Caverne 1 by violente@net-up.com A l’âge de Feu, un combat du chef de clan Caverne 1 D’après VIOLENTE Ce récit est strictement réservé aux adultes avertis. La femme nue assise sur un rocher plat à l’intérieur de la caverne est entourée par les autres femmes du clan qui lui enduisent le corps d’une sorte d’huile en la massant et en la caressant. C’est Beza, la chef du clan, qui va affronter dans un combat au corps à corps, suivant la coutume de la tribu, un adversaire qui l’a défiée pour prendre sa place à la tête de leur petit groupe. Le challenger est un homme un peu plus jeune qu’elle. Il n’est pas rare que de tels combats ont lieu, ce qui l’est moins c’est que ce soit un homme qui revendique la position face à une femme. Ce qui est le plus courant ce sont les combats qui se déroulent presque en continu lorsque le clan n’est pas occupé par la chasse ou la cueillette. Des corps à corps qui se déroulent entre antagonistes du même sexe, le plus souvent, et avec un degré de violence moindre que celui auquel se préparent les deux adversaires du moment. La caverne est une grande salle au sol de terre battue, haute de plafond et dont l’accès se fait par une faille dans la paroi extérieure. Cette faille se prolonge en hauteur et en oblique ce qui donne une petite clarté dans la pénombre. Au fond à droite une autre faille dans la roche a créé une sorte de couloir à une autre grande salle obscure qui sert de dortoir. C’est dans cette grotte que les enfants en bas âge sont rassemblés en ce moment. Beza est installée au milieu de la paroi de gauche. Son adversaire est debout du côté droit. Derrière lui les autres hommes du clan sont assis sur des blocs de rochers plats plus ou moins disposés en escalier. Comme tous les occupants de la caverne l’homme est nu. Il n’est pas très grand et est plutôt trapu. Il s’appelle Hink et a la peau couleur bronze de sa race. Il va et vient devant les autres hommes en tenant son pénis en érection à deux mains. La grandeur du membre fait que ses deux mains, l’une derrière l’autre laissent dépasser le gland écarlate, et que les mains ne font pas le tour complet de l’énorme cylindre de chair. Une femme un peu plus grande que les autres ne s’est pas jointe au groupe. Elle suit l’homme et enduit son corps de l’huile qu’elle va chercher, comme les autres femmes, dans un rocher creux qui sert de cuvette. C’est dans cet espèce de récipient que des fruits, tels de grosses olives, sont broyés à l’aide d’un pilon d’os. L’excitation de l’homme est sans doute due à l’ambiance sexuelle créée par les massages de Beza. Car les femmes en enduisant son corps d’huile lui malaxent les seins et le sexe, ce qui la fait gémir et geindre de plaisir !!! Une toute jeune fille dans le groupe s’est mise à genoux entre les cuisses de Beza qui a avancé son bassin pour mettre sa vulve à la disposition de la jeune suceuse. Un orgasme tumultueux la secoue et la fait crier de plaisir.. Ce spectacle a fini par porter l’excitation de Hink à son paroxysme. En grognant comme un animal en rut, il empoigne la jeune femme qui est près de lui pour le couvrir d’huile. Il lui fait faire demi-tour et la fille docile se courbe en écartant ses jambes et ses cuisses mettant son sexe à portée de bitte du mâle. Sans tâtonner ni prendre de précaution, il pénètre brutalement le vagin offert et en quelques violents coups de reins il décharge en criant lourdement dans le sexe féminin et se retire aussitôt, la bitte luisante et encore coulante. Il ne s’est en rien soucié de la fille elle-même. Elle n’est pour lui que l’outil qui sert à satisfaire son plaisir. C’est cette attitude déjà "macho" qui fait que les femmes se sont découvert entre-elles les moyens de trouver leur plaisir sexuel !!! La pénombre s’atténue progressivement faisant place à une petite clarté. C’est le soleil en gagnant en altitude et position qui va se trouver bientôt en face de la faille haute de la caverne. Beza se lève et les femmes s’écartent pour lui faire place. Elle s’avance, mais au lieu de faire face à son rival elle se dirige vers la jeune femme avec qui Hink vient de s’accoupler. Elle la rejoint et d’une main elle s’empare d’un de ses seins et de l’autre elle lui empoigne la vulve qu’elle pétrit. Puis elle repousse Nad cette femme contre une paroi à peu près verticale. Elle appuie son corps contre le sien et leurs bouches se