La Saga de AXILINE 11ème épisode D’après Violente =o=o=o=o=o= La bestialité de la fin du combat entre Ingrid et Pétra a mis l’assemblée de spectateurs en effervescence. Il y a les partisans d’Ingrid qui approuvent sa cruauté malgré l’arrêt officiel du combat, et ceux un peu plus nombreux peut-être qui blâment une telle brutalité une fois le combat arrêté. Le puissant éclairage de l’octagone a été coupé et la pleine lumière est revenue dans la salle. Des hommes d’entretien sont en train de nettoyer le sol plastique de la cage afin d’offrir un terrain propre aux combattants qui suivent. Ces deux adversaires, Josette et Anne Marie, sont dans des petites pièces vitrées, situées à l’étage devant la cage, où elles se préparent et se concentrent pour s’engager dans leur affrontement. L’attention de Colette et Anne Marie n’est pas attirée vers les événements extérieurs. Alors que dans la salle certaines discussions tournent à l’orage et que dans quelques groupes on en est venu aux mains même dans les gradins et les escaliers. Par contre Josette et Valérie ont bien vu ce qui se déroule mais ne parviennent pas à bien observer simultanément tous les endroits de la salle où quelques affrontements sont en cours. Elles visualisent des accrochages entre des personnes qu’elles connaissent ou dont les visages leurs sont connus. C’est ainsi que tout en haut de l’hémicycle elles sont très étonnées de voir l’actrice Catherine B.... et la championne d’extrême fight, la Hollandaise Loïs A.... , debout face à face, presque topless, en train de se gifler magistralement. Après avoir engagé leurs deux mains à tour de rôle pour frapper, elles se sont chacune saisi du sein droit de l’autre et elles continuent de leur main droite à se souffleter avec violence. Elles sont échevelées, leurs joues sont rougies du feu de l’action et des claques, elles semblent pleurer et s’injurient sans que leurs invectives soient compréhensibles. Plus au centre dans les escaliers, elles ont fini par reconnaître une joueuse de tennis Américaine qui est dominée par la judokate Céline L..... Là le match est plus équilibré du point de vue de l’âge, de la morphologie et des mensurations des combattantes. Toutefois, les connaissances techniques du corps à corps font que Céline semble avoir acquis une réelle domination. Elle tient la tenniswoman dans un ciseau qui lui laisse peu d’échappatoire. Par diversion et par vengeance la noire a quand même la pleine utilisation de ses poings et elle martèle sans répit le visage de son antagoniste et de toute sa force. Elles sont moins bien placées pour jouir pleinement d’un combat qui se déroule tout en bas devant le côté droit de la cage. Là un homme inconnu est coincé de dos au grillage à l’extérieur et il subit l’assaut simultané de deux femmes en furie. Le plus étonnant est que ce sont:Véronique G..... et Frédérique L..... la jeune animatrice à la TV. Gifles, coups de poings, de pieds et de genoux...le pauvre homme ne doit son salut qu’à l’intervention de Valérie H..... la championne de boxe Taïe et de Kick boxing. De bons costauds, genre gorilles parviennent à séparer bon nombre d’antagonistes et progressivement le calme revient dans l’hémicycle. D’ailleurs le présentateur est entré dans la cage nettoyée. Il demande aux spectateurs de bien vouloir rejoindre leurs places pour permettre la poursuite des combats de la soirée. Ensuite il fait la présentation: "Le combat suivant va voir s’affronter deux femmes qui ne sont pas des habituées des combats qui se déroulent dans cette cage. Ce sont deux amies, deux Françaises, qui ont pratiqué la lutte par soumission en privé et ont obtenu des recommandations pour s’affronter ici. Je vous demande de faire bon accueil à la première : Josette, âgée de 53ans, elle mesure 1,67m et pèse 70kg......Josette !!! " Des applaudissements polis mais modestes accueillent la blonde. "Soyez un peu plus encourageants s’il vous plait pour l’arrivée de son adversaire : Anne Marie qui a 48ans, mesure 1,68m pour un poids de 75kg..... Voici......Anne Marie!!!" L’accueil est un peu plus chaleureux pour la femme aux cheveux noirs. Il est vrai qu’elle se présente en ayant laissé ouvert le peignoir qu’elle à sur le dos et qu’elle offre aux regards son corps volumineux et nu à l’exception d’un soutien-gorge rouge écarlate qui a du mal à contenir son opulente poitrine. Elle entrerait dans la catégorie des "grosses femmes" si l’entrainement physique qu’elle a suivi au cours des dernières semaines ne lui avait redonné une fermeté qui malgré tout dissimule les muscles. Elle a fait son chemin accompagnée par Colette, comme Josette vient de le faire avec Valérie. A voix basse durant le petit trajet elle a fait une remarque à son coach: "Je sens l’odeur sexuelle de Josette!!...J’ai l’impression de la suivre à la trace!!!...Elle doit être enduite de cyprine, c’est pas Dieu possible!!...Qu’est-ce qu’elle a dû jouir!!!" Josette voyant sa rivale entrer à demi dévêtue se débarasse de son