Ball-busting : La demi-sœur Par kacz@ix.netcom.com Caligula Jenny se réveilla ce matin là avec une horrible surprise... Elle saignait. C'était ses premières règles et elle était terrifiée. Sa mère l'avait prévenu, mais cela ne l'aidait pas à ce moment précis. Elle alla retrouver sa mère, immédiatement, criant. Sa mère tenta de la consoler comme elle pouvait. -Mais je souffre, maman ! Pourquoi les garçons n'ont-ils pas de pareils douleurs ? Pourquoi pas George ? (George était son demi-frère, âgé de quinze ans). George n'a pas de douleur là ! Elle pointait de son doigt, son entrejambe. Sa mère intérieurement, comprenait Jenny. Elle se souvenait de la fois ou elle avait donné, accidentellement, un coup de genou dans les bourses de son fils. Il avait crié, un long moment. Si jenny savait... Cela lui donna une idée. George devenait, depuis quelques temps, un macho. Une bonne leçon s'imposait donc et l'occasion était belle de faire d'une pierre deux coups. -Jenny, George peut aussi souffrir à cet endroit. Et en plus il peut souffrir bien plus que toi ou moi. -Tu veux dire comme dans les films ou les hommes prennent des coups à cet endroit ? -Oui, chérie. Cela peut-être amusant de voir un homme souffrir ainsi. -C'est vrai que j'aime bien voir ça ! -moi aussi, chérie. Mais tu ne l'as jamais fait, toi ? -Oh non, et toi maman ? -Oui, une fois par accident j'ai donné un coup de genoux dans les couilles de George. Voudrais-tu essayer, toi aussi, sur George ? Jenny ne prit même pas le temps de réfléchir. -Oui, il va souffrir autant que moi ! C'est normal. -Tu as raison, il doit aussi connaître la douleur dans son bas-ventre. Nous allons imposer notre loi ! La mère de jenny appela George. Il arriva, à peine réveillé, visiblement effrayé par le son de la voix de sa mère. Il se dépêchait car il savait que sa mère n'aimait pas les retards, ni la désobéissance. -Déshabille-toi, George, TOUS tes vêtements ! MAINTENANT ! -Devant ELLE ? Il regardait sa demi-sœur -Oui, George et dépêche toi. Il obéit, sa mère lui parlait. -Tu voix, George, chaque mois les femmes souffrent pendant leurs règles. C'est une douleur entre leurs jambes, George. Tu te rappelles le jour ou j'ai frappé tes couilles ? Elle avait saisit les jeunes bourses, à présent nues. -Oui, maman, tu avais dit que c'était un accident (et cela en avait été un). George était embarrassé qu'elle lui parle de ce mauvais souvenir. -J'ai dit cela à l'époque, George, car c'était le cas. A présent, je crois qu'il serait amusant, de te voir rouler aux pieds de Jenny et de moi, criant de douleur. Moi aussi j'ai des règles douloureuses. Crois-tu qu'un homme puisse souffrir autant qu'une femme, George, voir plus ? Ce n'était pas une question, mais une affirmation. George avait peur de répondre. Il était vraiment effrayé, nu devant les deux femmes, un peu troublé également. -eh bien, George, tu sais Jenny a ses premières règles, et tu va lui montrer que tu peux avoir plus mal qu'elle. Viens, George, devant moi et ta sœur. George se plaça nerveusement à l'endroit voulu, guidé par sa mère qui tenait fermement ses testicules. Son sexe se mit à durcir sous l'emprise maternelle. A cette vision, jenny rigola. -Jenny, ma chérie, voilà les couilles de George, et ceci est son pénis. Tu voix, il durcit car George aime la manière dont je lui tiens son sexe. Il se sent bien. Tu veux aussi essayer, et le faire bander ? -Oui, maman. Et après, je lui ferais redevenir tout mou, comme avant. Elle rigolait, oubliant ses propres tracas. George lui avait des larmes qui coulaient sur ses joues à cause de l'humiliation et de la peur de ce qui allait se passer. Jenny pris les