La Saga de AXILINE Dixième Episode D’après Violente L’éclairage de la cage a été réduit en attendant l’entrée des deux combattantes qui vont s’affronter maintenant. Toutefois celui de la salle n’a pas été rétabli à son intensité normale. L’ensemble de la salle en contrebas du local où se tiennent Colette et Anne Marie reste donc dans une sorte de pénombre. Anne Marie en fait la remarque, car elle pourrait pendant son attente scruter à loisir les spectateurs. Mais Colette lui fait savoir que c’est voulu pour permettre aux dits spectateurs une liberté de voisinage que la pleine lumière ne leur permettrait pas avec autant d’intimité. Les lutteuses se font attendre pour ne pas dire désirer ! Colette explique celà par l’orgueil des deux adversaires qui veulent être considérées comme des héroïnes de la soirée et en faisant durer l’attente, attirer tout particulièrement l’attention des spectateurs. Pour combler l’attente et détendre Anne Marie, Colette se lance à décrire Ingrid, l’adversaire de Pétra. "C’est une vraie descendante des Vikings qui étaient des guerriers, navigateurs et commerçants. Mais elle n’a hérité que les gènes guerriers de ses ancêtres. Il semble qu’elle ne vit que pour se battre. Sa seule ambition en entrant dans une arène c’est de détruire son adversaire. Elle n’a perdu aucun de ses combats publics. Ses adversaires, qui en général ne la rencontrent qu’une fois, la considèrent indestructible Pourtant elle n’a pas des caractéristiques physiques surprenantes. Mais si son corps n’est pas excessivement musclé il témoigne de son agressivité et de son endurance. Comme elle n’a aucun respect pour la beauté féminine, elle conserve sans scrupule toutes les marques et cicatrices dont ses adversaires lui ont fait cadeau au cours de leurs combats. Tu vas voir son nez et sa bouche tordues. Et puis regarde bien l’extérieur de sa cuisse gauche, sur la peau elle a une longue tache brunâtre, c’est un emplacement qui est si souvent martelé qu’il est devenu comme du cuir !" "Tu l’as souvent vue se battre ici ? Et Pétra aussi ?" "Oui, pour l’une comme pour l’autre, mais j’ai vu Ingrid beaucoup plus que Pétra, et jamais l’une contre l’autre." "Et Pétra comment va-t-elle se battre face à une telle guerrière ," "Pétra aussi c’est une guerrière dans son genre, mais elle c’est une fille du dieu Wotan ou Odin si tu veux. C’est une Valkyrie guerrière au sens noble du terme, pas une guerrière sauvage comme Ingrid. Physiquement elle est plus musclée, plus forte mais surout plus racée. Je crains d’être mal comprise mais je peux dire que Pétra est de pure race, à la manière des Amazones." Un brouhaha se fait entendre en bas qui annonce l’arrivée des deux nouvelles combattantes. C’est Pétra qui arrive la première et qui entre dans la cage. Elle est vêtue du peignoir de satin bleu. Ses longs cheveux blonds tombent librement sur son dos et ses épaules. Son regard bleu parait sans anxiété. Pour sa grande taille le peignoir est court et ne lui cache que les fesses. Au-dessous les longues cuisses et les mollets se révèlent très musclés. En attendant sa rivale elle sautille sur place dans le côté opposé à la porte. A chaque saut ses seins bondissent sous le tissu du peignoir ce qui fait bien augurer de leur volume mais aussi de leur relative fermeté. Simultanément à chaque bond elle frappe ses poings l’un contre l’autre comme pour s’échauffer à porter des coups. Ingrid se présente à son tour. Elle porte le peignoir rouge. Dès qu’elle est dans l’octagone elle s’écarte un peu de la porte pour laisser passage à l’officiel. Elle croise ses bras et d’un air dédaigneux et hautain elle mesure et estime son adversaire, ou plutôt son ennemie. Il n’y a aucun effort à faire pour se rendre compte qu’elle est plus petite que Pétra mais aussi plus épaisse. Elle a les cheveux plus courts et plus fauves, certains diraient un blond sale. Son visage est effectivement endomagé. Son nez applati est tordu vers sa droite. Ses lèvres sont un peu plus étroites sur la gauche de sa face, comme si elles ont été coupées dans leur longueur. Ses sourcils sont irréguliers, barrés par des cicatrices verticales. L’officiel le micro à la main fait son speech d’entrée. "Le combat qui va se dérouler devant nous ce soir oppose, en peignoir rouge la Suédoise que vous connaissez bien : INGRID....cette femme âgée à ce jour de 35 ans, mesure 1,72m et pèse 76kg....elle est invaincue dans cette salle." Il s’arrête un instant pour laisser passer les applaudissements. Et quand le silence se rétablit il ajoute : "Pour votre information j’ai le plaisir de vous informer que les deux adversaires ont les mêmes mensurations musculaires de leurs membres. Leurs biceps font 34cm de tour, leurs cuisses font 63cm et les mollets 45cm. "En peignoir bleu son adversaire est l’Allemande : PETRA...une lutteuse que vous avez déjà eu l’occasion de voir combattre ici. Son âge est 30 ans, elle mesure 1,80m pour un poids de 72kg." Il profite de l’enthousiasme qu’elle produit sur les spectateurs pour s’approcher d’elle et prendre le peignoir qu’elle vient d’enlever. Puis il se rend auprès de Ingrid pour recevoir son peignoir. Il reprend son micro pour déclarer : "Bonne chance! Que la meilleure gagne !" Le gong sonne au moment où il ferme la porte grillagée. Sans précipitation les deux femmes viennent au centre de la cage. Maintenant qu’elles sont nues il est possible de les détailler davantage. Bien que leurs musculatures soient identiques les muscles de Pétra, qui sont dans un corps plus long, sont plus élégants et mieux définis que ceux d’Ingrid. Les largeurs d’épaules, de ceinture et de hanches sont également moins bien définies chez la Suédoise ce qui la fait plus ronde alors que l’Allemande est beaucoup plus statuesque. Pétra est dotée