peignoir et exhibe son corps puissant de sportive et de lutteuse. Son corps est moins volumineux que celui d’Anne Marie et les muscles sont un peu plus visibles. La comparaison est plus facile à faire maintenant qu’elles sont pratiquement nues face à face. Anne Marie est plus volumineuse de corps. Torse, ceinture et surtout le bassin sont plus épais et plus larges que chez Josette. Les seins et les fesses sont particulièrement plus développés, et pourtant l’ensemble est aussi attirant et séduisant que ceux de son adversaire. Josette a une allure plus sportive, plus affinée malgré l’importance de son ampleur, au premier regard elle semble plus apte à s’engager dans un combat violent et à le gagner. En résumé on peut dire que les qualités physiques de Josette sont égalées par la plus grande féminité d’Anne Marie!! Mais il reste évident pour la plupart des spectateurs que ces deux femmes n’ont rien à voir avec les combattantes qu’ils sont habitués à regarder. Ils doivent se dire qu’ils ont seulement affaire à deux mémères bien ordinaires. Le présentateur officiel récupère les peignoirs et lorsqu’il ferme la porte de la cage en sortant de l’arène le gong retentit pour donner aux adversaires le signal d’engagement des hostilités. La tension nerveuse et l’appréhension des deux lutteuses se reconnait à la lenteur de l’action. Elles se rapprochent lentement en tournant, bras et mains en positions de la lutte classique. Elles ne se quittent pas du regard et l’expression de leurs visages exprime une détermination farouche, presque de la haine. Sans doute la fameuse expression qui les motive: "L’autre est l’ennemie à tuer pour ne pas être tuée!" Lorsqu’elles se trouvent à portée de prise, elles tentent de saisir l’autre par n’importe quel moyen. L’allure s’accélère certes mais le contact ne se fait pas pour autant. Dans la salle un bruit confus de conversation a repris. C’est ainsi qu’on peut voir Loïs et Catherine, pourtant séparées par un malabar, recommencer à s’envoyer des coups en étant à-demi allongées sur les genoux du mâle qui semble prendre plaisir à l’algarade. Madame B.... est plus grande et a plus d’allonge, mais madame A..... a une puissance physique que l’autre n’a pas. Pour l’instant ce sont les seins qui sont la cible des coups de poings et ceux plus volumineux de Catherine sont une plus belle cible pour Loïs. Dans l’octagone le combat est enfin engagé. Josette s’est emparé d’un bras d’Anne Marie et dans un tour de hanche classique elle la bascule dos au sol, où elle chute lourdement, et vient aussitôt lui saisir la tête dans un collier de côté. Anne Marie soulève ses jambes et son gros cul avec une surprenante souplesse et d’un violent sursaut elle se libère et s’envient à genoux. Elle se trouve face à Josette dans la même position et immédiatement elle lui expédie un large crochet du droit en pleine figure! L’assaut a été surprenant de rapidité mais aussi d’habileté. Celà créé dans la salle un certain intérêt qui engendre quelques bravos. Alors que Josette est un peu déstabilisée par ce coup inattendu, Anne Marie avec une souplesse surprenante se relève aussitôt et dans la foulée lance un violent coup de pied dans la poitrine de sa rivale en lui écrasant les seins. Ce coup permet de montrer que les deux adversaires ont aux pieds des chaussons de gymnastes. Le coup de pied envoie Josette s’asseoir sur ses talons. Mais Anne Marie s’empare d’une grosse poignée de cheveux blonds et la force à se relever. Puis se servant de la chevelure comme d’une laisse elle fait tourner Josette pour la projeter contre le grillage. Mais fine mouche Josette résiste en utilisant la force du mouvement. Elle s’empare des poignets d’AnneMarie et à son tour la fait tournoyer pour la lancer dans la paroi de la cage. Elles finissent par atteindre toutes les deux la grille en se trouvant de côté dans une position qui n’est pas dangereuse. Alors se tenant l’une et l’autre par la chevelure elles essaient de faire cogner l’autre dans le grillage avec le devant de son corps. La mêlée est un peu confuse. Elles engagent ensemble leurs genoux pour porter des coups à l’adversaire. Elles font tant et si bien que progressivement elles s’éloignent de la paroi grillagée et finissent au sol enmêlées des jambes et cherchant avec violence à prendre la position supérieure. Leurs grognements d’efforts deviennent de plus en plus forts de la même façon que leur respiration s’accélère. C’est Josette qui ressort la maitresse de la situation. Anne Marie est allongée sur le dos et Josette est à plat ventre sur sa poitrine en faisant un angle de 45° entre leurs corps. Elle tient la tête d’Anne Marie en une clé renversée. Sous son torse le bras droit de la brune est écrasé au sol. Son menton écrase le sein gauche d’Anne Marie et sa main droite lui tient le poignet gauche. Anne Marie agite son bassin dans tous les sens en même temps qu’elle bat des jambes pour se dégager. Elle a dû envoyer sa main droite vers le bas du corps