La Saga de AXILINE 13ème Episode Récit de fiction pour adultes avertis d’après Violente A peine Devil Ketty et Ernst sont-ils sortis, suivis et serrés de près par la splendide amazone noire, que déjà dans les gradins en divers endroits des divergences naissent entre des spectateurs. C’est ainsi que du côté gauche face à la cage et au troisième rang il y a une altercation qui semble impliquer plusieurs personnes. Il y a entre autre deux femmes qui sont debout et qui, par devant un couple assis, semblent vouloir en venir aux mains pour faire valoir leurs arguments et remplacer leurs insultes. Soudainement la jeune femme assise entre elles se lève et les sépare en leur demandant de la suivre. Elle entraîne à sa suite les deux rivales qui entraînent à leur suite les voisins qui suivaient avec intérêt leur opposition. La jeune femme qui conduit le cortège est une splendide brune habillée d’un genre de body en simili cuir noir, coupé très haut au-dessus des hanches et dont le devant ouvert est retenu par un laçage élastique blanc. Deux étroites bretelles du même métal que le maillot partent du haut des aréoles pour faire le tour de son cou. Elle avance perchée sur deux chaussures en lacets de cuir blanc dont les très haut talons la font dandiner du popotin qu’elle a somptueux d’ailleurs!!! Les deux adversaires qui la suivent se sont empoignées d’une main par les cheveux comme si elles voulaient empêcher l’autre de s’éclipser. La plus âgée peut avoir entre 40 et 45 ans, alors que la plus jeune ne doit pas avoir atteint la quarantaine. Elles doivent avoir toutes les deux une chevelure brune que la teinture de l’ainée fait paraître un peu plus claire. Celle de la jeune étant plus longue et moins frisée que celle de sa rivale. La jeune est vêtue d’une courte robe dont les boutons sont ouverts sur la partie supérieure et laisse entrevoir une poitrine qui n’est pas confinée dans un soutien-gorge. L’ainée porte une ample jupe courte et un sweet-shirt sans manches qui moule sa poitrine qui s'agites souplement à chacun de ses pas. La petite procession se dirige vers la porte par où sont sortis les combattants. Mais au lieu de prendre à gauche vers les vestiaires elle s’engage vers le grand hall d’accueil. Axine a déjà gagné l'alcôve dans lequel elle va attendre son entrée dans la cage pour affronter son élève et amie la belle Mary, la reine du tennis. Elle est nue sous le peignoir de soie blanche, elle n’a pas encore enfilé les gants "cobra" et au pied elle a de simples babouches également blanches. Elle s’est remémoré les moments enivrants sexuellement qu’elle a passé dans les bras de Aarb. Ils ont vécu presque trente heures de rapports sexuels intenses sans discontinuer. Les quelques trop rares fois qu’ils se retrouvent ainsi sont toujours aussi passionnées. Qu’importe la demi-jambe en moins de son amant!!! Elle ne vit pas l’amour avec une jambe mais avec un vrai mâle à l’imagination sans cesse renouvelée et pour elle c’est comme une jeunesse retrouvée quasi éternelle. Au milieu de ses pensées elle a vu le mouvement des deux femmes agressives et leur départ vers le grand couloir. Instinctivement elle sait que c’est là qu’elles vont aller se battre. Sa curiosité est la plus forte, elle sort de sa petite pièce et descend les marches qui tout à l’heure l’amèneront vers la cage. Elle se mêle aux spectateurs qui ne lui prêtent aucune attention et ainsi, incognito elle va observer la lutte qu’elle devine méchante. Après avoir fait quelques pas dans ce large dégagement la jeune meneuse s’arrête et demande aux deux antagonistes de régler leur problème en s’affrontant à cet emplacement là. Dans cet espace d’un peu plus de 2m de largeur les deux femmes se déshabillent aussitôt, pendant que leurs voisins s’agglutinent en formant une sorte de barrage humain qui leur accorde quelques mètres en longueur pour s'attaquer. La peau de la jeune est d’un blanc mat alors que celle de l’autre est plus colorée. Leurs seins sont rigoureusement de la même forme et du même volume, une petite taille de bonnet C doit être suffisante et les pointes sont aussi écartées et pointues. Les mamelons de la jeune sont aussi plus pâles que les autres. La jeune est un peu plus petite et plus légère que l’ainée mais ce qu’elle manque en volume elle le gagne en qualité musculaire. Une fois nues elles ne perdent pas de temps et se lancent aussitôt l’une sur l’autre. Elles s’empoignent mutuellement par les cheveux et cherchent tout de suite à déstabiliser l’adversaire et à l’envoyer heurter l’un des murs du couloir. C’est l’ainée qui semble acquérir la première domination. Elle propulse la jeune contre une paroi en la faisant cogner une de ses hanches. Elle profite du choc pour lui expédier un coup de genou en pleine face. La jeune se met tout de suite à saigner, mais elle se recule sans avoir lâché les cheveux et lorsqu’elle est à bout de bras elle lance son corps horizontalement en l’air et dans sa chute à plat ventre sur le revêtement plastique du sol elle fait cogner violemment la face de son adversaire sur le sol. Elles se trouvent immédiatement toutes les deux avec le visage ensanglanté. La transpiration se manifeste aussi sur les deux corps. La jeune lâche la chevelure et se remet debout mais elle est retenue courbée par sa rivale qui, elle, a maintenue sa prise. Comme l’ainée plus lourdement se met à genoux pour se relever, la jeune lui lance un violent coup de pied dans le nez ce qui lui fait lâcher prise. Alors la jeune se lance à l’assaut! Elle se jette en avant vers la femme agenouillée et lui martèle à coups de genoux le visage et la poitrine. Elle écrase chaque sein contre les côtes de la cage thoracique. Avec une vitesse époustouflante elle agit comme si ses deux pieds peuvent être en action simultanément. C’est à croire qu’elle combat en état de lévitation!!! La femme aînée tente de se protéger avec ses bras. Elle grogne et gémit sous la ruée de coups. Elle finit par réussir à saisir une cheville de son ennemie et elle la fait tomber comme une masse dos au sol. La surface revêtue de plastique est très dure et le contact du dos et de la nuque assomme un peu la jeune combattante. L’aînée en profite pour se remettre debout. Elle essuie son visage et le devant de son corps à l’aide de ses avant-bras pour y réduire tout le sang qui la macule. Elle ne perd que quelques secondes avant de plonger à plat ventre sur son adversaire. Elle chevauche son ennemie en se plaçant sur son ventre. Elle lui empoigne les seins et se met à les broyer, les tordre et les étirer. Mais la jeune reprend conscience