de deux magnifiques seins, ronds, volumineux et très fermes alors que ceux d’Ingrid sont plutôt petits, inégaux et mêmes les mamelons qui pointent dans des positions très différentes témoignent des assauts cruels qu’ils ont subis et aussi de ne pas avoir reçu toute l’attention esthétique nécessaire. Bien sûr leurs vulves sont totalement épilées. Celle volumineuse de la Suédoise laisse dépasser entre ses cuisses deux lames charnues et étiolées. Celle de Pétra est saillante et juste un friselis rosé de chair tendre la souligne en bas. Une fois à portée les deux femmes s’engagent dans un assaut de boxe avec des coups de pieds bas dans les tibias. C’est Pétra qui est la plus virulente et la plus rapide dans ses coups de poings. Ingrid travaille plus en esquive et elle cherche la courte distance. La force de la scandinave réside dans ses prises toujours brutales et douloureuses. C’est ce qui amène Pétra pour s’en protéger à combattre debout et le plus possible aux poings. Les coups de pieds bas semblent être une réaction d’équilibre et de tenu à distance plus que des coups d’assaut. Mais les coups de poings sont portés avec toute la puissance que les combattantes peuvent donner. Ils sont beaucoup plus puissants que ceux des lutteuses du combat précédent. D’ailleurs les bruits d’impact des coups qui atteignent leur but est fantastique. On serait tenter de croire qu’ils sont amplifiés par les micros. Mais les sonorités des coups de pieds, les respirations et les "han" d’effort des deux femmes sont tout à fait normaux, ce qui prouve bien la force des coups de poings qui claquent sur les peaux. Il n’y a pas que le claquement des coups pour donner la valeur de l’assaut. Il y a aussi les tensions des muscles sollicités. La crispation des muscles des épaules et des biceps comme celle des cuisses et des mollets chez Pétra sont le témoignage de son engagement dans l’attaque. Ceux d’Ingrid bien que tendus sont moins exacerbés que ceux de son adversaire. Ils sont gonflés mais sont restés plus ronds. Sous la poussée de Pétra lancée dans une série d’uppercuts à courte distance, Ingrid commence à reculer en tournant sur sa droite. Elle a ramené ses avant-bras et ses poings devant son buste et son visage. Pétra la laisse s’éloigner un peu puis changeant brusquement de tactique elle va chercher loin derrière elle l’élan nécessaire à propulser un large swing du droit qui vient atterrir sur la bouche de la Suédoise. Celle-ci oscille sur sa droite sous le choc. Mais Pétra un peu en déséquilibre lance un même swing de son gauche....qui manque son but en poussant de côté les gants d’Ingrid...Mais c’est un loupé peut-être volontaire car c’est le coude gauche de l’Allemande qui vient violemment redresser et tordre dans l’autre sens le nez tordu de son ennemie !... Ingrid est bien touchée !...ses lèvres ont éclaté sous le premier coup et le nez est à nouveau cassé qui se met à pisser le sang abondamment.!... C’est du beau travail de la part de Pétra qui prend une bonne option sur les événements. Elle poursuit Ingrid et la pousse contre la grille de la cage. L’Allemande de sa main gauche se saisit de la gorge de la Suédoise et l’applique dos contre le grillage. De son poing droit elle martèle de crochets secs et puissants le visage d’Ingrid qui pisse le sang et se trouve couvert de sang comme peint d’hémoglobine en un rien de temps. Pendant de longues secondes Ingrid parait être dépassée. Mais petit à petit elle rentre dans le combat. Tout d’abord elle se protège plus efficacement des coups de l’Allemande puis elle parvient à placer elle aussi quelques bons coups de poings dont un au visage de Pétra lui arrive en plein dans son oeil gauche. Mais c’est une sorte de dérivatif car bientôt Ingrid se met à cogner dans les seins en les prenant par en dessous et légèrement du côté intérieur ce qui a pour effet de projeter à l’extérieur de la poitrine de l’Allemande ses belles masses. Ce qui doit sans doute la faire souffrir car elle baisse sa garde pour venir protéger sa poitrine. L’oeil gauche de Pétra rougit et gonfle très rapidement ce qui témoigne de la puissance du coup reçu. Mais l’attaque aux seins engagée par Ingrid n’est qu’un moyen pour elle de faire dégager la tête de son ennemie. Dans un même mouvement elle porte un brutal coup de son genou gauche à la vulve de Pétra et s’empare de sa tête dans un collier de son bras droit. En faisant faire ressort au grillage de l’hectagone en poussant par secousses avec son dos, Ingrid prend de l’élan pour revenir un peu vers le centre de la cage et simultanément projeter Pétra au sol toujours prise dans la clé de tête. Ingrid est maintenant dans son élément, la lutte au sol pour des prises douloureuses et bien bloquées. C’est le cas ici, elle s’efforce de tourner Pétra sur son dos et de venir écraser le poids de son torse sur celui de l’adversaire. Elle y parvient et resserre sa clé en écrasant le crâne de l’Allemande dans la pliure de son coude droit et en s’aidant de sa main gauche pour venir bloquer la prise. Ce sont ces sortes de prises où Ingrid met toute sa puissance pour blesser l’adversaire qui font sa réputation et c’est son obstination meurtrière qui fait dire d’elle qu’elle est invincible. Mais Pétra ne se décourage pas. Elle ne s’affole pas. Elle entreprend d’agiter son corps en tous sens, de faire balayer ses jambes vers le dos de son ennemie et par des secousses sans cesse répétées avec des rebonds de ses reins, faire riper la prise en comptant sur la sueur pour aider à la délivrance de son crâne. Ingrid a senti le danger qui par de petites astuces amène lentement sa clé sur la tête puis sur le cou de sa victime. Maintenant la tête de Pétra ne peut plus glisser et pour limiter les effets des contorsions de son adversaire, la