qui l’aplatit car on voit soudain Josette faire des bonds avec son bassin. Elle doit vouloir mettre son sexe hors de portée de la main agressive. Mais Anne Marie a sans doute atteint son but car les grognements de Josette ressemblent de plus en plus à des cris de douleur. Anne Marie n’a pas arrêté les mouvements de ses jambes qu’elle lance en l’air, parfois serrées, parfois ouvertes en un large V qui expose sa féminité au public. Sa longue vulve gonflée exhibe une large fente foncée à l’extérieur et plus rosée dans le milieu des lèvres. Tout en haut du sillon un long cornet charnu et gonflé dépasse de la vulve. On devine encore caché là un splendide clitoris qui doit déjà commencer à se développer. Pour répondre à la prise sur son sexe Josette se met en devoir de mordre le sein gauche d’Anne Marie par dessus le bonnet qui le retient. C’est blessure pour blessure et les deux adversaires s’agitent avec vivacité et ampleur, tant pour se protéger que pour augmenter leur prise. La prise d’Anne Marie doit être efficace car Josette au travers de ses dents serrées sur le sein de l’adversaire émet des cris étouffés de plus en plus forts. Elle soulève ses fesses crispées toujours plus haut au point qu’elle est presqu’à genoux. Et puis sans abandonner sa morsure elle lâche le poignet d’Anne Marie pour aller attaquer sa vulve elle aussi en représailles. Et l’on voit ses doigts qui s’activent à fouiller dans les chairs pour trouver les lèvres fragiles et les pincer, les étirer avec les ongles en les griffant. De son côté Anne Marie de sa main gauche libérée s’est tout de suite attaquée au visage qui la mord cruellement. Elle cogne à petits coups de poings secs, car elle manque de recul pour prendre de l’élan, qui atteignent le côté droit de la face de Josette. Puis elle lance ses doigts tendus à destination des yeux de la rivale. Elle cogne et elle enfonce en vrillant!!! C’est plus que Josette ne peut supporter. Elle rompt le combat, roule sur elle-même par dessus la tête d’Anne Marie et s’éloigne d’elle à quatre pattes. De son côté, la brune s’asseoit et commence à examiner la morsure qui la fait souffrir. Le tissu rouge du bonnet est plus foncé à l’emplacement de la morsure. La salive laissée par la bouche mais aussi peut-être un peu de sang. Josette caresse en douceur les lèvres de son vagin blessé. Pourtant l’onctuosité luisante des parois aurait dû assurer une glissante protection. Il faut croire que la force des doigts ou des ongles devait être très forte. Elles se relèvent simultanément et ne s’accordent aucun moment de répit. Elles se lancent dans un assaut de boxe, mélangé de quelques coups de genoux et de prises, de cheveux, d’oreilles, de bras et puis aussi de seins qu’elles empoignent à pleine main pour attirer l’adversaire plus près des coups ou au contraire la repousser pour se protéger. Cet assaut est un peu désordonné mais il reflète une réelle combativité et agressivité. Les spectateurs ne s’y trompent pas et apprécient la violence et la tenacité des deux adversaires. Leur corpulence ne faisait pas supposer une telle vivacité et une telle adresse dans la portée des coups. Car cette bagarre aux poings et pieds est longue pour de telles combattantes. Elles se bousculent au travers de la cage. Avançant et reculant tour à tour et parfois adossées au grillage elles semblent devenir plus sauvages encore pour repousser l’ennemie et se dégager. Leurs visages sont maintenant ensanglantés et les blessures se partagent à égalité. Les nez, les lèvres, les arcades sourcillières , les pommettes et aussi les yeux qui maintenant sont gonflés et rouges des coups reçus. Très vite d’ailleurs les figures se boursouflent et commencent à virer dans des couleurs irréelles. Les torses, et les bras sont parsemés de gouttes sanglantes qui vont jusqu’à jaillir au-delà de la grille. C’est un combat infernal autant par sa sauvagerie que par sa continuité, sans un instant d’arrêt, sans même une petite pause!!! Il y a maintenant des personnes debout dans les gradins qui lancent des encouragements à pleine voix. Et là encore les supporters pris par l’intense émotion du combat se sont partagés entre les deux combattantes. Mais c’est un peu une tradition ici. Il y a un esprit d’opposition qui domine l’ambiance. Celle-ci doit être par définition agressive pour être survoltée. Donc prendre position en faveur de l’une ou l’autre des combattantes relève plus souvent de la volonté d’être en contradiction avec l’ami ou la voisine par principe! Il est à noter que Axine a quitté son amant Aarb qui est accaparé par " la réparation " de Pétra. Elle est là dans la salle à regarder le combat de ses "deux élèves". Son visage exprime la satisfaction du bon résultat de son travail!! Elle n’espérait pas autant d’action de la part de ces deux femmes là!! Et puis il n’y a pas que la valeur du combat qui offre de l’intérêt pour les uns et les autres. Il y a également l’aspect oh combien esthétique des deux corps qui