La Saga de Axiline =o=o=o=o=o=o=o=o=o= 12èmè Episode Récit de fiction pour adultes avertis d’après Violente Après le quatrième combat de la soirée, les organisateurs ont prévu un entre-acte. Le public a besoin d’un moment de détente pour pouvoir défouler la tension créée par le spectacle des combats. La violence déployée dans la cage par les adversaires a surchauffé l’ambiance. Celà fait partie du jeu évidemment alors il faut canaliser l’agressivité qui a gagné les uns et les autres. Dans le hall d’entrée de l’ancien théâtre qui sert maintenant de foyer aux membres du club il y a un bar qui offre toutes sortes de rafraîchissements. Il y a un coin d’exposition de photos de combats anciens. Et aussi une gallerie d’honneur où chaque combattant qui a lutté dans l’octagone a au moins une photo et le plus souvent deux ou trois. C’est ici que les photos envoyées par Josette à la demande pressante de Axine seront exposées. Ces photos vont être travaillées et agrandies au format voulu. Si Josette avait bien une photo d’elle de moins d’un an, dans son maillot violine de lutteuse, elle n’avait d’Anne Marie que des photos prises avant son départ pour la région parisienne à l’occasion de sa fête d’anniversaire, bientôt neuf ans déjà. Dans les photos prises lors de cette fête il n’y en avait que deux où elle était seule. Une où elle se déshabillait et une autre où elle était étendue presque nue à plat ventre sur un lit. Un souvenir passionnant pour Josette!!! Il y a encore dans ce hall un coin librairie où tout un chacun peut se procurer littérature et vidéos ayant trait au sport maison: la lutte extrème!!! Enfin les locaux sanitaires et techniques sont situés le long du couloir conduisant aux vestiaires, salles d’entrainements et bloc médical. Une grande partie des spectateurs s’est rendue dans le hall qui est maintenant bruyant des conversations animées ayant toutes trait aux différents combats qui se sont déroulés. Mais il y a un certain nombre d’entre-eux, on pourrait plutôt dire d’entre-elles d’ailleurs, qui sont restés dans l’hémicycle et qui ont pris possession de la cage. Comme des élèves qui chahutent au cours d’une récréation elles s’affrontent deux par deux plus ou moins amicalement. Pour la plupart elles goûtent aux sensations de la grille en se faisant propulser par l’autre dans cette cloison grillagée. Toutefois il y a quelques couples qui s’affrontent plus sérieusement. Il en est ainsi de Loes A.... et Catherine B.... bien sûr. La belle Hollandaise et la grande Américaine s’affrontent maintenant à fond dans un combat poings-pieds où l’actrice met en pratique ses connaissances du kick-boxing face à la violence de la combattante d’extrême-fight. Mais il y a aussi Céline L.... qui a changé d’adversaire et qui s’oppose à Valérie H....et dans ce cas c’est la boxe Taïe qui fait face au judo et sambo. Un autre duel amical fait se mesurer la belle Sophie, qui était si excitée quelques instants plus tôt, à la ravissante Jennifer. Elles sont engagées dans une lutte au sol sous le regard amusé de deux "professionnelles" en la matière: Christi W..... Et Joannie L.... Deux puissantes reines des rings Américains de la WWWF. A l’extérieur de la cage et à l’extrémité droite de l’hémicycle, devant le premier rang de fauteuils, une jeune femme de 25 à 30ans qui chevauche dans une intégrale nudité un jeune homme de son âge est lancée dans un coït démoniaque!!! Elle à de longs cheveux noirs qui dansent devant son visage tout en dégageant par moment la vision de ses deux petits seins. Deux petites mamelles écartées et pointues avec de longs mamelons roses dressés vers le ciel comme un porte-manteaux. Deux petites masses molles qui sursautent à chaque secousse de la cavalcade acharnée de la belle. Une de ses mains caresse le torse du garçon pendant que les doigts de l’autre malmènent avec vigueur son clitoris caché dans une forêt de poils noirs. Son visage ressemble à celui d’une sorcière concupiscente dans la folie d’un soir de sabbat. Le jeune homme apoplectique, à l’expression d’un étalon dépassé par le rut en cours, est en train de grogner un plaisir saccadé qui monte de ses couilles!!! Dans un hurlement de bête déchainée la fille émet la jouisance d’un orgasme qui semble ne vouloir jamais finir!!!..Jusqu’à ce que, anéantie, elle s’effondre sur le corps du mâle, assouvie comme lui. Progressivement les spectateurs viennent reprendre leurs places dans les gradins de la salle. Un groupe composé de trois femmes et deux hommes se heurte aux deux amants assoupis. Ceux-ci un peu hébétés se lèvent précipitamment et cherchent leurs vêtements. Mais le groupe des cinq, sans doute émoustillé à la