joignent en un baiser goulu. La main descendue au sexe a pénétré l’antre gluant et béant d'où dégouline la semence du mâle et caresse les parois en titillant la petite bitte de chair du clitoris. La fille secoue tout son corps se trémoussant contre le corps huilé de la chef du clan, cuisse chaude et nerveuse contre cuisse puissante et huileuse, petits tétons vierges contres seins massifs de mère, et bientôt elle est gagnée par un bel orgasme libérateur qui est la récompense méritée après la baise violente et solitaire du mâle. Ce plaisir crié n’est même pas humiliant pour l’homme qui n’a pas su ou pas voulu donner à sa compagne un plaisir partagé. Pour lui c’est seulement un autre motif d’excitation qui l’amène à se branler encore une fois. Il ne fait d’ailleurs qu’imiter en cela les autres mâles du clan qui sont en train d’éjaculer un peu partout sans aucun souci ni pudeur. La fille a rendu ses caresses à Beza qui à nouveau s’envole dans une nouvelle tornade charnelle. De minute en minute la clarté diffuse augmente et un pan du côté gauche de la grotte commence à être très visible. C’est le côté où les femmes sont maintenant assises, elles aussi d’une façon éparse. C'est de là que monte alors un chant de soupirs lourds, pendant qu'elles pressent cuisses et genoux, ou qu'elles se pincent les mamelons et se caressent les lèvres du sexe en copiant le jeu sexuel des deux femmes debout. Beza et Hink maintenant se font face et attendent patiemment un signal inconnu. Tous les deux s’examinent en se masturbant impudiquement. Comme si, perdus dans un rêve érotique, ils ne se rendent pas compte de la force formidable que présente le corps sain qui dévisage le sien. Beza est encore un peu plus petite que Hink de quelques centimètres. Elle parait plus épaisse que l’homme qui est déjà massif. Les muscles du mâle sont plus noueux que ceux de la femme, mais celle-ci est ferme et puissante, particulièrement dans ses cuisses et ses mollets. Hink semble plus fort, mais la femme doit être plus souple et plus agile. Ils sont aussi larges de leurs épaules mais les hanches et les fesses de Beza sont plus volumineuses. Jambes écartées et pieds bien à plat sur le sol, Hink manipule sa puissante bitte en faisant remonter une main de la base à son gland et en changeant de main à chaque branlage. Beza travaille ses seins lourds et légèrement pendants de sa main gauche, en malaxant le cuir de la peau et en tordant les longs tétons bruns. De l’autre main elle semble avoir sorti son clitoris de dedans sa gaine et elle le branle doucement avec deux doigts seulement en de petits va et vient Ils ont tous les deux de longs cheveux noirs et hirsutes à la manière des poils de leurs pubis d’ailleurs. Par ailleurs ils n’ont sur le corps que peu de petits et courts poils noirs qui sont collés à leur peau par l’huile qui les rend luisants. D’un seul coup le premier rayon de soleil trace une grande ligne presque verticale sur la paroi gauche vers le fond de la grotte. C’était sans doute le signal attendu car les deux adversaires se ruent à l’attaque l’un de l’autre. Dans l’assaut de quelques pas qui les séparent, les seins lourds de Beza se balancent de gauche à droite, alors que la bitte tendue de Hink se contente d’osciller, le gland rouge comme un brandon ardent. Hink attaque avec de grands coups de poings qui vont chercher leur puissance loin en arrière de son corps. Il cherche à atteindre son ennemie à la face. Beza est plus subtile, elle esquive adroitement et avec vivacité les puissants coups de massue du mâle. Plus vicieuse aussi et sans doute connaissant mieux les points faibles d’un homme, elle lui expédie un violent coup de pieds dans les couilles. La poche encore gonflée qui ressemble à du cuir corné n’est qu’une faible protection et en grognant Hink se courbe en avant ce qui recule son cul pour mettre hors de portée d’un nouveau coup ses organes génitaux enflammés. Beza se saisit des cheveux de l’homme courbé devant elle et elle lui propulse un genou en plein visage. Elle continuerait de cogner de la même façon mais son adversaire se redresse en force partiellement et s’empare à pleine mains des seins de la femme qu’il se met à tirer vers lui. Hink amène ainsi auprès de la sienne la tête de Beza. Alors il lâche un sein, empoigne d’une main la chevelure qui pend à sa portée et abandonnant le second sein