Report card ball bashing by Kandor Traduit librement par elricnec@aol.com Tom serrait son bulletin sur le chemin du retour de l'école. Il sentait ses couilles qui lui faisaient déjà mal. Deux C, un B, trois A ne suffirait pas à satisfaire sa mère, elle ne l'était jamais. A chaque fois elle le voulait meilleur, et le punissait s'il ne l'était pas. Le lycéen gravit les escaliers de sa maison, et alla à la cuisine, ou sa mère se tenait. Sa mère avait ses cheveux blonds étaient tenu en arrière en queue de cheval, c'était une belle femme de 44ans, grande, fine, athlétique, rude et très très forte. Tom avait une s?ur plus jeune Jennifer et Mary une autre s?ur, son père avait quitté la maison, effrayé de la vie avec sa femme dominatrice. Tom regarda sa mère et se rengorgea. Il était clair qu'elle attendait le bulletin de son fils. Elle portait un short minuscule, une blouse courte, elle avait chaussé des sandales blanches et ses ongles de doigts de pied étaient peint de rouge. Tom en avait de l'émoi. As-tu tes notes, Thomas ? Dit sa mère sans le regarder, mais préparant sa main pour saisir le bulletin. Tom posa le bulletin dans la main maternel, et se recula. Dehors il entendait ses copains l'inviter à venir jouer avec eux. Sa mère regarda le bulletin, et passa sa langue sur ses lèvres. Elle se pencha vers la fenêtre. Thomas ne viens pas dehors aujourd'hui. Dit-elle calmement. C'est le jour du bulletin. Thomas va en baver, partons avant qu'elle ne s'en prenne à nous, dirent-ils La mère de Tom se tourna vers son fils, sévère. Elle glissa dans l'angle de l'évier. Tom avait le regard fixait sur sa mère, observa ses muscles saillants. Elle balançât son pied d'avant en arrière, Tom, involontairement plaçât ses mains devant son bas-ventre. Thomas seuls compte les A, et servent à avoir un bon boulot, meilleur que celui de ton incapable de père. Deux B et un C sont inacceptables. Tom acquiesçat, sa mère vint devant lui. Il pleurnichait tandis que sa mère déboutonnait son pantalon et le laissait glisser le long de ses jambes. Sa verge et ses testicules se trouvèrent libres. Sa mère sourit. Tu dois comprendre que je ne tolère que des A, dit-elle vigoureusement, soulevant sans vergogne l'appareil génital flasque de son fils. Tom gémit de plaisir, renversant sa tête en arrière profitant de la masturbation que lui infligeait sa mère. Elle s'était penchée s'emparant du membre avec sa bouche qui avait instantanément durci. Elle accentua son va et vient, plus durement. Dommage que ta queue soit si petite, je pourrai en faire autre chose ! Dit- elle en cessant de le sucer. Il la regarda. Honnêtement Thomas, tu devrais avoir à ton age un sexe plus grand ! Maman . je . vais . jouir, dit-il enfermant les yeux. Rapidement elle glissa en arrière et tendit son pied vers le petit sexe humide, enlevant sa chaussure. Sa jambe musclée jouait alors sadiquement avec la verge, pistonnant le membre offert. Tom regardait amoureusement sa mère. Les hanches de Tom bougeaient de façon incontrôlable. La femme sourit diaboliquement, et plia son pied, utilisant le dessous de son pied pour l'exciter davantage. Tom avait du mal à résister à la caresse terrible de sa mère. Il éjacula. Sa mère sourit, Tom s'affaissa sur une chaise voisine. Elle commanda Nettoie-moi, Thomas, tendant son pied vers la bouche de Tom. Nettoie-moi maintenant, fais le bien, et ta punition pourra commencer ! Tom sortit sa langue, qu'il tendit vers le sperme recouvrant le pied de sa mère, doucement mais avec obéissance, il nettoya les souillures qui recouvraient le pied maternel. Son pied propre, se tenant à l'évier, elle profita pour encercler son fils avec sa jambe et présenta son autre pied. Tom le déchaussa et nettoya la poussière qui le recouvrait. Son travail achevé, elle serra le cou de