s’affrontent. Cette fois bien sûr ce ne sont pas les volumes musculaires qui se gonflent et se crispent dans l’action qui retiennent l’attention mais plutôt les formes matures, épanouies et généreuses des deux adversaires. Leurs sexes épilés, qui se sont gonflés sous l’excitation du combat offrent des grandes lèvres épaisses qui s’écartent pour donner passage à des chairs fripées mais abondantes et gluantes, attirent des regards qui deviennent avides et affamés de luxure. Qui s’énivrent de chair et de muscle. Elles ont leurs muscles noyés dans la chair, car comment pourraient-elles porter de tels assauts et de tels coups si elles n’en possédaient pas. Mais il y a les vibrations des chairs notamment dans les bras et les cuisses. Les ballottements des seins volumineux, d’autant plus que ceux de Josette remontent dans leurs bonnets et que maintenant les aréoles et les mamelons en sont sortis!! Quand à Anne Marie, la bretelle de son sein droit ayant cédé dans la bagarre, le volume copieux mais encore voluptueux s’est incliné sur la poitrine de la forte brune. Il portait déjà la large trace ovale et brunâtre des dents de la blonde et maintenant il s’orne de tache qui bleuissent, celles des coups reçus. Si les ventres sont plats et fermes devant l’estomac,c’est au bas de l’abdomen au-dessus du pubis, que, suivant leurs mouvements ou leur position, se forme un long sillon telle une longue ride plus profonde chez Anne Marie. Ce sont leurs cuisses et leurs mollets qui montrent le plus de fermeté musculaire. Les fesses plus volumineuses chez Anne Marie que chez Josette, sont paradoxalement plus exemptes de cellulite. En effet, si chez les deux femmes elles semblent assez fermes pour ne subir par moments que de légères vibrations, elles montrent toutes les crispations qui les sollicitent. Et chez Josette à l’abord des hanches leur peau est un peu granuleuse comme une peau d’orange. La parfaite rondeur lisse de celles d’Anne Marie est tout à fait séduisante. Elles sont d’une envergure sensuelle!!! Les deux ennemies commencent à fatiguer. Leur respiration, hachée de grognements d’effort ou de douleur, devient difficile. Les coups sont moins précis et l’allure est plus lente. C’est Anne Marie qui la première se trouve adossée, acculée, au grillage et semble ne pas pouvoir repousser Josette pour se dégager. Josette saisit Anne Marie par son soutien-gorge mais il lui vient dans les mains. Alors elle empoigne le sein gauche avec sa main droite et s’en servant comme d’une poignée elle fait faire demi-tour à son adversaire. Nul ne sait si elle s’est rendu compte que ses deux seins maintenant débordent par dessus son propre soutien-gorge. Anne Marie est face à la paroi de grillage et Josette s’emploie à la cogner de tout le devant de son corps contre le treillage métallique. Josette a passé ses deux bras sous les aiselles d’Anne Marie et la tient dans un Nelson. Elle appui tout son corps contre le dos de la brune et elle se recule pour se projeter en avant et écraser Anne Marie contre la grille. Alors que son corps est déjà couvert du sang projeté par les poings de Josette et de celui qui s’est échappé de ses blessures, c’est maintenant la sueur qui s’écoule avec profusion qui dilue tout ce sang pour l’étendre davantage. Et puis sa chevelure noire trempée de sueur dont les mèches ont collecté du sang finissent de peindre son corps de larges stries rougeâtres. Anne Marie offre une pitoyable image d’elle-même aux spectateurs qui sont devant elle. Elle ne peut pas se servir de ses mains pour se protéger des projections de son corps contre la grille. Mais elle parvient à accrocher le bout des doigts dans le grillage et à maintenir sa tête le plus près possible pour amortir les coups de son visage et de ses seins. Josette a bien perçu cette modification. Elle tente de tirer Anne Marie en arrière le plus possible. Pour s’aider elle agite son corps tout entier dans le dos de l’adversaire. Tant et si bien qu’elle se retrouve à frotter son pubis contre les fesses voluptueuses d’Anne Marie. La fatigue et aussi l’excitation du combat lui font dériver ses pensées vers un tout autre objectif que le combat. Elle se trouve involontairement entrainée dans la recherche d’un plaisir sexuel qui la soulagerait!!! Anne Marie n’a nul besoin des reflexions du public qui soulignent la masturbation de la blonde sur les fesses de la brune. Elle la connait bien "la blonde" et elle connait ses appétits sexuels. Ausi pour elle dans l’immédiat c’est de jouer son jeu et de participer à sa conquête d’un orgasme. Et bien sûr de profiter de la situation!! Elle joue des fesses en se cabrant pour mieux mettre ses volumes à portée du clitoris qu’elle sent se compresser sur elles. Un relatif silence s’est établi dans l’assemblée. Maintenant on perçoit la respiration, devenue rauque, de Josette qui s’accélère en exprimant des soupirs qui deviennent des grognements de plaisir. Il y a dans la salle des mouvements divers. Certains hommes commes des