Ball-busting : La Mère Par kacz@ix.netcom.com (Caligula) George mène une vie particulière, il a seize ans et sa mère (qui le force à l'appeler Mam) est la source même de cette vie étrange. Elle est inflexible et despotique, une fémi-nazi, prônant l'asservissement de la population mâle. Elle considère que cela commence par l'éducation domestique des jeunes garçons. Elle n'a jamais été mariée, et à juste utilisé le père de George pour être enceinte. Elle ne l'a jamais revu ensuite. Elle a 41 ans et fait parti de ce qu'elle appelle une association féministe. George sait, au contact des amies de sa mère, qu'elles sont très cruelles, et qu'elles prennent plaisir à infliger souffrances et douleurs aux hommes. Sa mère est la plus cruelle de toutes. Elle s'est auto- proclamée la reine des broyeuses de couilles. Elle le prouve sans arrêt sur son humble fils. Son éducation a commencé dès son plus jeune age, et n'a jamais cessé depuis. Il ne se déplace à la maison que vêtu d'un slip, pour que son sexe et ses couilles soient disponible en cas de punition. La mère de George qu'il n'y a rien de meilleur pour punir un homme que d'écraser ses couilles. George attend le retour de sa mère dans la position habituelle. Il est à genoux sur le sol, ses jambes écartées au maximum, ainsi ses couilles son totalement accessibles pour sa mère. C'est un rituel qu'elle a instauré, il y a déjà bien longtemps, pour éduquer le jeune mâle dans la crainte du retour de la femme. Les talons aiguilles des chaussures de sa mère raisonnent sur le gravier, elle approche et George commence à transpirer de peur et ses lèvres tremblent également. Il entend à présent les talons près de lui. Elle arrive visiblement renfrognée, quelque chose a du se passer au travail. Elle se tient devant les jambes écartées de son fils. -Je ne peux pas croire que c'est cet enculé qui a eu la promotion, sous mon nez ! George ravale sa salive, se penche en avant et embrasse les doigts de pied de sa mère, posés dans leurs écrins, de jolies sandales. -Bienvenue à la maison, Mam. Elle entend la voix tremblante et sourit. Elle entend avec plaisir les mots qu'elle lui a appris, et qu'il répète chaque jour à son arrivée. -Merci Georgie, Ceci c'est pour toi et pour tous les enculés d'hommes. Elle se place dans l'axe des jambes de son fils et lui donne un coup violent dans les couilles. Il s'écroule sur le coté et murmure -Merci, Mam. Puis elle place ses pieds de chaque cotés du visage de son fils, elle enlève l'une de ses chaussures. Elle place son pied nu, sale et puant sur la bouche de George et lui ordonne de le respirer lentement. Elle place son pied et l'introduit aussi profondément que possible dans la bouche ouverte. George s'efforce de lécher le pied du mieux possible, oubliant sa douleur. -Est-ce que le pied de maman a bon goût, Georgie ? Et tes petites couilles ont-elles mal du coup de pied, que je t'ai donné ? Je veux couper les couilles d'un homme, aujourd'hui, car un enculé a eu une promotion à ma place ! Je veux écraser les balloches d'un bâtard avec ma main. Elle retire ses doigts de pieds de la bouche de son fils, replaçant son pied dans sa chaussure, et va s'asseoir sur le canapé. -Georgie ! Arrêtes de pleurnicher comme un bébé ! Je t'ai juste donné un coup de pied dans les testicules ! Maintenant va me chercher mes casse-noisettes. OH NON ! ! ! Pas ses casse-noisettes, pense George ! Elle n'a pas utilisé ses casse-noisettes depuis si longtemps. C'est sa paire de chaussures favorites. Elles sont rouges, ouvertes à l'arrière. Elle les adore car elle peut placer, et écraser, les testicules de son fils entre son pied et l'intérieur de la chaussure. Il rampe jusqu'à l'armoire ou elle range les casse-noisettes. Lorsqu'il revient avec les chaussures, elle est là, impatiente, faisant balancer un escarpin au bout de son joli pied. -Enlèves mes chaussures ! Et nettoies mes pieds avec ta langue avant de me mettre mes casse-noisettes ! Et dépêches toi ! George à quatre pattes devant elle enlève avec précaution les escarpins. L'odeur des pieds est terrible. Il pose les escarpins de coté, et lèche avec dévotion, les pieds maternels. Ils ont un goût salé, que George aime. Il lèche chacun des orteils de sa mère avec plaisir, glissant sa langue entre chacun d'eux. Lorsqu'il a fini son travail, il place nerveusement