Caverne 2 par violente@net-up.com Un jour ordinaire dans la vie des femmes du clan Caverne 2 D’après VIOLENTE Strictement réservé aux Adultes. Presque tout le clan est rassemblé à l’extérieur de la caverne. La mauvaise saison arrivera bientôt. C’est pouquoi Beza a lancé toute sa petite troupe dans du ramassage de bois pour les hommes et en travaux de nettoyage de peaux d’animaux pour préparer les couvertures ou houppelandes qui seront nécessaires. Ces activités ne sont pas très astreignantes et les uns et les autres vaquent en s’agitant avec une dynamique lenteur. Beza qui est assise en plein soleil, non loin de l’entrée, contemplant avec indulgence la nonchalance de ses compagnes et compagnons. Une femme s’approche d’elle et en quelques gestes accompagnés de curieues onomatopées, qui doivent servir de langage, lui fait comprendre qu’elle veut lutter avec une de leurs compagnes. Beza ne cherche pas à savoir s’il y a un motif à cet affrontement. Que ces femmes soient rivales ou jalouses pour une raison quelconque lui importe peu. Elle veut savoir si l’autre femme est d’accord. Il lui suffit de faire deux gestes pour que la future adversaire se présente, car de loin elle devait guetter l’intervention de la première femme. Sitôt devant Beza elle exprime à sa manière sa volonté de se battre. Il n’appartient pas à Beza de donner un accord ou un refus. Un combat voulu et désiré doit avoir lieu. Son rôle est d’organiser la rencontre. C’est tout. Après avoir regardé le soleil et la montagne, en deux ou trois gestes elle fixe le moment de l’affrontement dans la caverne. Le soleil déclinant, il va faire noir d’ici peu. Le combat va avoir lieu aux chandelles et les deux femmes s’en vont en commun préparer les torches artisanales qui vont donner un peu d’éclairage aux adversaires. Les deux lutteuses ont à peine quitté l’horizon de Beza qu’une femme au milieu des autres, de loin, lui fait signe en opposant ses deux poings fermés devant son visage. En faisant le même geste Beza lui répond positivement. Les visages de toutes les femmes assises autour de la questionneuse s’éclairent alors dans une sorte de sourire qui exprime leur satisfaction et le plaisir qu’elles anticipent. Dès le crépuscule tout le clan revient dans la caverne. Cinq torchent sont allumées et, en dégageant une légère fumée noire et âcre, elles apportent près de la paroi du fond de la grotte une clarté mouvante mais suffisante pour bien distinguer les choses et les êtres. Hommes et femmes ont repris leurs places sur les rochers plats. Les deux adversaires sont assises dans chaque angle du fond presqu’à la limite de la clarté. Elles sont assistées chacune d’une compagne qui lui enduit le corps d’huile. Ce badigeonnage s’accompagne d’un massage panaché de caresses et d’attouchements qui sont assez appuyés au niveau des seins et du sexe. Ce passage du rite préliminaire à l’affrontement sert à mettre les adversaires en condition. Sans doute faut-il y voir que l’excitation sexuelle des rivales est considéré comme un facteur multiplicateur de leur agressivité. C’est un élément qui va exacerber leur antagonisme sexuel. Les masseuses dans un synchronisme fortuit sont maintenant agenouillées entre les cuisses écartées de la lutteuse. Leurs doigts et mains s’agittant sensuellement dans le sexe offert. C’est le moment que Beza choisit pour se lever et s’approcher tour à tour des deux adversaires. A chacune elle répète la même action. Elle se penche sur elle, soutenant sa nuque de son avant bras, elle se baisse pour l’embrasser à pleine bouche lui donnant à sucer le dard de sa langue tendue. L’autre main de Beza est descendue sur les seins de la femme elle roule les mamelons, les étire et les tortille doucement pour les amener à pleine érection. La tension sexuelle de la lutteuse monte vers des sommets que Beza perçoit. Alors d’un geste des doigts qui manipulent les tétons elle lance la bouche de la masseuse dans la grotte d’amour, pendant qu’elle-même aspire sa langue dans sa bouche pour la lancer dans sa jouissance et alors la quitter. Les lutteuses sont alors à-demi allongées en arrière sur leurs coudes. Les masseuses écartent de leurs doigts les pilosités abondantes et embrouillées pour accéder aux grosses lèvres charnues déjà gluantes de sucs charnels. Après avoir dégagé le long et épais clitoris elles l’amènent à complète érection et tumescence par de savants suçages pour finir par provoquer l’orgasme libérateur. Lorsque les deux combattantes se sont foudroyées dans leur jouissance sexuelle elles se