femmes se branlent ouvertement au rythme de Josette. D’autres ont formé des couples ou même des groupes qui se caressent, se sucent ou bien encore copulent carrément, installés dans l’escalier ou entre les rangées de fauteuils. L’odeur de sexe en rut s’exhale dans la salle. Au moment où le corps de Josette commence à être secoué par les spasmes de l’orgasme, Anne Marie se libère facilement et se saisissant de Josette par une ceinture avant, elle la soulève, et dans un retournement sur elle-même, elle la projette au sol et vient s’écraser sur elle de toute sa longueur, face à face. Anne Marie se lance dans un assaut pugilistique du visage déjà bien abimé de Josette. Et puis elle se met à partager entre le visage et les seins et on peut l’entendre murmurer entre ses dents serrées: "Et un coup pour la gueule! Et un coup pour les nichons!...etc...." Josette fait tout ce qu’elle peut pour se protéger et l’on aurait pû croire qu’elle allait subir cette attaque sans pouvoir se libérer. Mais elle a sur son estomac, entre les cuisses ouvertes d’Anne Marie une vulve qui lui offre sur un plateau un clitoris dont le petit bout nacré émerge de sa longue gangue en forme de corne d’abondance!!! Elle glisse sa main droite jusqu’à cette petite cible et s’empare entre les ongles de deux ou trois doigts du petit organe du plaisir. Anne Marie ne réagit pas aussitôt. Sans doute la douleur n’est pas assez forte au début et n’atteint son centre de perception que lorsque les pinces de Josette se montrent trop efficaces!!! Elle pousse d’abord un puissant cri et porte une de ses mains vers le sujet de la douleur. Mais Josette qui a renoncé à toute protection pour les coups de poings amène sa main gauche à la rescousse pour empêcher une libération. C’est au tour d’Anne Marie de faire des bonds avec son corps pour éloigner son sexe des mains de Josette. Et finalement en laissant un filet de sang sur les doigts crocheteurs elle parvient à s’extirper de la prise de Josette et se lever Sophie, l’actrice, est venue s’accroupir auprès de Colette pour prendre des photos du bord de la cage.Elle est tout excitée et elle interroge Colette: "Tu les connais ces deux femmes?" "Depuis hier seulement et encore je ne me suis occupée que de la forte brune, Anne Marie!" "Elle est époustouflante cette grosse bonne femme!! En la voyant entrer dans la cage je n’aurai jamais cru qu’elle se serait battue de cette façon là!!" "Elles se sont déjà battues toutes les deux mais jamais comme çà!" "Eh bien je peux te dire que mes photos me feront un sacré souvenir! Je prendrais surement beaucoup de plaisir à les regarder pour revivre ce combat. Je suis tellement excitée que j’ai l’intérieur des cuisses complètement englué!!!..." Anne Marie est relevée avant Josette qui est encore à genoux. Elle s’approche de sa rivale et profite de ce que sa tête soit à portée pour lui envoyer un coup de pied en plein visage!! Josette émet un cri sourd de douleur mais s’empare du pied qui cherche à l’atteindre une seconde fois et fait chuter Anne Marie sur le dos. Sans même se relever complètement elle se lance sur son adversaire et atterrit de la pointe de ses coudes sur les seins de la brune! Il s’ensuit une lutte au sol pour la domination et Josette parvient à saisir la taille de Anne Marie dans le ciseau de ses cuisses. La forte femme réagit en agitant tout le bas de son corps et en lançant des coups de poings vers la poitrine et le visage de Josette. Elles finissent par tenir chacune de sa main droite le poignet gauche de l’autre et c’est à un assaut de force qu’elles se livrent alors. Anne Marie a beau se défendre avec frénésie, elle subit de plus en plus la domination de Josette. Celle-ci glisse son ciseau de ceinture sur la poitrine de la puissante brune. Elle finit par l’appliquer à la tête en maintenant son adversaire par la chevelure et en lui bonbardant le côté du visage avec son poing. Anne Marie porte bien des coups elle aussi pour se défendre et blesser sa rivale, mais elle reçoit plus qu’elle ne donne ou tout du moins ses coups sont moins efficaces que ceux de Josette. A ce moment Anne Marie se trouve presque adossée au grillage de la cage. Colette s’est rendue derrière elle et elle l’encourage: "Bats-toi bon sang!!...Allez Anne Marie! Dégage-toi par tous les moyens!! Fais-lui mal! Mords-la! Saigne-la!... Arrache-lui ses nichons ou son clito si tu peux! Fonce dans son cul!! Fais n’importe quoi mais dégage-toi!! Rappelle-toi, tu dois la tuer ou tu vas être tuée!! Allez !! Vas-y!! " Ces encouragements semblent être un aiguillon enfoncé dans la chair de la puissante brune. Avec un hurlement poussé comme un cri de guerre elle doit s’attaquer à une des parties sensibles de son adversaire dans un assaut que le public ne peut pas discerner mais que Josette ressent très bien. Elle aussi émet une sorte de violent beuglement de souffrance en même temps qu’elle se met à faire des bonds de tout son corps. Celà permet à Anne Marie de se libérer en