traquer tous les documents possibles sur ma carrière de catcheuse, allant jusqu’au Japon rechercher des 8 mm et des vidéos de spectateurs anonymes qui sont vraiment des inédits. Katrina m’assure avoir ainsi trouvé le moment exact où je me suis engagé dans mes premiers combats "au naturel", c’est-à-dire où je me suis présenté sur le ring avec mon petit slip rouge sans coquille !!! Cette fameuse coquille quasiment invisible qui dissimule les érections clitoridiennes et les ruissellements de cyprine. Cette révélation me fait tressaillir d’émotion sexuelle !!! Katrina a parfaitement raison, c’est bien au Japon que pour la première fois j’ai osé montrer au public une telle manifestation de mes réactions sexuelles au cours d’un combat. Je dois dire qu’à l’époque j’avais rencontré une jeune catcheuse qui osait combattre ainsi, dans un short assez ample toutefois, mais j’avais touché son organe à plusieurs reprises, avec mes mains et aussi avec mes cuisses et je m’étais rendu compte que la pression d’une cuisse contre sa vulve la faisait presque jouir !!! Après le match nous avions partagé une douche fantastique de plaisir. Elle m’avait confié que sa mère combattait toujours ainsi et que si j’étais d’accord pour lutter dans une telle tenue elle aimerait beaucoup m’affronter. Le combat avait eu lieu deux semaines plus tard et la mère s’était présentée dans un maillot noir d’une pièce et collant qui ne cachait rien de son anatomie engorgée bien avant le début de l’assaut. Nous avions eu un combat fantastique que la femme âgée avait gagné en me faisant perdre contrôle de moi dans une explosive jouissance en publique. Avec mère et fille j’avais eu alors plusieurs autres affrontements au cours desquels moi aussi j’avais démontré mon habileté dans la maîtrise du sexe!!! Mais Katrina poursuit son monologue. Elle me dit maintenant son désir de me combattre dans un ring. Un combat de catch tout permis, elle avec un string blanc et des chaussures blanches à tiges courtes et des chaussettes roulées, et moi avec mon fameux slip rouge, le vrai de l’époque, dont elle dit qu’elle connaît la décoloration au niveau du sexe à cause de mes émissions et des frottements que je m’arrange pour faire le long de la corde du milieu lorsque j’entre ou sort du ring !!! Elle est fantastique... Elle me connaît tellement bien, peut-être mieux que moi-même ! Ces révélations décuplent tellement mes émotions sexuelles que j’ai du mal à me contrôler Je tremble de tout mon corps, ma respiration est devenue sifflante et mon coeur bat à une vitesse effrénée !!! Cela ne peut pas durer ainsi et Katrina s’en rend compte qui s‘écarte de moi et nous entraîne, avec Kingrid et Monica dans notre sillage, vers un des côtés de la salle où s’ouvre un couloir. Nous nous frayons un passage dans la foule hétéroclite qui dégage à la fois animosité, passion et chaleur. Une fois dans le couloir où quelques femmes déambulent nous nous rassemblons autour de Katrina qui nous engage à chercher une pièce qui pourrait nous accueillir en toute discrétion. Il est exact que nos retrouvailles nous ont énormément excitées et que chacune d’entre nous est devenue impatiente de s’engager dans des contacts charnels L’action de notre déplacement m’a un peu détendue et j’ai retrouvé assez de mon sang froid pour interroger Katrina plus encore sur ses fantasmes me concernant. Mais avant que j’ai pu me lancer dans mes interrogations, nous remarquons une femme qui, dans l’ouverture d’une porte fait des grands signes de ralliement à une autre qui s’empresse de faire demi-tour pour entrer dans la pièce. La curiosité nous envahit et dans un ensemble parfait nous nous dirigeons vers le local concerné pour jeter un coup d’oeil et voir ce qui s’y passe. Le local où nos entrons fait environ 8x8 m au sol et 3 m sous plafond. Les parois sans ouverture autre que la porte d’accès sont peintes dans une couleur marron clair pas très réjouissante, mais le sol est un revêtement très souple de teinte jaune fluo qui brille sous la clarté de violents projecteurs encastrés dans le plafond blanc. Ce qui retient l’attention c’est surtout la douzaine de femmes qui, en demi cercle devant le mur du fond, entourent trois autres femmes dont deux sont en train de se battre. La troisième debout auprès des deux antagonistes est très attentive à l’évolution de l’affrontement. Les deux adversaires sont de petite taille, 1,60 m, pas beaucoup plus. Elles doivent approcher de la cinquantaine