testicules à la place de sa mère. Jenny se moquait de lui : -Tu aimes quand ta sœur te tient par les couilles, Georgie ? Tu ne va plus aimer longtemps, tu sais. -Jenny, fais rouler ses prunes entre tes doigts, et choisis celle que tu vas écraser. Jenny s'amusa un moment avec les bourses offertes de son frère. Sa main agrippa le testicule gauche, fermement. -Celui-ci, maman -D'accord. Je vais tenir les mains de George dans son dos et toi tu pourras commencer à serrer sa prune. George commençait à protester avec véhémence. Sa mère saisit son autre testicule, brutalement. -George, tais-toi ! Sinon je te coupe les couilles comme au chien. Immédiatement, George s'arrêta de crier. La mère lâcha sa prise et lui saisit ses mains pour le maintenir. Jenny commença à presser le testicule. D'abord doucement, observant les réactions de George, puis elle serra plus fortement. Elle rigolait de voir le pénis redevenir flasque, tandis qu'il rugissait, à présent, de douleur. -Cela fait mal mon petit George ? Dois-je appuyer plus fortement ? Puis-je t'exploser ta prune ? Allez, George laisse moi exploser ta prune. Il t'en restera encore une. Cela va faire un bruit merveilleux. N'est-ce pas, maman ? La mère admirait la volonté de sa fille et s'amusait de la détresse de son fils. -Rigole, chérie, mais ne va pas plus loin pour l'instant, il s'évanouirait et nous ne pourrions plus nous amuser. La seule chose qui empêchait George de tomber était la forte poigne de sa mère, et il n'était pas en mesure de s'opposer à sa sœur qui lui dévastait son bas-ventre. Le rire des deux femmes raisonnait dans sa tête. -Je voudrais essayer autre chose, maman. Est-ce que je peux lui donner un coup de pieds dans ses couilles, comme dans les films ? -Cela serait amusant, Jenny. Je vais d'abord le faire bander, comme cela sa queue ne te gênera pas quand tu le frapperas. Elle s'empara du pénis de son fils et le caressa, puis elle accentua son massage. George eut un début d'érection. Il était pourtant encore rempli de douleur. Sa mère, pourtant, n'eut aucune difficulté à obtenir une belle érection. Elle le forçat alors à se mettre à genoux, lui faisant écarter au maximum, pour offrir à Jenny une cible parfaite. Ses couilles pendaient librement sous lui, vulnérables. Jenny effleura de son pied nu les testicules de son frère et lui sourit : -On commence, Georgie ! ! ! -Un bon coup, Jenny ! -Ne t'inquiètes pas, maman. Jenny recula, prenant son élan. -Supplies moi, Georgie, de ne pas frapper. Demandes moi, gentiment de ne pas te faire mal. George ne pouvait que pleurer, et sa mère appréciait le rôle dominant que Jenny avait naturellement pris sur son frère. -Peux-tu imaginer combien tu vas souffrir, Georgie, quand mon joli petit pied va écraser tes petites couilles ? Dans les films, les hommes parlent, après, comme des filles. Et toi tu veux parler comme une fille ? Disant cela elle avait armé son pied, et de toutes ses forces, elle avait frappé violemment les couilles de son frère. George tomba par terre. Il se trouva en position fœtale, ses mains sur ses bourses meurtries. Jenny et sa mère rigolaient. -C'était super, maman. On le refera le mois prochain ? -Bien sur, amour. Mais nos règles ne sont pas en même temps et je crois que George souffrira deux fois par mois ! Mais pour le moment, je veux aussi essayer. Laisses-moi mettre mes talons aiguilles. Attends de voir la tête de ton frère lorsque je lui donnerai un bon coup de chaussures dans ses couilles. Jenny et sa mère sortirent de la chambre, pour aller à l'armoire à chaussures, laissant gémir et pleurer tout seul George... pas pour longtemps. Traduction elricnec@aol.com