son fils, lui faisant, sans peine tourner sa tête pour qu'il nettoie les puissantes cuisses musclées. Au fur et à mesure qu'il léchait, elle serrait plus fort ses cuisses. Quand le travail fut achevé, elle sourit en regardant son fils qui avait la tête toute rouge entre ses cuisses. Maintenant la punition ! Mais maman, . S'il te plait . dit-il en posant ses mains pour écarter les puissantes jambes de sa mère. Elle sourit et referma ses chevilles autour de son cou, ce qui lui provoqua une vive douleur, il s'évanouit. Pendant qu'il était évanoui, elle le dénuda totalement, puis l'attacha en position assise sur la chaise en bois de la cuisine, utilisant des bandes de scotch pour dégager sa verge, et la scotcher à son ventre, laissant pendre les couilles bandées sur la chaise. Elle sourit et les griffa de ses ongles, la douleur le ramenant à son calvaire. Il se réveilla avec un début d'érection et hurla de douleur. S'il te plait, maman, arrêtes ! Je ne peux en supporter plus, s'il te plait, s'il te plait. Il l'implorait, des larmes roulaient sur son visage. - Maintenant, maintenant Thomas, tu as de jolies et grosses boules. Sa mère siffla s'agenouillant devant lui, saisissant la chair tendre des bourses dans sa main droite. Que vais faire avec toi ? Sa mère se releva, et posa un de ses pieds nu sur ses couilles, les doigts de pieds recouvraient toute la chair des bourses, qui les écrasèrent doucement. Tom cria et se débattit dans ses liens, mais il ne put bouger ses mains ainsi que ses jambes pour empêcher sa mère de brutaliser ses bijoux de famille. Elle lui sourit, mains sur les hanches, un pied au sol, le second tordant la chair des couilles écrasées, comme s'il écrasait une cigarette. OK Thomas, tu as trois mauvaises notes, donc l'équation est la suivante, trois heures de torture de tes couilles ! Dit-elle calmement, faisant saillir les muscles de ses mollets qui allaient broyer les testicules offerts. La punition commence maintenant. Elle laissa tomber brutalement son genou sur le sexe masculin, pulvérisant les couilles offertes lors de l'impact. Son autre jambe participa à l'action, elle se tenait fermement à l'evier. La douleur fut si grande que Tom s'évanouit. Sa mère se redressa, se frottant les mains de satisfaction. Je lui donne quelques minutes, pensa-t-elle. Il y a encore du ménage à faire. Elle commença à se masturber, pendant les minutes ou il fut évanoui. Tom revint à lui, pleurant, de grosses larmes coulaient sur ses joues, il vit sa mère s'approcher de lui, souriante, tenant des ustensiles de cuisine à la main. Regarde ce que l'on peut cuisiner avec ceci, jeune homme ! Dit-elle avec un sourire cruel. Elle prit une large spatule en métal, et leva l'arme. Tom ferma les yeux, se préparant au coup. Mais ce fut pire que ce qu'il attendait. La surface froide du métal, se fracassa dans les bourses déjà broyées. Elle frappait avec une vigueur extrême les couilles de son fils. La tête de Tom roulait de droite à gauche de douleur. Elle rigolait, impitoyable. Bien maintenant que j'ai cassé les ?ufs, il faut les brouiller, souffla-t- elle. Elle s'empara d'un fouet de cuisine et son bras ondula, remuant la chair meurtrie, les ramenant à la vie, cruelle manipulatrice. Se moquant de la douleur de son fils un batteur à ?ufs, posant le métal froid sur les ?ufs de Tom. La chair des bourses se prit entre les tiges de métal, mais elle tournait de plus en plus fort son ustensile, jouissant de la douleur qui s'accentuait dans les parties génitales de son fils. Que penses-tu de cette méthode ancestrale ? Ton père haïssait cela, mais lui était une vraie femmelette ! Elle s'empara d'une cuillère en bois. Allongeant une main sous ses couilles, elle les fit rouler entre ses doigts. De son autre main elle abattit la cuillère en bois