et porte ses mains en défense sur les poignets de sa rivale. En même temps elle agite son bassin et lance ses genoux dans le dos de l’ainée pour la déstabiliser. La plus âgée s’avance alors sur la poitrine de son adversaire et empoigne les cheveux pour lui frapper le derrière de la tête contre le sol. En même temps elle s’est soulevée dans son avancée. La jeune glisse un genou par dessous sa vulve et alors en soulevant son bassin elle pousse violemment sa rivale par dessus sa tête. L’étroitesse du champ de bataille fait que l’ainée ne vole pas bien loin car elle vient heurter brutalement le mur du corridor. C’est la plus âgée qui est sonnée maintenant! Mais elle reste à moitié assise sur la tête de son adversaire. La plus jeune ne se rend pas compte immédiatement que son ennemie est groggy, elle s’acharne à donner des coups de poings dans les côtés du ventre qui la couvre. Ne voyant pas de réaction, en se trémoussant elle se dégage. Une fois à genoux auprès de son adversaire immobile elle la retourne sur le dos et s’empare de ses jambes. Une fois debout elle cogne à coups du talon de son pied droit sur le ventre et sur les seins de l’ennemie qui sort de son inertie. La combattante au sol essaye de se protéger avec ses mains et ses bras et à se saisir du pied qui la martyrise. Mais la plus jeune lui travaille les chevilles qu’elle vrille pour la faire ouvrir encore plus le V de ses jambes. Et alors elle se met à marteler la vulve qui se trouve à sa portée. Sans répit elle frappe la femme dans sa plus fragile intimité. Elle la fait hurler de douleur. Les spectateurs les mieux placés peuvent voir les lèvres gonflées, ouvertes en offrande de leurs profondeurs. Qui rougissent et suintent une gluance qui peu à peu se mélange du sang qui suinte et descend dans la raie des fesses. La plus âgée meurtrie et blessée crie sa souffrance et son abandon. Les gens les plus proches des lutteuses interviennent et écartent la jeune de sa victime. Il n’y a pas d’applaudissements de la part de la douzaine de spectateurs, quelques félicitations aussi bien pour l’une que pour l’autre des adversaires. Elles sont toutes les deux dans un état qui n’est pas des plus reluisant, mais toujours est-il qu’il y a une gagnante et une vaincue et que le différent qui les opposait doit se trouver ainsi résolu. Mais y avait-il vraiment un motif suffisamment grave pour arriver à de telles brutalités ? Ce n’est pas certain! N’y avait-il pas comme seule raison que celle d’avoir le plaisir de se battre. Montrer sa force et voir jusqu’où on peut aller, tester sa puissance et sa résistance. Et surtout s’offrir nues, corps à corps, devant des gens attentifs et qui jouissent du spectacle. La jeune meneuse dans cette affaire guide quelques personnes pour accompagner les ex-ennemies vers les vestiaires et infirmerie. Le reste des voyeurs qui s’étaient agglutinés dans le couloir regagnent leurs places dans les gradins de l'amphithéâtre pour assister au combat suivant..... Et Axine regagne son local. Le combat dans le couloir n’a duré que 6 à 7 minutes. On apprendra par la suite que les deux adversaires sont deux Brésiliennes. Pendant ce temps le sol de l’octagone a été nettoyé et la très grande majorité de la foule des spectateurs ne s’est même pas rendu compte du déroulement d’un combat parallèle à l’extérieur de la salle. Le grand couloir, qui conduit aux locaux techniques et médicaux d’un côté et au grand hall d’accueil qui sert aussi de foyer, a dorénavant besoin d’un bon nettoyage pour effacer toutes les taches de sang qui maculent le sol à l’emplacement du combat ainsi que celles qui ont giclé sur les parois. Tout est prêt désormais pour accueillir les deux nouvelles combattantes. Et c’est à ce moment que la coach d’Anne Marie va entrer dans l’arène. C’est maintenant aussi que Josette et Anne Marie entrent à leur tour dans la grande salle en tant que spectatrices après avoir reçu les soins les plus urgents. Les éclairages se modifient au profit de la cage. Progressivement le silence s’établit dans la salle alors que le présentateur officiel y fait son entrée. "Le combat que nous allons avoir le plaisir de regarder maintenant va opposer deux championnes de ‘Body Building’. Elles vont s’affronter pour la première fois ce soir dans un combat au corps à corps pour déterminer celle qui a les muscles les plus puissants parce que les jurys des concours où elles se sont rencontrées ne sont jamais parvenus à les départager." Il attend un moment que les deux adversaires fassent leur entrée dans la cage pour continuer: "A ma gauche en peignoir rouge voici: âgée de 47 ans, mesurant 1.62m et pesant 69 kg la ravissante Sandy B....SANDY !!!" Il laisse passer l’avalanche d’applaudissements avant de poursuivre: "Et à ma droite en peignoir bleu voilà: âgée de 40ans, mesurant 1,55m et pesant 75 kg la puissante Colette G...COLETTE !!!" Les applaudissements qui l’accueillent sont aussi nourris que pour son adversaire juste avant. Les deux femmes se sont dévêtues à l’annonce de leur nom et le présentateur se dirige vers l’une puis l’autre pour prendre les peignoirs. Hors micro il prend le temps de dire quelques mots à chacune d’elles sans doute pour leur souhaiter bonne chance et un beau combat. Cela donne le temps d’examiner les deux antagonistes maintenant nues. Comme les autres combattantes avant elles, elles ne portent que les fameux gants rembourrés sur les articulations des phalanges et qui laissent les doigts libres. Ce sont vraiment deux fantastiques athlètes, des championnes de body, avec des musculatures puissantes. Pourtant elles ne sont pas dans les conditions de forme physique requise pour une compétition de body. Elles n’ont pas la sécheresse qui supprime toute graisse des chairs pour mettre en évidence la seule valeur musculaire. Mais elles sont aux conditions physiques maximales pour un combat au corps à corps où elles peuvent mesurer leur force et leur endurance musculaire. Colette plus petite et plus lourde que Sandy propose un volume musculaire d’autant plus important qu’il se répartit sur un corps plus petit. Cela la fait paraître beaucoup plus volumineuse. Elle offre aux regards un torse énorme, une ceinture étroite, des hanches et un fessier imposants et surtout des cuisses d’une masse musculaire incroyable!!! Sandy possède également des muscles puissants mais ils sont plus longs et plus "élégamment" dessinés. Ses muscles sont peut-être un peu plus secs. Leurs seins sont totalement naturels. Un peu petits, encore que plus volumineux que lors de leurs apparitions en compétitions. Ici ils