Suédoise écarte ses jambes pour se donner plus d’appui et de stabilité. Toutefois le changement de position permet à Pétra de lancer ses bras et ses mains dans l’action. Elle passe son avant-bras gauche sous le menton d’Ingrid pour repousser sa tête. De sa main droite elle tente de desserrer le collier qui lui écrase le cou et le bas du visage. Compte tenu de la puissance de la scandinave il y a peu de chance pour que ces tentatives soient efficaces, mais avec ses jambes elle continue de frapper dans le dos de l’ennemie et ses coups de genoux semblent opérant car Ingrid est obligée à plusieurs reprises de changer de position. Pétra change d’attaque avec sa main gauche, elle lance ses doigts tendus dans les yeux de son adversaire et elle joint sa main droite à cet assaut. Pour mieux se protéger de l’attaque sur ses yeux et des coups dans le dos, Ingrid se penche en arrière. Dans son mouvement elle soulève son coude droit légèrement amenant avec lui la tête de Pétra ce qui lui coupe encore plus la respiration. Elle appui aussi son dos sur les seins orgueilleux de l’Allemande qu’elle écrase et fait déborder sur son ventre. Ses jambes écartées dans un grand V offrent aux regards de tous les spectateurs son intimité ouverte au grand jour.....Et ouverte n’est pas une simple expresssion ! Sa vulve est béante étalant aux yeux de tous ses chairs intérieures déployées et débordantes dans la brillance de leur suinteur ! Un vagin aussi ouvert vient certainement d’être comblé ou bien la Suédoise doit en permanence le goinfrer de bites ou de dildos géants!... Dans leur alcove les filles comme les spectateurs ont réagi: "Oh! La garce!...elle se gave avec des éléphants !" "Quel con elle a !...une vraie porte cochère!" "Quand elle se bourre, elle va jusqu’au coude!" "Elle doit pas se satisfaire d’une petite branlette!" Mais en mettant son dos et sa tête à l’abri, Ingrid a fait une erreur ! Pétra lance ses jambes en arrière et réussit à poser son genou droit sur le visage de la Suédoise qui instinctivement se redresse!...Mais celà permet à Pétra de placer son genou gauche sous la tête visée et d’emprisonner Ingrid dans la pince de ses genoux!...Une pince qu’elle s’empresse de transformer en ciseau bloqué en croisant ses chevilles. Les deux adversaires sont chacune dans une position peu enviable. Elles peuvent ainsi tenir leur prise très longtemps sans qu’elles soient obligées de se rendre ou d’abandonner. Elles en sont conscientes. Ingrid abandonne sa clé de tête et se tourne aussitôt pour faire face à Pétra. Mais celle-ci a bien perçu le projet et en appuyant ses mains sur ses genoux, le buste dressé elle empêche la Scandinave de tourner sa tête. Pétra se retrouve à-demi allongée sur son côté droit. Ingrid cherche avec ses mains à se libérer du ciseau des genoux sur le bas de sa tête. Ingrid qui cambrée sur le dos, parvient toutefois à se vriller sur sa droite et progressivement vient se positionner face au sol dans le prolongement de son adversaire.De son côté Pétra se laisse descendre le dos au tapis et engaga toute la puissance de ses cuisses pour assurer son ciseau. Ingrid pousse en avant sur ses doigts de pieds en se soulevant du sol. Elle replie Pétra sur elle-même et elle l’écrase au sol. Puis elle force sur les genoux pour les ouvrir. A l’instant où elle y parvient, Pétra abandonne sa prise et dans une pirouette remarquable elle se remet debout alors que Ingrid se met à quatre pattes! Pétra en profite pour attaquer à coups de pieds Ingrid à la tête. C’est une giboulée de coups de chaque côté du visage de la Suédoise qui après avoir dans un premier temps cherché à se protéger avec ses mains, se met en devoir de tourner le dos à son adversaire. L’Allemande en profite encore pour saisir la crinière blond brulé. Elle accélère la levée de l’ennemie et se saisissant de sa tête elle l’entraine, en courant, heuter la grille du crâne, pour le premier choc, puis du visage par la suite. Ingrid est courbée à la ceinture. Elle appuie sur la grille de ses bras tendus pour amoindrir l’effet des chocs. Son bassin et ses pieds sont éloignés du grillage comme pour s’écarter de la surface blessante. Elle a senti Pétra sur sa gauche, alors elle ne prend plus appui que de sa main gauche et elle propulse brutalement son coude gauche replié en arrière. Elle touche l’Allemande au niveau du foie. Pétra a un geste de recul mais elle continue de frapper le visage de la Suédoise dans la grille. Alors Ingrid envoie son poing gauche en volée arrière dans la vulve de son ennemie. Cette fois elle fait mal à la grande lutteuse qui lâche sa prise de cheveux et se recule en baissant ses mains à son sexe. La Suédoise se retourne vivement et lance son pied droit dans la cible où son poing gauche a atterri. Les mains de l’Allemande amortissent le choc mais Pétra est longue à réagir. Elle reçoit un second et violent coup de pied en pleine poitrine qui lui écrase le sein gauche. Elle porte ses mains à son sein meurtri mais un nouveau coup de pied la reprend en plein sexe ce qui la fait descendre à genoux devant la Suédoise. Sans perdre une seconde, Ingrid se saisit de la longue chevelure blonde pour amener le visage de Pétra à sa portée et lui lancer un formidable coup de genou. Le nez et les lèvres de l’Allemande sont éclatés et se mettent à saigner en abondance. Le front et l’ensemble de la face de la Suédoise sont lacérés et le sang lui pisse de partout. Ses épaules et le haut de sa poitrine sont constéllés de gouttes de sang comme si on l’avait aspergée. Elle prend un instant pour essuyer le sang qui lui coule dans les yeux et mouche son nez d’un revers de bras. Sous la puissance du coup de genou Pétra se retrouve le dos au sol et Ingrid se précipite à cheval sur son ventre pour la pulvériser de