en âge et paraissent très puissantes. Je les connais de vue sans pouvoir immédiatement trouver leurs noms. Celle qui attaque en ce moment est blonde de cheveux, avec une peau peu bronzée, mais des muscles très puissants. Elle est assurément une culturiste, une ancienne championne de bodybuilding toujours au top musculaire. Elle a forcé son adversaire dos au mur en la bloquant d’un avant bras appuyé sur sa gorge et la bombarde de puissants coups de poings au visage et au corps avec un acharnement particulier sur la poitrine. Celle qui subit l’assaut est plus petite de deux centimètres et avec ses 64 kg doit peser au minimum 10 kg de moins que son ennemie. Elle a une chevelure noire et une peau très brune qui est la marque de son type hispanique. C’est une catcheuse d’origine mexicaine qui se battait dans les rings de l’ouest américain il y a quelques années encore. Je crois que son nom est Térésa. Elle avait la réputation d’être pugnace et de n’abandonner le combat qu’en atteignant la limite de ses forces. Elle se défend en donnant des coups de poings dans les côtes de la blonde mais selon toute apparence sans grande efficacité. Les deux adversaires portent encore leurs escarpins à talons hauts. Leurs chemisiers sont ouverts et la brune que l’on voit de face a toujours son soutien gorge. Leurs jupes sont relevées et roulées sur leurs hanches presque jusqu’à leur ceinture. Leurs slips blancs tous les deux font transition avec le noir des jupes et celui des bas qui montent en haut de leurs cuisses. La spectatrice particulière qui se trouve contre le mur adjacent est peut-être l’enjeu de l’affrontement. C’est une blonde immense de près de 1,90 m. Elle est vêtue d’un tee-shirt qu’elle a relevé au-dessus de ses seins pour y avoir accès et les peloter, un mini-short en jean effrangé et des chaussures à talons, comme si sa taille n’était pas assez grande ! Elle ne porte pas de bas sur ses jambes d’une longueur incroyable presque démesurée par rapport à celle de son torse. C’est cette dimension qui la fait paraître maigre alors qu’en réalité elle est finement musclée et que son poids doit bien dépasser les 60 kg ! Son allure est celle d’un beau spécimen de mannequin ! Cette pensée créée un déclic chez moi et je me tourne vers Katrina pour lui souffler le nom de Elhn (que l’on prononce comme Hélène). Une finlandaise ayant dans son sang du mélange de sang Viking. C’est elle qui a du quitter la mode et ses présentations il y a deux ou trois ans parce que lors d’un défilé elle a battu et éjecté du praticable un autre modèle sous le prétexte qu’elle l’avait bousculée. Motif qui en réalité cachait une rivalité longue et croissante entre les deux femmes. Pour l’instant elle semble passionnée par le combat qui se déroule à côté d’elle. Une certaine exaltation sexuelle doit la gagner car elle a glissé sa main droite à l’intérieur de son short et elle accorde à son pubis une sorte de lent massage. Il faut dire que l’affrontement vient de changer brusquement d’aspect. La femme brune qui est malmenée par la blonde, le visage ensanglanté et les seins à demi sortis de leur support réagit avec efficacité Dans un premier temps elle lance un genou pour frapper la vulve de son adversaire. D’instinct celle-ci rapproche ses deux jambes. Ce mouvement permet à la brune de situer les pieds de l’ennemie, alors, dans un second temps elle frappe violemment de son talon droit le dessus du pied gauche de la forte blonde. La douleur engendrée par cette nouvelle attaque contraint la rivale à se reculer. Son cou étant alors dégagé, dans un troisième temps, la catcheuse envoie un grand coup de front en plein milieu du visage de la culturiste. Elle lui écrase le nez et la lèvre supérieure car, en tournant sa tête pour la mettre hors de portée, la blonde présente à la vue de toutes les congressistes présentes dans la pièce son visage qui déjà se met à saigner. Térésa ne perd aucun instant pour utiliser la passagère distraction de son adversaire. Elle la repousse en s’emparant de sa tignasse blonde et en la faisant se plier devant elle, elle lui envoie un coup de genou en pleine face. La culturiste lance ses mains en hauteur et trouve le soutien gorge de la brune qu’elle tire vers elle et parvient à arracher. Les deux masses laiteuses de l'hispanique s’écroulent entre ses bras, alors elle abandonne les cheveux blonds pour frapper en courts crochets le visage de la blonde qui se redresse. A son tour elle empoigne