ont retrouvé de la graisse naturelle et les glandes lactaires sont redevenues normales. Ils doivent aussi avoir retrouvé leur sensibilité d’origine. Le gonflement des aréoles et la raideur des mamelons en sont le moindre témoignage. Elles sont très différentes physiquement et pourtant elles sont très semblables dans leur force et leur plastique musculaire. Dire qui est la meilleure lutteuse et faire un pari sur l’issu du combat est une réelle gageure!!! Cette rencontre a été voulue par Colette mais aussi désirée par Sandy. Depuis de nombreuses années les deux femmes sont rivales dans les concours de body et aucune d’elles n’a pu obtenir un ascendant sur l’autre. Elles ont parcouru le monde pour participer à tous les concours. Elles ont fini par se rendre compte que chacune avait sa "clientèle". Dans chaque ville l’une ou l’autre avait toujours le même succès auprès des juges et du public. C’est Sandy qui avait les suffrages dans les villes les plus riches devant les publics les plus sélects et cela enrage Colette!!! Maintenant que Sandy a fait connaître sa décision d’abandonner ce genre de compétition au niveau professionnel pour ne plus faire que des exhibitions de démonstration en sélectionnant son public, Colette a exprimé sa jalousie ou son excès d’orgueil dans une provocation envers sa rivale de toujours dans un autre genre de compétition afin, pense-t-elle, de prendre une certaine sorte de revanche et atteindre la suprématie qu’elle croit avoir. Alors que l’officiel quitte la cage, les deux rivales de body se font face en s’observant attentivement, comme le font deux adversaires ou deux ennemies. Debout, nues, les corps entièrement dorés et luisants comme il se doit pour de telles sportives, les vulves gonflées et parfaitement épilées, les mamelons des seins en érection, les ventres crispés ondulant au rythme lent des respirations, elles sont des statues vivantes sorties de la statuaire grecque ou romaine la plus parfaite. Alors que le claquement du verrou de la porte grillagée se fait entendre, Colette manifeste une espèce de frisson et descend ses deux mains à son sexe. De sa main gauche elle entrouvre les lèvres de sa vulve et glisse les doigts de sa main droite dans la fente de sa chatte qu’elle parcourt en remontant pour venir vriller tout en haut du sillon et exciter ou bien calmer le petit vit charnel. Le "gong" qui retentit projette Sandy à l’assaut de sa petite ennemie tel un chat sauvage bondissant sur sa proie!!! Colette semble totalement prise au dépourvu!!! D’ailleurs elle n’a même pas le temps de retirer ses mains de son sexe. Sandy se saisit d’elle à bras le corps en lui bloquant ses deux bras contre son corps. Sa vitesse et sa puissance lui permettent de venir écraser Colette le dos contre la grille de l’octagone. Dans cette projection Sandy a soulevé Colette du sol si bien que dans le choc contre la paroi les deux visages entrent en collision. Sandy n’avait pas prévu ce heurt frontal et les antagonistes s’en trouvent un peu groggy toutes les deux. Sandy en relâche sa prise, ce qui permet à Colette de reprendre aplomb sur le sol et de se dégager de son adversaire. Elle repousse Sandy en appuyant de ses deux mains sur la poitrine de sa rivale et la bouscule en arrière. Apparemment Sandy est plus choquée que Colette et celle-ci en profite pour se lancer à son assaut. Sans difficulté elle lui applique un collier de tête de côté et d’un tour de hanche elle la projette au sol en l’accompagnant sans relâcher sa prise. Colette glisse sa clé autour du cou de Sandy pour se retrouver en oblique et pouvoir écraser dans son bras plié et bloqué par l’autre bras le cou et le bas de la tête de son ennemie. Compte tenu de la puissance musculaire de la petite lutteuse c’est une prise qui doit faire mal et dont il est difficile de se libérer. Cependant Sandy travaille à deux mains sur le bras qui la broie et en même temps elle agite ses jambes et son corps pour faire glisser l’étau meurtrier. Lorsque les pieds et les genoux de Sandy, qui est allongée sur son dos, viennent frapper le haut du dos de Colette, cette dernière qui est sur son côté droit soulève son torse en soulevant celui de son adversaire pour lui ramener le bassin au sol et l’empêcher de frapper avec ses jambes. Le bras droit de Sandy s’en trouve totalement dégagé et elle cherche de la main une prise sur sa rivale. Elle trouve les seins de son ennemie et s’empare du sein gauche qu’elle se met à broyer et torturer. Colette ramène les bassins au sol pour tenter de diminuer l’attaque qui la blesse. Mais Sandy n’en a cure et pour chercher une rapide issue à la prise qui la bloque, de sa main gauche elle attaque le visage de son ennemie. Elle griffe, pince le nez et les joues, tente des coups mais elle n’a pas assez d’espace pour donner de la force à ses frappes. Soudain elle trouve les yeux et elle y enfonce ses doigts avec méchanceté. C’en est trop pour Colette qui abandonne son collier et se lève vivement pour soulager la douleur dans ses yeux et à son sein. Elle porte maintenant des marques de griffures sur le visage et sa poitrine et ses yeux qui pleurent sont rougis. Sandy se relève également en faisant des mouvements d’assouplissement de son cou et en le massant. Ce n’est qu’un court instant de répit car les deux femmes se relancent à l’assaut toutes les deux. C’est d’abord un affrontement de bras tendus comme chacune tente de saisir l’autre. Les bras claquent les uns contre les autres en cherchant autant à prendre qu’à repousser. Elles sont en mouvement tournant l’une autour de l’autre sans jamais voir venir une domination. Elles viennent heurter la grille tour à tour. Chacune d’elles y a aussi donné de grands coups de bras involontairement, des chocs qui les ont blessées sans qu’elles tiennent compte de la douleur. Et voilà que chacune d’elles s’est emparée de la tête de l’autre en serrant son cou passé sous l'aisselle droite. Les deux têtes ont disparu de la vision des spectateurs. Elles se sont un peu plié à la ceinture et leurs torses sont presque en alignement l’un de l’autre. Elles se donnent plus d’appui au sol en reculant un peu leurs jambes. Et elles s’activent à essayer de faire chuter l’autre et à se délivrer de la prise symétrique. Elles sont maintenant un peu semblables à deux taureaux andalous luttant sauvagement enlacés par leurs cornes. Deux bêtes sauvages qui soufflent avec force pour soutenir leur action et qui pèsent de toute leur puissance sur les jambes aux cuisses et mollets si puissamment musclés et comme ancrés au sol par les griffes. Elles poussent, tirent