partie. Elle se retrouve à genoux et pliée en avant bloquée par ses cheveux entre les cuisses de Josette et tirés de toute ses forces par celle-ci, allongée sur son dos et ses pieds levés en appui sur le dos de la brune. Il semble qu’Anne Marie a ses mains engagées dans une attaque du sexe et de l’anus de Josette. Mais elle abandonne cette torture pour passer ses bras devant les cuisses de la blonde comme point de pression pour la plier davantage pendant qu’elle se remet sur ses pieds et tente de se lever. C’est compter sans la force de Josette qui les bascule toutes les deux sur le côté!! Devoir à refaire!! La tête d’Anne Marie n’est plus entre les cuisses de Josette mais en appui contre les muscles arrières. Habilement Anne Marie poursuit le mouvement de basculement et en même temps ramène son ventre contre le dos de Josette. Il semble qu’elle s’est souvenu de l’action d’Eléna dans le second combat, lorsqu’elle a poursuivi le mouvement de la Brésilienne. Elle est toujours bloquée par sa chevelure mais ses bras et ses mains sont maintenant actifs contre sa blonde rivale. Son nez est tout au bord de la raie du cul de la blonde et elle respire l’odeur que le sexe a générée. Elle est tout de suite attirée par cette cible et pendant qu’elle donne des coups de genoux dans le dos de Josette, ses mains sont parties vers le bas ventre de cette dernière. Mais les cuisses d’acier de Josette sont serrées à mort, ses mains cripées dans la masse de la chevelure et les cheveux eux-mêmes tout fait obstacle à son assaut de ce côté. Alors Anne Marie est obligée de se contenter de griffer avec la main dont le bras est passé sous le corps de Josette et de donner des coups de poing avec l’autre main. Et puis elle atteint le sein de Josette et alors elle aditionne les coups de genoux dans le dos à une prise sur le mamelon du sein qu’elle se met en devoir de martyriser, en pinçant et vrillant. Josette ne conserve qu’une main pour tenir la chevelure et de l’autre elle part à la recherche de la mamelle d’Anne Marie qu’elle sent écrasée contre le bas de son dos. Et maintenant c’est prise pour prise. La durée du combat, sa brutalité et la relative vitesse d’enchainement des assauts a engendré dans les gradins une certaine effervescence. Hommes et femmes sont survoltés et excités par ce spectacle auquel ils ne s’attendaient pas et qui, tout en étant différent des classiques qui s’y déroulent, a une valeur de violente agressivité y compris dans les touches sexuelles. La fébrilité dans la salle est d’ordre sexuel. C’est ainsi que tout la-haut, Loïs et Catherine les deux adversaires du début ont enchêtré leurs cuisses et en se malaxant les seins elles s’embrassent à pleine bouche en se livrant sans doute à un duel de langues. Amanda et Eléna sont revenues avec les spectateurs. Elles n’ont sur elles que leur peignoir ouvert et elles caressent leurs blessures dans le plus profond de leur intimité, là où elles ne sont pas allées lors de leur combat. Une preuve s’il en était besoin que la violence d’un combat sauvage permet aux participantes d’entretenir des relations très intimes et que le barrage fait par l’incompréhension des langues, n’est pas un obstacle à leur tendre utilisation!!! Tout en bas devant la cage, Véronique a été rejointe par Maggie . Elles sont affairées à se prodiguer mutuellement ce que des femmes à la recherche du plaisir sont en droit de donner et de recevoir. Et non loin d’elles, debout dans l’angle fait par le mur de la salle et la grille de la cage, Frédérique est en train de subir,debout, les assauts d’un grand jeune homme blond qui lui fait glousser son plaisir sans retenue. Si les organisateurs de cette soirée avaient pensé ramener un peu de calme en présentant après le bestial combat entre Pétra et Ingrid celui de Josette et Anne Marie comme source de détente ils se sont bien trompés!!! Cependant dans l’octagone la situation est en cours d’évolution. Anne Marie a réussi à ceinturer Josette et en force elle la tourne face au sol. Entre ses genoux elle saisit la tête de la blonde et commence une friction sur les côtés du visage. Celà fait mal, c’est douloureux surtout à cause des différentes blessures à la face, les contusions et aussi les écorchures qui se rouvrent. Mais pour Anne Marie celà aussi devient douloureux malgré la lubrification sanguine dûe aux plaies remises à vif. Les tendons et ligaments des côtés des genoux sont de plus en plus irrités et çà fait mal. C’est Josette qui résoud les problèmes. Pour mettre sa tête hors de portée elle se recroqueville sur elle-même et la tête échappe aux genoux. Dans le même mouvement Josette continue à bosser du dos. Elle soulève avec elle le lourd poids d’Anne Marie. Et avec un guttural cri d’effort elle finit de se redresser en basculant Anne Marie par dessus elle. C’est fantastique de puissance et le public, qui ne s’y trompe pas, manifeste bruyamment son admiration. Josette n’a pas relâché sa prise de cheveux et elle fait un roulé qui