lèvent après avoir repris leur souffle. Sans qu’aucun signal ne soit nécessaire elles se rapprochent sans précipitation. L’une est nommée Reda et l’autre porte le nom de Juhi. Il est alors possible de les détailler. Elles sont toutes les deux d’âge mûr, à peu près de même taille et de même corpulence. Un visage rond noyé dans une chevelure longue et broussailleuse oire mêlée de gris. Un torse épais, avec de larges et puissantes épaules, qui supporte une pair de seins lourd et tombants ornés de tétons très impressionnants. Un tronc à la ceinture marquée et un ventre rond mais très ferme. Le buisson vaste et touffu recouvre le bas duventre et le haut des cuisses. Ces dernières sont imposantes en volume et en puissance, à l’égal des mollets noueux. Pour finir l’ornementation de ces corps redoutables il faut s’arrêter sur les fesses qui sont d’une rondeur, d’une cambrure et d’une fermeté fantastiques. La racine , le sillon formé en haut du muscle arrière de la cuisse et le départ du rebondi de la fesse est d’un érotisme sublime, que des millénaires plus tard les peintres et sculpteurs ne sauront qu’exceptionnellement retrouver !!! L’âge des membres du clan est indéterminable. Il est seulement possible de parler : enfants, adolescents, jeunes, adultes, matures et anciens. Les deux adversaires se son rejointes. Elles s’enlacent comme pour une embrassade, chacune avec son bras gauche passé au-dessus du bras droit de l’autre. Leurs seins sont entrés en contact et se trouvent écrasés les uns contre les autres et débordent de chaque côté de leur torse. Elles se vrillent légèrement pour positionner leur jambe droite entre les deux jambes de l’autre. Mais ce n’est pas pour un baiser qu’elles se sont ainsi installées car simultanément elles se mettent à serrer de leurs bras le torse de l’adversaire. Elles mettent toute leur puissance dans cet effort d’écrasement. En même temps elles se poussent et tentent de soulever l’autre dans l’étau de leurs bras. C’est un engagement de force. Mais les corps sont glissants d’huile et c’est surtout la pression sur les poumons et les seins qui est contraignante. Elles sont tête contre tête, front contre front et subitement il y en a une qui recule vivement sa tête pour projeter son front enplein dans le visage de l’autre. C’est un coup sec, violent et brutal qui broie le nez de l’adversaire. La femme blessée, Reda, abandonne son étau des bras et repousse Juhi. Le sang coule de son nez. Mais elle retient son ennemie en lui empoignant les seins. Et Reda en fait autant à son égard. Elle ne sont même pas éloignées d’un pas et leurs mains se touchent en tenant les seins écartés. Elles se tiennent bien et secouent leur prise comme si elles voulaient arracher les nichons de l’autre de sa poitrine. Dans un mouvement fulgurant Reda se met sur la pointe des pieds et pousse vers le sol sa prise sur les seins de Juhi. Cette action place le visage de celle-ci juste en face le front de son adversaire qui n’a plus qu’à baisser brutalement sa tête pour à son tour écraser le visage de Juhi. Alors elle se lance l’une et l’autre dans un assaut à coup de front de la tête de l’adversaire. Le grognements de douleur se noient dans le bruit de calebasse que font leurs front en se cognant, car tous les coups ne peuvent atteindre le visage. L’affrontement devient plus brutal d’un instant à l’autre. Elles se sont un peu écartées. Leurs prises, torsions et tirages sur les seins en sont devenus plus faciles et plus féroces. Les coups de tête semblables aux assauts de deux béliers sont violents et certainement douloureux. Maintenant aussi ce sont les jambes qui entrent en action. D’abord les genoux et comme elles s’éloignent davantage, ce sont les pieds qui visent les bas ventres et surtout les sexes dans l’entrejambes. Leurs fortes et accélérées respirations sont syncopées par leurs grognements de douleurs et leurs efforts dans l’engagement. Elles ne sont pas immobiles et tournent lentement l’une autour de l’autre sans interrompre leurs assauts. Telles deux bêtes sauvages en furie. Les seins sont allongés à l’extrême. Les doigts sont incrustés sous la masse spongieuse et les pouces passés par dessus les énormes mamelons écrasent les chairs pour rejoindre au travers des glandes les doigts cripés dessous. Le sang ruisselle des visages meurtris sur les seins et les mains qui les martyrisent en continuant sur les bras, les ventres et dégoulinent jusque sur le sol terreux qui absorbe le liquide écarlate. Dans la caverne les hommes et les femmes du clan assistent