vue de ces corps nus encore empreints des odeurs et couleurs de sexe, se met à les chahuter pour les empêcher de se revêtir. Les trois femmes ont encerclé l’homme qu’elles tripotent et caressent sous tous les angles. Les hommes ont pris la fille en sandwich et se frottent contre elle. Celui qui est devant s’est emparé de ses lèvres et l’embrasse goulûment. Sans doute seraient-t-ils tous repartis dans une sorte d’orgie si d’un seul coup l’éclairage de l’amphithéâtre ne venait à se mettre en veilleuse au profit de l’illumination plus violente de l’octagone, mettant fin à leurs ébats. L’officiel et présentateur est entré dans la cage avec son "pense-bête" à la main pour faire connaître la suite du spectacle. A l’aide de son micro autonome il est obligé de solliciter le silence de l’assemblée à plusieurs reprises pour débuter son speech. Finalement le silence se fait et l’homme prend le parole: "Mesdames, Messieurs, je suis certain que les premiers combats ont eu la faveur de vous plaire. L’intérêt que vous y avez porté est la récompense des organisateurs mais par dessus tout celle des combatants qui se sont affrontés. Nous aimons les combats violents, les prochains à venir ne devraient pas vous décevoir." Après un instant de répit pendant les applaudissements qui confirment ses propos il poursuit sa présentation: "Le combat qui va avoir lieu maintenant est une lutte mixte au finish. Vont s’opposer devant vous, un lutteur Américain bien connu, ERNST, il mesure 1,78m pour un poids de 80kg et il est âgé de 30ans. Veuillez accueillir avec la chaleur qui se doit :..ERNST !!..." L’athlète qui se présente a un visage de statue grecque. Il est doté d’une épaisse chevelure chatain avec des reflets roux et porte une élégante moustache plus claire que ses cheveux. Son corps est enveloppé dans le cours peignoir habituel, mais il est évident que sa peau est plutôt claire. Il est accueilli par des applaudissements nourris. Lorsqu’il a pénétré dans la cage et s’est rendu à l’opposé de la porte le présentateur continue: "Son adversaire est bien connue également. Elle est âgée de 32ans, elle mesure 1,75m et pèse seulement 68kg, son poids de compétition avec des muscles secs. Pour la diablesse KETTY, je vous demande votre meilleur accueil!!.. Voici ...DEVIL’KETTY !!.." C’est un brouhaha d’applaudissements et de cris de bienvenue qui accompagnent la combattante pendant son trajet jusqu’à la cage. La femme qui se dirige vers l’octagone a de toute évidence rompu avec la tradition vestimentaire de ce club! Elle porte une grande cape noire qui lui descend à hauteur des mollets. Le vêtement laisse voir son corps musclé qui est habillé d’une sorte de blouson de cuir noir qui a un col classique mais qui est tellement court et échancré qu’il a plus la fonction d’un soutien gorge destiné à mettre en valeur sa généreuse poitrine. La seconde partie de son habillage est un string de cuir qui est orné sur le devant de deux triangles blanc martelé dont les pointes sont dans sa fourche. Enfin elle a aux pieds des chaussures qui seraient des chaussures classiques de lutteuse si elles n’avaient pas des hauts talons. Cet ensemble vestimentaire lui donne un aspect diabolique.d’ailleurs l’expression de son visage et sa démarche la rendent satanique!!! En entrant dans la cage elle reste prêt de la porte et après avoir fait lentement un tour sur elle-même pour être bien vue de tout le public, dans un geste théâtral elle se débarrasse de son ample cape noire qu’elle tend immobile à l’officiel. Celui-ci est obligé de se déplacer pour la prendre. Comme il fait demi-tour pour se rendre aupès de Ernst, elle le retient. Elle ôte alors son blouson soutien-gorge et son string qu’elle donne au présentateur. Elle se trouve alors entièrement dévêtue, ne portant plus que les gants de type cobra et ses chaussures à tiges hautes. Son adversaire a assisté passivement à ce genre de striptease en enlevant son peignoir pour se retrouver à ne plus porter que son micro-slip transparent et les gants de combat identiques à ceux de la femme. Lui aussi a dû subir le traitement préliminaire des mâles dans cette arène, et la vue de la nudité de son adversaire n’est pas faite pour calmer sa bandaison. Maintenant qu’elle est nue et qu’elle se pavane d’un côté à l’autre de la porte dans l’octagone on peut à la fois admirer son splendide corps de femme et faire des comparaisons avec son adversaire. Sa chevelure noire de jais est coupée au bas de la nuque et forme comme un casque à un petit visage qui serait assurément très agréable sans le maquillage outrancier fait justement pour la diaboliser: les sourcils ont été épaissis et allongés, les