Coercition. Copyright: TheValkyrie.com Je vis chez maman, j'ai 17 ans, je suis timide et toujours puceau. J'aime les femmes mais, je n'arrive pas à les aborder. Je mesure 1m80 pour 72 kg, je me crois plutôt mignon. Je suis très complexé par la taille de mon sexe qui ne dépasse pas 11cm en érection. Maman, Catherine, est une très belle femme de 46ans, 1m64 pour 42 kg. Elle est médecin et nous assure une vie agréable. Elle est veuve depuis cinq ans, et je ne lui connais pas de relation, même si je sais qu'elle a des amants. Elle est toujours vêtue de manière stricte comme son caractère, elle est une femme de tête et surveille mes études, moyennes, et mon éducation. Nous sommes de retour à la maison vers 18 heures. Maman me conduit dans son cabinet, me déshabille. Je m'allonge sur la table gynécologique, maman me lie les jambes aux chevalets, les mains aux pieds de la table. Maman enlève ses habits, se retrouve en string, elle à des fesses superbes et bien fermes, et en soutien-gorge. Elle enfile sa blouse blanche, met des gants de caoutchouc. Elle s'approche de moi, constate la rigidité de mon pénis. Elle caresse mon pubis, mon ventre titille mes seins. Elle passe un doigt sur mes lèvres, je l'embrasse, fasciné. Elle se place entre mes jambes, décalotte mon gland, et caresse avec son pouce mon méat urinaire. La sensation est exceptionnelle, insoutenable, je gémis. Elle arrête, me frustrant, saisit mes testicules dans sa main. Elle semble contente de pouvoir jouer avec moi, mes œufs roulent entre ses doigts, j'aime cette sensation, mais je redoute le moment ou elle va refermer sa main et me faire hurler de douleur. Je sens, soudain un de ses doigts s'introduire dans mon anus. Cette fois sa main s'est refermée, je pousse un cri de surprise. Mais elle ne continue pas, retire son doigt, lâche mes couilles et viens à mon coté. Elle me fait lécher le doigt qui a violé mes fesses puis retire ses gants. Je bande toujours. Maman enfile un gant sur mon pénis, le contact est doux électrique. - Je vais boire quelque chose, je veux qu'à mon retour ce gant soit toujours porté part ton sexe en érection! Tu ne voudrais pas que ta maman se fâche et soit dans l'obligation de punir tes testicules? - Non, madame, je vous obéirai. - Très bien, à tout à l'heure. Je la voie se pencher, elle retire l'un de ses escarpins Chanel et pose l'ouverture sur mon nez. Je respire avec délectation l'enivrante odeur des pieds de maman. Elle enfile ses sabots blancs et part. Je me retrouve seul, perdu dans mes pensées, au bout de dix minutes je sens mon érection se ramollir. La simple idée des mains de caoutchouc de maman sur mon membre suffit à me redonner de la vigueur. Je respire satisfait. Hélas, un mouvement de ma tête et je sens glisser la chaussure, elle tombe dans un bruit mat. Je suis saisi d'effroi, je sais la punition inévitable. Je me raidi dans mes liens, mais je ne peux bouger. Cette fois mon érection s'estompe, j'essaie de penser à des images érotiques, aux plaisirs que j'ai eu à me masturber avec les chaussures maternelles. Mon sexe reste flasque, le gant est tombé entre mes jambes. Quarante minutes se sont écoulées, j'entends le bruit des sabots raisonner sur le sol du bureau. Maman rentre dans la pièce, voit la chaussure et le gant sur le sol. - Tu es un bon à rien! Tu connais la sanction! - pitié, Madame ... Maman ouvre le sac, s'empare d'une boite, sort ma ceinture de chasteté. Un frisson me parcours. Elle s'approche de moi, se place entre mes jambes. Elle saisit mes bourses, les glisse dans un anneau, puis place à la base de mon pénis un autre anneau relié au premier. Le contact des doigts de maman est doux, mais l'angoisse m'empêche de réagir en homme. Enfin, elle fixe une petite cage sur mon pénis et la fixe à l'aide de deux petits cadenas. Me voila prisonnier. Mon sexe occupe toute la cage, sans me laisser la moindre chance d'érection. - J'ai bien fait de prendre le petit modèle! Bon à partir de maintenant, tu devras uriner assis, puis chaque fois tu laveras ton sexe. Tu vois avec ce modèle je dispose toujours de tes testicules! Maman est rayonnante, elle sourit, et viens près de mon visage. Elle ramasse