le support de son ennemie et libère les deux globes fermes qui restent bien plantés grâce aux implants qui les affermissent. Les deux femmes se lancent dans un combat à coups de poings. Cependant, comme elles sont un peu entravées par leurs chemisiers et soutiens-gorges tacitement elles suspendent leur assaut et finissent de se débarrasser des reliquats qui les encombrent. La différence entre les deux bustes est évidente. Autant celui de la blonde chargé de muscles à l’excès supporte une paire de seins manifestement trafiqués, autant celui de la brune, bien que finement ciselé de muscles, parait dérisoire avec les siens tout naturels qui se courbent lourdement sur sa poitrine. Térésa possède de larges aréoles bruns ornés de majestueux et longs mamelons encore plus foncés. En revanche son adversaire a de plus petits aréoles avec des mamelons roses épais mais courts. Elles vont pour reprendre leur position de boxeuse mais Térésa fait un geste de la main et les deux adversaires se mettent en devoir d’ôter les jupes roulées autour de leurs bassins. Et puis dans la foulée elles se débarrassent de leurs chaussures. Les voilà maintenant en parfaite tenue de combat. Cet entracte pour disposition vestimentaire me fait penser que nous avons du arriver au début de la bagarre et que nous n’avons pas perdu grand chose du combat. Les adversaires sont devenues plus visibles et leurs détails physiques peuvent être franchement comparés. Une des spectatrices en parlant de la blonde à sa voisine vient de la nommer Trudy ! C’est ainsi que nous allons voir maintenant Terésa contre Trudy ! Les deux ennemies sont maintenant vêtues seulement de leurs bas de nylon noirs qui montent jusqu’en haut de leurs cuisses où la bande de dentelle élastique les fait tenir en serrant sur les chairs. Trudy porte un mini-slip de fin nylon blanc alors que Térésa arbore une petite culotte blanche beaucoup plus pudique. Les bas de Trudy paraissent un peu incongrus sur ses jambes puissantes. Les muscles énormes restent parfaitement dessinés, mais le volume gigantesque des cuisses, en particulier des quadriceps qui noient les genoux, dévalorise l’esthétique du gainage en lui enlevant sa hardiesse érotique. D’autant plus que tout son corps, fait de muscles noueux, nerveux et mouluré de cordelettes de veines épaisses, correspond mieux à une exhibition de bodybuilding qu’à une présentation de lingerie fine ! Le corps de Térésa parait gracile à côté ! Il est pourtant avantagé par une musculation harmonieuse. C’est la disproportion qui est la cause de cette apparente infériorité de la catcheuse. Il ne faut pas faire de comparaison musculaire et se contenter des mensurations. Térésa doit mesurer 1,60 m et peser un peu moins de 65 kg. Elle parait être âgée de 45 ans alors qu’en réalité elle en a 48. Trudy qui parait porter la cinquantaine n’a en vérité que 46 ans. Elle mesure sans doute 2 ou 3 cm de plus mais surtout doit peser au moins 75 kg ! Les autres mensurations justifient la différence de corpulence. C’est ainsi que Térésa affiche : 96DD-68-94 alors que Trudy peut s'enorgueillir 106D-66-88 et par dessus tout d’un tour des cuisses accolées de 115 cm !!! Ce qui est affolant ! Il n’est guère besoin de préciser que la grande Elhn en parallèle ressemble plus à une déportée sortant d’un camp de concentration ! D’autant plus que ses petits seins, qu’elle a maintenant totalement dévoilés en ôtant son tee-shirt, doivent avoir des difficultés à combler le volume d’un bonnet A, et ne se veulent seins que grâce aux belles aréoles coniques et granuleuses qui sont dominées par de longs et fins mamelons, bien roses et bien raides, dressés comme des tubes de mortiers ! Une fois dévêtue Trudy glisse sa main droite dans son slip et se met en devoir de tripoter son sexe. Sa main s’active sans qu’on puisse bien discerner son but jusqu’à ce qu’elle la retire et la porte à sa bouche. Vulgairement elle crache sur l’intérieur du bout de ses doigts et de sa langue elle étale sa salive épaisse. Ensuite de sa main gauche elle écarte l’élastique de son slip et le baisse légèrement pour de sa main droite fouiller dans le haut de sa vulve et en extraire son clitoris qu’elle roule entre ses doigts dans une attitude obscène. Térésa qui surveillait d’un regard brûlant de haine la manoeuvre de la blonde fait un pas pour l’attaquer, mais son adversaire s’éloigne précipitamment en réajustant son slip. Les ennemies se mettent à tourner l’une autour de