yeux ont été enfoncés par un noircissement très gras, la surface du visage a été pâlie par une légère couche blanche ce qui fait ressortir plus violemment les lèvres peintes en rouge sang. Dans le creux de l’aine droite elle a un tatouage noir qui stigmatise un genre de tire-bouchon ou une vrille. En tout cas quel qu’il soit il attire le regard sur une vulve prodigieuse sous un pubis glâbre et aussi bronzé que le reste de son corps. La faille sexuelle est constituée par deux lèvres longues et épaisses qui laissent dépasser un froufrou de chairs roses et brillantes. Les deux grandes lèvres se resserrent vers le haut et se terminent à leur jonction par un trou, une petite cavité rose, telle une petite et profonde fossette. Les autres attributs de la féminité que sont les seins sont assurément très artificiels. Ils sont si volumineux, si fermes et si haut plantés qu’ils nécessitent une prothèse. Il est fort probable que ce soit pour elle une obligation résultant de sauvages combats précédents. Le corps de la femme est uniformément d’un bronze doré et brillant. Il faut voir là la marque sinon du body-building au moins du fitness de compétition. Elle est svelte et élancée, fine même, mais avec des muscles secs, nerveux et puissants. Elle cache certainement une force implacable. Les épaules sont larges Les biceps sont une boule de muscle gonflé. Les abdominaux dessinent un pneu de moto de cross. Les fesses sont cambrées et leur rondeur est cabossée par des sinuosités musculaires. Les cuisses sont un faisceau de longs et épais muscles verticaux; si on se concentre uniquement sur elles, elles semblent posséder une force qui leur est propre, une puissance autonome!!! Et en celà elles sont secondées par des mollets noueux dont la brutale arrête repose sur le haut des chaussures. Mais évidemment comparée à la masse puissante et virile de son mâle adversaire elle semble être un fétu de paille qui va se faire bousculer sous la première poussée. Une bouffée d’orgueil et de vanité face à un solide étalon sans scrupules. Car Ernst sans être un pro du muscle excessif est un beau et solide garçon, aux muscles fermes et puissants, d’une puissance virile latente dont il peut s’enorgueillir et être fier. L’officiel de service a été assez long pour collecter les différents vêtements ce qui a permis au public d’apprécier et estimer les adversaires. Sans être devin et s’il y avait des paris engagés, Devil’Ketty se verrait gratifiée d’une cote si faible qu’elle ferait rire un bookmaker!!! Comme toujours, la fermeture de la porte grillagée correspond au coup de "GONG" qui ouvre les hostilités. Bras croisés sur sa poitrine et bite tendue à l’horizontal, avec une déviation sur la droite par la retenue du tissu, Ernst attend stoïquement la charge de son adversaire. Devil’Ketty se précipite à l’assaut de la montagne de chair en se lançant dans un saut chassé à l’attaque du torse du mâle. Il n’a fait qu’un écart sur sa gauche pour la contempler le cul par terre faisant un roulé-boulé arrière pour se relever après avoir frôlé la grille avec les semelles de ses chaussures. C’est une situation stupide qui génère quelques éclats de rire dans l’assistance. Beaucoup de femmes ont une expression de déception. Ernst ne bouge pas, toujours bras croisés, jambes légèrement écartées. Les rires atteignent Ketty comme un coup de fouet dans son orgueil.Elle se tourne sur elle-même tel un éclair en lançant son pied droit dans le sexe du mâle arrogant. La chaussure plie la bite jusque sur la cuisse droite de Ernst avant de l’y écraser. Le coup a été sec et fort, mais il n’a nullement blessé l’homme qui affiche un sourire ironique. Devil s’est trop précipitée pour bien viser les couilles. En plus de çà, c’est à croire qu’elle est conne, elle se relève en tournant le dos à son adversaire!!! Ernst ne perd aucun instant pour continuer à se moquer d’elle en lui envoyant un formidable coup de pied dans le cul qui la propulse jusque de l’autre côté de la cage. Alors, en décroisant ses bras il vient lentement au centre de la cage. Avec précaution et en tournant autour de lui, Devil’Ketty revient à l’assaut de la forteresse masculine qui l’attend sans appréhension. Elle simule des départs d’assauts sans le faire frémir. Il attend simplement qu’elle soit à portée et alors il s’engage dans un combat de boxe en mettant derrière ses poings toute la lourdeur de son corps. Il cogne au coup par coup sans vitesse mais chaque coup semble porter. Les "fllaackk" et les "cllaackk" se succèdent à chacun de ses mouvements. La tête de la femme n’est pour lui qu’un simple punching-ball mouvant. Mais à y voir de près il n’est pas certain