Catherine, 1er épisode Par l’Ange Païen Catherine “Maman très chère” lutte nue pour sa fille, et perd honteusement. À la demande de Catherine, Marie s'est faite l'intermédiaire auprès de Nelly pour organiser une rencontre dans son ring. Les deux femmes lutteront nues en chaussures de lutte, tout permis, au finish par K.O. ou abandon. Linda qui a très nettement manifesté son désaccord sur le principe, sera le trophée de la gagnante. Elle assistera au combat, avec Marie qui aura pour mission d'empêcher la jeune fille d'intervenir et de prendre les dispositions nécessaires en fin de combat. Il n'y aura pas d'autres spectateurs. Catherine est arrivée la première. En se déshabillant au pied du ring elle dit à Marie toute la haine qu'elle a pour Nelly. Le chagrin que Linda lui a causé en allant vivre avec Nelly. Elle s'étonne du magnétisme de cette dernière et de l'attirance qu'elle provoque sur les autres lutteuses du club. Elle critique l'arrogance de la bodybuilder, sa vulgarité et surtout son sadisme dans les affrontements, autant dans les combats classiques que dans les sex-fights. Elle dit son dégoût pour le lesbianisme infernal, et l'attitude de dominatrice de son adversaire. Maintenant qu'elle est nue Catherine s'est assise pour lacer ses chaussures. Elle offre au regard de Marie la splendeur de son corps à la peau mate foncée, ses bras et ses épaules musclés attachés à un torse puissant précédé de deux petits seins coniques tels ceux d'une adolescente, deux têtes de torpilles terminées par de larges aréoles brunes, elles- mêmes dominées par deux mamelons cylindriques un peu plus foncés encore et d'une longueur, au repos, d'environ 1 cm. Comme elle se lève il est possible d'apprécier la forme trapézoïdale de sa cage thoracique et la largeur de ses épaules, sa taille très marquée au dessus de hanches larges prolongées de cuisses fortement musclées, de genoux puissants et de mollets aux muscles bien ciselés. Dommage que les chevilles soient un peu fortes, ce qui fait perdre un peu de leur valeur aux mollets. Lorsqu'elle retourne à sa chaise, toujours maugréant, munie du top de son jogging, jeté sur ses épaules, on peut voir la gravité de son regard accentuée par la cicatrice sous son oeil gauche qui anime d'un réflexe musculaire le côté du visage, et lui donne un aspect un peu cruel. À l'opposé, le bas de son ventre entre le haut de ses merveilleuses cuisses est couvert d'un ample buisson de poils frisés et noirs, comme sa chevelure qui est faite d'un casque de courtes boucles presque crêpées. Ses récriminations sont interrompues par l'arrivé de Nelly et Linda. Elles se tiennent par la taille, légèrement vêtues de shorts ultracourts et de T-shirts. Elles ont les joues en feu et les yeux brillants avec un regard sardonique. Les deux femmes s'arrêtent devant Catherine toujours assise auprès de Marie. - "Manque à jouir" s'impatiente d'être servie - jette ironiquement Linda, à l'intention de sa mère. - Ne te tracasses pas - répond Nelly -, les souffrances que je vais lui infliger vont être plus fortes que toutes les jouissances dont elle peut rêver. - Tu n'auras pas beaucoup d'effort à faire - insiste la jeune fille. - À côté de toi elle jouit comme une guenon! D'ailleurs regarde, on dirait "Chita", elle n'a même pas daigné s'épiler. Elle a la touffe sous les bras et les jambes poilues. Tu vas tout de même avoir du mal à faire "rire" sa chatte cachée comme elle est sous son tablier de sapeur! L'insolence de la gamine irrite Marie qui la coupe en s'adressant à Nelly. - Suffit les invectives. Déshabilles-toi Nelly et mets tes chaussures. C'est dans le ring que vous avez à régler votre conflit. Catherine grimpe sur le ring après avoir jeté le blouson de son jogging. Elle est blanche de colère et à travers la fente de ses yeux son regard jette des éclairs. Elle se glisse entre les deux cordes du haut et se dirige vers le coin le plus éloigné. Vue de dos elle semble encore plus fantastique que de face. La forme trapézoïdale de son torse est encore plus saisissante. L'apparente minceur de sa taille est due en réalité à la largeur de ses hanches encore plus accentuée de derrière par ses magnifiques fesses, deux belles sphères bien rondes, pleines, fermes et proéminentes. Le plus étonnant ce sont ses cuisses vues de derrière: les muscles avant, les quadriceps, semblent dépasser à l'extérieur de