krsopt 4ème partie Après un repos bien mérité, les deux nanas vont découvrir l’objectif du quatrième round... Yohan revient avec deux gods à sangles dont la longueur avoisine les 22 cm pour un diamètre d’environ 4 cm. Enfilez ça mes petites chéries, vous en aurez besoin dit Yohan d’un ton paternaliste. Pour ce quatrième round, le but est d’enculer son adversaire à sec ! Ouha ! S’exclame Fanny, tu vas souffrir petite chienne. Pauvre conne ! Rétorque Alexandra, c’est moi qui vais t’éclater le trou du cul, rappelle-toi bien de ça ! Montées tels deux étalons en rut, les deux femelles attendent le coup d’envoi. C’est parti mes petites chattes ! Lance Yohan. Tels deux sumos, les femmes se déplacent sur un cercle imaginaire, à demi penchées vers l’avant, le dard bandé, les bras à la recherche d’une prise pour déséquilibrer l’autre. Soudain, Alexandra plonge dans les jambes de Fanny qui chancelle avant de tomber à la renverse. S’ensuit une mêlée confuse et bruyante. Les deux furies hurlent sous les attaques vicieuses et perverses qu’elle se prodiguent mutuellement : coups de poings, coup de genoux, claques, pincements, morsures et bien sûr tractions des cheveux ! La blonde, couchée sur la brune, le bassin bien calé entre les cuisses adverses, réussit à relever les jambes de Fanny et tente en vain, une première enculade... Fanny qui vient d’échapper à la sodomie, gesticule comme une cinglée et le membre d’Alexandra a du mal à trouver le bon orifice... J’ai pas dit de vous baiser la chatte ! S’exclame Yohan qui suit l’action de très près. Je veux voir entrer les 22 cm dans la rosette !!! Putain, j’y arriverai jamais ! Gueule Alexandra qui s’épuise à maintenir la brune et à guider son énorme phallus vers la rondelle. Malgré ses gesticulations, Fanny s’est moins dépensée qu’Alexandra et elle contre-attaque. Réussissant à libérer ses jambes, elle prend le torse de la blonde en ciseaux et la retourne sur le ventre. Elle bondit alors sur sa proie et se retrouve à cheval sur son dos. Pour affaiblir toute résistance de la part d’Alexandra, elle se met à lui tirer les cheveux de sorte que la pauvre blonde a la nuque complètement pliée à contre sens ! D’une main, elle maintient la tension sur les cheveux et de l’autre, elle essaie d’agripper un sein. Elle réussit à emprisonner la pointe du sein droit entre son pouce et son index et se met à l’écraser en gueulant : Lève ton cul salope et j’abrègerai tes souffrances ! Soumise à ce terrible supplice, Clara, la tête pliée en arrière et le téton meurtri obtempère. Fabienne se retrouve donc à cheval sur une jument impuissante. Tout en maintenant les deux prises (cheveux et pointe de sein), Fanny se laisse glisser sur la croupe d’Alexandra pour la prendre en levrette. Elle essaie vainement d’enfiler son dard entre les fesses de la blonde. Comment trouver un trou entre ces masses de chair ? Lâchant le téton à moitié écrasé, du majeur, elle s’empresse de trouver le l’anus convoité. Comme Alexandra serre les fesses, Fanny tire de plus belle sur la blonde chevelure. La tête d’Alexandra est dans une posture effroyable. Ses cervicales semblent rompues ! Ne pouvant plus respirer et ne voulant pas mourir, la pauvresse relâche ses muscles fessiers et abandonne son corps à Fanny. Celle-ci ne trouvant plus aucune résistance, enfonce un doigt dans le conduit anal et plaque son gland artificiel à l’orée du trou. Simultanément, elle retire son doigt et enfonce de toutes ses forces l’arme redoutable dont elle est pourvue. Maintenant, elle abandonne la traction des cheveux de l’enculée. Ceci a un double avantage : d’une part, elle peut cramponner Alexandra aux hanches et enfoncer son énorme sexe jusqu’aux couilles (plus vraies que nature) qui pendent entre ses cuisses - d’autre part, elle peut enfin entendre gueuler Alexandra qui a retrouvé son souffle et la sentir se débattre pendant l’horrible pénétration. Bouge bien grosse truie ! Ca m’aide en rentrer les derniers centimètre dans ton trou merdeux ! S’esclaffe la violeuse. L’enculée laisse échapper un hurlement guttural qui semble annoncer l’éclatement ou le déchirement de son anus... Non contente d’avoir atteint son objectif, Fanny pilonne la sodomisée en faisant des va et vient torrides dans le conduit qu’elle est en train de massacrer. Alexandra n’est plus qu’un pantin sans défense, à la merci de la furie qui lui taraude le sphincter et lui déchire les entrailles ! Affalée à plat ventre sur le tapis, elle semble toute molle et n’offre plus aucune résistance. Bras et jambes écartés, elle n’a même plus la force de crier et se laisse transpercer par le pieux monstrueux de sa rivale. C’est bon Fabienne ! Tu as gagné ! S’écrie Yohan. Y’a pas photo ! Retire toi de son cul ! Poussant le vice à son paroxysme, Fanny, bien plantée en Alexandra se contente de dégrafer les lanières de son god et se retire, laissant le phallus artificiel enfoncé jusqu’aux couilles dans le cul de la perdante, les sangles « au vent ». T’es vraiment une chienne lui fait remarquer Yohan. Mais tout compte, fait, j’aime bien les chiennes ! Rajoute-t-il. Bon prince, Yohan s’approche d’Alexandra qui sanglote de douleur, d’humiliation, de rage et de honte. Il retire délicatement l’intrus de son troufion et lui propose de lui oindre l’ognon avec une pommade cicatrisante. Alexandra, à moitié groggy, accepte sans rechigner. Yohan en profite pour tripoter l’anus endolori de la blonde pendant que Fanny se met à genoux à côté de lui en lui présentant son gros cul. Yohan, j’ai une proposition à te faire... lui dit-elle d’une voix câline. Ca te ferait plaisir de me sodomiser ? Comment refuser une telle offre rétorque l’homme pâmé. Il imagine déjà sa sève se répandre dans l’intestin de la gagnante pendant qu’il continuera à dorloter l’anneau meurtri de la perdante. Effectivement, après avoir bien bourré le cul de Fanny, un ahanement retentissant signale que Yohan est en train de se vider dans Fanny qui glousse en sentant les saccades de foutre qui lui inonde l’ampoule. Pour ne pas perdre une goutte de ce précieux nectar, celle-ci passe une main entre ses jambes et vient presser les testicules de l’homme qui geint de douleur et de plaisir mêlés. Toute l’équipe tombe alors dans une léthargie bien méritée.