qu’elle prenne tous les coups. Elle se protège assez bien de ses poings levés et certains coups arrivent sur ses mains ou sur ses bras. Maintenant elle se déplace plus vite, elle évite et elle commence à tenter de rendre des coups de son côté. A la force brute du mâle elle oppose une félinité qui va lui rapporter un peu de succès mais seulement à la longue. Pour lui la seule cible est la tête. Pour elle c’est le cou, ou en-dessous du sein gauche au niveau du coeur et plus bas à droite côté foie. Doigts tendus elle frappe de secs atémis sur les diverses cibles qu’elle marque à chaque fois des traces de ses ongles. Mais il n’empêche que pour un coup qu’elle porte avec efficacité elle en reçoit deux maousses qui la font vaciller. Il est curieux que Ernst se concentre aini exclusivement sur le visage de la femme sans chercher aucune autre cible. Pour lui les seins sont trop artificiels??!! Sa tactique est sans doute payante car elle recule de plus en plus. Sa face est de plus en plus marquée. Les fards de son maquillage l’ont sans doute un peu protégée, mais maintenant son mascara coule en se mélangeant à la sueur qui ruisselle et au sang qui s’écoule de différentes blessures. Elle saigne du nez et de la bouche. Des balafres ensanglantes ses joues et ses arcades sourcilliaires sont coupées. Son oeil gauche surtout affiche par son début de fermeture les coups qu’il a reçu. Sa tactique à elle rapporte aussi quelques dividendes. Le cou de Ernst est balafré sur toute sa surface de petites stries sanguinolentes. Et il doit ressentir des douleurs au niveau du foie et de l’estomac. Alors il fonce davantage, encore plus plié en avant pour s’éloigner des mains de la femme il cogne à plus longue distance. L’un et l’autre sont haletants et commencent à fatiguer. Cet assaut semble sans fin et vouloir durer toujours. Elle s’échappe maintenant de façon irrégulière par des fuites à gauche ou à droite sans discontinuer. Pour la suivre il est obligé d’élargir son assise au sol en écartant davantage ses pieds. C’est ce qu’elle cherche et qu’elle obtient. Elle se prépare bien et quand elle le sent à la bonne place elle lui envoie un fantastique coup de pied entre les jambes pour lui écraser les couilles!!! Elle a réussi. Il recule et rompt le combat. Il baisse ses mains à ses bourses endolories tout en la regardant elle. Ils se regardent et se comprennent sans se parler. Silencieusement avec leurs yeux ils se confrontent. Il lui dit qu’elle la eu. Elle lui dit qu’elle va l’avoir encore. Elle lui dit aussi qu’il lui a fait mal et qu’elle souffre des blesures à son visage. Il lui dit qu’il va la finir immédiatement. La salle, elle, n’est pas silencieuse. Les spectateurs sont encore divisés entre supporters de l’une et de l’autre. Ils ont manifesté leur satisfaction devant la montée en réaction de Devil’Ketty. Certains ont applaudi son coup de pied dans les parties vives et fragiles du mâle. D’autres ont conspué cette action alors qu’ils soutenaient le matraquage par Ernst du visage de la fille. Mais ils ont tous compris que ce combat qui paraissait aussi inégal au départ peut leur apporter des surprises, des violences et brutalités non soupsconnées. Alors ils sont trop impatients d’en voir davantage pour perdre un seul regard et se consacrer à des règlements de compte entre-eux à propos du soutien qu’ils apportent à l’un ou l’autre des belligérents. Tout comme elle, il commence à être en sueur. Ils se remettent à tourner l’un autour de l’autre. Finalement comme une fusée il se lance sur elle. Pas pour la frapper cette fois mais pour la prendre à bras le corps. Elle le voit venir. Reculer ne lui sert à rien. Au dernier moment elle s’accroupie et avec les deux mains doigts tendus elle le prend en pointe au bas du ventre!!!....Non!! Pas dans les couilles!!!...Juste au-dessus de l’os du pubis et un peu de chaque côté, par dessus la bite tendue vers elle!!! C’est pas un endroit renforcé de beaucoup de muscle protecteur, tout du moins quand on ne s’y attend pas et qu’on n’est pas préparé pour çà. Il ouvre la bouche et fait une grimace. Et puis emporté par son élan il rentre dans Devil’Ketty qu’il bouscule et il passe par dessus elle. Il se retrouve à plat ventre avec la fille allongée sur le dos et la tête sous ses abdominaux. Il est un peu sonné par le coup pris dans son bas ventre. Elle est écrasée par la masse du corps au-dessus d’elle. Elle réagit la première. Sans bouger son corps elle envoie ses mains à la recherche du sexe mâle qui doit se trouver à sa portée sur sa poitrine ou son ventre. Elle le trouve juste en dessous de ses seins. Elle contourne la grosse barre de chair, enserrée dans le