coups de poings au visage et dans les seins. Pour sa défense Pétra s’engage à frapper de bas en haut les seins d’Ingrid avant de s’en emparer à pleines mains et de les tordre et les broyer. Les mamelles déformées de la Suédoise sont assurément devenues très sensibles. Elle ne peut retenir un grognement de douleur et en portant ses mains sur celles de Pétra pour les déloger elle amorce un mouvement pour se relever et s’écarter de l’ennemie. Cette évolution de position permet à Pétra de se relever et s’asseoir. Elle se cramponne aux seins qui paraissent sensibles et pour marquer son avantage, elle s’avance vers la Suédoise et remplace sa main droite par ses dents. Elle mord en secouant sa tête comme un pit-bull qui veut arracher un morceau à sa proie. Ingrid pousse un hurlement de douleur. Elle se saisit des cheveux de la grande blonde et parvient à se libérer de la cisaille des dents. Son sein est maintenant sanglant comme elle se relève et se recule de Pétra en gémissant. L’Allemande qui s’est relevée attaque à nouveau Ingrid à coups de poings et de pieds. Elle lui envoie un formidable coup de pied entre les cuisses et c’est son tibia à la hauteur de la cheville qui écrase la vulve de la Suédoise. Le coup fait un bruit glauque mais sonore et Ingrid descend à genoux, la bouche grande ouverte sur un cri silencieux. Pétra regarde la salle et les spectateurs avec satisfaction. Elle essuie son visage à l’aide de ses avant-bras. Elle a le tort de ne pas surveiller son ennemie qui bien que sérieusement blessée, ne l’est pas suffisamment pour ne pas réagir. Un premier et violent coup de point, un uppercut dans la vulve la soulève sur la pointe de ses orteils et le second qui arrive aussitôt la fait tomber au sol presque à plat ventre. Elle a le cul en l’air car ses mains sont jointes sur son sexe pour soulager la douleur. Ingrid ne prend pas le temps de jouir du renversement de situation. Elle se relève et tout de suite se lance en l’air pour retomber en position assise le cul sur l’arrière de la tête de Pétra. Une attaque qui pourrait être mortelle. Son adversaire pouvant subir un écrasement de la boite crânienne. Mais elle ne se soucie pas de connaitre son état. Elle se relève à nouveau puis s’empare de la chevelure de l’Allemande qu’elle force à se mettre debout. Alors en prenant de l’élan da,ns un rapide demi-tour elle la propulse dans la grille de la cage qu’elle vient heurter tête la première. L’élasticité relative du grillage fait rebondir Pétra en arrière, dans les bras d’Ingrid qui s’en saisit dans une ceinture de côté, la soulève en la plaçant à l’horizontale et la projette au sol sur le ventre. Immédiatement la Suédoise se jette sur les jambes de l’Allemande. Elle les plie aux genoux et coince un tibia dans la pliure de celui qu’elle se met à forcer et à étirer. Pour assurer sa prise elle s’asseoit sur la cheville qu’elle pousse vers les fesses de sa rivale. Elle s’est positionnée tournée vers la tête de Pétra et maintenant elle se saisit de longue crinière blonde pour soulever le visage avant de le cogner sur le tapis d’une façon brutale et répétitive. C’est violent et bestial. C’est le genre d’assaut préféré de la Suédoise C’est le moment où elle va sans discontinuer forcer sur la jambe en difficulté de telle manière qu’elle réussisse à faire craquer les ligaments. D’ailleurs elle commence à se soulever et à se laisser retomber sur le tibia qui supporte tout son poids. "Le genou va casser !...si elle continue. C’est vache! " Dans la petite pièce qui lui permet de suivre le combat Anne Marie vient de réagir devant la brutalité de l’action. Colette lui répond: "C’est sa façon de gagner ses combats. Il n’y a pas de règles ni de limites alors Ingrid utilise tous les moyens qu’elle trouve." "C’est vache, c’est violent mais çà m’excite tu peux pas savoir! Ces deux puissantes femmes nues déchainées dans la lutte, couvertes de blessures et de sang, çà me fait mouiller! Je suis toute moite !" Alors Colette s’approche derrière elle. Elle dénoue la ceinture du peignoir. Puis elle l’ouvre et glisse ses mains brûlantes sur la peau en sueur de la femme qui tout à l’heure va à son tour s’engager dans la cage. Elle monte lentement ses mains vers les seins volumineux. Elle dégage la gaine du soutien-gorge et s’en va pincer et rouler tendrement les mamelons déjà gonflés et dressés. Anne Marie roucoule et recule sa croupe contre le ventre de la puissante petite femme. "Oh c’est bon!... Je voudrais jouir! Est-ce que je peux? " "Çà va peut-être te faire décompresser et te détendre !" "Oh merci!...mais dis-moi, je peux t’embrasser? " "Plus que çà, tu vas voir!.." Et en disant ces mots, Colette se débarasse en un tour de main des quelques vêtements qu’elle porte. Elle ne garde que ses escarpins à hauts talons qui ne suffisent pas à l’amener à la hauteur de l’autre femme. Anne Marie a enlevé ses gants cobra pour pouvoir caresser Nues, debout, elles s’embrassent et se caressent tout partout. Elles dénouent leurs bouches pour regarder de côté les combattantes qui s’affrontent dans l’octagone et observer l’attaque de la Suédoise. Anne Marie a enlacé Colette avec ses deux bras autour de son torse et sa cuisse glissée entre ses jambes lui caresse la vulve. Colette à sa main droite dans le sexe d’Anne Marie, ses doigts habiles fouillent langoureusement les pétales du calice pendant que la pointe de son pouce titille à toute vibrure son clitoris. De son côté elle frictionne les lèvres ouvertes de son vagin sur le devant de sa cuisse, en se cambrant pour amener son propre clitoris au contact de la chair trempée. Elles sont tellement excitées qu’il ne leur faut que peu de temps pour vibrer en commun dans les orgasmes qui les foudroient et les font tituber!!! Enfin Pétra réagit. Elle