ses chaussures, les posent sur mon ventre, caresse mes tétons. Je frissonne. Elle entrouvre sa blouse, sort un de ses seins du soutien-gorge. Elle se penche et le pose sur ma bouche. - Embrasse-le, tête-le, ordonne-t-elle. Je m'empresse d'obéir, c'est la première fois que je sens la douceur d'un sein sur ma bouche. C'est très agréable, je comprends alors son manège, je sens mon pénis vouloir grossir. La cage l'en empêche, cela fait mal, la sensation est désagréable. Maman retire son sein referme sa blouse. - Je vois que ton pénis voudrait me prouver sa vigueur. Mais c'est fini. Tu ne pourras plus avoir d'érection sans mon autorisation. Et maintenant, tu as droit à ta punition. Je suis anéanti, livré à maman, totalement esclave. Elle s'empare d'un scalpel. - Que dirais-tu si je coupai tes testicules? - Pitié ... Maman ... Elle pose le scalpel, me gifle. - Madame! Tu oublies ton rang d'esclave? - Non Madame, je n'oublie pas. - Parfait! Elle sort du sac une autre boite et s'empare d'une poire d'angoisse. Elle la glisse dans ma bouche, je respire difficilement. - Rassures-toi, je n'ai pas l'intention de te castrer, avec quoi je jouerai si tu n'avais plus de couilles? Mais peut-être, un jour tu en auras assez de souffrir, de voir tes testicules broyés et torturés par ta maman, tu voudras alors que je te les enlève définitivement. Maman s'est placée entre mes jambes, elle soulève mes bourses et regarde son travail. Elle saisit alors un testicule, le malaxe et le serre, fort, comme si sa main était un casse noix. J'étouffe un cri dans mon bâillon. Maman relâche sa pression puis recommence, le petit jeu dure cinq minutes. La douleur est atroce. Elle alterne à présent avec l'autre testicule. Je veux bouger, mais je réussi juste à faire tomber les chaussures. - Imbécile! Elle prend alors les deux testicules dans ses mains et serre. Je m'évanoui incapable de supporter la douleur plus longtemps. Je me réveille quelque instant plus tard, mon corps n'est que douleur. Maman est toujours à la même place, elle brandit ses escarpins. - Tu les as aimé, tu les as souillé. Tu vas souffrir par elles! La semelle s'abat sur mes bourses déjà endolories. Maman tape avec violence, gifle mes bourses, les talons s'abattent accentuant mon tourment. Je respire mal, je souffre, j'ai peur. Je m'évanoui à nouveau. - Ca va, mon chéri? Je me réveille, je suis sur le sol, à coté de la table gynécologique, maman a retiré la poire de ma bouche. Elle s'est changé, a vêtu un kimono. Elle a rechaussé ses escarpins Chanel, qui tranchent avec sa tenue. A la main, elle porte une laisse, qu'elle a prise dans le sac. - J'ai mal Mam ... Madame. - Debout, nous montons! Je me lève, maman écarte mes cuisses fixe la laisse à l'anneau qui entoure mon sexe. Elle glisse la laisse entre mes jambes et tire dessus. Maman me tire, mais en arrière, mon sexe part vers l'arrière et je la suis à reculons. Nous traversons son bureau, et nous montons l'escalier. La montée m'est pénible, maman tirant avec force sur la laisse. Enfin, nous entrons dans le salon. Maman s'assoie dans un fauteuil s'empare d'un plateau repas et commence à dîner, il est déjà 21 heures 30. Je me couche à ses pieds, et tend ma bouche vers une écuelle qui m'est destinée, j'ai faim, je dévore l'assiette composée de restes des repas de maman. Le dîner achevé, maman me fait venir prêt d'elle. Je suis assis par terre, elle place sa jambe le long de mon torse. - Tu aimes ces chaussures, mais tu leur as manqué de respect! Ta punition n'est pas finie. Prend ma jambe dans tes bras, caresse la, embrasse la! Je prends la jambe dans mes bras, elle est douce, j'admire la fermeté des muscles. Maman pose son escarpin sur l'un de mes testicules qui est posé sur le sol. Elle s'amuse à le faire rouler entre la semelle et la moquette. Je relève la tête, saisi par la douleur. Je me crispe autour de la jambe. Elle caresse mes cheveux. Pour étouffer mes cris, je pose ma bouche sur sa cuisse, elle me maintient fermement. Soudain, elle se lève, je ne peux m'y opposer. Son poids écrase mon testicule, j'ai l'impression qu'il va exploser. Je m'évanouis, terrassé par la douleur. A suivre ... elricnec@aol.com