l’autre et Trudy profite de cet interlude pour s’engager dans une démonstration de puissance musculaire destinée sans doute à impressionner son adversaire. Cette manifestation ne fait qu’accroître la colère de la brune qui, attentive à tous les faux mouvements, profite d’une opportunité pour lancer un violent coup de pied à destination du sexe de la rivale. Elle a visé la protubérance dans le slip pour la frapper avec le dessous de son pied droit sans doute pour écraser l’organe jouissif contre l’os pubien. Trudy encaisse le coup avec une grimace et un grognement. Elle va au-devant de son adversaire qui tente de répéter son exploit à l’aide cette fois de son genou gauche. Elle s’est pliée en deux sous le choc et sans se redresser elle se saisit en une ceinture avant du torse de Térésa. Prise dans l’étau des bras musculeux de la blonde, la brune est soulevée et décollée du sol. Trudy a enserré Térésa au dessous des omoplates, son menton est enfoncé au-dessus des seins de la brune et elle secoue dans sa prise le corps de son adversaire. Elle pivote sur elle-même progressivement en s’avançant à petits pas vers le mur le plus proche. La puissante amazone cherche à écraser les côtes de l’hispanique dans l’étau de ses bras qu’elle serre de toute sa force en appliquant celle-ci par des constrictions progressives. Mais comme elle atteint le mur elle se rend compte que sa prise n’est pas bonne parce qu’elle est portée trop haut sur le corps de son adversaire. Et puis Térésa s’est emparée à deux mains de sa chevelure et elle tire en arrière pour repousser le menton qui s’enfonce dans sa poitrine. Alors Trudy dans une action rapide repose son ennemie les pieds au sol. Elle se baisse en pliant ses genoux et enserre la brune au niveau des côtes flottantes. Ensuite elle se redresse et la soulève encore plus. Cette fois son visage est situé carrément entre les seins de Térésa où elle enfonce son menton pour lui repousser le torse en arrière, la plier et lui appliquer les épaules contre le mur afin de bloquer sa prise d’une façon parfaite. Térésa a senti la menace est a sans doute commencé à percevoir la pression sur ses côtes. Elle risque une cassure et déjà sa respiration devient difficile. Elle doit agir pour tenter de se dégager. Elle s’attaque aux yeux de la blonde puisque le tirage sur la chevelure ne lui apporte rien. Elle enfonce ses pouces dans les orbites sur les globes oculaires afin d’aveugler la blonde et la faire souffrir d’une douleur insoutenable. En contre attaque Trudy secoue sa tête dans tous les sens pour se libérer des doigts qui la martyrisent. Finalement elle mort à pleines dents un sein de la brune. Il y a maintenant des grognements et des cris de douleur de la part des deux ennemies. C’est une guerre d’endurance qui vient de s’engager et il apparaît que seule la plus résistante à la douleur peut sortir du dilemme à son avantage. Ce passage statique du combat permet aux congressistes rassemblées comme spectatrice d’apprécier les efforts musculaires et la plastique physique des deux corps engagés dans l’effort. Térésa est peu visible, adossée au mur et arquée en arrière elle ne peut faire grand-chose. De ses pieds elle essaie de prendre appui contre le mur derrière elle afin de repousser l'adversaire qui l’écrase. La tension musculaire de ses cuisses et de ses mollets est visible parce que son côté gauche est visible des spectatrices. Ses bras aussi roulent leurs muscles pour forcer sur les yeux de Trudy. Les deux corps enlacés commencent à être inondés de sueur. Cela rend glissante la prise de la blonde. Pour poursuivre son écrasement du torse elle agit par des pressions successives de ses bras. Bien qu’on puisse la comparer à un boa constricteur ou à un compresseur de carcasse automobile, elle est obligée sans cesse de forcer sur ses muscles. Tous les muscles de son corps sont sollicités, dans ses contractions régulières on voit ses les biceps cruraux de ses cuisses s’enfler en boule. Ses fesses se contractent. Tous ses dorsaux deviennent saillants avant de se relâcher pour un nouvel effort. Ses bras et son cou se gonflent. Les cordelettes des vaisseaux sanguins ont augmenté de volume et ses membres sont maintenant sillonnés de véritables cordons veineux. Trudy est perpétuellement obligée de reprendre sa prise car le corps lourd et huileux de sueur de Térésa glisse entre ses bras. Lors de ces reprises toujours un peu plus bas sous les côtes on voit la brune aspirer