Chloé Par Skvall, sqkvall@caramail.com Un prof de sport découvre une élève hors du commun. Elle n'avait même pas 14 ans et s'appelait Chloé. Avec ses yeux et ses cheveux noirs comme l'ébène ainsi que sa peau cuivrée, elle devait avoir une ascendance asiatique. Elle mesurait à peu près un mètre cinquante et lorsqu'elle est arrivée au milieu de ses camarades, je n'y est pas tellement prêté attention, malgré sa beauté. Il faut dire que moi les gamines c'est pas trop mon truc. Je suis pas un pervers non plus ! Moi c'est Pierre. Je vais sur mes trente-trois ans et je suis professeur d'éducation physique et sportive au Collège Jean De La Fontaine. Je suis pas Schwarzy mais j'estime pas être une lopette quand même. Je fait 1m85, 90 kg. Je suis arrière droit de mon club de rugby et à part peut-être une petite brioche, je présente plutôt bien. Ce jour là c'était la rentrée et j'attendais dans le gymnase qu'arrivent les quatrième B. Quand ils sont arrivés avec cinq bonnes minutes de retard j'ai un peu gueulé mais pas trop, c'est la rentrée. C'est là que je l'ai vu pour la première fois, la petite asiatique. Elle était habillée avec un pantalon bouffant et un gros pull en laine et je l'ai repérée tout d'abord en croyant qu'il s'agissait d'une petite grosse complexée. C'est que ça fait partie de mon boulot de repérer les éventuels tire au flanc ! J'ai fait l'appel, et je leur est donné le programme du jour : athlétisme !Puis les gamins sont entré dans le vestiaire pour se mettre en tenue de sport. C'est quand ils sont sortis que j'ai vraiment remarqué la petite Chloé. Elle portait un haut de survêtement et un short de sport très court. Celui-ci dévoilait des cuisses incroyablement musclées telles que je n'en avait jamais vue. Elles faisaient au moins le triple des miennes et tous leurs muscles étaient apparents et découpés sans même qu'elle les contracta. Quant à ses mollets, ils étaient rond et rebondis, de la taille d'un ballon de foot. Le contraste entre ses deux boules de puissance pure et ses deux petits pieds en dessous dans des chaussettes et des tennis roses offrait un spectacle étonnant et malgré moi, très excitant. Les élèves se rangèrent devant moi, et quelque peu décontenancé, je leur ai donné les instructions : « Vous allez me faire trois fois le tour du terrain de foot pour commencer » leur dis-je. Un « Ooooh » de désapprobation s'éleva. Je regardai le petite Chloé : elle ne bronchait pas. Et elle avait raison de ne pas s'inquiéter. Elle parti largement en tête des autres, à une vitesse incroyable. Les autres élèves entamaient à peine leur deuxième tour qu'elle avait déjà terminé. Les garçons qui avaient essayés de la suivre au début s'étaient effondrés, rouges, suants et soufflants. Le visage de la fillette ne trahissait aucune trace de fatigue lorsqu'elle vint se mettre à mes cotés pour attendre que les autres élèves terminent leurs tours. « Incroyable lui dis-je réellement impressionné, dommage que je ne t'ai pas chronométré » Elle ne répondis rien. Elle devait être un peu timide. J'essayai de la mettre en confiance. « Tu pratique un sport non ? lui demandai-je naïvement. -Plusieurs. Répondit-elle simplement. -Lesquels ? -Je fais un peu de course à pied, de natation, de gymnastique et de bodybuilding. -Depuis longtemps ? -Depuis que j'ai 7 ans, je fait de deux jusqu'à huit heures par jours de sport pendant les vacances. -Pourquoi ? -J'adore voir mes muscles se développer. » En disant cela elle avait replié le bras, contractant son biceps. Le tissu de son haut de survêtement se gonfla et craqua légèrement. Je ne pus réprimer un début d'érection. Elle continuait à discuter et souriait maintenant : « Quand j'avais sept ans, quelques garçons plus âgés m'ont attaqué et se moquaient de moi parce que j'ai été adoptée. J'ai décidé de devenir plus forte qu'eux. » Elle contracta ses deux bras. Son haut de survêtement semblait prêt à exploser. «Maintenant, je suis plus forte que la plupart des hommes, et tout le monde me respecte. Mais je sais que je peux être encore plus forte. » En parlant elle avait retiré son haut de survêtement de peur sans