string, qui lui barre le passage et se met à empoigner et serrer le paquet de glandes épaisses et gonflées qui sont à sa portée. Entre ses deux mains elle roule l’une contre l’autre les deux grosses noix qui sont à la fois dures, tendres et sensibles. La douleur se fait ressentir presqu’aussitôt. Alors qu’il s’est emparé de la tête de Ketty sous son ventre il se recule précipitamment pour échapper à la prise et il se redresse en même temps. Il se retrouve à genoux assis sur les cuisses de la fille avec elle bloquée contre son torse puissant. Ketty a son visage applati contre la poitrine de l’homme et ses bras coincés entre leurs deux corps. Ernst a sa bite dressée qui est écrasée entre les bras de la femme. Elle n’a pas lâché ses couilles qu’elle roule entre ses paumes. Elle est étouffée à moitié et ne réussit pas à mordre pour se libérer. Malgré ses essais il ne parvient pas à mettre ses glandes hors de portée. Il souffle comme un phoque et dans un accès de colère il empoigne d’une main la chevelure noire de Devil’Ketty pour éloigner son visage de sa poitrine et lui envoie de violents coups de boule. La figure déjà meurtrie, boursouflée et saignante de la femme se met à gicler le sang sous les chocs violents du front de l’homme qui a rouvert ses blessures. Elle hurle sa douleur et crachant le sang de sa bouche. Elle l’invective: "Enorme salaud!...Monstre puant!...Stop ou je te tue!!!" "Lâche mes couilles!...Allez lâche!!!" Elle abandonne sa prise mais ne peut pas dégager ses bras car il la maintien contre lui de son autre bras. Alors elle tente de lui donner des coups de genoux entre les cuisses, en même temps qu’elle lui crache à la figure. Irrité il la repousse de lui mais sans abandonner la prise de cheveux. Au contraire il l’empoigne à deux mains et il s’en sert comme d’une poignée pour la faire se lever avec lui et la faire tourner autour de lui. Il y met tant de force et de puissance, comme un lanceur de marteau en athlétisme, qu’elle est décollée du sol. Quand il juge avoir pris assez de vitesse et d’élan, il la lâche et elle va s’écraser contre la grille de la cage de tout le devant de son corps. Sans attendre il se précipite sur elle il la reprend aux cheveux. Il l’asseoie dos au grillage et lui fait cogner le derrière de la tête contre la grille. Il est accroupi devant elle. Alors elle lui empoigne à nouveau les couilles à deux mains et elle serre entirant vers elle par saccades. Elle lui crie: "Salaud de macho!!!...t’es une ordure, plus dégueulasse qu’un cochon!! Du dégueulis de chiotte!!!...Un bâtard plein de merde!!!" "Et toi tu n’es qu’une gueunon en chaleur!!!..Lâche mes couilles ou je finis de t’écraser ta seule gueule au travers de la grille!!" Après avoir dit il lui tourne la tête de côté pour la frotter contre le grillage,alors elle abandonne sa prise et lève ses mains. Mais ce n’est pas pour se protéger. Chaque main prend pour cible un oeil de l’homme. Elle envoie ses doigts tendus dans les globes oculaires, sans pitié et sauvagement!!! "Sale putain de garce de bordel de merde!!!...Merdeuse poufiasse!!!" Il l’insulte à son tour mais son sexe est libéré alors il se relève aussitôt et il profite de ce que la fille est toujours assise pour lui envoyer quelques coups de pieds supplémentaires dans la gueule!!! Mais il s’éloigne en soulevant ses bourses martyrisées. Contrairement à tout homme dans un état normal, sa bite est toujours raide et gonflée au maximum! Devil’Ketty se relève et essuie doucement son visage avec l’intérieur de ses bras là où c’est le plus doux. Elle voudrait soulager son oeil gauche et avec ses gants cobra elle n’est pas à l’aise. Alors elle enlève le cobra de sa main droite ce qui lui permet de mieux écarter ses doigts pour soulever et entrouvrir ses peaupières. Son visage n’est vraiment pas beau à voir et le sang qui s’écoule de l’arrière de son crâne enduit de rouge sa noire chevelure et son cou, alors que le reste de son corps ne marque pas de signes de blessures. Il semble que Ernst fasse peu de cas des gros nichons emplis de prothèses et que cette zône n’offre aucun intérêt pour lui. Pourtant depuis ses épaules tout le devant de son corps est maintenant taché du sang qui s’écoule de sa tête. Elle en a jusqu’au bas de son ventre!!! Ernst a glissé sa main dans son mini-slip pour soulager ses testicules et en même temps il surveille son adversaire. Alors que d’une main il fait un berceau à ses couilles de l’autre il branle doucement sa bite en rut. La vision de Ketty s’est améliorée et elle a pincé le dessous de ses yeux pour crever les poches de sang des hématomes et les faire saigner. Il est difficile de croire qu’abimée comme