son corps, ce qui fait de l'ensemble hanches et cuisses une longue amphore. Elle a du entraîner son corps à fond et le muscler pour le combat, la façon dont ses muscles ondulent à chaque pas est le témoignage de sa pleine forme. Nelly s'est approchée de l'escabeau et de la chaise. Elle s'est effeuillée en deux gestes et s'est appuyée dos à la plate-forme, offrant ses pieds à Linda qui la chausse à genoux. Comme la jeune fille se penche pour attacher les lacets on peut voir que le sexe de Nelly est entièrement épilé, elle y descend ses deux mains en posant son pied droit sur la deuxième marche de l'escabeau et écartant son genou. Après avoir écarté les lèvres de son sexe, elle dégage le capuchon allongé de son clitoris et l'offre à la bouche de Linda au moment où celle-ci se redresse. Comme Nelly s'arque pour lancer son bassin en avant Linda se laisse descendre assise sur ses talons et envoie sa tête en arrière en même temps que son corps en avant. Nelly ouvre encore plus son sexe avec ses mains à la voracité de Linda, qui lèche, suce, caresse, mordille. Elle aspire le clitoris et plonge un doigt dans le vagin en le manoeuvrant rapidement. La lesbienne commence à s'agiter, elle empoigne les cheveux de la suceuse pour la guider dans sa fellation, sa respiration s'accélère, elle projette son bas ventre en avant et resserre ses cuisses par saccades. Elle commence à haleter, yeux fermés, lèvres ouvertes, mâchoires tendues, ses pommettes naturellement rouges sont devenues violettes, son souffle siffle à travers ses dents serrées et elle ronronne comme une chatte. Puis brusquement la tempête s'arrête, elle éloigne brutalement le visage de Linda, redescend sa jambe droite, mettant ce genou devant le gauche, puis elle se redresse et progressivement reprend son tempo. Voyant l'engagement sexuel Catherine s'est retournée vers les cordes en grommelant. Mais elle ne peut échapper au bruit, aux sons et à l'ambiance. Le halètement, la succion, le clapotis du sexe l'enveloppent, machinalement elle a écarté ses cuisses et se masturbe, puis elle fait demi-tour, jambes flageolantes, elle s'affale sur les cordes, accentue la pression sur son clitoris en accélérant le mouvement de son médius, et dans un soupir elle jouit presque en même temps que son ennemie. Marie n'a rien dit et n'a pas bougé, mais son regard est devenu plus brillant, sa respiration s'est accélérée, ses joues se sont creusées et elle s'est appuyée au mur en empoignant son bas ventre comme pour écraser son sexe. Après un moment elle s'approche de Nelly, lui prend les mains, inspecte ses ongles et lui fait signe de monter dans l'arène. Une fois sur le ring la bodybuilder fait une séance de posing, sans doute pour impressionner sa rivale en faisant saillir tous ses muscles. Catherine qui avait paru si impressionnante semble bien fade à côté de Nelly qui s'ingénie à exacerber toutes ses fibres musculaires. Cuisses, mollets, abdominaux, dorsaux, épaules, trapèzes, bras, biceps, cou, tout y passe, même les petites fesses qui ressemblent à deux melons perdus au-dessus de si fortes cuisses et sous une taille extrêmement fine. Elle n'a pratiquement pas de hanches marquées seulement par deux os saillants, c'est l'énormité des cuisses qui font l'élargissement du bas du corps sous le bassin. Il est impossible d'estimer les mensurations des biceps, cuisses et mollets! Si les épaules de Nelly sont aussi larges que celles de Catherine, le torse a moins d'épaisseur et le manque de poitrine ne fait que l'amplifier, car peut-on appeler poitrine ce qui ressemble à deux pectoraux bien développés, avec toutefois des aréoles coniques et pointues d'où émergent quand même deux mamelons peu proéminents. Linda est une fille qui mérite son nom. Elle a teint sa longue tignasse blonde en rouge et bleu, juste pour irriter sa mère un peu plus. Sa peau blanche et son visage sont tannés par le soleil, car elle passe maintenant presque tout son temps en faisant du jogging avec sa nouvelle amie, et elle ne porte plus que son bikini pour cela. Les muscles de ses jambes montrent déjà des résultats visibles, plus que ceux des bras, moins travaillés. Quand Nelly lui fait face, pendant la pose, Linda lui lance des baisers amoureux, tandis qu'avec sa main gauche glissée à l’intérieur de son short elle caresse son entrecouisse, entretenant l’ excitation créée par son contact