doute de le faire éclater en contractant trop ses muscles. En dessous, elle portait un débardeur qui lui arrivait sous la poitrine, révélant des abdos incroyablement développés. Elle avait les sein un peu plus gros que ceux des filles de son age soutenus par des pectoraux que l'on devinait puissants. Quant à ses bras à la peau cuivrés, ils étaient simplement démesurés. Ses biceps faisaient plus de soixante-dix centimètres et plus elle les contractait plus j'avais du mal à combattre mon excitation. Les autres élèves étaient revenus. J'étais pas vraiment dans mon état normal, mais j'essayai de parler distinctement : « Heu. Bon ! Maintenant vous allez maintenant. On va faire du lancer de disques. Les plus costauds vous allez me chercher le matériel. » Naturellement Chloé s'est empressé de se proposer en compagnie de deux garçons. Quand ils revinrent tous les trois peu après, elle portait à elle seule le matériel dans trois gros sacs d'une main, les deux garçons assis sur son autre bras tendu à l'horizontale, tout content d'être ainsi promenés. La force qu'il fallait pour porter ainsi ces deux garçons de cinquante ou soixante kilos sur un seul bras devait être surhumaine, mais elle ne paraissait nullement peiner, le sourire aux lèvre et marchant d'un pas léger. La session de lancer de disque fut mémorable. J'ai donné à Chloé les disques pour garçons les plus lourds, elles les envoyaient à chaque fois si loin qu'ils sortaient souvent du terrain. Certains arrivèrent dans les tribunes, d'autres sur le parking. Toute la classe l'encourageait, surtout les filles. Elle si introvertie tout d'abord étaient ravie de donner ainsi une démonstration de sa force et riait. Les disques fusaient en sifflant et disparaissaient au loin. Ils nous a fallu une demi-heure pour retrouver tous les disques dont certain avaient fracassé quelques voitures sur le parking. Il était évident que Chloé ne devait pas participer au cours de sport. Le programme de l'année contenait également une initiation à la lutte, du lancer de javelot, du rugby. Autant de sport qu'il était beaucoup trop dangereux pour la classe, avec une telle élève. Tandis que les élèves rentraient aux vestiaires, je la pris à partie : « Chloé, lui dis-je, écoute bien. Il vaut mieux pour la sécurité de la classe que tu sois dispensé de sport. C'est la première fois que ce genre de dispense sera prononcé mais je pense que tu comprend que. » Tout d'un coup son visage se ferma. D'une main, elle me prit par le col tandis que de l'autre elle prenait mes jambes. Puis elle me jeta plusieurs mètres en l'air et me rattrapa d'une main au niveau du dos. Elle dit : « Ecoutez moi bien Monsieur, j'ai passé aujourd'hui deux heures délicieuse et je n'ai pas envie de passer à coté d'autres cours. Si vous avez peur je vais vous prouver que je maîtrise ma force. » Elle me déposa sur un cheval d'arçon, puis passa en dessous. Elle le souleva sans difficulté et commença à le secouer dans tous les sens. J'étais terrifié m'y accrochant de toutes mes forces. Un mouvement plus brusque me fis tomber. Lâchant le cheval d'arçon d'une main, elle me rattrapa au col. Elle me reposa doucement à terre ainsi que le cheval d'arçon sans que son visage trahisse le moindre effort. Assis sur le sol, pétrifié je ne pouvais plus rien dire. Elle s'accroupi devant moi. Tous les muscles de ses jambes jouèrent de façon complexe sous sa peau à l'exécution de ce simple mouvement. Ces cuisses paraissaient encore plus énorme, plus larges que le tronc d'un platane adulte. Je regardai ses bras. Même détendus ces biceps étaient tellement gros que je n'aurais pu en faire le tour avec mes deux mains jointes. Je me demandait si un coup de ses petit poings me tueraient d'un seul coup. Ces yeux noirs et légèrement bridés guettaient une réaction de ma part. « C'est d'accord. Dis-je enfin à bout de souffle je te fais confiance. -Génial ! cria-t-elle. Et elle repartis en sautillant. Je restai un moment ainsi assis par terre, le temps de réaliser que j'avais été dominé par une fillette de 14 ans. Reprenant peu à peu mes esprits je réalisai que je bandais à nouveau