avidement un peu d’air pour remplir ses poumons de l’oxygène indispensable. A part les grognements et les cris de douleur les deux antagonistes n’ont pas prononcé une seule parole depuis leur engagement. Elles sont concentrées dans leurs efforts et dans la recherche de l’issu du combat. Dans la salle l’attention portée à ce combat est également silencieuse, seuls quelques soupirs d’accompagnement et d’appréciation se laissent percevoir. Mais il y a maintenant une tension qui est devenue presque palpable. Elhn a baissé un peu la ceinture de son mini short et sa main droite s’agite sur sa vulve en des circonvolutions erratiques. Sa main gauche s’est emparée de son mamelon droit qu’elle étire d’une façon démesurée avant de faire subir le même sort à son autre téton déjà rougi de la chaleur de la friction. Le combat n’a commencé qu’il y a quelques minutes mais il semble que par la puissance déployée par les deux femmes c’est une longue lutte qui s’est déjà déroulée et parait ne pas vouloir finir. Trudy s’est un peu reculée en écartant ses jambes. C’est pour avoir plus d’appui afin d’augmenter la pression sur les épaules de Térésa et accroître l’écrasement sur ses côtes flottantes, les amener à casser ? Le slip de la blonde est entré entre ses fesses si bien qu’elle semble être cul nu, et la sueur qui glisse le long de son épine dorsale vient se loger dans la fente. Le visage ruisselant de sueur, Térésa a fermé ses yeux en serrant ses paupières. Sa bouche est grande ouverte à la recherche d’aspiration d’air sans succès. Et soudain on la voit s’animer. Elle abandonne son attaque sur les yeux ou le haut du visage de Trudy. Elle écarte grand ses bras pliés aux coudes et se concentre sur ce qu’elle peut voir de la nuque et de la tête de son adversaire. Alors dans un mouvement violent et puissant elle vient frapper brutalement de ses deux paumes ouvertes simultanément sur les oreilles de la blonde ! Une fois, deux fois et encore et encore elle renouvelle sa frappe. Et pour elle c’est la clé qui ouvre l’étau des bras meurtriers de Trudy ! La blonde lâche sa prise précipitamment, laissant Térésa redescendre au sol, et se recule en se courbant en deux avec ses mains portées à ses oreilles. Trudy a crié sous l’effet des coups et maintenant elle reste silencieuse toujours dans sa position courbée et d’une manière instable sur ses jambes tremblantes. Térésa elle aussi s’est courbée en appuyant ses mains sur ses genoux et elle reprend sa respiration à grandes goulées d’air revivifiant. Mais, très très vite elle se lance à l’assaut de sa redoutable adversaire. Face à elle, elle s’empare de sa chevelure aux longues mèches mouillées pour lui baisser la tête encore plus. Ensuite elle lance sa jambe gauche par dessus la tête de Trudy et dans un même mouvement elle se laisse descendre au sol. Dans cette action elle a saisi en un ciseau la tête et le bras gauche de l’adversaire qui se retrouve avec son propre poids et celui de la brune sur son bras droit écrasé sur le tapis brillant. Térésa assure en plus une clé tournante sur le bras gauche de la blonde qui dépasse à côté de sa tête. La brune tend son corps pour tirer en arrière sur le bras pour faire un travail de dislocation de l’épaule et écraser en même temps la tête blonde. Trudy s’agite dans cette prise de catch parfaitement portée. C’est une prise d’abandon ou de blessure en cas d’acharnement de l’adversaire. La blonde fait travailler ses jambes pour essayer de se retourner dans l’étau des cuisses, mais d’un côté la torsion sur l’épaule l’en empêche et de l’autre, à toute tentative c’est une claque qui vient s’écraser sur son nez ou sa bouche. La situation est totalement renversée. L’assaut en puissance de la blonde culturiste s’est effacé devant l’efficacité technique de la lutteuse brune. Bien qu’elle soit mal positionnée, Trudy lance maintenant des coups de pieds dans le corps de Térésa. C’est une tentative de résistance à laquelle la brune catcheuse répond en se courbant vers le bas du corps de son ennemie et ayant bien visé sa cible elle envoie un atémi de toute sa force sur le haut du sexe de la blonde ! Celle-ci a manifestement montré le développement important de son clitoris au début du combat, alors la belle hispanique veut ainsi lui faire savoir qu’elle a parfaitement observé l’effet des stéroïdes sur cet organe ! Trudy grogne de douleur sous l’effet du coup que Térésa renouvelle avec plaisir. Mais elle geint aussi de