il cogne d’un poing dans le visage qui est tout près du sien. Beza en conservant sa main gauche dans la chevelure de son ennemi se met elle aussi à frapper, et comme elle se rend compte que ses coups sont faibles, elle griffe la joue gauche en cherchant à atteindre l’oeil. Dans la caverne on n’entend plus que le bruit des coups de poings portés par Hink, les respirations puissantes des deux ennemis mêlées de grognements de douleur ou d'efforts, et les frottements des pieds des antagonistes sur le sol terreux. Le travail des jambes de Beza fait saillir les muscles de ses cuisses et de ses mollets. Elle expose maintenant une puissance cachée. La musculature de Hink est toujours aussi forte mais il a perdu de sa superbe avec l’affaissement de sa bandaison. Les puissants coups du mâle font tourner la femelle sur sa droite car elle est incontestablement surpassée. Mais elle se rebiffe en trouvant l’opportunité d’expédier un nouveau coup de pied dans le sexe de son adversaire. Blessé par ce nouveau coup, Hink lâche sa prise et se recule, les mains en conque sur sa virilité. Beza s’est redressée et essuie son visage dont le côté gauche est ensanglanté et marqué par les coups de poing. L’assaut qu’elle lance sur son adversaire échoue piteusement comme celui-ci la cueille dans une ceinture avant bien portée. Il était plié en avant et quand il l’a vue venir il s’est contenté d’ouvrir ses bras pour la saisir au niveau des basses-côtes. En se redressant il amortit l’élan du choc de la femme et en même temps il la décolle du sol. Beza est maintenant dans une prise qui la met totalement à la merci de son ennemi. Elle l’a saisi aux cheveux mais cette prise est d’une totale inefficacité. Maintenant elle rue des jambes et des bras en tous sens pour tenter de se dégager, faire glisser la prise sur son corps huileux et reposer les pieds au sol. Hink la lance en l’air en desserrant sa prise un court instant. Il parvient ainsi à écraser son ennemie au niveau des côtes flottantes. Il va lui couper le souffle et peut-être lui faire péter une ou deux côtes. Beza connaît le danger. Elle n’hésite pas à attaquer directement les yeux de l’homme en y enfonçant ses pouces, les ongles en avant pour l’aveugler. En même temps elle lui porte de faibles coups de genoux dans le ventre et le bas ventre. Si ce n’est pas très dangereux c’est suffisamment perturbant pour l’adversaire et le forcer à modifier son assaut. Il s’y résout mais pas à la façon que Beza a souhaité. Il se déplace vers la paroi du fond de la caverne à grandes enjambées. En ce faisant il amène leur couple enlacé dans la pleine clarté du rayon de soleil qui s’est élargi en tournant vers la droite. Ainsi exposés en pleine lumière, leurs corps de bronze, brillants de la couche d’huile qui les recouvre, sont un exemple de ce que les artistes feront quelques siècles plus tard dans leurs statues de lutteurs en combat. La beauté des deux athlètes enlacés, engagés dans ce combat violent et sauvage, n’altère en rien la passivité des autres membres du clan qui semblent y assister comme à une scène normale de la vie courante. Hink maintenant cogne le dos et l’arrière de la tête de Beza contre la paroi rocheuse. Mais la femme ne fait que qu'accroître sa bestiale attaque sur les yeux du mâle en tournant ses ongles dans la masse globulaire qui commence à saigner. Hink pousse sa tête contre la poitrine de Beza pour fuir ses doigts meurtrierset faire diminuer la pression sue ses yeux, et il trouve sur sa bouche les seins de son ennemie. De quelques tours de tête il cherche la meilleurs cible et lorsqu’il a trouvé un mamelon il mord de toutes ses forces à pleine bouche en faisant travailler sa mâchoire en cisaille. Beza se contente de grogner encore plus fortement mais elle n’abandonne pas la recherche des yeux de l’homme et au contraire, elle semble maintenant changer sa cruauté en attaquant de deux doigts, index et majeur réunis en fourche pour arriver à éborgner son dangereux rival. La douleur est intolérable pour Hink dont le bas du visage ruisselle du sang qui coule de ses orbites. Il lâche sa meurtrière ennemie mais toutefois en lui saisissant les cheveux à deux mains. Beza redescend les pieds sur terre. Elle a toujours son téton, mais il est auréolé d’une marque sanglante en forme d’ovale dentelé. Sans prendre le temps de retrouver tout son souffle, elle