sur les ?ufs présentés sans défenses. Tom hurla, tant la douleur était grande. Tout son corps s'était tendu sous l'impact des abominables coups que lui infligeait sans aucune pitié sa mère. Le supplice dura cinq minutes. Il est temps de mélanger la salade, mon fils ! Elle s'empara d'une pince à salade. Tom devint bleu puis blanc de peur, tandis que sa mère pinçait la viande de ses bourses avec brutalité. La main de sa mère qui maintenait les testicules les fit pivoter de 360 degrés. Son bras massacrait la virilité de Tom, et elle souriait de plaisir sentant le plaisir envahir son ventre. A nouveau, il s'évanouit. Mauvais garçon, persiffla-t-elle, je voulais encore rechauffer tes couilles avec le gaufrier. Lorsque qu'il se réveilla, Tom était attaché sur son lit sur le ventre, bras et jambes immobilisés aux pieds du lit. La première heure s'achevée. Son sexe était libre, mais tiré en arrière entre ses jambes par une fine lanière attachée au milieu du montant de son lit. Il savait son sexe totalement offert à la cruauté de sa mère. Il gémit dans son oreiller, sentant sa mère s'agenouiller entre ses jambes et commencer à masser ses couilles douloureuses. La deuxième heure vient de commencer, Tom, dit-elle. Je te le promets, plus d'ustensile de cuisine à présent, uniquement un contact physique ! Elle se redressa, puis se laissa tomber, genoux en avant sur les couilles sans défenses. La douleur fut moins grande, atténue par la mollesse du matelas. Cependant la douleur était intense car elle appuyait de tout son poids sur la chair, faisant tourner son genou. Elle faisait cela dans l'intention de lui produire une douleur maximum. Honnêtement, Tom, je pense que tu ne mérites rien d'autre que d'être torturé ainsi. Tu bandes fort, tu me promets du plaisir et soudain plus rien qu'un sexe flasque, si facile à torturer. Tu me dégoûtes, tu es un minable, et j'ai encore plus envie de te faire mal. A présent, sa mère se tenait durement sur son sexe avec l'un de ses pieds, ses testicules écrasés dans leur sac. Les doigts de pieds arrivaient jusqu'à son anus. Elle souriait toujours aussi cruellement. Elle avançât un doigt de pied puis plusieurs qui s'enfoncèrent entre ses cuisses, son talon prenant appui sur les couilles. Tom hurla encore et tenta de se débattre sans réussite n'empêchant pas sa mère d'écraser ses couilles ni de prendre d'assaut son anus avec ses si jolis doigts de pieds peints. Ne t'avises pas de t'évanouir, enculé, ou je te ferais si mal . Il ne put résister et s'évanouit. En colère, sa mère descendit du lit et s'empara d'une large livre pour le glisser sous les couilles aplaties, faisant ainsi une base pour mieux détruire le sexe de son fils. Elle attendit qu'il revienne à lui, plaçant une chaise à coté du lit. Elle sourit lorsqu'il la regarda, bien attaché dans ses liens. Je t'avais prévenu, petite bite, ne t'évanouit plus ! Dit-elle en le regardant, je t'avais prévenu. Tom cria d'une voix suraiguë, tandis que sa mère commençait à marteler de son poids ses petites couilles, les écrasant contre le livre, ses chairs meurtries frémissaient à chaque coup, faisant remonter des vagues de douleur dans son corps. A chaque coup elle grognait de plaisir, continuant à le regarder, pulvérisant sa virilité sans pitié pendant cinq longues minutes. Tom ne pouvait plus crier et s'évanouit encore. Elle sourit et examina de ses doigts vigoureux les testicules de son fils. Elle le délia puis le traîna dans le salon, ou Jennifer venait juste de rentrer de l'école. Jennifer était une jolie brunette, d'un an plus jeune que Tom, grande, elle marchait sur les traces de sa mère. Elle gloussa de plaisir en voyant sa mère son frère nu dans le salon et le jeter sans ménagement sur le sol. Combien de temps cette fois, maman ? Demanda-t-elle