trouve de chaque côté de son torse les pieds de son adversaire. Alors dans un effort titanesque et au mépris de la souffrance de son genou, elle prend appui sur ses mains pour bosser son dos et soulever Ingrid. Puis elle se saisit d’une cheville et redonne à son torse une verticalité qui lui permet de faire chuter la Suédoise le cul par terre. Pétra se retourne sur le dos et déverrouille ses genoux endoloris. Elle sait qu’elle n’a aucune seconde à perdre. Elle agite ses jambes tendues pour les décongestionner et se dégourdir. Mais déjà Ingrid est près d’elle. Elle se laisse tomber le coude en pointe pour lui écraser le cou ou le visage. Pétra roule sur elle-même et c’est le coude de la Suédoise qui subit le choc de la descente sur le tapis. Malgré sa position allongée sur son côté, Pétra lance un fulgurant atémi au cou de son ennemie. Le temps que la Scandinave récupère de ce coup, Pétra a la possibilité de se relever et de masser ses jambes torturées. Elle claudique un peu en revenant vers son adversaire. Elle s’asseoit à son côté et en lui prenant un bras qu’elle étire elle appuie ses deux pieds de chaque côté de l’épaule. Un pied au creux de l’aisselle et l’autre sur le côté du cou. Alors elle se met à tordre le bras de l’ennemie. Elle étire et tord en même temps. La main devient rapidement blanche et l’épaule est travaillée pour parvenir au déboitement. Ingrid frappe le sol avec ses jambes. Elle les lances en tous sens pour tenter de faire glisser la pression des pieds. Puis elle fait plusieurs tentatives pour se relever en se tournant sur ses genoux. A chaque essai Pétra la culbute au sol. Elle parvient à se saisir d’un au moins des orteils de l’Allemande et en le vrillant méchamment elle réussit à amener Pétra à faire un saut de son pied pour se dégager et çà lui est suffisant pour se libérer!...Retour case zéro!... Maintenant elles sont allongées sur leur côté face à face. Chacune d’elles se saisit du cou de l’autre avec la main du bras qui est sur le sol. De l’autre elles se bombardent de coups de poings au visage, alternativement ! Ce sont deux Titans dans les forges de Vulcain qui cognent au visage avec une cadence règlée. Les genoux sont aussi en action et cherchent à frapper l’adversaire dans les jambes ou au bas ventre. Pétra qui est sur son côté gauche est favorisée pour son poing droit mais est défavorisée pour son genou endolori. Après un moment d’action semi-statique, elles tentent à tour de rôle de prendre une position supérieure sur l’autre. Le combat s’anime, elles roulent tout en continuant à marteler des poings le visage de l’ennemie. Elles lâchent leur prise sur le cou pour pouvoir frapper du poing le mieux placé et tenter de bloquer l’adversaire par une prise de tête ou une saisie des cheveux. L’action est rapide et brutale. Les coups sont sonores et au "KWANG" de l’une répondent les "KWONG" de l’autre. C’est Ingrid qui sort victorieuse de cette mêlée violente et sauvage. Elle se retrouve à demi allongée sur le dos en tenant Pétra allongée de dos dans ses prises. La Suédoise tient l’Allemande dans un ciseau de ses cuisses à hauteur de ses côtes flottantes et dans une clé de cou avec son avant-bras droit en pression sur son larynx. Deux prises très douloureuses surtout quand elles sont appliquées par une puissante combattante comme Ingrid qui ne fait jamais de cadeau. Les côtes de Pétra risquent de craquer sous la puissance de l’étau des cuisses, les fêlures ne sont pas rares chez les adversaires d’Ingrid dans son ciseau. De plus la prise sur son cou qui va rapidement lui couper la respiration est ce que les Anglo-Saxons appellent une "chokehold", un étranglement. Dans la cabine à l’étage au-dessus, d’une voix angoissée Anne Marie émet consternée son appréciation: "Elle est foutue la pauvre Pétra!...L’autre est une sacrée garce de combattante, puissante et méchante! " "Attends pour dire çà!...Pétra a plus de ressource que l’on croit!" Pourtant maintenant Ingrid est en train de se saisir du sein gauche de l’Allemande. Et compte tenu des morsures que lui a faites son ennemie un peu plus tôt elle ne va assurément pas être tendre avec elle!... Pétra n’est pas inactive. De sa main gauche elle tente de soulager la prise sur son sein et de sa droite donner un peu de liberté à son cou. Et puis ses jambes écartées - qui d’ailleurs permettent d’admirer sa vulve gonflée et suintante - lui servent de point d’appui sur ses talons pour soulever son bassin du sol et obtenir un peu de liberté dans le ciseau. Elle agite ses jambes et son bassin. Elle fait comme des ailes de moulin avec ses jambes et des torsions de bassin. La sueur qui couvre son corps alliée à celle de son adversaire lui permet de sentir l’occasion de bouger dans l’étau. Reste la tête et avec la pression sur le cou les chances sont moins grandes. Mais elle sait que là aussi le sang qui les couvre aussi bien elle qu’Ingrid doit lui permettre de ne pas trop souffrir. Alors tout en continuant à jouer les ailes de moulin elle se met à donner des coups de coudes dans les côtes de la Suédoise. Elle doit la perturber ou tout au moins la distraire de son but. Pétra se lance alors dans des efforts de son bassin et de ses hanches qui joints à la poussée sur un pied et le glissement de l’autre sous elle lui permettent de se tourner de plus de moitié vers Ingrid. Le corps ne fait pas tout à fait face mais la tête est presque sur la poitrine de l’adversaire. Ingrid a joint ses deux mains pour appliquer maintenant une pression sur la nuque de Pétra et la bloquer contre elle. Elle la bloque peut-être mais elle le fait alors que la bouche de son ennemie est sur un sein. Alors la morsure qui s’en suit n’est étonnante que pour celle qui doit la subir. C’est le deuxième sein de la Viking qui