Carole et Valérie épisode 2 Je me réveillais vers huit heures, une nuit à rêver d'amour. Martin n'en avait pas été exempt. Il était là sur le sol endormi, Carole avait posé sa tête sur mon sein droit. J'aurai pu sauter sur Martin et lui faire l'amour mais je préférais poser délicatement mes pieds sur la figure de Martin. Il se réveilla et je vis immédiatement son pénis se dresser. J'adore qu'un homme me rende cet hommage, je sentis ses lèvres embrasser mes pieds. Carole s'était réveillée à son tour. Je me levais, et me dirigeais aux toilettes. J'entendis Martin crier, et je retournais dans la chambre. Carole tenait fermement Martin par les testicules et le sermonnait. - Je veux que tu cesses de bander ! Elle pressait vraiment fortement les couilles de Martin qui ne tarda pas à voir son érection perdre de sa splendeur. - Maintenant tu vas t'habiller et tu dégages ! - Oui, Mademoiselle Carole. Il s'exécuta et moins de cinq minutes plus tard il partait. Je lui disais que je m'étais bien amusée avec lui. Il sourit et disparu. - Valérie, tu connais la règle, tu ne dois pas t'enticher de ces ordures. - Oui, mais il était si mignon, enfin... Je prenais une douche, puis un solide petit déjeuner. Je m'habillais, embrassais Carole et parti à mon tour. Au bas de l'immeuble de Carole, je vis Martin, je cachais mon plaisir, et l'apostrophais. - Je croyais t'avoir dit de disparaître. - Je suis désolé Mademoiselle Valérie, mais je voulais mieux vous connaître, vous êtes merveilleuse. - Je sais, mais dis-moi, personne ne t'attends ? - Non je vis à Clamart, seul. Je me dirigeais vers ma voiture, une Classe A noire, de Mercedes. Subitement j'ouvrais le coffre et ordonnais : - Grimpe là dedans ! Martin n'hésita pas et je refermais rapidement le coffre. Je m'installais au volant et me dirigeais vers mon appartement dans le XVIeme. Je réfléchissais, songeant aux plaisirs que Martin allait me procurer. Cet après-midi j'avais un match de tennis contre Estelle, mais après ! ! ! Martin admirait mon appartement, un luxueux cinq pièces, que mes revenus de cadre supérieur m'avaient permis d'acheter. Je lui indiquais une chaise, ou il s'asseyait après s'être déshabillé. J'examinais ses testicules, légèrement bleus après les tourments de la nuit dernière. Je pensais qu'il fallait être plus prudent pour ne pas les lui détruire définitivement. Le reste de la matinée je m'occupais de moi, soins du corps, lecture de divers magazines etc... Martin ne bougeait pas sur sa chaise, mais je le voyais en érection, son pénis me paraissait beaucoup plus petit que la veille. J'avais mis un short, puis revêtue un jogging et des chaussures de sports. J'appréciais ce long moment sur le divan, à me relaxer, en songeant à ce que Martin allait endurer. J'hésitais entre un coup dans ses couilles ou lui écraser son sexe sous mes chaussures. Je savais que de toutes façons je l'humilierai, condition obligatoire de ma jouissance. Vers midi je déjeunais, songeant que Martin n'avait rien du ingurgiter depuis hier soir, je souris. Il était là de son plein gré. Le téléphone sonna. - Salut Valérie, c'est Carole. - Re, Carole - Tu as oublié, ton pull chez moi. - Pas de problème je viendrais le chercher mardi soir après le boulot. Mais devine qui est chez moi, assis sur une chaise, Tout nu ? - Martin ? - Ouiiiii ! Il m'attendait tout à l'heure. Je n'ai pas résisté et je vais m'en servir avant de le jeter comme un kleenex. - Tu es trop ! Je dois te laisser, je vais chez maman. - Salut à plus. Je débarrassais la table, préparais mon sac de sport et ordonnais à Martin de se rhabiller. - J'ai un match de tennis avec une amie, tu m'accompagnes, et tu portes mon sac Le match avait duré plus d'une heure et j'avais battu Estelle, qui bien que moins grande que moi était une bonne joueuse. - Eh bien, Valérie tu as joué comme une déesse, qu'est-ce qui t'arrive, tu es amoureuse ? Pas de lui j'espère. - Je suis en forme, c'est tout. Sa remarque m'avait interrogé, je ressentais une attirance certaine pour Martin, sa façon de m'applaudir à chaque point, sa discrétion me plaisait. Je ne prenais pas de douche et rentrais chez moi, Martin dans le coffre de ma voiture. A la maison, Martin se déshabilla, et me suivi à la salle de bain. Je me déshabillais, provoquant son émoi. Je lui intimais l'ordre de baisser son regard, ponctuant mon ordre d'une grande claque sur son sexe dressé. Je prenais ma douche et revêtais un grand tee-shirt blanc recouvrant à peine mes fesses. Il me suivit dans le salon je m'installais dans le divan, allongée à regarder la télé. Martin se tenait debout, reniflant sur mon ordre l'une de mes chaussures de sport. Ses yeux étaient fermés, et je posais ma main sur son sexe, triturant ses couilles, masturbant son pénis. Il se mit à gémir. Je me levais et sans aucun scrupule j'atomisais ses couilles d'un grand coup de genou. Il tomba à mes pieds, provoquant en moi une satisfaction intense. Je m'allongeai de nouveau et lui ordonnai de venir me donner du plaisir avec sa bouche, il rampa vers mon sexe et commença à me lécher. Il était doué et je fus rapidement au bord de l'orgasme. Je voulais son membre. Je le fis venir sur le divan et m'empalais sur son membre. Je lui interdisais de jouir et m'activais comme une furie, j'eus un orgasme très intense, lui restait stoïque, faisant des efforts pour ne pas se lâcher. Enfin calmée, je posais mes bras sur son torse, admirant son visage, je restais empalé, réitérant mon interdiction à sa jouissance. Mais sadique, je contractais mes muscles vaginaux sur son membre. Sa résistance dura plus d'une dizaine de minutes et je jouis une deuxième fois, aussitôt je me désarçonnais et son sexe se cabra, éjaculant dans le vide. Je laissais passer sa jouissance, si courte comparée à la mienne. Je le saisissais par les couilles et je vis la peur dans regard. - Tu as désobéis, à genoux ! - Pitié, Mademoiselle Valérie. - Non, pas de pitié pour les males ! Nettoies ta semence ! Il s'exécuta, sa langue léchant chaque parcelle de mon divan en cuir. Puis d'un grand coup de pied par l'arrière je lui éclatais une nouvelle fois ses testicules. Martin tomba sur le sol et perdit connaissance. Je me baissais et je le prenais dans mes bras je n'eus aucune difficulté à le porter sur mon lit. Je le laissais et finissais ma soirée entre plateau repas et un film sur la première chaîne. Je me sentais bien, heureuse et sure de mon pouvoir sur Martin. Je commençais à me masturber. A suivre Elricnec@aol.com