excitée, enlevant ses habits pour se retrouver en soutien-gorge blanc et en slip, pieds nus. Trois heures, chérie, répondit-elle couchant Tom sur le canapé, jambes écartées. Encore une heure seulement, je serais contente que tu m'aides. Elles attendirent le réveil de Tom qui en voyant sa s?ur se remit à crier. Pas elle, pitié, pas elle. Elles éclatèrent de rire. Tu es si pathétique, avec tes couilles broyées, dit-elle dérisoirement. Tu as peur de ta propre mère et de ta petite s?ur ! Utilises son visage pour ton plaisir, Jennifer, je garde ses bijoux de notre famille pour moi ! Jennifer sourit amusée et ôta son slip. Elle se dirigea vers Tom et lui asséna un coup de genou violent dans le visage. Elle enfourcha son visage, ses longues et robustes jambes l'entourant. Tom tremblait de voir les jambes et les fesses blanches de Jennifer qu'elle massait avec ses mains. Sa mère s'agenouilla entre les jambes de Tom et recommençât à travailler ses couilles, massant les bourses douloureuses, les broyant entre ses doigts. -Mmmm, Tom, je suis mure à présent, et j'ai hâte d'aider maman, dit-elle en regardant le bas-ventre de son frère. Attention je vais te faire sentir mon cul ! Jennifer s'affaissa sur lui tout en lâchant un pet directement sur le nez de Tom. Il hurla sous le double assaut, l'odeur de sa s?ur et ses couilles écartelées par les mains maternelles. Chacun de ses testicules fermement tenus par une main de sa mère, qui s'amusait à les tirer en directions opposées, brutalement. Respire mon trou du cul ! Jennifer criait en écartant ses fesses pour mieux entourer le nez de son frère. Respire à pleins poumons ou je chie dans ta gueule ! Tom la savait capable de cela et il inspira fortement. Jennifer gémit de plaisir et posa son sexe sur la bouche de son frère. Lèches-moi ! Grogna-t-elle en posant délicatement les lèvres de son sexe sur la bouche humide. Suces-moi, lèches-moi . C'est si bon, même fait par un chien comme toi ! Tom obéit, pleurnichant, enfonçant sa langue dans le sexe moite de sa s?ur, le nez toujours bloqué par le cul de Jennifer. Elle chevauchait son visage avec frénésie. Leur mère écrasait toujours les couilles de Tom dans ses mains et regardait sa fille avec approbation. Très joli, Jennifer, très, très joli, gémit-elle. Tu es une très belle fille, sexy, tu sais ? Je sais, maman, je sais . Jennifer avait fermé ses yeux, et elle utilisait le visage de son frère pour son unique plaisir. C'est ce que m'ont dit les garçons de l'équipe de sport cette après-midi lorsque j'en ai prit cinq d'entre eux. Tom fut terrorisé en comprenant que l'humidité qui emplissait le sexe de Jennifer était le sperme de ses cinq amants. Ils avaient déposé chacun leur semence en hommage à la beauté de Jennifer. Vas-y ma fille, fais lui lécher cette souillure, dit-elle tout en continuant à martyriser les couilles de Tom. J'adorais faire de même avec ton benêt de père. Le cul de Jennifer serrait encore plus fortement le nez de Tom, à le casser. Son sexe se contractât violemment, dans un orgasme gigantesque. Lorsqu'elle eut récupéré, elle descendit de son cheval improvisé, pleurant et au visage marqué par la douleur. Les deux femmes s'embrassèrent follement. Quelle longue langue, ma chérie, plus longue que la sienne. La mère de Jennifer se délectait de la langue de sa fille. Utilises la sur moi, pendant que je broie la minuscule queue de ton frère. Pourquoi ne veux-tu pas que j'appelle mes copains dehors, ils ont de grosses queues ? Jennifer grognait en triturant les énormes seins de sa mère. Peut-être, un autre jour, mais avant nous devons finir la punition de Tom, dit-elle assise entre les jambes de Tom. Elle saisit le membre mou de son fils et le tira vers sa bouche. Nettoies tes pieds sur son visage, je vais le faire bander pendant ce