l’insuffisance respiratoire que la puissance du ciseau lui fait subir. Il semble évident qu’elle se trouve à son tour en fâcheuse posture ! A bout de force ou de moyen de défense elle se relâche et Térésa enregistre ce geste résignation. La lutteuse brune abandonne son ciseau mais sans lâcher sa prise sur le bras. Elle se tourne en roulé-boulé à contre sens de Trudy ce qui fait hurler cette dernière de douleur tant la torsion sur son épaule est devenue à la limite du supportable! Térésa se met à genoux, ensuite elle se redresse et se lève, puis elle se met à tourner sur elle-même, comme pour un lancé de marteau en athlétisme, entraînant sa blonde ennemie dans une ronde centrifuge et lorsqu’elle se voit en bonne position elle projette Trudy la tête en avant contre le mur le plus proche. Il y a un son caverneux de calebasse. Mais Térésa répète son mouvement et avec le bruit sinistre qui fait écho au premier, Trudy s’écroule au sol où elle reste allongée immobile. Une cruelle expression de satisfaction éclaire le visage encore ensanglanté de Térésa qui fait un dernier effort sur le bras, qu’elle n’a pas abandonné, pour tourner son ennemie allongée sur son dos. Dans un geste de vainqueur elle pose alors son pied droit sur la poitrine de Trudy et commence à s’éloigner d’elle. Il semble alors qu’elle soit prise d’une sorte de remords ou de regret, elle revient au corps de son adversaire, se penche pour lui arracher son slip et après lui avoir écarté les cuisses elle envoie un violent coup de talon sur le haut de la vulve ! Puis avec son talon elle écrase le bijou comme l’on fait d’un mégot sur le sol. "J’allais oublier ce beau fruit développé aux hormones ! Ce jonc évolutif obtenu par les stéroïdes !" Ce sera la seule phrase de la rencontre. Le dos de Térésa est meurtri au niveau des épaules. Sa ceinture est marquée par la pression et le frottement des bras de Trudy qui l’ont comprimée. Son slip ou plutôt sa culotte est trempée de sueur et est collée à sa peau ce qui rend visible le volume épanoui de sa vulve ainsi que la longueur de sa raie fessière. Ses bas sont vrillés sur ses jambes et sont en accordéon mais par ailleurs ils n’ont pas souffert de la courte bataille qui en définitive n’a pas duré plus de cinq ou six minutes. Elle a trouvé maintenant l’allure de la victoire et elle se dirige vers Elhn qui s’est totalement dénudée et qui s’avance à sa rencontre. Elle était donc bien l’enjeu du combat car les deux femmes s’enlacent avec passion. Sans effort apparent, ce qui témoigne de sa force, Elhn soulève Térésa en la prenant sous les bras et élève sa bouche à hauteur de la sienne. Térésa enserre de ses deux cuisses la taille de la grande blonde et les deux femmes, amies ou amantes ? s’embrassent goulûment. Dans la salle il n’y a pas eu de réaction de la part des spectatrices, des voyeuses et curieuses intéressées par le spectacle et excitées par le combat. Il n’y a que quelques murmures et appréciations à mi-voix, sans doute par discrétion ! Et comme Térésa et Elhn sont maintenant en train de s’allonger sur le sol pour s’engager dans un corps à corps beaucoup plus sensuel et sexuel, elles se préparent à quitter le local pour leur laisser plus d’intimité. Mais à ce mouvement de pudeur Térésa s’interpose et demande aux quelques personnes présentes de rester ! Elle demande aux congressistes d’être les témoins du plaisir que maintenant le mannequin et elle veulent échanger. La brune lutteuse qui vient de se débarrasser de son slip s’affiche exhibitionnisme comme Elhn et insiste pour " baiser " devant un public parce que, dit-elle, cela décuple leur jouissance. Avec Monica, Kingrid et Katrina nous avons un échange silencieux de regards pour nous inviter au spectacle. Les " deux cas " en quelques mots nous mettent d’accord pour nous engager nous-mêmes dans l’aventure sexuelle que nous recherchons. Alors que Térésa enlève les bas tire-bouchonnés autour de ses jambes, en un éclair Kingrid et Monica se sont mises nues et déjà s’enlacent debout, se caressant et se frottant corps contre corps Katrina a tendu ses bras vers moi en murmurant des " Aube !..Aube !..." Nous procédons beaucoup plus lentement mais non moins passionnément que nos deux amies. Chacune se met en devoir de déshabiller l’autre et en s’attardant à caresser et embrasser par petites touches les parcelles de peaux au fur et à mesure que nous les découvrons. Nous nous noyons dans l’érotisme de cet exercice. Ma brune amie poursuit