elle est elle conserve la volonté et le désir de se battre. Ernst la juge bien affaiblie et en difficulté. Il la voit adossée à la grille de la cage reprenant son souffle et son rythme cardiaque. Il estime qu’en attaquant tout de suite il doit pouvoir en terminer rapidement. Alors comme un tigre déchainé il bondit sur elle pour l’écraser de sa masse contre le grillage. Elle attendait quelque chose comme çà! Elle s’avance un peu en se déplaçant sur sa gauche et en se pliant sur sa hanche gauche elle lance son pied droit en hauteur pour l’atteindre de sa bottine au visage!!! Non seulement elle le stoppe mais elle le fait mettre un genou à terre. Alors qu’on croit qu’elle va frapper à nouveau à coups de pieds elle surprend les spectateurs en sautant à cheval sur son cou de côté. Dans son élan avec la force de son poids elle le couche sur son dos alors qu’elle se place sur son propre côté droit. Elle s’empare d’une poignée de la chevelure brune de sa main gauche toujours gantée pour bien le positionner à l’arrière de ses cuisses puis elle le frappe au visage avec une rapidité sauvage. Elle lui abime rapidement le nez, la bouche et son oeil droit. Dès qu’elle le voit commencer à saigner elle abandonne sa prise, se relève et cette fois se met à lui matraquer la tête à coups de pieds. Cette rapide volte-face perturbe le lutteur qui est un peu débordé en ne sachant trop comment se protéger de cette furie virevoltante. Alors qu’il est assis elle tourne autour de lui en le cognant avec ses pieds. C’est une guêpe en surexcitation qui attaque sans répit de partout!!! et qui frappe partout violemment!!! Elle est plus légère et moins forte que lui mais toute sa puissance est renforcée par sa rapidité et sa précision. Elle fait plaisir aux spectateurs qui ne s’attendaient pas à un tel revirement de situation. Il y a dans la salle maintenant des applaudissements et des encouragements à son égard. Mais évidemment il y a aussi quelques mâles sifflets et insultes! Et soudain elle suspend son assaut. Elle empoigne le mâle par les cheveux et elle le tire pour l’allonger sur le dos. Simultanément elle le glisse dans un ciseau de tête entre se cuisses de façon à se trouver sur son côté droit à elle et sa tête du côté des pieds de Ernst reprenant ainsi la position qu’elle avait un moment avant. Sa saisie par les cuisses est impressionnante! Les muscles saillent autour de la tête de l’homme d’une manière époustouflante. La masse musculaire est aussi saisissante qu’un amas de lianes énormes se vrillant autour d’un tronc d’arbre. Femme presque fluette dans son ensemble elle exhibe dans son anatomie des muscles cachés. Ernst essaie de séparer les mors de l’étau des cuisses qui lui broient le bas du visage et le cou à l’aide de ses mains. En même temps il agite ses jambes et son bassin pour faire glisser la prise. Devil’Ketty n’a pas l’intention de le laisser lui échapper. De sa main gauche elle griffe le visage de son adversaire, elle pince et tord son nez, elle cogne sa bouche entrouverte pour lui couper les lèvres davantage. Elle descend sa main droite vers le sexe de son mâle ennemi et, au lieu de l’attaquer à nouveau dans ses organes fragiles et sensibles, elle va dans son slip chercher la dure bite gonflée qu’elle dégage du tissu. Maintenant elle le masturbe habilement ajoutant sa manipulation à l’excitation artificielle qui encombre l’appareil génital du garçon. Elle caresse, monte et descend sa main en entrainant la peau, elle titille le bout du gland, elle encercle la racine du membre et serre et desserre son anneau de doigts. Elle le fait tant et si bien que le mâle s’est calmé dans ses vélleïtés de combat et que maintenant il descend ses mains qu’il joint à celle de la femme non pour la contrer mais pour la guider sur les énormes proportions prises par sa verge. Ketty s’est étendue davantage sur le côté et sa main gauche gantée vient se joindre aux autres mains pour traire à deux mains et amener Ernst dans la sphère de la jouissance. Il serre ses jambes en cadence avec les manipulations et son bassin se lève pour aller vers un sommet maintenant attendu. Du gland gigantesque une longue fusée crèmeuse jaillit en oblique vers le plafond et après une courte immoblité c’est une succession d’éjaculations qui va en se réduisant dans un grondement de forge émis par le jouisseur. Le foutre s’est répandu sur l’abdomen du mâle et sur les bras de l’experte manipulatrice. Devil’Ketty tout aussitôt ramène ses mains à l’assaut de sa victime encore noyée dans son plaisir. Sa main gauche repart à l’attaque du visage pendant que la main droite se glisse sous sa cuisse gauche pour aller pincer le larynx