avec la savante lesbienne. Haletante, assise au bord de sa chaise, à deux mètres du ring, Linda fait l'enjeu parfait du combat à venir. La séance de pose ne dure pas longtemps car Catherine est déjà au centre du ring en position de combat. Elle lance: - C'est de la gonflette tout ça! anabolisants et stéroïdes. Juste fait pour appâter les branleuses. Même musclée, une putain est une putain. En tournant autour d'elle, Nelly répond: - Ta gueule sale garce, mère de garce! Tu vas y goutter à ces muscles et aux muscles cachés que ta fille aime tant! - Je vais te fermer ta gueule, espèce de maquerelle et tellement t'abîmer le con que tu ne pourras même plus le laver pendant longtemps. - Il vaudrait mieux que tu penses à protéger ton moule à bites, espèce d'ordure... - Parce que tu sais ce que c'est une bite! dévoreuse de petite fille. C'est pas seulement ton bocal à sirop que je vais t'abîmer, je vais te défoncer la rosette de telle façon qu'il te faudra un entonnoir pour chier. Ce disant Catherine fait un brusque mouvement comme pour plonger dans les jambes de Nelly, et comme celle-ci se penche en avant pour parer, Catherine fait un écart sur sa droite, se redresse, agrippe le bras de gauche de son adversaire, passe derrière elle et profitant de son déséquilibre la projette à terre, à plat ventre. Comme elle n'a pas lâché le bras elle le relève haut en arrière en mettant son genou droit sur le dos de l'autre et, genou gauche à terre, elle se trouve avoir une prise de dislocation de l'épaule gauche de Nelly. La mère de Linda doit avoir gardé de bons sentiments, au lieu de forcer brutalement et détériorer l'épaule, elle se contente de bloquer pour fatiguer son adversaire. C'est un tort, car au début d'un tel combat la lutteuse plus jeune dispose de toute sa puissance musculaire pour réussir à se décoller du sol et tenter de se mettre à quatre pattes. Ce faisant elle déstabilise le genou droit de Catherine qui glisse à cheval sur Nelly qui, débloquée, se tourne vers sa gauche, désengage son bras gauche et se retrouve sur le dos avec Catherine à cheval sur sa poitrineSon bras droit est bloqué entre son corps et la jambe gauche de Catherine, elle lance sa main gauche vers la poitrine de la "cavalière" mais celle- ci attrape le bras au vol, le vrille pour le bloquer et forcer sur le coude, encore une prise dangereuse si elle est poussée à fond. C'est compter sans la liberté de jambes de la brune épilée qui relève brutalement ses deux membres pliés envoyant violemment ses deux genoux dans le dos de son aînée. Propulsée en avant, Catherine lâche sa prise, lance ses mains sur le tapis au-dessus de la tête de Nelly et se voyant proche des cordes a le réflexe de se laisser tomber sur le côté. Par contre Nelly, libérée du pois de Catherine et entraînée par la force de la projection fait un roulé arrière et ses jambes atterrissent entre les deux cordes du bas ce qui la retarde dans sa reprise d'aplomb. Comme elle avance à quatre pattes, Catherine à nouveau saute sur son dos, la déséquilibre et l'amène complètement à plat ventre, en s'allongeant sur elle, rapidement elle entortille et écarte ses jambes avec les siennes et glissant ses mains sous la mâchoire de Nelly lui tire la tête en arrière. Les doigts de la main gauche de Catherine s'accrochent profondément sous la mâchoire alors que la main droite appuie sur le cou et le larynx. C'est la troisième prise de force de Catherine en quelques minutes et elle semble avoir le combat en main. Cette fois Nelly est bien bloquée en immobilisation, et la nuque pliée en arrière qui coupe la circulation du sang avec la pression sur la gorge qui diminue les possibilités respiratoires peuvent amener la lesbienne à perdre le combat. Et pourtant, sans le savoir, Catherine va perdre la bataille à la suite de cette prise. Son corps est appliqué complètement sur celui de son ennemie, pas un centimètre sans contact et un contact qui ne permettrait pas de passer une feuille de papier. Son visage est appliqué au bas de la nuque de l'autre entre la partie supérieure des épaules. Elle met toute sa puissance et sa volonté à forcer le contact et la prise, écrasant Nelly sous elle. Et alors... presque brutalement Catherine prend conscience de la douceur et du velouté de la peau qui est sous la sienne. C'est doux, et pourtant musclé, chaud, sans être moite... Et puis elle respire