subit le même sort que le premier comme la Valkyrie tel un dog secoue sa mâchoire en tous sens. Et puis Pétra doit souffrir, la façon hystérique avec laquelle elle martèle de coups de poings la tête d’Ingrid en est le signe. Ses frappes sont désordonnées et données à l’aveuglette elles ne sont pas très efficaces. Comme elle n’est pas complètement face à la Suédoise, le ciseau sur ses côtes est sans doute très difficile à supporter et puis une des côtes flottantes a peut-être cédée sous la pression des formidables cuisses qui l’enserrent. Mais il y a sa mâchoire et sa morsure sur le sein sensible d’Ingrid. D’ailleurs celle-ci ne peut pas la supporter. Elle abandonne sa pression sur le cou de son adversaire et en s’emparant de sa chevelure elle repousse sa tête du mieux et le plus loin qu’elle peut, mais non sans laisser un morceau de chair entre les dents de la Valkyrie. La Viking a dû relacher par instinct la pression de ses cuisses. Tout du moins le court instant où elle l’a fait a permis à Pétra de venir pleinement face à face avec son ennemie. Immédiatement l’Allemande replie ses genoux pour y prendre appui. Ingrid s’en est rendu compte, alors elle lui ramène la tête vers elle. Le ciseau a glissé, les côtes sont libérées et maintenany c’est l’abdomen qui se trouve étranglé à la ceinture. Pétra a rouvé là une taille aussi fine que celle d’une guêpe!... Les deux ennemies cherchent à trouver la maîtrise de la situation. Leurs mains et leurs bras ont engagé un combat pour avoir la supériorité. Elles se tiennent mains ou bras et se portent des coups de poings sans un instant de pause. Jusqu’à ce que Pétra cesse son assaut, s’empare des cheveux d’Ingrid et lui lance un violent coup de boule en pleine face. Elle ne s’attarde pas à regarder le sang couler au filet du nez à nouveau cabossé. Elle se met à genoux en profitant du moment d’inconscience de la Suédoise. Ensuite elle enfonce ses deux mains pouces en avant dans le sexe qui se trouve en appui contre son ventre. Les gants cobra limitent les possibilités d’accès mais les bouts des doigts libres d’entraves s’avèrent être très dangereux et aussi très efficaces. Simultanément Pétra s’engage dans une attaque sanglante du sexe de la Suédoise, elle fait des assouplissements de son cou, certainement endolori, pour lui redonner de la souplesse, elle tente de remplir ses poumons d’oxygène et de controller sa respiration. Cette respiration est restreinte à cause du ciseau qui fait remonter des viscères abdominales contre le diaphragme lequel écrase les poumons et le coeur. Pétra doit donc à tout prix se libérer de l’étrente des cuisses d’Ingrid. L’assaut de Pétra sur le sexe de son ennemie ne donne pas grand chose malgré les suintements sanguins qui se manifestent!...Ou bien Ingrid est insensible aux griffures internes et aux pincements de son sexe, ou bien comme seule réaction elle n’a trouvé que de serrer encore plus ses cuisses autour de la ceinture de l’Allemande comme pour fermer l’entrée de son sexe. La sculpture musculaire de ses cuisses sollicitées au maximum de puissance est fantastique. C’est une masse rocailleuse de chairs, de nerfs et de veines saillantes qui parait être indestructible. Il y a là plus de muscles en action que l’on ne peut en trouver dans un concours de bodybuilding!... Pétra s’est rendu compte de l’effet inverse à celui attendu, alors tout en continuant son attaque sexuelle elle se relève progressivement jusqu’à ce qu’elle se trouve jambes tendues. Alors par petits mouvements elle avance ses pieds à la hauteur du buste de son adversaire en la pliant sur elle-même. Ses seins sont à la portée des mains d’Ingrid qui en empoigne un pour le malmener et avec son autre main elle tire vers elle une grosse poignée de cheveux de l’Allemande. Pétra se laisse descendre comme pour se soumettre. Mais elle prend appui de ses deux mains sur le sol bras tendus, et elle baisse son bassin en finissant de plier Ingrid qui dans cette position n’a plus la puissancr nécessaire pour serrer son ciseau et étrangler l’abdomen de son adversaire. Pétra agit rapidement. Elle saisit les jambes d’Ingrid derrière les genoux et s’écrase sur elle qui est maintenant totalement pliée en deux. Ensuite, après avoir glissé ses mains jusqu’aux chevilles, elle se relève rapidement et passe ses pieds derrière les fesses de la Suédoise. Enfin, écartant ses jambes en V, elle cogne du plat du pied à grands coups répétés dans la vulve ouverte et offerte de son ennemie. Elle frappe et martèle comme une harpie déchainée. Un assaut qui pourrait sembler sans fin! Mais Ingrid qui secoue son corps et ses jambes dans tous les sens réussit à libérer une de ses chevilles. Alors de son pied libre elle se met à cogner elle aussi en direction du sexe de l’Allemande. Pétra alors se met à tordre vers l’extérieur la cheville droite qui lui reste dans la main. Celà oblige Ingrid à se tourner sur son côté droit pour soulager la douleur. Mais Pétra continue sa torsion jusqu’à ce que son adversaire soit à plat ventre, allongée devant elle. La Valkyrie se jette alors à cheval sur le dos de la Viking, ses genoux à hauteur de ses aiselles. Elle s’empare des deux bras de la Suédoise au milieu des avant-bras, elle les tire en arrière et soulevant ses genoux du sol elle se laisse descendre assise sur le bas du torse de la combattante allongée. Elle soulève le buste d’Ingrid du sol et quand elle est certaine que les deux bras tendus en inversion sont bien bloqués sur ses genoux elle va checher le menton de la Suédoise qu’elle étire en arrière!... C’est beau, c’est net et c’est bien fait!... C’est une impeccable prise appelée par nos amis des States un "Camel-clutch". Seulement compte tenu de l’endurance et de l’entêtement de la combattante Suédoise, la partie