du grand mâle. Elle va chercher à l’étouffer, mais l’homme ne reste pas sans réactions. Ses mains tentent de libérer son cou et son visage pendant que faisant des moulinets avec ses jambes il cherche à glisser du ciseau des cuisses de fer de son ennemie. Dès qu’elle perçoit la moindre faiblesse dans ses prises la femme aussitôt revient supplicier les couilles de son adversaire. Elle y va sans aucun respect. Elle cogne en atémi du tranchant de sa main et ensuite elle pince, broie et tord les glandes qu’elle écrase. Sitôt qu’il semble calmé elle reprend ses prises d’étouffement. Celà peut durer ainsi une éternité ou jusqu’à l’abandon de l’homme!!! Mais il change soudain de tactique. Il s’attaque maintenant lui aussi au sexe de la fille. Tel un gros ballot! Il n’avait pas pensé au sexe féminin!! Il ne le voit pas mais en levant ses mains sur sa poitrine il va de sa main droite à la recherche de la fente sexuelle qui se trouvedu côté de sa joue droite. La pression des cuisses qui l’enserrent est telle qu’elle semble sceller les grandes lèvres et le bout des doigts ne trouvent que les chairs frippées et moites qui dépassent sans être très accessibles. Alors comme pris de folie et envahi par la colère il lance ses jambes vers son torse et sur le côté dans l’espoir d’atteindre et de cogner sa tortionnaire. Elle tente de le calmer en lui broyant les couilles à nouveau mais cette fois il paraît être devenu insensible car il rue de plus belle. Elle sent la prise de ses cuisses qui commence à glisser. De la main gauche elle lui empoigne les cheveux pour maintenir sa tête et rétablir son ciseau. Elle est obligée un court instant d’écarter ses cuisses et le salaud il en profite pour enfiler deux ou trois doigts dans la chatte entrouverte. Par réaction elle cogne dans les couilles et sur l’énorme manche qui n’a pas rejoint la cachette du slip. Ils s’affolent tous les deux. Ils se livrent à un combat désordonné et sauvage d’assaut sur le sexe de l’autre et de recherche de domination. Il semble qu’elle perd la bagarre. La tête d’Ernst tourne progressivement entre les cuisses huileuses de sueur de Devil’Ketty. Son corps fait de plus en plus face à celui de l’autre et ils se retrouvent dans une sorte de 69 avec le nez du mâle fiché entre les fesses de la fine brune. Ils sont tous les deux sur leur côté droit. Il lui travaille le sexe à deux mains maintenant. Alors elle se plie en avant vers les pieds de l’homme ce qui lui bloque les mains en partie. Il tente de prendre la tête de la fille en ciseau lui aussi. Seulement sa cible à elle c’est encore le sexe mâle. Son visage est maintenant devant les attributs masculins. De sa main gauche elle guide la hampe vers sa bouche et de la droite elle s’empare à nouveau des couilles de Ernst. Elle le suce. Il calme ses ardeurs combatives pendant un moment savourant sans doute la douceur aspirante de la bouche de Devil. Il en arrive même à pousser son bassin au devant de la fille. Il a abandonné son assaut sur la grotte féminine et maintenant ses mains caressent les cuisses de Ketty. Il n’y a aucun doute pour les spectateurs, la lutteuse est encore en train de pousser son ennemi vers le plaisir sexuel!!!un silence relatif s’est établi dans les gradins de l’amphithéâtre. Les appréciations diverses étant émises plus sourdement comme pour ne pas troubler les ardeurs sexuelles des lutteurs. Le visage de l’homme est visible pour une partie du public et son expression est bien celle du mâle qui s’approche de l’orgasme. Ses yeux son fermés. Il parait concentré. Sa bouche encore sanguinolente est ouverte et il respire à grandes goulées en émettant des grognements qui doivent être de satisfaction. Et soudain il pousse ..un hurlement!!!...qui brise les oreilles jusqu’en haut des gradins. En même temps il secoue tout son corps en continuant de crier de douleur. Il essaie de repousser de lui Devil’Ketty qui s’accroche à lui par les dents sur son gland et par les ongles de ses mains sur le paquet de couilles!!! C’est vraiment de la part de la fille l’attaque la plus vicieuse qu’elle pouvait faire sur son adversaire. Elle l’a amené à la frontière du plaisir et quand elle a senti la première pulsation dans la grosse verge, au moment du prémice éjaculatoire elle l’a mordu à pleine dents juste en-dessous du bourrelet du gland!!! Et puis elle ne s’est pas contentée de cette sauvagerie elle lui a en plus écrasé les "bijoux de famille" en enfonçant ses ongles dans la masse si sensible des glandes alors gorgées de semence!!! C’est vache et c’est dégueulasse!!!....c’est souvent un acte auquel les adversaires répugnent même dans les situations les plus alarmantes. Mais