une odeur fantastique qu'elle a du mal à déterminer. Ce n'est pas l'odeur camphrée habituelle, c'est plus une odeur d'amande amère. C'est un parfum enivrant, envoûtant Ensuite elle sent dans ses aines la rondeur et la dureté des fesses de Nelly, il semble que ces masses la massent! Elle sent son vagin s'humidifier abondamment et son clitoris se tendre et gonfler... L'odeur se mélange maintenant à un parfum plus poivré, plus sauvage... Catherine a fermé les yeux... elle a un peu de mal à respirer... elle veut, elle a besoin de frotter son sexe sur les fesses de l'autre... ses pensées se brouillent, sa volonté de lutter, de faire mal, de gagner est remplacée par le besoin de profiter du corps qu'elle domine... Alors pour pouvoir poser son bas ventre sur une fesse, elle dégage son enlacement de jambes et se glisse vers la droite pour vraiment encastrer une mappemonde de chair et de muscles entre ses cuisses contre son sexe. Elle y appuie son clitoris maintenant en pleine gloire et commence à se frotter, à se caresser sur la fesse de Nelly... Celle-ci bien sur a deviné ce qui se passait. Elle ne bouge pas, elle laisse monter l'orage, elle a déjà senti la prise sur sa mâchoire et sur son cou se relâcher, ce n'est pas pour elle le moment de faire revenir sa rivale à la réalité... d'autant plus qu'elle commence à prendre plaisir au frottement du pubis et du sexe de la femme en chaleur... Au début c'était un raclement un peu rêche, mais maintenant la vulve suinte de plus en plus abondamment, en barbouillant sa fesse et en graissant les poils de l'autre... Au silence qui s'était établi suit maintenant le halètement de plus en plus rapide et de plus en plus puissant de Catherine qui a désormais oublié toute autre notion que celle de prendre un immense et long plaisir. Les odeurs semblent se matérialiser en s'amplifiant, Catherine d'ailleurs y reconnaît dans la flagrance sa propre senteur... Le contact des peaux est devenu une brûlure de ventouse qui aspire les deux corps l'un dans l'autre... Nelly a commencé à bercer son bassin, ce qui accentue la houle des deux femmes... Nelly qui sent sur son épaule la respiration de Catherine comme le souffle d'un jet de vapeur, Nelly dont le visage et les cheveux sont caressés par les mains de Catherine qui ont définitivement et inconsciemment abandonné leur prise, Nelly qui a glissé une de ses mains sous ventre pour se caresser aussi... Qu'il est loin le combat de ces deux ennemies... Catherine est maintenant prise au piège de Nelly... Catherine qui sent tout l'intérieur de son ventre se contracter pour aspirer le corps de Nelly... Catherine qui dans un long feulement rauque se détend... se crispe à nouveau... et comme cela plusieurs fois... pour finalement mordre cruellement l'épaule de Nelly dans un dernier spasme et en définitive se détendre comme une poupée de chiffon... repue... comblée... rêveuse encore... Nelly qui écrasait d'un doigt son long clitoris a accompagné brièvement son amazone dans la jouissance et maintenant se dégage de Catherine devenue inoffensive, elle la tourne facilement sur le dos avec les bras le long du corps. Elle la chevauche alors tête bêche s'asseyant sur ses seins et bloquant les bras, alors elle se penche en avant, écarte les jambes et ouvre le sexe de la rivale. Elle remarque alors que celle-ci a quand même épilé les bords de son vagin entre ses cuisses offrant ainsi ses lèvres gonflées et gluantes à la domination. Nelly ouvre alors le calice offert, d'une main elle remonte au maximum le capuchon du clitoris et s'en empare entre pouce et index de l'autre main. Alors sauvagement elle tire, pince, vrille, faisant hurler Catherine de douleur. Comme celle-ci commence à ruer de ses jambes et secoue son bassin pour se libérer, Nelly s'allonge sur le corps de l'autre, appuie ses mains sur les cuisses pour les maintenir après avoir lâché sa proie, mais en même temps elle se penche sur le sexe et à pleines dents mord dans les lèvres ouvertes... Cependant les gesticulations et bondissements de Catherine lui ont permis de libérer ses deux bras, elle voit devant son visage les fesses de son attaquante, ouvertes, l'anus offert, alors sauvagement elle y jette un doigt, puis deux doigts qu'elle tourne, vrille, croche et pendant que son autre main, se glissant en dessous, part à l'attaque du sexe de Nelly. Bête contre bête... bestialité