lance des coups de genoux dans les couilles du mâle. Mais celui-ci, maintenant aveugle ou presque, par des secousses sur la chevelure de la femme la fait chuter dans l’angle du sol et de la paroi et la martèle de coups de pieds. Ceux-ci un peu au hasard portent sur le visage, la poitrine ou le ventre. D’en bas sur le sol Beza s’est emparé d’une main des couilles de son ennemi, sans pouvoir en tenir tout le volume d’une seule main, et elle vrille, tord et tire sur le paquet qu’elle a dans sa main droite. De sa main gauche elle se protège comme elle le peut des coups de pieds qui la percutent de haut en bas. C’est un combat de titans qui se déroule juste dans le rayon de soleil dispensé par la faille dans la paroi rocheuse extérieure. Beza réussi à saisir le pied droit de Hink qui la martyrise. Elle le lève en se soulevant du sol. Il est prodigieux de voir la puissance qu’elle fournit dans son effort à bousculer et faire chuter son ennemi en se servant de sa prise de cheville et de celle qu’elle a sur ses couilles. Dans sa chute il a lâché sa prise de cheveux et maintenant c’est elle qui se trouve à cheval sur les cuisses de l’homme. Comme un animal en furie elle se déchaîne d’un seul coup. Son poing droit maintenant martèle à son tour le sexe de son adversaire. Sa main gauche repousse les mains du mâle qui veut se défendre et se protéger. Soudain Beza change tactique, elle arrête les coups de poings et empoignant à deux mains la verge flasque de Hink elle la manipule doucement, la malaxe et commence à la branler. L’effet est assez rapide, la barre de chair prend bientôt un volume et une raideur qui fait ressortir du prépuce le gland carminé qui devient vite écarlate. Hink ne cherche plus à repousser son adversaire. Au contraire, il lui prend les cheveux comme pour lui faire descendre sa bouche à son gland. Beza n’arrête pas la masturbation en joignant ses deux mains autour de la bitte titanesque jusqu’à ce qu’elle voit suinter un petit geyser crémeux. Alors d’un seul coup elle se lève et, comme il va pour la poursuivreet la prendre de côté, elle lui décoche un coup de pied au menton. Se plaçant à la tête de son ennemi elle le frappe violemment d’abord au visage, le cueillant au nez et ensuite juste sur le cou, sur la trachée qu’elle écrase à coups de pieds jusqu’à ce qu’un craquement significatif en même temps que l’inertie de Hink lui font juger qu’il est hors de combat. Beza, la femme chef du clan, est restée le chef incontesté et incontestable, tout du moins jusqu’au prochain défi qui lui sera lancé, peut-être à la prochaine lune. Tôt ou tard un nouveau défi lui sera lancé. Sera-t-il par un homme ou plutôt par une femme qui prétendra devenir le chef du clan ? Beza sera alors la possibilité de défendre la place qui lui assure le choix des mets et des chasses, comme des compagnons de sexe dans la caverne, ou bien de décider de partir seule, la nuit en cachette, dans la jungle, pour ne jamais revoir les siens. Seul l’avenir le dira. En attendant la vie du clan va reprendre comme par le passé. Dans quelques jours Beza aura récupéré les forces dépensées dans son combat et à nouveau elle conduira son clan vers un nouveau lieu de chasse. Au retour les provisions rapportées seront mises à fumer pour conservation. Et ce sera une sortie de cueillette. Entre temps, si Hink n’a pas survécu, les anciens qui restent dans la caverne auront fait disparaître son corps. Quand à Beza elle repensera à son combat en se disant que les hommes sont peut-être les plus forts mais qu’ils sont les moins rusés et les plus mauvais connaisseurs de la femme !!! Ne sachant rien ou presque de son corps, de sa sexualité et de son tempérament. Hink se croyait aussi fort qu'un ours, il avait battu tous les hommes du clan à la lutte, et tué pas mal d'ennemis d'autres clan dans la défense de son territoire, et pourtant elle l'a battu !!! Maintenant Beza a droit au repos. Alors que les autres femmes du clan s'apprêtent à satisfaire les besoins sexuels de leurs compagnons mâles, elle va prendre au milieu de ses amies femmes la fille la plus belle et la plus jeune, celle que Hink voulait se réserver, Nad celle qui l'enduisait d'huile. Elle va recevoir d'elle tous les plaisirs sexuels dont elle a besoin. Et puis elle va l'initier à tous ses secrets lesbiens les plus rafinés !!! © Violente ® Édition de Raf 2002-06-29