et cherchent à faire tomber l’autre au sol. Dans l’acharnement du combat elles font gonfler leurs muscles. Les corps commencent à briller de sueur sur les peaux ambrées. Les veines et les tendons sont saillants comme des enroulements noueux de cordes. Elles sont vraiment belles dans l’effort et parfaitement semblables dans leurs développements musculaires. Elles viennent encore heurter des fesses ou des côtés de leurs corps dans les grilles de l’octagone. A part quelques marques supplémentaires sur leurs corps cela ne leur apporte aucune aide ni désavantage. Elles s’allongent de plus en plus horizontalement ce qui offre d’un fessier à l’autre la muscularité de leurs dos. Et sous le pont qu’elles forment on découvre les valeurs arrondies de leurs poitrines l'étroite musculature de leurs ventres qui se gonflent et se vident au rythme de leurs respirations accélérées. Au bas du ventre les vulves nues de tous poils se devinent dans la contraction musculaire des hauts de cuisses qui tremblent d’efforts. Elles ne peuvent rester dans cette forme d’assaut indéfiniment. C’est Sandy qui la première rompt la monotonie de l’attaque. Après avoir rebondi des fesses contre la grille elle repousse Colette et, au lieu de chercher comme les autres fois à lui appuyer le torse vers le sol, elle la tire vers elle en se baissant. Elle se laisse tomber les fesses sur le tapis et comme son adversaire la surplombe, elle lève ses pieds et en les appliquant sur son ventre, elle la soulève et l’envoie basculer par dessus elle. Colette se retrouve allongée dos au sol. Pendant le vol plané de Colette les colliers de tête se sont ouverts. Sandy se tourne tout de suite sur son ventre et vient prendre dans un nouvel étau de son bras droit le cou de son adversaire. Jambes ouvertes pour avoir un bon appui au sol la plus âgée écrase son menton entre le haut des seins de Colette. Elle écrase son biceps sur le larynx et son avant bras est passé sous la nuque de son ennemie. Au gonflement des muscles, à la tension des fibres nerveuses et la saillie des veines du bras il est évident qu’elle applique sur le cou de Colette une formidable pression. Des gradins dans la salle le visage de la petite lutteuse est visible par delà ses jambes et son buste. Sa figure est congestionnée par la pression qu’elle subit. Au-delà de son corps, car Colette a les pieds non loin de la grille face aux spectateurs, elle offre aux spectateurs une vue incomparable sur son sexe. Elle se débat immédiatement pour se libérer de la prise qui la bloque. De ses mains elle cherche à desserrer l’étau sur son cou et retrouver sa libre respiration. Avec ses jambes elle fait de grands moulinets et balance son corps d’un côté à l’autre pour essayer de glisser de la prise. Elle se soulève en pont et prenant appui sur une seule jambe elle se sert de l’autre comme d’un balancier pour se tourner et revenir sur son ventre. Les agitations de ses jambes qui s’écartent et se rapprochent, dégagent par moment une vue imprenable sur son sexe. Cela incite quelques personnes curieuses ou bien sexuellement attirées à venir examiner de plus près le "paysage" offert!!! C’est ainsi que l’on retrouve entre autres, la belle Sophie à côté de la féline Mylène et de la jeune Frédérique, accroupies au bord de la grille avec le visage au ras du tapis, en train d’apprécier les chairs roses et gluantes qui se dévoilent devant elles suivant la position des cuisses de Colette dans sa lutte. A mi-voix elles se font leurs commentaires et disent leurs appréciations qui ne sont pas que vocales!!! Les mouvements cachés de leurs bras témoignent de l’agitation des doigts et des mains dans leurs chattes respectives. Ce qui prouve s’il en était besoin de l’ampleur de leur excitation sexuelle. Mais le combat se poursuit. Colette s’obstine à prendre appui sur son pied gauche et à lancer en l’air sa jambe droite pour donner une force giratoire à son corps. Cette action oblige Sandy à se déplacer un peu sur sa gauche en écartant largement ses jambes pour s'opposer au mouvement tournant de son adversaire. Il en ressort toutefois que tout doucement elles tournent sur le tapis. Cela amène Colette à s’éloigner de ses admiratrices pendant que progressivement c’est Sandy qui vient offrir en spectacle sa vulve et ses fesses entre ses cuisses écartées. C’est uniquement une question de force de la part de Sandy et d’endurance de la part de Colette. Il semble que les deux adversaires veuillent se mesurer par la puissance seule de leurs muscles. Mais soudain Colette change de tactique. Elle devine que leurs deux corps forment les deux branches d’un compas très ouvert. Alors au lieu de se vriller sur elle même elle envoie maintenant ses deux jambes en biais loin par dessus elle pour atteindre le dos de son ennemie. Elle se place dans une position incroyable car elle semble se plier sur elle-même au niveau de son cou. Elle doit lui faire subir une pliure dangereuse et très douloureuse. Elle pousse d’ailleurs des grognements d’effort et de souffrance qui sont presque des cris douloureux. Elle utilise aussi ses deux bras pour faire point d’appui du côté gauche et du côté droit chercher à atteindre une prise sur son adversaire. Les efforts qu’elle déploie comme la puissance dégagée par Sandy pour la contrer sont magnifiques et très spectaculaires bien que statiques. Pourtant Sandy doit sentir que les tentatives de Colette vont finir par lui apporter quelques résultats, aussi pour la coller au sol elle soulève son bassin en prenant appui sur ses genoux et porter tout son poids sur sa rivale. C’était la faute à ne pas commettre!!! Colette n’attend pas qu’elle atteigne la maîtrise. Dès qu’elle devine que le corps de Sandy est décollé du tapis elle se lance dans un effort désespéré. Avec un puissant cri pour y trouver toute sa puissance elle envoie ses jambes loin en arrière par dessus le corps de sa rivale en plaçant son propre corps dans une position digne d’une véritable contorsionniste. Elle agite ses jambes sur le dos de Sandy et parvient à glisser ses pieds, puis ses chevilles et enfin ses mollets et ses genoux de chaque côté de la ceinture de son adversaire et tout de suite assure un ciseau à la taille. Sandy a bien tenté de reculer son bassin mais Colette en glissant l’a suivie. Maintenant en s’agitant elle améliore sa prise qui finit par lui permettre d’avoir sa jambe gauche sous le ventre de son ennemie et son autre jambe par dessus. Elle s’évertue si bien qu’elle croise maintenant ses chevilles pour bloquer son ciseau. Sandy n’a pas lâché sa prise. Toutefois elle est