temps. Jennifer rigola et s'assit sur le canapé près de la tête de Tom, enroulant ses doigts de pied dans la bouche de son frère. Tom gémit sous l'effet de la douleur et de la puanteur du pied de sa s?ur. J'avais mes pieds toute la journée dans mes baskets, à l'école et en sport. Elle rigolait, tournant son pied dans la bouche servile. Passes ta langue entre mes doigts de pied et manges-les, mon frère esclave. La langue s'enroula autour des doigts de pied, trouvant de petites souillures qu'il s'empressât d'avaler. Jennifer avait placé ses doigts dans son sexe et caressait en même temps son clitoris. Il s'exécuta sur un pied puis sur l'autre. Pendant ce temps sa mère s'activait sur sa verge, suçant impatiemment le membre dans sa bouche, le rendant plus dur. Elle lui rendit ses 11cm, dur et fier, puis le sortit de sa bouche, le caressant d'une main tandis que l'autre claquait les couilles pendantes. Dommage que ta queue soit si ridicule, si minuscule, grogna-t-elle. Pas comme tes copains Timmy ou Peter, ces garçons sont montés comme des chevaux. Jennifer râlât. J'adore quand tu les baises les uns après les autres, les épuisants tous à tour de rôle. Jennifer gémissait, se masturbant plus rapidement. Je sais, rigola sa mère Elle glissa pour s'empaler sur le petit sexe raide de Tom. Mais pour l'instant c'est son tour, toi Jennifer viens t'occuper de ses couilles pendant que j'essaye d'avoir du plaisir sur ce que Tom appelle une queue. Jennifer obéit à contre c?ur, s'asseyant derrière sa mère, ramenant ses pieds entre les jambes de Tom, écrasant les bourses tyrannisées. Tom ressentait une vive douleur dans ses couilles, provoquée par Jennifer, mais aussi du plaisir donné par sa mère. Tu as de belles fesses, tu sais, maman ? Jennifer admirait les fesses se contracter sur le sexe de son frère. Si tu me prêtes ton gode-ceinture, je me ferai un plaisir de te le faire reluire, dit-elle avec gourmandise. Merci, chérie, je vais jouir, chérie, après tu pourras lui éclater ses couilles ! Une minute plus tard, elle eut un orgasme terrible, les muscles de son vagin serrant fortement le membre de Tom. Jennifer enfonçât, alors, fortement ses pieds dans la chair de son frère, les lui faisant rentrer dans son corps. Il hurla. Sa mère éclata de rire et se dégagea. Vas-y, pas de pitié, il est temps de lui faire bouffer son sexe, dit sévère la mère qui s'assis au-dessus de la tête de Tom. Elle posa ses jambes sur les épaules de Tom et lui saisit les mains, les levants de part et d'autre d'elle. Ses pieds se posèrent de chaque coté de la gorge de Tom, comme dans un étau. Jennifer forçait sur les testicules de son frère. Non, maman, non, Jennifer, s'il vous plait . ne faites pas . s'il vous plait ! ! Il implorait ses bourreaux qui rigolaient, tandis que Jennifer avait enfoncé les testicules dans le corps de Tom, elle enfonçât trois doigts dans l'anus de son frère, après les avoir humidifiés dans sa bouche. Tom criait de voir son sexe maltraité, bougeant au gré de l'humeur de Jennifer. Vas-y, Jennifer, fais ce que je t'ai montré ! Trouve sa prostate et fais-le éjaculer. Jennifer enfonçât un peu plus sa main dans l'anus de Tom et appuya à l'endroit magique. Avec une main entourant la hampe de Tom, elle le forçait à jouir. Son jet orienté par Jennifer s'écrasât directement sur son visage. Jets après jet, Jennifer pistonnait la queue de Tom, jusqu'à épuisement. Elle ressortit sa main du cul de Tom, et sa mère desserra l'étau de ses pieds. Elles se levèrent joyeuse, tandis que Tom hurlait, le visage recouvert de son sperme. Elles se tenaient devant le garçon battu. Peut-être que maintenant, tu travailleras mieux Tom. J'espère que non, maman, sinon de quoi allons-nous le punir ? On trouvera bien quelque chose pour lui broyer ses couilles, fais-moi confiance !