à voix basse l’expression de son ardent désir de me combattre. Elle a repris sa déclaration à peu près là où je l’ai interrompue. J’ai bon lui dire que je suis plus forte qu’elle ! Qu’elle ne combat pas dans la même catégorie et à armes égales avec moi. Que je suis plus grande, plus lourde et surtout plus expériencée ! Rien n’y fait, elle s’obstine ! Elle avance comme argument qu’elle s’est beaucoup entraînée, qu’elle a étudié à fond tous mes combats, qu’elle connaît maintenant toutes les échappatoires à mes assauts et sait deviner toutes mes ruses ! Elle ose dire " mes traîtrises !" J’ai bon lui dire que nous pourrions nous blesser, voir même nous estropier elle rétorque que c’est justement le plaisir de souffrir et de faire souffrir qui la taraude ainsi et qu’il lui importe peu de gagner ou de perdre. Tout pour elle est dans le plaisir de nous affronter peau à peau, muscles à muscles et sexe à sexe ! Dans le seul but de mieux faire exploser nos sexes ! Je dois avouer, qu’en même temps que je cherche à la dissuader de nous opposer toutes les deux dans un véritable combat, je suis progressivement prise par un véritable désir de me battre avec elle ! De rapides flashs s’impriment dans mon esprit et je nous imagine dans des prises et des assauts qui stimulent mon impatience sexuelle au fur et à mesure que nous en discutons. Je sens d’ailleurs la moiteur de ma vulve qui abonde de telle manière que l’intérieur de mes cuisses est devenu gluant et je commence à sentir l’odeur de mon sexe ! Le doux brouhaha autour de nous n’est pas fait pour m’apaiser ! Katrina avance encore un dernier argument sous forme de raillerie ! Elle dit soudain qu’elle regrette de m’avoir fait une telle proposition parce qu’elle vient de comprendre que j’ai peur d’elle ! Peur de me faire battre ! Une crise d’orgueil me submerge que je réprime très vite pour éclater de rire et lui dire qu’elle vient de gagner et que nous allons devoir trouver le moyen de donner suite à son défi ! Depuis un moment j’ai fait glisser les deux manches courtes de son body de dentelle et j’ai libéré ses deux seins magnifiques. Sans vraiment m’en rendre compte je pétris langoureusement les deux petites masses de ses 88 B de poitrine dont les mamelons s’incrustent maintenant dans mes paumes comme deux bouts de cigares en pleine ignition ! De son côté Katrina a ouvert le haut de ma robe et elle a détaché l'agrafe qui relie les deux bonnets D de mes 92 cm de tour de poitrine. Mes seins libérés se sont inclinés pour tendre, à la brune naturiste qu’elle est, leur chair ferme et brûlante. Il y a un moment que mes seins manifestent leur existence. A proprement parler ce n’est pas une démangeaison ni un pincement que je ressens, c’est un mélange des deux assorti d’une sorte de crampe! Or comment peut-on avoir une crampe dans un organe qui n’a pas de muscle ? Une spécialiste me dirait sans doute que ce sont les glandes mammaires et les tubules lactifères qui sont avides...d’un besoin de caresses ! Le contact de nos poitrines, frottement de mamelons et écrasement des volumes brûlants me lance une décharge électrique depuis le bout des seins tout au travers du corps ! J’en frissonne de bien être ! Nous nous étreignons à bras le corps et nos lèvres se joignent laissant passer nos langues qui se lancent à la découverte de nos palais avec une fougue impatiente. Nous sommes merveilleusement bien dans ce prélude à l’amour. Nous ne voulons aucune précipitation et sommes désireuses de faire durer le plaisir éternellement. Nous sommes isolées dans notre monde à nous. Dans notre recherche d’un plaisir sexuel le plus intense possible nous sommes totalement étrangères à notre environnement. Mais le charme se rompt avant même que nous puissions aller plus loin. Une douce voix chantante traverse des haut-parleurs pour demander à toutes les congressistes de bien vouloir se rassembler dans le grand hall pour l’accueil et la première rencontre générale destinée à mettre au point l’organisation du séminaire. Comme nous, les couples, les trios et les solitaires se séparent et rajustent leur tenue vestimentaire. Nous n’avons que le temps d’apercevoir tout près de nous les corps enchevêtrés, allongées sur le tapis du sol nos amies Monica et Kingrid qui étaient engagées dans une partie de frottage de vulves. Toutes rouges d’émotion et odorantes de leur plaisir en voie d’accomplissement elles se lèvent engourdies et hébétées par l’action qu’elles avaient