obligée de se plier au moins partiellement à celle de Colette et par la force des choses elle tourne son collier pour le placer sous un autre angle. Et bien sûr progressivement elle perd son pouvoir sur le cou et la tête de Colette. Les corps des deux femmes vibrent dans l’effort qu’ils produisent. Leurs souffles rauques sont accompagnés de ahanements bruyants. Elles sont totalement investies dans leur combat. Un combat où elles semblent vouloir se servir strictement de leur force musculaire, de la puissance de leurs biceps, de leurs bras, de leurs épaules, de leurs mollets et surtout de leur cuisses. C’est une fois encore une confrontation de force et de musculature!!! Le ventre de Sandy est aplati à l’extrême. La puissance de ses abdominaux ne suffit pas à la protéger de l’écrasement des cuisses de Colette. Elle choisit de lâcher momentanément son collier sur le cou de sa rivale pour travailler à se tourner dans l’étau qui la broie. Colette a laissé Sandy sur son ventre alors qu’elle est placée sur son côté. Maintenant Sandy par des saccades de tout son corps la ramène sur le dos et en même temps elle se tourne dans le ciseau grâce à la sueur qui sert de lubrifiant pour se placer face à face avec elle. Le nombre de spectatrices s’est accru tout auprès du grillage. Elles ont rejoint Sophie, Frédérique, Mylène et les autres avec quelques mâles excités. Sandy qui se met à genoux puis dresse son buste sur ses pieds tendus et écartés leur tourne le dos et dans son mouvement elle leur offre une vision prestigieuse sur sa vulve trempée de sueur et de sucs. Par contre elle fait face à Axine qui, derrière sa vitre de glace sans tain, observe avec attention cette lutte qu’elle juge être de la lutte pure. Le plus impressionnant pour elle de sa place ce sont les cuisses fantastiques de Colette qui sont écrasées sur les flancs de son adversaire et qui dans ce travail d’écrasement ont pris une ampleur incroyable et pourtant réelle. Chaque cuisse apparaît plus volumineuse que la taille étranglée de Sandy!!! Maintenant tout va très vite...Colette comprime ses cuisses sur Sandy par des contractions, à un rythme qui va en s’accélérant, qui font grogner de douleur Sandy à chaque fois et donc de plus en plus souvent. De son côté Sandy qui est fesses en l’air et le buste tendu au-dessus de sa rivale lutte mains à mains avec elle pour retrouver une prise sur sa tête ou son cou. Elles se retrouvent un moment accrochées par les mains. Les bras sont à demi tendus et c’est encore une courte lutte de puissance, c’est le bras le plus "en fer" qui va faire plier l’autre!!! Sandy a-t-elle plus de puissance dans les bras et Colette dans les cuisses? Toujours est-il que les bras de Colette plient et que ses mains sont obligées d’accompagner celles de son ennemie pour venir s’abattre sur son propre visage!!! Sandy y va à coups redoublés jusqu’à ce que Colette dégage ses mains des griffes qui la tiennent pour venir se protéger. Sandy attendait cela! Elle empoigne de façon serrée à deux mains la chevelure demi courte de Colette et nantie de cette poignée elle s’en sert pour soulever très haut le torse de son adversaire et puissamment la projeter au sol. Et cela va vite dans le renouvellement de cette action. Colette en grogne de douleur à chaque choc de son dos sur le sol. D’autant que Sandy l’accompagne de tout son poids entre les cuisses qui sont obligées de se relâcher même très légèrement à chaque coup de chute au sol. Dans les soulèvements et les projections l’assemblage des corps des deux antagonistes se déplacent et il arrive qu’elles se trouvent tout près de la grille juste en-dessous de l'alcôve de Axine qui n’en perd pas un clignement de cils! Malgré que Colette soit parvenue elle aussi à saisir la crinière de Sandy, celle-ci maintient la pression de ses chocs alors que la pression des cuisses de Colette progressivement se relâche. Pour accélérer les choses en meurtrissant son ennemie, Sandy, dans un effort plus puissant encore que les précédents, soulève davantage Colette et la lance violemment dans le grillage en lâchant la chevelure pour que ce soit la tête qui prenne bien tout le contact. Colette en a suffisamment de ce traitement et pour échapper au bombardement des poings de Sandy dans son visage, elle ouvre son ciseau et se roule sur le côté pour s’éloigner de son ennemie. Dans son alcôve Axine tout comme les spectateurs maintenant serrés autour de la cage pensent que les deux combattantes ont bien travaillé mais qu’elles ont totalement oublié les autres parties libres et notamment les seins!! Les formidables lutteuses que sont Joannie et Christi entraînent la foule à encourager les deux adversaires. Après s’être concertées en souriant elles ont choisie de supporter Colette par Christi alors que Joannie soutient Sandy. Il faut croire que c’est une question de hauteur!!! La plus grande pour la plus grande et inversement!!! Les deux adversaires sont maintenant debout de chaque côté de la cage. Sandy masse ses côtes basses et son ventre endoloris. Colette se frotte le cuir chevelu. Le grillage de la cage est du modèle à maille carrée à simple torsion de manière à lui conserver une relative souplesse. Seulement les torsades glissent un peu les unes dans les autres. Le crâne, donc la chevelure de Colette y sont violemment entrés en contact et il s’avère que des mèches de cheveux se sont trouvées coincées et arrachées!!! C’est surtout cette tirade plus que le choc qui a blessé Colette. Après une très courte pause les deux combattantes se lancent à l’assaut. Elles débutent à la manière des boxeuses à coups de poings. Mais il est évident que c’est une manière de détourner l’attention de l’adversaire. En effet très vite Colette s’empare d’un bras de Sandy. D’un coup de hanche elle la jette au sol sur le ventre et se met à cheval sur son dos en tordant et relevant ce bras gauche. Une fois certaine qu’elle maîtrise la situation Colette se tourne sur sa gauche d’un quart de tour pour encastrer le bras tordu de Sandy entre ses cuisses. Elle est maintenant assise sur le haut du dos de son adversaire dont elle écrase la poitrine de tout son poids sur le sol. C’est avec un sourire un peu ironique que Axine voit la manoeuvre de Colette. Si elle avait eu quelqu’un avec elle il aurait su que cette prise serait de courte durée!!! Par expérience Axine sait déjà ce qui va se passer. Sandy est en fâcheuse position. Elle a ses seins douloureusement comprimés sur le tapis qui les irrite. Le poids sur ses poumons lui rend la respiration difficile. Et surtout son bras travaillé en arrière