l’amène à cheval sur le visage d’Anne Marie. Avec une évidente satisfaction elle reste ainsi le cul posé sur la face de l’autre avant de se glisser doucement en arrière sur la généreuse poitrine qu’elle écrase et fait déborder entre ses cuisses. Elle abandonne la chevelure noire et se recule encore. Elle a les seins devant elle comme cible. De la main gauche elle se met à martyriser le mamelon du sein droit de son adversaire et elle pose son avant-bras gauche en travers de sa gorge pour l’étouffer. Anne Marie n’a pas de réaction très apparente. Elle doit limiter ses efforts pour garder de l’oxygène dans ses poumons. Alors elle doit être très efficace si elle veut s’en sortir, ce qui n’est pas évident. D’autant plus que par malchance elle a son bras gauche coincé entre son corps et la cuisse droite de Josette. Dans l’urgence elle s’emploie à le dégager. Le visage rouge de sang et bouffi d’ecchymoses d’Anne Marie commence à tourner au violet. De sa main droite elle soulève comme elle peut le coude gauche en appui sur son larynx mais sans grand succès. Elle s’agite soudain un peu plus de son buste. Insensiblement elle réussit à faire glisser son bras gauche grâce à la sueur et au sang qui enduit les deux corps. Et c’est l’incroyable!!... Elle a dèsormais l’utilisation de ses deux mains et bras. Dans un effort lent, puissant et prodigieux elle soulève l’avant bras qui l’étouffe. Il lui faut plusieurs tentatives. Mais à chaque essai elle inspire de la force vitale dans ses poumons dans un bruit sifflant d’aspiration. Et c’est gagné!!! Josette est toujours assise sur sa ceinture et lorsqu’elle voit que son étranglement est perdu elle s’engage de toute sa force à bombarder de coups de poings le plus violents possibles, le visage et le haut du corps de sa rivale. Anne Marie se protège de son mieux avec ses bras et en tournant sa tête de chaque côté. Ce n’est pas très bon pour elle. Elle est franchement débordée et Josette s’en rend bien compte, car elle cherche à feinter pour que ses coups arrivent mieux au but. "Bats-toi bordel!!.. Anne Marie cogne-la!!...Allez! Tes pieds! Tes genoux! Tes griffes et tes dents!! Mais bordel de bordel ne reste pas comme une conne!!.. Secoue ta bidoche et fonce dedans ou t’es morte bordel!!!" C’est Colette qui l’invective pour la pousser à l’action, sans pitié pour sa fatigue et ses souffrances!! Mais c’est son rôle de coach!! Et puis à côté de Colette son venues s’accroupir, Frédérique et la sensuelle et féline Mylène G...... Toutes les deux se mettent aussi à encourager la brune lutteuse qui est en difficulté: "Allez!! Anne Marie!!" "Allez!! Anne Marie!!" Elles scandent leurs encouragements. Dans l’hémicycle quelques voix les rejoignent et rythment en cadence les mêmes exhortations à l’action. Anne Marie semble être fouettée par les cris. Elle puise dans ses dernières ressources et se met à ruer comme un animal déchainé pris dans un piège. Elle cogne en même temps, elle pince et elle griffe en criant telle une bête blessée. Elle fait tant et si bien que les deux femmes se retrouvent face à face sur leur côté ayant chacune saisit en ciseau une cuisse de l’autre. Elles se battent à coups de poings et de gifles. Par instant elles empoignent la chevelure pour amener l’autre à meilleure distance. Par moments elle s’entravent mutuellement les bras. Elles roulent d’un côté sur l’autre et le combat est indécis. Finalement il arive qu’Anne Marie se trouve assise sur le dos de Josette qui est à plat ventre. Elle la tient par les cheveux. Colette hurle son avis: "Prends-la dans un "camel clutch"!...Amène ses bras en arrière contre tes cuisses et lève tes genoux!!...Oui ....Tire sur ses coudes... Lève-les plus haut...O.K....Lève tes genoux!...Allez...NON!! ne lâche pas les bras!! Lève tes genoux...oui assieds-toi les genoux levés!!... C’est çà!!! ... Force sur son dos en arrière, prends la par les cheveux ou le menton!!...C’est çà...O.K.!" Josette est bien prise dans cette prise pratiquement inesquivable. Les deux combattantes sont parallèles à la grille de la cage et Josette qui cherche du bout de ses mains à trouver un point de prise sur son adversaire sent le grillage du bout des doigts de sa main droite. Malheureusement pour elle aucune prise n’est à sa portée. Anne Marie qui s’est redressée après avoir croisé ses deux mains sur la gorge de sa blonde rivale sent bien maintenant qu’une victoire possible est à sa disposition si elle ne fait aucune erreur. Son visage bosselé, rougi de coups, sanglant de ses écorchures et le dessous de ses yeux gonflés, couleur caca d’oie virant au bleu, disent toutes les rudesses et brutalités du combat. Mais ce visage commence à afficher une certaine satisfaction. Tout son corps, trempé de sueur mélangée au sang, est haletant de fébrilité, et porte lui aussi les traces de l’affrontement sauvage. Cependant elle offre aux regards l’image d’une lutteuse, puissante, épaisse mais aussi très sensuelle. Son attitude du moment est érotique et la majorité des spectateurs le ressent. Bien sûr, les cris d’encouragements scandés "Anne Marie!!"