pour bestialité... Elle a trouvé où accrocher ses doigts et maintenant commence elle aussi à broyer et pincer et tirer, tout en gémissant et pleurant sous la morsure de Nelly... qui souffrant de l'attaque qu'elle doit subir se dégage subite- ment... Elle a blessé Catherine qui bien que pleine de douleur et commençant à saigner se relève rapidement pour reprendre le combat... Mais c'est pour prendre un sauvage coup de pied dans le sexe, un autre dans le ventre, encore dans le sexe, puis les seins, elle tombe en arrière grotesquement pour prendre un coup de pied en plein visage qui l'allonge complètement la tête près des cordes aux pieds de Linda qui a grimpé sur le bord du ring pour assister au combat. Elle semble heureuse de la tournure dela mêlée. Et avec cruauté elle en remet en donnant de violents coups de pieds à la tête de sa mère. Marie s'est précipitée, prenant les deux pieds de la jeune fille elle la fait tomber du ring sur le bord duquel elle vient cogner de la poitrine et en se tournant la gamine prend deux gifles phénoménales par Marie qui l'envoient valser à plusieurs pas. - Ne t'avises pas de recommencer - précise Marie -, sinon je t'attache carrément! Tu es vraiment une petite putain dégueulasse! Catherine qui était groggy tente de se relever péniblement, mais Nelly lui donne un coup de genou au visage qui l'envoie à nouveau étendue sur le dos. La jeune femme plonge alors sur elle, à cheval sur son ventre et commence à lui donner des coups de poings dans les seins. Même allongée, les petits seins coniques de la plus âgée des adversaires sont toujours saillants et sont dotés de leurs deux fantastiques tétons de plus de 2 cm de lon- gueur. Catherine souffre de l'abattage des coups de poings et elle est en larmes, elle réussit à envoyer en retour quelques coups de poings à la pointe des seins plats de Nelly et elle est satisfaite de voir celle-ci grimacer. Pourtant les coups sont portés faiblement dans la position où elle est. Pour venger cette attaque Nelly envoie un atémi sur la carotide et sur le larynx de Catherine qui devient molle, inerte, définitivement K.O. Nelly a gagné le challenge. Linda saute dans le ring, pour la récompenser et non sans avoir par pure méchanceté envoyé un coup de pied entre les jambes de sa mère. Les deux femmes s'embrassent à pleine bouche et se caressent pendant que Marie passe un flacon de sels sous les narines de Catherine. Nelly a gagné une bataille mais a-t-elle gagné la guerre? Toujours est-il qu’elle reste la maitresse de la jeune Linda. À suivre… Catherine 2 - “Une affaire de femmes”. Le sous-titre du premier épisode est un hommage au film "Mommie Dearest", de Frank Perry (USA 1981), avec Faye Dunaway dans le rôle de Joan Crawford, se battant par jalousie avec “sa fille” adulte, Christine (Diana Scarwid). Faye Dunaway est l’inoubliable Bonnie Parker de “Bonnie and Clyde” d’Arthur Penn (USA 1967), une femme qui choisit mourir l’arme à la main à côté de son amoureux, et elle poursuit une carrière pleine de femmes fortes, soit une Laura Mars qui fait autres femmes se battre (les modèles Lulu et Michele, Darlanne Fluegel et Lisa Taylor, dans “Les Yeux de Laura Mars” ou “Eyes of Laura Mars”, USA 1978) ou bien une femme qui se bat elle même: - la femme d’un espion contre une espionne (Barbara Parkins, ou Karen Glauguernon?) dans “La Maison sous les arbres” ou “The Deadly Trap”, redistribué comme “Death Scream” dirigé par le grand cinéaste René Clément (France 1971); - la Milady contre Constance (Raquel Welch) dans “Les Trois Mousquetaires" ou “The Three Musqueteers” de Richard Lester (Royaume Uni 1973); - la femme “Robin Wood” Barbara Skelton contre une paysane jalouse (Marina Sirtis) dans "The Wicked Lady" dirigé par Leslie Arliss (Royaume Uni 1983), dont le titre français, “De plein fouet” rappelle leur long duel vaut tout ou Barbara fouette les seins dénudés de sa rivale pendant 1m 20s, jusqu’au sang, avant de subir elle même des coups de fouet et de pied au ventre… - la vilaine Selena contre “Supergirl” Helen Slater, dans le film de Jeannot Szwarc (Royaume Uni 1984); et - la journaliste Wanda Wilcox contre Tully Sorenson, une "Barfly" (USA 1987) dans une longue bagarre pour les faveurs du viril boxeur Mickey Rourke, pour qui Ms. Dunaway nous montre ses beaux seins au bain, une bref minute. © L'Ange Païen 1994.02.15 © Edition de Raf 1994