et en rotation pourrait subir une dislocation de l’épaule. Elle gémit rauquement ses souffrances. Colette se complet à martyriser le bras qu’elle fait aller en tous sens entre ses cuisses. C’est le muscle arrière du haut du bras, le triceps brachial qui se trouve en contact avec sa vulve gonflée. Elle se met à serrer puis desserrer ses cuisses, elle tire de plus en plus le triceps contre son sexe. En allongeant ses bras elle laisse son torse descendre en arrière. Et alors imperceptiblement et sans doute inconsciemment elle commence à osciller du bassin. Les spectatrices devinent ce qui advient dans cette situation. Un silence presque religieux s’établit dans l’assistance. Il est bientôt rompu par des soupirs et des respirations fortes et haletantes. Des bruits de froissements et des crissements légers. Une atmosphère sensuelle envahit toute la salle. Et la quasi totalité du public est maintenant descendue autour de la cage pour mieux profiter de l’intimité des lutteuses. L’expression du visage de Colette a changé. Ses pommettes ont rougi, ses yeux se sont rétrécis en s’allongeant et son regard est un peu voilé. Elle se laisse aller totalement en arrière en maintenant le bras gauche de Sandy bien bloqué entre ses cuisses désormais animées d’un rythme de contractions de plus en plus rapprochées. Colette s’est arquée en arrière, à tel point qu’elle est venue poser l’arrière de sa tête sur le sol. Ses seins se sont aplatis sous l’étirement du buste, mais les aréoles gonflées et granuleuses ont dressé glorieusement les longs et épais mamelons, déjà gorgés de désir de plaisir et brûlants. Sandy a crié de douleur avec l’étirement des muscles et tendons de son épaule. Mais lorsque Colette vient posé son dos sur le tapis, la pression des fesses et le poids du corps de sa tortionnaire s’allègent considérablement. Elle en arrive même à soulever son côté gauche du tapis et en ramenant son bras droit devant son visage elle commence à se tourner. C’est le début de sa libération. Mais elle devine, à l’agitation du corps qui la surplombe encore à demi, que Colette est en train de se laisser entraîner dans un plaisir qui ne va pas tarder à la submerger. Alors elle patiente!!! Axine avait vu juste son sourire équivoque était bien justifié!!! Colette semble vouloir aspirer dans son sexe le triceps et même le bras tout entier de son ennemie. Les mouvements de son bassin et de ses cuisses n’agissent que pour permettre à l’intérieur de sa vulve, devenue une ventouse comme celle d’une pieuvre, d’absorber la masse musculeuse du triceps. La liqueur sexuelle qui se répand sur le bras et qui glisse vers l’épaule est abondante et odorante. Les narines des spectatrices en frémissent de plaisir et d’excitation!!! Ceux et celles du public qui sont dans l’axe de Colette peuvent voir ses pointes de seins dressées et gorgées. Au-delà de son ventre plat aux sixpacs de muscles il y a, entre les cuisses maintenant largement écartées, les lèvres gluantes telles les thalles d’une algue dévoreuse glissant vers le haut du bras musclé qu’elles enlacent pour en absorber l’érotisme. Pour tous c’est la contemplation de la montée inexorable de l’orgasme qui commence à rugir dans les tréfonds de Colette. Il n’y a pas un observateur, devenu voyeur, qui ne communie aux spasmes qui maintenant commencent à agiter le ventre de Colette, à gonfler rythmiquement son torse en faisant vibrer la masse étalée de ses seins et en faisant frémir les muscles de ses cuisses qui s’ouvrent et se ferment tour à tour. Josette, qui n’est plus à côté d’Anne Marie perdue dans la foule, ouvre son petit peignoir. Dessous elle est nue et ne porte que les quelques pansements que ses blessures nécessitent. Elle gémit en voulant caresser ses seins meurtris. Alors elle descend ses mains à son sexe. Avec beaucoup de précaution elle écarte ses lèvres et enfonce deux doigts dans la moiteur de sa cavité charnelle. Elle remonte ses doigts huilés de sa liqueur à son clitoris qui est déjà tendu, gonflé et vibrant. Alors elle le pétrit gentiment et commence à onduler du bassin inconsciemment pendant que sa respiration se précipite et qu’elle débute un roucoulement onctueux!!! Dans la cage la mélopée éraillée qui monte de la gorge de la puissante lutteuse, la folle agitation de tout son corps et particulièrement les assauts de sa vulve sur le bras qu’elle frotte, ou du bras qui la branle, déclenchent dans la foule un tumulte de soupirs, de râles, de gémissements et de grognements qui se transforment en cris de plaisirs. C’est une jouissance commune, même si elle est solitaire, qui a gagné l’assemblée. C’est le rut communautaire!!! Dans sa cage vitrée, à l’abri des regards, Axine est aussi excitée que tout un chacun! Les longues heures passées à faire l’amour avec Aarb n’empêchent pas du tout ce regain de besoin de plaisir sexuel, mais le ventre et le sexe en feu elle se laisse aller à rêver des moments qu’elle va passer à affronter la belle joueuse de tennis. La folle sensualité de celle-ci la fait se réserver pour conserver toute sa puissance sexuelle et faire face à l’agressivité de son adversaire!!! Sandy a vécu presqu’en dessous de son ennemie sa fantastique recherche de plaisir et l’éclatement de son interminable orgasme. Elle a maîtrisé son inclination à vivre les mêmes sensations. Elle a patienté pour laisser Colette atteindre son point de non retour dans la jouissance, la laisser s’y noyer et ensuite profiter de sa léthargie post orgasmique pour prendre la conduite du combat. Lorsqu’elle se rend compte que son bras n’est plus retenu, Sandy entame sa libération. Elle soulève son côté droit pour s’éloigner de son adversaire et elle laisse tomber sur le sol le cul et les jambes pliées aux genoux de Colette. Tout le monde entend son cri lorsqu’elle veut ramener vers elle son bras gauche qui a servi d’outil de plaisir à son ennemie. L’épaule et ses muscles et tendons ont été travaillés à l’extrême et sont ankylosés. Certains de ses ligaments doivent être froissés. Avec son bras gauche dans une position incongrue Sandy se met à genoux en soulageant le poids de son bras gauche qui lui tire sur l’épaule à l’aide de son bras droit. Elle se met debout et après s’être approchée de la grille de la cage elle donne un grand coup de son épaule blessée dans le montant qui est près de la porte. Sandy émet un nouveau cri de douleur mais aussi de soulagement et elle montre par ses mouvements précautionneux qu’elle récupère l’utilisation de son épaule. Une suite de massages et de mouvements d’assouplissements terminent la remise en forme. Le