ce n’est pas hors des règles du fait même qu’il n’y a pas de règles et d’interdictions. Dans la salle c’est maintenant un brouhaha d’appréciations et de condamnations devant cette sauvagerie. Ernst s’est-il soucié de l’apparente faiblesse de son adversaire féminine au début du combat? Ne lui a-t-il pas maltraité le visage à outrance? Et puis sait-on vraiment jusqu’où est allé Devil’Ketty dans cette bestiale attaque?? A-t-elle beaucoup blessé son mâle ennemi?? Maintenant il frappe du plat de ses deux mains le tapis de sol de la cage. Il hurle sa défaite en même temps que sa souffrance: "Stop!!!Stop!! Arrétez cette garce sauvage!!! Stop j’abandonne!!!" C’est le Gong...qui lui répond et arrête le massacre!!! Devil abandonne ses prises sur Ernst, mais en se mettant à genoux elle fait signe vers les officiels à l’extérieur de ne pas ouvrir la porte grillagée. L’homme qui est déjà debout devant celle-ci s’éloigne avec l’accord des responsables. Ernst est couché sur le côté à moitié en chien de fusil et il parait soulager les blessures sur ses organes génitaux avec ses mains qu’il a débarassées des gants cobra. Il gémit doucement mais semble récupérer progressivement des violences excessives de son ennemie. Devil’Ketty s’approche de lui sur ses genoux. Elles lui parle un court instant et il fait un signe d’acquiescement. Alors il se tourne sur le dos, ses mains enveloppant toujours son sexe meurtri mais dont le gland écarlate dépasse avec provocation. Devil vient se positionner à cheval sur les jambes de son adversaire vaincu et ses mains viennent remplacer celles de l’homme. Elle humecte ses doigts et crache dans ses paumes. Doucement, amoureusement dirait-on, elle manipule les fiers objets. Elle embouche à nouveau la grosse tige tendue et elle fait descendre lentement le gland vers le fond de sa gorge. Dans un sensuel va-et-vient elle humidifie et finit d’échauffer le sexe du mâle. A voix basse elle l’interroge. Et sans doute a-t-elle reçu son accord. Elle l’abandonne mais s’avance sur lui en fouillant de ses doigts salivés dans son propre sexe. Une fois en bonne position, elle se soulève et engrouffe dans sa chatte en fusion le pénis turgescent. Les bruits de la salle sont un mélange de grognements, de soupirs et de ricanements, tous de plaisir. La folie sexuelle dans laquelle s’engage les deux anciens adversaires a gagné l’ensemble des spectateurs. La lutteuse et son vaincu restent étrangers au charivari des témoins et ils se livrent maintenant une sorte de lutte que les règles des combats ignorent. Elle chante son plaisir la première, mais elle attend l’arrivée du mâle en poursuivant sa cavalcade qui finit par les projeter tous les deux dans des orgasmes bruyamment patagés et comblés de plaisir. C’est presque en catimini qu’ils s’éclipsent de l’octagone, sans qu’aucun applaudissement ou ovation leur soit accordé tant l’activité sexuelle des spectateurs est intense et absorbante. La tension dans l’atmosphère est presque palpable, et les fragrances qui émanent des couples assemblés commencent à devenir épaisses et agressives!!! Côte à côte, la femme couverte de sang mélangé à son maquillage et l’homme puissant au visage abimé lui aussi dans une moindre importance s’en vont vers les vestiaires. Lui la bite toujours aussi glorieuse et luisante de sa jouissance, elle avec sur l’intérieur de ses cuisses des gluances visqueuses de la même jouissance. Ils entrainent dans leur sillage la très belle chanteuse noire Américaine à la crinière de blonde lionne!!! La "grand’mère du rock" est sans doute intéressée par les prestations sexuelles de l’un ou l’autre des combattants. Toujours est-il que ses narines n’ont jamais été aussi évasées et que ses yeux brillent d’une exceptionnelle excitation. De plus sa tenue qui ne consiste qu’en une courte chemise blanche entrouverte sur son corps d’ébène nu met en évidence la beauté de ses longs et épais mamelons qui ont certainement eu droit à des caresses et des malaxages voluptueux. Alors qu’ils disparaissent, dans la salle quelques spectateurs reviennent sur terre si l’on peut dire. Les premières interpellations, entre partisans de chacun des combattants qui se sont affrontés, commencent à se faire entendre.... C’est ainsi que l’on entend entre autre: "Dis-donc grande putain! Tu aurais bien voulu t’enfoncer la grosse queue de Ernst dans ta crevase pourrie!!!" "Parce que toi espèce de vieille connasse, tu aurais mieu aimer te faire sucer la sorte d’asticot qui te sers de clito par la diablesse sans doute!!!" "Viens le répéter ici si tu es une vraie femme espèce de garce!!!" Et l’animation retrouve sa verdeur de langage et de provocation.....