risque de s’éterniser!... Pétra le sait et elle s’installe dans la durée. Elle prend ses aises dans sa position assise, elle allonge un peu sa jambe droite dont le genou doit la faire souffrir et elle reprend le rythme normal de sa respiration. Pour ajouter du piment, elle lâche le menton d’Ingrid et empoigne sa chevelure qu’elle tire en arrière de toutes ses forces et par saccades. Elle abandonne la prise de sa main droite pour ajouter des coups de poings sur le côté droit du visage de son ennemie. Mais elle en fait tant et si bien qu’elle finit par donner l’occasion à Ingrid de faire glisser et libérer son bras droit. En quelques secondes la situation a évoluée aux dépens de Pétra. En effet maintenant Ingrid libère son autre bras et se retourne sur le côté en bousculant l’Allemande qui s’en sort pas trop mal en appliquant un ciseau de côté à la ceinture de la Suédoise qui aussitôt s’agite dans l’étau. Elle ouvre ses jambes montrant ainsi le mélange de sang et de sueur qui tache le haut de l’intérieur de ses cuisses. Elle se tourne de côté pour attaquer le buste ou le visage de son ennemie avant de s’attaquer elle aussi à son tour au sexe de Pétra. Seulement Pétra ne veut pas laisser sa chatte sensible à la bestialité de la Suédoise, alors elle rompt sa prise et repousse l’adversaire. Les deux adversaires se retrouvent debout face à face pour la première fois depuis bien longtemps. En tournant l’une autour de l’autre elles semblent se donner un moment de répit pour retrouver un nouveau souffle. Comme tous les spectateurs elles font d’un coup d’oeil un rapide inventaire de leurs blessures. Ingrid fait des mouvements d’assouplissement de son épaule gauche pensant que Pétra en fait autant avec son genou gauche. Pétra appuie sur ses côtes et fait de petits ondoiements de son cou. Elle saigne du nez et de la bouche. Le plus nnuyeux pour elle est son oeil gauche qui est presque fermé et très gonflé. Ingrid saigne des morsures reçues par ses deux seins ainsi que de son sexe. Le saignement du sexe de Pétra ne semble être qu’un suintement. Les deux visages sont très marqués, surtout celui de la Suédoise.Les corps aussi sont marbrés de coups et portent des taches de toutes les couleurs. La plaque "de cuir" sur la cuisse gauche d4ingrid a pris une couleur de mal tanné. Dans leur petit alcove vitré nos prochaines adversaires ont le temps de bien observer tous ces stigmates ce qui leur fait envisager leur proche avenir avec un peu d’anxiété. Colette vient de trouver le moyen de distraire un peu Anne Marie: "Regarde dans le coin à droite à l’extérieur de la cage!....tu vois une femme à genoux avec son appareil de photos ?" "Oui... Çà y est je vois.... Pourquoi ?.." "Tu ne la reconnais pas ?" "Hum... Hum...on dirait...elle ressemble à l’actrice...heu..ah! Oui.. Sophie M......! Tu crois que c’est elle? " "Non seulement je crois mais je suis certaine !" En effet la belle actrice s’est approchée pour prendre des photos très rapprochées et pour ne pas gêner les spectateurs derrière elle, elle s’est accroupie avec un genou au sol. Elle est vêtue ou plutôt dévêtue d’un corsage totalement déboutonné, qui met en valeur ses deux magnifiques seins nus, et d’une jupe fendue qui permet de voir que sa jambe est gainée dans un bas de nylon noir et non pas dans un collant car la tranche de chair crème au-dessus de la jarretière de dentelle élastique ne peut laisser aucun doute sur le sujet. L’adorable actrice porte sur son visage les marques de la plus grande excitation. Ses pommettes sont d’un rouge fièvreux, ses lèvres entrouvertes sont gonflées sur une respiration haletante et ses yeux sont d’une brillance perverse!... Dans l’octagone le combat a repris. Ingrid s’est lancée à l’assaut à coups de poings et de pieds. Elle tente même des coups de pieds hauts qui n’ont que l’effet de brasser du vent!.. Mais en réponse Pétra ne fait que de l’esquive. Elle se paie même l’audace de tenir le centre de l’arène. Elle est la machinerie centrale du manège autour de laquelle la Suédoise est en train de se fatiguer sans beaucoup de succès Si elle n’est pas exténuée elle est assurément énervée ! Elle se lance dans une attaque frontale que Pétra écarte comme un toréador. Mais au passage la grande Allemande se saisit de la tête de son adversaire dans une clé de côté et, tout en laissant aller dans l’élan donné par Ingrid, elle donne un coup de reins qui lui permet de culbuter l’ennemie dos aux sol avec les jambes dressées contre la grille. Pendant la chute Pétra a changé de bras et de sens dans son collier de tête. Elle est maintenant sur son côté gauche tenant la tête d’Ingrid avec son bras gauche. Immédiatement elle se met à cribler de coups du poing de sa main droite le visage déjà blessé de son adversaire. Elle cogne à coups redoublés et de toute sa puissance. Ingrid, qui se trouve avec son bras gauche étendu sur le sol et coincé par le torse de Pétra, tente de se protéger avec sa main droite. Pétra s’empare du poignet et tire le bras derrière la tête d’Ingrid et le glisse sous son genou gauche. Alors elle recommence à s’acharner à violents coups de poings, cognant sur la face mais aussi sur le cou de sa victime. Ingrid essaie d’agiter ses jambes et son bassin pour se dégager mais ses jambes bridées par la grille de la cage ne lui sont d’aucun secours. Pétra se rend compte de la vulnérabilité de son ennemie dans cette position, pendant de longues minutes elle continue à s’acharner sur Ingrid. Puis extrèmement rapidement elle se met debout en posant son pied gauche sue le biceps du bras gauche de la femme au sol. Elle s’agrippe au grillage et se met à marteler du pied le corps de la Suédoise. Elle frappe à la tête et à la poitrine comme un animal enragé. Ingrid est soulagée du poids de son