temps qu’il a fallu à Sandy pour retrouver sa capacité d’action a aussi permis à Colette de sortir de ses miasmes érotiques. Alors qu’elle est à quatre pattes pour se relever, Sandy se précipite sur elle et la saisit d’une façon peu orthodoxe. Alors qu’elle est debout face à son adversaire Sandy s’empare entre ses cuisses de la tête de Colette et se baissant sur son dos elle se saisit des bras qu’elle lève vers elle en se redressant. C’est une bonne prise qui bloque Colette dans une position inconfortable et douloureuse. D’autant plus qu’elle n’a pas encore récupéré ses pleines capacités de force et de violence. Les cuisses de Sandy écrasées sur la tête de Colette sont d’une ampleur hallucinante. Les bras de Colette qu’elle tient relevés en arrière font un blocage total et la crispation de ses biceps pour les tenir fermement leur donne un volume noueux qui a quelque chose de magnifique à contempler. Pour chercher une porte de sortie Colette amorce une action qui sollicite toute la puissance musculaire de ses cuisses et de son abdomen. Elle relève un genou et prenant appui sur son pied à plat sur le sol elle tente de se lever avec le poids de Sandy sur son cou. Elle n'avait aucune chance de succès malgré la fantastique puissance de ses cuisses. Toutefois elle fait basculer leur assemblage sur le côté. Les deux adversaires se retrouvent au sol. Sandy est sur son côté gauche et Colette son côté droit. La prise n’a pas lâché dans le ciseau des cuisses seul le bras droit de Colette qui se trouve sous elle semble avoir trouvé un peu de relâchement. Il s’en suit une longue lutte statique au sol. Sandy employant tous les moyens et faisant tous les efforts pour maintenir ses prises. Colette de son côté fait tout le travail voulu pour se libérer. Le blocage en arrière de ses bras lui interdit de pouvoir se plier et d’agir dans le dos de sa rivale. Par contre Sandy a tout loisir d’améliorer ses saisies de bras pour affirmer son emprise. Lors Colette fait preuve d’une vivacité et d’une souplesse incroyable. Elle se contorsionne pour être toujours en mouvement. Au mépris de l’écrasement de sa tête entre le tapis et les fesses de Sandy elle la tourne sur le dos puis sur son autre côté. Elle tente même de l'amener sur le ventre mais sa torsion est trop douloureuse pour continuer son mouvement. Alors elle ramène Sandy dos au sol et encore sur l’autre côté et ainsi de suite. Tout doucement, la sueur aidant les cuisses de Sandy commencent à glisser sur la tête de son ennemie et les prises sur les poignets en font autant. C’est ainsi que petit à petit, dans l’effort et dans la souffrance que Colette parvient finalement à amener sa rivale à abandonner les prises qu’elle ne maîtrise plus totalement. Endolorie mais dépêtrée Colette est en mesure de se relever pour faire face à Sandy qui l’attend de pied ferme. Elles ne se remettent même pas en position d’attaque pour se lancer l’une sur l’autre et saisir sa proie. Alors que Colette se prépare à faire un collier sur le cou de Sandy celle-ci lui expédie avec violence un coup de coude au visage, par en dessous et de toute sa puissance, en plein sur le nez qui éclate aussitôt. Le sang qui s’écoule abondamment asperge les deux adversaires. C’est le coup qui fait changer la face du combat. Celui-ci jusqu’à présent était l’image d’une épreuve de force entre les deux adversaires. Chacune s’employant à utiliser sa musculature pour dominer son adversaire. Le choc violent qui vient de faire éclater le nez de Colette et de lui abîmer le visage fait monter en elle une colère folle!!! Alors qu’elle tient encore une poignée de cheveux de Sandy elle lui fait baisser brutalement la tête en la projetant au devant de son genou qui vient à son tour meurtrir la face de son adversaire. Et si le sang ne coule pas immédiatement chez elle, une violente douleur lui emplit toute la tête. Elle se dégage et les deux ennemies se font maintenant face pour s’affronter à coups de poings, coups de coudes, coups de genoux et coups de pieds. Leur action est un peu désordonnée. De toute évidence elles ne sont pas habituées à un tel genre de combat. Mais elles compensent les maladresses de leurs assauts par une décharge de violence. Elles sont envahies par une fureur meurtrière. Elles ne cherchent pas à se protéger des coups qu’elles reçoivent. Elles cognent maintenant pour torturer, pour blesser et pour défigurer. Leurs respirations sont devenues de bruyants soufflets de forges. Leurs halètements sont accompagnés par les ahanements dus aux efforts qu’elles déploient. Leurs muscles sont sollicités à outrance. Les deltoïdes sont de vrais noeuds de fibres, de tendons, de ligaments et de chairs comme le sont les muscles des bras, du dos et des jambes. Comme leurs ventres bosselés par les abdominaux les fesses sont une curieuse masse musculaire serrée et crispée. De toute leur puissance, et Dieu sait qu’elles en ont, elles s’affrontent maintenant dans un combat où l’antipathie condescendante de Sandy et la jalousie hostile de Colette ont fait place à une haine meurtrière. Les spectateurs ont perçu ce changement d’attitude de la part des deux Amazones guerrières et c’est presque dans un silence respectueux qu’ils assistent incrédules à ce déchaînement de violence. C’est cela qu’ils sont venus voir, contempler et admirer. Les esprits affamés de violence et de bestialité sauvage et cruelle sont maintenant satisfaits. Les libido qui sont nourries de ces assauts sanglants et impitoyables vont être gorgées de cette cruauté qui déchaîne les sexualités!!! Les deux ennemies se déchaînent et se bousculent sous les coups d’un coin à l’autre de l’octagone. Les coups pulvérisent sous les gants cobra les chairs qui éclatent en projetant du sang non seulement sur les corps des combattantes mais aussi sur les spectateurs maintenant rassemblés serrés autour de la cage. Ils accueillent ses jaillissements qui les souillent avec orgueil et aussi avec sensualité. Ces gouttes de sang et de sueur semblent être pour eux des bijoux qui viennent orner leurs corps sexuellement excités. Les visages des deux combattantes sont des masques obscènes de chairs déchirées et sanglantes. Les yeux sont gonflés et presque fermés. Les bouches sont entrouvertes par des lèvres éclatées. Leurs poitrines sont toutes tachées de sang et d’hématomes multicolore. Les seins sont devenus des sacs gonflés, déformés et déchirés. Les bras comme les épaules et le ventre sont striés de zébrures colorées et sanglantes. Même les vulves dans les bas ventres ainsi que les cuisses sont marqués des coups reçus par des