engagée. Elles font comme nous une vilaine grimace de dépit et faisant contre mauvaise fortune bon coeur elles s’habillent à nouveau pour se rendre à l’appel importun ! Avant de sortir je constate que Térésa et Elhn sont toujours en pleine activité sexuelle et je me doute que au stade où elles en sont ni rien ni personne n’arrêtera le train qui fonce à toute vapeur ! Je me rends compte aussi qu’une jeune asiatique aux trois quart dévêtue s’emploie avec avidité à soulager de ses blessures le clitoris de Trudy la bodybuildeuse ! Elles aussi selon toute vraisemblance n’ont pas entendu l’appel liquoreux de la sono ! Dans le grand hall, juchées sur une estrade se trouvent la femme-mâle, qui s’entretenait avec Katrina et Kingrid, et une autre ravissante brune qui doit avoir à peu près 45 ans, doit s’élever sans escarpins à 1,75 m du sol au moins et compenser 70 kg d’eau dans la formule du sieur Archimède ! Elle est divinement vêtue d’une mini-robe rouge sang faite dans un tissu très léger et quasi transparent. Des bas ou collant noir de très haute qualité gaine ses splendides jambes à la musculature fine mais bien marquée. Le devant de sa robe tenue par deux ficelles dorées qui passent sur ses épaules a un profond décolleté en V qui descend à son nombril ou peut s’en faut ! Le paysage de la vallée de ses seins orgueilleux est rarissime ! Katrina perçoit mon émerveillement devant cette déesse et assurément un peu jalouse sans doute me donne un coup de coude en me faisant savoir qu’il s’agit de notre hôtesse et organisatrice du congrès la fameuse Lana Smile ! Elle ajoute aussi que si je veux me la payer il me faudra d’abord passer sur le corps des 1 000 participantes ! Ce qui me fait pouffer de rire ! Je me sens idiote de n’avoir pas reconnu cette star au premier coup d’oeil ! Il faut dire qu’il y a longtemps que l’occasion s’est présentée de la voir comme aujourd’hui en chair et en os. Il est vrai qu’elle apparaît en couverture de nombreuses revues, et pas seulement féminines. Il y a peu de temps encore elle a même fait la centrale de Play-Boy ou quelque chose de similaire ! Lana nous souhaite la bienvenue à ce premier congrès international consacré à la sexualité dans le sport et inversement. A cette heure nous sommes 807 participantes dans " le pentarène ". Un grand écran apparu derrière l’animatrice nous montre une vue extérieure du complexe qui a la forme de cinq tours accolées en cercle comme les pétales d’une fleur. Une autre vue sur l’écran nous fait découvrir une vue intérieure d’une salle, en fait une arène en gradins ceinturant un ring. Lana nous précise que l’immeuble est à deux niveaux ce qui met à la disposition du congrès dix salles identiques, deux superposées dans chaque pétale. Nous allons devoir nous diviser en dix groupes, soit dix ateliers, chacun ayant un thème à examiner. Les travaux commenceront le lendemain matin à 8 heures et une synthèse sera présentée le soir en commun. La seconde journée donnera lieu à des travaux pratiques d’applications ressortant des rapports, mais également à des démonstrations diverses. Les demandes particulières d’intervention ou d’application seront à faire auprès de Martina. Et joignant le geste à la parole, Lana nous présente la puissante femme située à sa droite. Sur l’écran apparaissent alors les titres des différents ateliers : - Liberté sexuelle dans la pratique des sports. - Nomenclature et critères des sports engendrant violence et sexualité. - Sports de combats, évolution de la violence et de la cruauté. - Incidence de la sexualité dans les sports de combats et de compétition. - Violence sexuelle dans les sports de combats. - Implication de la sexualité dans l’agressivité et la violence. - Domination et satisfaction sexuelle dans les sports. - Anatomie et sports d’agression et de compétition. - Pudeur et indécence dans les sports. - L’appétit sexuel et celui de violence. Avec les deux K et Monica nous n’avons pas besoin de nous consulter pour nous inscrire immédiatement dans le groupe qui va travailler sur "la violence sexuelle dans les sports de combats ". Et aussitôt fait nous nous précipitons dans notre chambre afin de poursuivre notre reprise de contact et reprendre nos ébats là où nous les avons abandonnés !!! Il est maintenant près de 19 heures, nous allons faire monter un en-cas pour éviter de faire la queue au restaurant de l’hôtel et pouvoir nous reposer et être en forme demain. A demain. Aube Saine Le 15 mai 2003