avec intérêt au combat primitif et acharné sans manifester la moindre émotion.Ils se contentent d’exciter leurs sexes par des masturbations plus ou moins vigoureuses en fonction des violences des assauts. Les deux lutteuses sont maintenant pliées aux hanches et leurs têtes se cognent en donnant des sons creux de noix de coco vides. A cause de l’huile, de la sueur et du sang, les mains de Juhi glissent brusquement. Ele chute à genoux devant son ennemie. Mais reda n’a pas lâché sa prise et s’agenouille également. Alors Juhi reprend le sein droit de reda de sa main gauche et envoie sa main droite à l’attaque du sexe de son adversaire. Elle fourrage de ses doigts dans l’abondante toison pour trouver les lèvres du vagin et le clitoris. Reda veut rapprocher ses cuisses pour fermer son accès, mais Juhi a déjà atteint son but comme en témoignent les secousses des hanches et du bassin de la femme prise au piège. Alors Reda ne se soucie plus de se libérer de l’attaque qu’elle subit. A son tour elle descend sa main droite dans le sexe de son ennemie et à son tour se met en devoir de martyriser les lèvres, les parois fragiles et le long clitoris adverse. Progressivement elles se retrouvent assises sur leurs talons, les cuisses largement écartées, avec leur main droite toujours à l’attaque du sexe de l’autre. Mais elles sont aussi penchées en avant, leur main gauche ayant abandonné le sein droit de l’ennemi et elle est maintenant accrochée à l’arrière de l’autre chevelure. Les têtes ont repis leur martèlement l’une contre l’autre. Cette fois les fronts cognent la face directement, faisant éclater les chairs encore plus. Les grognements de souffrance se transformrnt en véritables cris de douleur, soit à la suite des coups de tête, soit après une blessure au sexe plus marquée. Leurs bassins oscillent en tous sens pour échapper aux meutrissures des doigts calleux aux ongles cornés et griffus. Les filets de sang qui s’écoulent entre leurs mains et au travers des polis touffus des sexes sont la preuve des plaies qu’elles sont en train de créer chez l’ennemie. Leurs têtes reposent maintenant sur l’épaule de l’autre et leurs poitrines sont comprimées ensembles. Toute leur violence et leur sauvagerie sont concentrées sur la féminité de l’adversaire. C’est comme si elles s’engagent dans la destruction du sexe ennemi. Toute leur volonté, leur énergie et leur puissance n’ont comme but que d’asexuer la rivale et lui ôter toute capacité de jouissance féminine. Leurs cuisses et leurs jambes se sont mises à trembler sous l’effet de la torture et de la douleur qui deviennent insupportables. Leurs cris sont devenus ceux de deux bêtes sauvages qui hurlent dans la souffrance du combat. Tout les membres du clan sont maintenant tendus. Ils savent que la fin du combat est imminente. Que seule la femme la plus endurante va sortir vainqueur. Que la plus endolorie, celle qui ne peut plus faire face à la douleur va abandonner. Ils savent aussi que les deux lutteuses sont de force et de courage égaux et que ce n’est peut-être qu’une question de seconde qui va faire la différence !!! C’est Juhi qui arrache la première sa main du sexe de Reda et la repousse d’un coup de coude. Toutes les deux descendent leurs mains à leur vulve pour y adoucir la douleur qui les taraude. Reda a gagné le combat. Mais il n’y a aucun triomphe et nulle manifestation des gens du clan. C’est terminé tout simplement. Les deux adversaires s’allongent sur le sol côte à côte et commencent à soulager leurs blessures. Pendant que les habitants de la caverne s’installent pour passer leur nuit de sommeil. Beza sait que ces deux ennemies de quelques instant vont reprendre une vie partagée de nombreuses rencontres sexuelles et cela jusqu’à ce que l’une d’elle se laisse entrainer à fréquenter une femme ou une fille plus jeune, plus sexy, pour autant que ce mot puisse avoir ici une quelconque signification !!! Alors une crise de jalousie vrra le jour qui conduira encore à un combat de plus, toujours plus méchant et plus vicieux. La chef du clan ne prend même pas la peine de constater les blessures des deux femmes. Elle sait qu’elles vont se soigner entre elles jusqu’à ce qu’elles puissent se faire l’amour avec une frénésie renouvelée. Des yeux Beza fait le tour de la caverne et son regard s’arrête sur Nad. Il semble que la fille attendait ce signal. Elle vient rejoindre sa maitresse et toutes les deux, comme beaucoup d’autres, vont passer une nuit à partager les agressions amoureuses que les deux lutteuses ont généré chez elles.