éraflures et des ecchymoses. Qui pourrait reconnaître dans ces deux guerrières toutes meurtries et couvertes de sueur et de sang les deux belles bodybuildeuses qui se sont présentées dans l’arène une demi heure plus tôt ???!!! Bousculée par la pression des coups de son ennemie, et aussi à cause du tapis devenu glissant, Colette se retrouve allongée le dos au sol. Elle est assez proche du grillage. Sandy se lance dans une attaque de son visage à coups de talon. Colette pour se protéger essaie de saisir sa cheville mais Sandy en s’accrochant des deux mains à la grille se libère et cogne alors sur les seins déjà très endommagés de sa rivale sans aucune retenue ni pitié. Colette parvient toutefois à s’emparer du pied qui la frappe et en faisant un effort de retournement sur elle-même elle fait chuter Sandy sur ses fesses. La petite gladiatrice se précipite sur elle. Elle la couche dos au sol et aussitôt la chevauche en s’asseyant sur son ventre. Alors maintenant à coups de poings à son tour elle martyrise son ennemie. Elle réussi à la saisir de la main gauche à la gorge tout en continuant de frapper avec son poing droit. Sandy de ses deux mains cherche à se libérer de l’étranglement qui l’étouffe. Elle a un cou puissant et musclé qui lui permet de résister un peu à la pression. Sa face est tellement couverte de blessures et de sang qu’il est impossible de voir son visage changer de couleur et les proches spectateurs doivent se contenter du sifflement de la respiration pour estimer l’efficacité de la prise. Il semble que l’on se dirige vers une conclusion du combat à l’avantage de Colette si elle réussit à finir d’étouffer Sandy. Mais cette dernière n’est pas encore vaincue. Elle met toute la force qui lui reste dans une ultime réaction. Elle secoue son bassin et envoie ses jambes cueillir la tête de la brutale petite lutteuse. Son premier coup d’essai est un coup de maître. Dès la première tentative elle croise ses chevilles devant le visage de l’agressive adversaire. Dans un nouvel effort qui démontre la puissance de ses reins elle tire en arrière le buste de Colette qui pour se retenir est obligée de lâcher sa prise d’étouffement. Alors tout va très vite. Les deux femmes se séparent et Colette en se tournant veut se mettre debout. Sandy ne l’entend pas ainsi et vient la saisir à la ceinture en un ciseau arrière. La prise les ramène au sol en position assise, Sandy dans le dos de Colette. Dans un premier temps Sandy se contente d'assurer et de bloquer son ciseau. Ensuite elle serre de toute la puissance de ses cuisses faisant à nouveau saillir d’une façon extraordinaire les puissants muscles qui font sa force. Colette agite et secoue son corps pour faire glisser le ciseau et soulager l’énorme pression qui l’écrase. Elle essaie de se retourner dans le ciseau pour faire face à son ennemie et lutter avec plus d’égalité de chances. Mais Sandy perçoit immédiatement la menace, et pour éviter toute fuite de sa rivale et la possibilité pour elle de trouver un moyen de réaction, elle tire sa tête en arrière par les cheveux et croche sous son menton pour la bloquer irrémédiablement sans aucun échappatoire. En tirant la tête de Colette en arrière Sandy lui déforme le cou et lui coupe également la respiration. Simultanément elle resserre son ciseau au maximum de sa force en s’allongeant en arrière, son dos touchant presque le tapis. Colette qui porte ses deux mains pour libérer les mains qui la tiennent au menton grogne de douleur. C’est à son tour d’avoir une respiration qui produit un sifflement obscène en filtrant entre ses dents serrées. Elle cogne le sol de ses talons dans une tentative inefficace de survie. Ses yeux que l’on peut apercevoir entre ses paupières gonflées roulent en tout sens. Ses narines à demi bouchées de sang séché s’ouvrent affamées d’oxygène. Ses grognements sont devenus des cris entrecoupés de borborygmes incompréhensibles. Elle veut secouer son corps bloqué mais sans succès. Les murmures des spectateurs rompent le silence quasi religieux qui s’était établi devant ce spectacle infernal. Ils ont compris que c’est la fin et que contrairement à ce qu’ils envisageaient quelques instants plus tôt c’est Sandy qui va parvenir à la victoire. Et voilà, c’est fait. Colette agite ses deux mains dans un geste d’abandon en les croisant et décroisant paumes ouvertes vers la salle. Le ..."GONG"...enregistre la décision. Sandy a gagné le combat et assure ainsi sa primauté sur sa petite rivale!!! Colette doit admettre la supériorité de l’autre et rengainer sa jalousie!!! La foule compacte qui a suivi et apprécié le combat manifeste bruyamment son enthousiasme. Les applaudissements vont aux deux combattantes sans discrimination tant elles ont montré qu’elles sont proches dans leur puissance, leur force et leur endurance. Les partis pris dans les encouragements se sont effacés devant la violence, la sauvagerie et la bestialité qu’elles ont déployées toutes les deux. D’ailleurs qui peut dire quel souvenir le plus marquant restera gravé dans les mémoires des uns et des autres? La victoire de Sandy ou la jouissance de Colette ???!!! Les deux gladiatrices se relèvent lentement. Elles prennent le temps de retrouver leurs rythmes cardiaques et de respiration. L’officiel, maître de cérémonie entre dans l’octagone et attend avec patience, éloigné des deux combattantes, qu’elles soient en mesure de prendre part à la brève présentation de la gagnante au public. Elles sont debout, elles enlèvent leurs gants souillés de sang qu’elles laissent tomber au hasard et essuient de leurs mains les taches de sang qui troublent leur vision et gênent leur respiration. Elles s’approchent l’une de l’autre en même temps que l’officiel les rejoint. Avant qu’il ne soit entre elles, elles allongent l’une vers l’autre leurs bras tendus et heurtent leurs poings fermés puis leurs paumes ouvertes. C’est pour Colette un acte d'allégeance à la supériorité de Sandy alors que pour cette dernière c’est un signe de reconnaissance pour la qualité de leur combat. L’officiel lève le bras droit de Sandy qui de son bras gauche lève celui de Colette pour lui faire partager les acclamations des spectateurs. Avant de sortir de la cage Colette s’adresse à son adversaire: "Je m’incline, tu es la plus forte!" "Toi, tu es la plus sensuelle et j’ai envie de jouir avec toi!" Les spectateurs s’écartent et leur ouvrent un chemin pour leur laisser accès aux vestiaires et salles de soins. Dans sa petite pièce Axine se concentre avant de se diriger vers l’arène et affronter la belle Mary, la championne de tennis.