La châtelaine Des larmes apparaissent sur mes joues et vos poings ma chérie ne cessent de marteler mon corps. Je cri de douleur, ce qui vous fais rire. Je ne suis rien. Ou juste un autre pleurnicheur, servile, un homme implorant votre pitié, un autre male prisonnier de vos muscles puissants, écrasé par vos bras contre votre poitrine parfaite. Je n’avais pas idée de la puissance de vos muscles, du terrible sadisme habitant votre esprit. Vous me brisez entre vos bras car vous le pouvez et que cela vous plaît. Redresse-toi, commande-t-elle, tout en infligeant d’autres coups à mon torse déjà meurtri. Si tu tombe par terre, c’est tes couilles que je frapperai ! Mes jambes tremblent, je m’écroulerai s’il n’y avait cette terrible menace que je sais que vous exécuterez sans état d’âme. Votre langue passe sur vos lèvres, vous êtes satisfaite, sure de votre force, tenant un male de plus en votre pouvoir. Interminablement, vos poings s’abattent sur moi. Mes cotes encaissent, douloureuses, je suis incapable de m’opposer à votre puissance, à votre vitesse. Je fais des efforts désespérés pour ne pas m’écrouler à vos pieds. Quelque chose en moi s’est brisé et je vomis du sang sur vos puissants abdominaux. Petit enculé ! Vous criez, rageuse. Je vous aperçois, enlevant votre tee-shirt souillé de mon sang. Vos muscles émergent magnifiques, vos seins pointent avec insolence, si beau, si terriblement inaccessible. Vos tétons sont dressés, excités de m’avoir corrigé. Je ne peux les contempler, vos bras ont saisi ma tête, J’ai l’impression d’avoir heurté un mur, je pisse le sang, et vous, altière vous m’ordonnez de lécher mon sang. Je ne veux surtout pas vous désobéir. Je lèche votre ventre, je lèche mon propre mon propre sang. Je suis désolé, dis-je en sanglotant. Je continue à lécher, vos muscles qui exultent de puissance. Minable, viens baiser mes cuisses. Je n’ai pas besoin de m’exécuter, votre main a saisi mes cheveux et m’a dirigé brutalement vers vos cuisses. Ma tête est coincée entre vos jambes, et vous serrez, vous serrez ma tête offerte à votre sadisme. Mes pauvres muscles essayent vainement de desserrer votre étau. J’imagine votre sourire à me voir impuissant et si fragile, prêt à subir de nouveaux outrages. Votre main s’est posé sur mes fesses et vos ongles entaillent tel un petit râteau le cuir délicat de ma peau. Je sens le sang couler abondamment. Vous me serrez entre vos cuisses, jusqu’à me faire agoniser. Vos ongles, impitoyablement, sondent mes chairs jusqu’à mon anus que vous n’épargnez pas. Lassée, vous saisissez mes testicules, vous jouez avec, les serrez et me provoquez des douleurs humiliantes pour le jouet que je suis entre vos doigts. Vous les tirez vers le haut, je suis ridicule, tête bloquée entre vos cuisses et testicules arrachés par votre main si puissante. Non, non, pitié ! ! ! Je pleure, je vous implore, mais mes cris se perdent entre vos jambes. Je vous amuse, et vous jouez avec moi votre pitoyable marionnette. Vous écrasez, broyez, tirez, secouez mes testicules, juste parce que vous en voyez les effets, mon corps se convulse, je cri. Je ne vous entends pas mais je sais que vous rigolez, que vous vous moquez de moi et de ma faiblesse. Mon monde s’est écroulé, dans la douleur. Une femme aussi belle que vous, peut-être elle aussi sadique ? Mon corps connaît la réponse, personne ne m’a jamais traité ainsi, aussi durement, aussi facilement. Vous ouvrez vos jambes et je tombe, minable sur le sol. Heureusement votre main a lâché mes œufs. Mais vous posez un pied sur mon poignet, et doucement vous commencez à l’écraser. Votre poids m’écrase, ma douleur vous émoustille. Vous aimez le son de votre talon qui malaxe les os de ma main. Je vous entends gémir sadiquement de plaisir. Regarde-moi, minable, regarde-moi te détruire ! Votre voix est ferme, vous semblez si sure de vous. Je crie, je vous implore, et vous merveilleuse vous continuez à me martyriser. Je dois vous obéir, mais que pourrais-je faire d’autre ? Mon corps vous appartient, vous le massacrez facilement, sans opposition. Je vois dans vos yeux le sadisme qui vous habite, je suis terrorisé. Je pourrais vous servir d’amant, vous combler, mais vos males, vous les détruisez, lentement, méthodiquement, dédaignant leurs virilités. De toutes façons, je ne pourrais plus utiliser mon petit sexe pour vous satisfaire, il est si flasque devant vous, Ma Déesse, et mes testicules me font tellement souffrir. Vous saisissez mon bras libre, vous le tournez, faisant craquer mes articulations. J’ai mal, tellement mal, et vous me souriez, satisfaite de me voir souffrir pour vous. Je vous implore, sachant mes cris vains. Je suis libre, vous me laissez gémir sur le sol, et déjà, je vous vois vous approchez, vous allongez sur moi. Votre corps est doux, chaud, vos seins écrasent ma poitrine. Vos muscles sont tendus prêts à de nouveaux sévices. Mais en femme cruelle que vous êtes, vous ménagez, plaisir et douleur. Vous m’embrassez, tendrement et soudain votre langue fouille ma bouche. Je subis encore votre puissance. J’aime dresser les males, les dominer. Sais-tu combien d’hommes se sont trouvés ridiculisés par mes muscles ? Tu n’es rien d’autre qu’un minable. Je vais t’achever ! Vos jambes m’encerclent, votre sexe se caresse sur mon corps, je sens que vous aimez vous donner du plaisir sur mon corps soumis. Vos cuisses enserrent ma taille, je cri de douleur, plus je cri et plus vous gémissez de plaisir. Mes cotes s’enfoncent, malgré les secousses qui envahissent votre corps, vous restez froide, terrifiante. Tu dois mourir, misérable vermisseau, pour mon plaisir. Votre corps m’enserre, je suis incapable de bouger. Vos seins m’étouffent. Par réflexe, mon sexe se dresse, vous le sentez et rigolez. Enculé, tu vas regretter ton insolence ! Votre corps s’est redressé, vous glissez le long de mon corps, je frémis car je sais ce qui va m’arriver. Vous êtes entre mes jambes, et votre genou s’active pour frapper mes testicules. Patiemment vous détruisez mon érection. Mes testicules sont en feu, ils ont du doubler de volume. Enfin vous arrêtez, mais c’est pour prendre position sur mon visage, votre divin sexe se caresse sur mon nez. Ton sexe est tout petit, et il saigne ; Ces mots sont les derniers que j’entends, votre vagin se contracte sur ma bouche, j’étouffe, et vos cuisses se referment implacables. Je ne sens plus que ma tête imploser... Trois esclaves nus sont entrés dans la chambre après le violent orgasme qui a secoué Erzebeth. Deux d’entre eux le transporte dans le jardin du château et l’enterre à coté des dizaines d’autres suppliciés. Le dernier, à genoux, lèche le sang qui macule le sol, priant pour ne pas être la prochaine victime... Traduit librement par elricnec@aol.com