les casse-noisettes aux pieds de sa mère. Elle se penche en arrière, écarte ses jambes et retire ses sous-vêtements. Elle écrase les jambes de son fils qui cri. -C'est bon pour toi, Georgie. Un jour, tu me remercieras de t'avoir écrasé tes couilles avec mes casse-noisettes. Peut-être devrais-tu m'appeler à partir de maintenant «Mam la briseuse de couilles ». Elle place sa chaussure de manière à toucher les testicules de son fils. Il tressaille. Elle sourit. -Relax Georgie, Mam n'a jamais éclater de testicules...jusqu'à présent. Elle se penche et place le sac à noisettes entre son pied et le cuir intérieur de sa chaussure. -Tu sais, Georgie, c'est comme si je faisais un sandwich. Mon pied et ma chaussure sont les tranches de pain, et tes testicules sont le beurre de cacahuètes. Tu sais que j'adore le beurre de cacahuètes. Sais-tu comment on fait le beurre de cacahuètes, Georgie ? George pleurniche. -Ils écrasent des cacahuètes, Georgie. Tu veux que ta maman ait son beurre de cacahuètes, n'est-ce pas ? Elle se redresse, soudainement, sans pitié, et écrase les testicules de son fils. -Je vais me faire un bon beurre de cacahuètes avec tes noisettes, Georgie. George hurle en vain, la douleur est horrible, incapable de sortir ses testicules de leur prison formée par le pied et la chaussure de sa mère. Jamais sa mère n'a ainsi écrasé son sexe, entre deux cris, il pense qu'elle veut réellement l'émasculer. -Tu sais Georgie, je vais te laisser une chance de sauver tes testicules. Une chance sur deux, pile ou face. Si tu donnes la bonne réponse, je laisse tranquille tes petites noisettes, mais si tu te trompes j'aurais mon beurre de cacahuètes ! Elle sort une pièce de sa poche, et la jète en l'air. La pièce retombe derrière George. -Maintenant, Georgie, voyons si tu devines bien. CHOISIS ! George envahi par la douleur, a du mal à parler, il murmure : -Face. -Face, es-tu sur, Georgie ? Elle appuie un peu plus son pied pour ponctuer sa question. Il hurle comme un goret, il ne sait plus quoi faire. Mam n'est-elle pas en train de lui laisser une chance de sauver ses noisettes ? -NON... Pile ! Sa mère baisse la tête, regarde la pièce et sourit... Tss, tss, tss, Georgie, tu n'aurais pas du changer ton choix, c'est face. Cela veux dire que je vais avoir mon beurre de cacahuètes. George est pris de tremblement, il hurle de terreur. -Mais maman n'est pas si cruelle, Georgie. Je vais te laisser intact un testicule, pour pouvoir continuer à t'éduquer et avoir un moyen de te punir. Dis-moi, Georgie, quel testicule veux-tu que j'écrase, la droite ou la gauche ? Elle décolle légèrement son pied des noisettes prisonnières. George ne répond pas, il supplie sa mère d'épargner ses testicules. -S'il vous plait, Mam... -Georgie répond, ou je t'écrase les deux ! George se rengorge et répond. -La droite, Mam. Ecrasez la droite. -Supplie-moi, Georgie, supplie-moi de réduire en purée ta noisette ! ! -S'il vous plait, Man, s'il vous plait écrasez-moi ma petite noisette avec votre joli pied. Eclatez mon testicule avec votre casse-noisettes, s'il vous plait, Mam. -Bien, puisque tu insiste si gentiment, Georgie... Adroitement, elle repousse le testicule gauche. Elle pose alors son pied sur le testicule droit. De toutes ses forces, elle broie, sans aucune pitié, le testicule que lui a offert son fils. George hurle comme un animal sauvage. Finalement, elle sent sous son pied le testicule qui cède et éclate, elle est saisit d'un violent orgasme tandis que George s'évanouit de douleur. A présent, elle doit appeler une amie docteur, comme elle fémi-nazi, pour arranger les dégâts qu'elle a engendrés. Elle est étonnée d'avoir connu un orgasme aussi intense juste à broyer le testicule de son fils. Avec le talon de sa chaussure, elle tâte les couilles pour constater l'éclatement du testicule droit, puis elle appuie légèrement sur le testicule intact. Comme elle voudrait connaître à nouveau un tel orgasme. Elle se penche vers son fils, et saisit le testicule entre ses doigts. Elle l'écrase entre son pouce et l'index. George a un spasme, il est toujours inconscient. Elle appuie de plus en plus fortement, et elle sent à nouveau monter en elle des vagues de plaisir. Au dernier moment, elle relâche la noisette, préférant garder son orgasme pour un autre jour. Traduction : elricnec@aol.com