...sont partagés avec quelques "Josette!!" Mais il semble que la grosse brune a les faveurs de la majorité des spectateurs. Ces encouragements conduisent Anne Marie à poursuivre son action. Progressivement elle tourne sur sa droite par toutes petites saccades, et elle entraine Josette avec elle. Elles vont bientôt se trouver perpendiculairement au grillage. Pour ce faire il lui faut tirer encore plus la tête de Josette en arrière pour pouvoir passer. Et tout le monde a compris la manoeuvre qui va amener le visage de Josette dans la grille avec toutes les conséquences qui vont découler du contact. Josette grogne des paroles indistinctes que l’étranglement qu’elle subit ne lui permet pas d’émettre. Du bout des doigts et de ses mains elle fait des signaux de détresse. Près de Colette un officiel s’approche qui interroge: "Abandon??...You give??.." Et sur un signe d’acceptation de Josette il se tourne vers la porte de l’octagone et lève le bras qu’il fait tourner. C’est le "GONG" qui met fin au combat. Anne Marie lâche immédiatement Josette qu’elle aide à se tourner sur sa gauche pour éviter le contact blessant de la grille. Elle se lève en prenant appui sur le corps de son adversaire et se recule mais sans s’éloigner. Elle regarde Josette qui lentement s’agenouille et s’asseoit sur ses talons pour souffler avant de se lever. La puissante brune s’approche de la grille vers Colette: "Merci Colette!! C’est grâce à toi que j’ai gagné! Sans toi j’étais perdue, heureusement que Valérie n’a pas suivi aussi bien que toi!! Merci! " Josette est maintenant debout. Anne Marie se rend à ses côtés alors que l’officiel entre dans la cage. Il lève le bras droit d’Anne Marie qui lève également son bras gauche formant le V de la victoire. Lorsque son bras droit est libéré elle le passe devant le speaker, elle prend le bras gauche de Josette et le lève avec les siens. L’homme s’est reculé et les deux femmes se sont rapprochées. Elles se parlent à voix basse au milieu du tumulte des applaudissements et elles quittent ensemble cette cage infernale où elles se sont battues jusqu’au bout comme elles l’avaient désiré, comme elles en avaient rêvé. Josette attire Anne Marie dans ses bras et l’enlace à la ceinture. Leurs cuisses se pressent entre celles de l’autre et Josette laisse descendre sa tête sur l’épaule de son amie qui l’a battue aujourd’hui et qui la serre contre elle. Puis elles récupèrent les peignoirs et s’éloignent pour se faire soigner. Dans la salle des mouvements divers ont repris. Les différents qui étaient apparus avant le combat de Josette et Anne Marie n’ont pas été clos et de vives discussions reprennent. Loïs et Catherine sont descendues dans l’espace autour de l’octagone. Elles sont en slip et chacune porte des bas auto-fixant, noirs pour Catherine et couleur chair pour Loïs. Du bout de ses doigts tendus Loïs est en train d’expédier de secs atémis dans les mamelles flottantes de la belle actrice, alors que celle-ci qui tient d’une main la tresse de la chevelure de la belle Néerlandaise la martèle de coups de poings au visage. Catherine a l’avantage de la taille mais Loïs a la brutalité d’une boxeuse. Non loin d’elles un autre couple de combattantes est formé par la patineuse Denise B...... qui affronte la plus jeune gymnaste Svetlana B...... Elles sont à genoux en se tenant par une main dans les cheveux et de l’autre elles se meurtrissent la poitrine. Colette s’est tout de suite éloignée pour aller se préparer à son propre combat. Axine a rejoint Valérie et nos deux valeureuses lutteuses. Elle va conduire la petite troupe dans les salles de soins. Dans un premier temps une équipe de soigneurs et d’infirmiers va traiter en priorité les ecchymoses du visage. Ensuite toutes les autres blessures seront soignées. Mais il est indispensable pour que le chirurgien esthétique puisse intervenir que les hématomes soient résorbés. L’équipe dispose de moyens et de produits qui vont permettre d’accélérer le processus d’une façon incroyable. Ensuite elles seront prises en main par Aarb qui va mettre toute sa science et son doigté à recoller les chairs pour que la cicatrisation soit invisible. Elles vont ainsi passer de mains en mains pour se retrouver assez vite fraiches et disposes car parallèlement les masseurs et kinés vont utiliser chaque espace de temps disponible pour redonner à leurs muscles, souplesse, élasticité et vigueur en même temps que relaxation. Et si elles ne sont pas prêtes pour assister au match suivant elles pourront peut-être l’être pour celui d’après!!! Post-scriptum : Je reprends la Saga de Axiline après m’être distrait un peu avec deux autres récits, - Catherine et Raoul- le premier et - Une découverte - le second. Avant d’écrire éventuellement d’autres anecdotes hors saga j’aimerais avoir les appréciations et opinions des lecteurs à : violente@net-up.com Merci par avance.