adversaire et bien qu’à moitié groggy elle réussit à reculer insensiblement son bassin. Son bras gauche étant écrasé par le pied gauche de Pétra elle fait glisser ses jambes qui sont en appui par les talons contre la grille. Elle parvient même à poser son pied gauche au sol. Mais son pied droit ne peut pas passer, un poteau de support de l’octagone l’en empêche. Subitement Pétra change de cible. La jambe droite d’Ingrid qui est en oblique contre le grillage semble être son objectif et particulièrement le genou que ses coups de pied forcent à l’envers de la pliure normale. C’est devenu son seul but. Elle semble déterminée à briser la jambe de son ennemie en frappant ainsi de toute sa puissance. Elle paraît être insensible aux coups qu’Ingrid lui lance verticalement dans le sexe avec ses doigts tendus puis aux griffures et blessures qu’elle inflige à l’intérieur de son vagin après y avoir enfoncé les doigts de sa main droite pour la meurtrir comme Pétra précédemment. Les deux ennemies, couvertes de sueur et de sang paraissent exténuées. Leurs respirations qui étaient courtes et bruyantes ont été remplacées par des gémissements et des grognements. Et maintenant ce sont des cris de douleurs qu’elles émettent toutes les deux. Pétra est la déesse de la violence à son paroxysme. Son corps luisant de sueur et maculé de sang exhibe des muscles noueux, tétanisés dans l’effort. Son visage est l’expression de la brutalité faite femme mais aussi de la détermination à aller jusqu’au bout, jusqu’à la victoire qui doit passer par la destruction de l’ennemie; de son corps comme de sa volonté ! Et soudain un craquement se fait entendre presque tout de suite couvert par un hurlement de souffrance crié par Ingrid. La jambe qui a pris au niveau du genou une forme plus qu’étrange est la preuve que Pétra a atteint le but qu’elle s’était fixé !... Derrière sa glace Anne Marie n’a pas pu retenir un cri de surprise et d’effroi mélangés en se cachant le visage dans ses mains. Un réflexe somme toute bien naturel mais assez enfantin en un tel lieu. D’ailleurs Colette lui fait remarquer: "Pourquoi fait tu mines de te cacher puisque tu regardes entre tes doigts écartés !" "C’est instinctif!...et puis comme çà sur le vif c’est émotionnant !" "Alors regarde franchement, ce n’est peut-être pas fini !" "D’accord mais c’est franchement violent...bestial même." "Certainement, mais pour Pétra c’est la seule solution pour avoir raison d’une telle adversaire." Le relatif silence qui s’est établi dans la salle pendant les dernières secondes est rompu par le bruit du gong qui résonne par deux fois pour annoncer la fin du combat et la victoire de Pétra. Mais Ingrid ne l’entend pas ainsi, elle invective les officiels qui sont de l’autre côté de la grille. Malgré sa jambe invalide qui doit la faire souffrir elle amorce le geste de se relever en s’accrochant à la grille et en trainant sa jambe droite déformée dans un angle inhabituel. Pétra de son côté ne s’est même pas éloignée. Elle s’est contentée de se tourner vers la gauche, puis elle s’est agenouillée en tenant son sexe à deux mains et finalement en se lovant en position foetale sur son côté droit. Ses doigts laissant passer le sang qui suinte de sa vulve blessée. Et voilà Ingrid qui parcourt sur son genou gauche les quelques décimètres qui la séparent de son adversaire. Elle prend une position presqu’assise en appuyant son dos au grillage. Elle s’empare du bras gauche de Pétra. Elle appui son pied gauche sur le dessus de son épaule et étirant le bras en arrière elle se laisse glisser au sol ce qui entraine l’articulation de l’épaule dans une situation anormale. Alors elle force en tordant jusqu’à ce qu’elle perçoive le claquement de la dislocation. Le gong a beau sonner à plusieurs reprises pour signaler que le combat est terminé, celà n’a pas empêché Ingrid de prendre une revanche immédiate sur la gagnante qui avait cessé de lutter. Des soigneurs sont entrés dans la cage au premier coup de gong et ils s’affairent à séparer Ingrid de Pétra qui a perdu connaissance sous l’effet de la dislocation inattendue. Dans la salle c’est un charivari épouvantable. Les spectateurs dans leur grande majorité sont offusqués de l’attaque d’Ingrid après le retentissement du gong. Il y en a toutefois un certain nombre et sans doute des supporters de la Suédoise pour justifier son assaut puisqu’elle n’avait pas abandonné. Il va y avoir encore de nombreuses discussions autour du point de réglement qui veut que les responsables du programme et de la soirée doivent arrêter le combat lorsqu’un des adversaires subit une blessure grave ou sérieuse. Les avis seront encore partagés sur la notion de gravité d’une blessure et sur la notion d’abandon d’un combattant. Dans la petite pièce occupée par Anne Marie et son coach Colette les deux femmes ont abandonné le combat et sa fin cruelle. Colette a aidé la lutteuse à remettre ses gants et a enfiler son peignoir. Maintenant elle l’exhorte à se concentrer sur le combat à venir. "Tu as vu jusqu’où çà peut aller et toute la méchanceté qu’il faut avoir. Alors oublie le spectacle que tu as vu. Penses à ton ennemie, aux qualités et aux défauts que tu lui connais. A la façon que tu vas l’attaquer et te défendre. Tu sais que je serais près de la grille. Si tu entends les conseils que je te crierai, essaye de les suivre!" "Merci Colette je vais me donner à fond !" "Alors bonne chance !" Elles sont si bien isolées du public maintenant qu’elles ne se rendent pas compte que les soigneurs on mis le bras gauche de Pétra dans une écharpe et que maintenant elle est debout dans la cage. Le présentateur, officiel de service lui lève le bras droit en signe de victoire ce qu’elle accepte volontiers. C’est avec plaisir qu’elle répond au tonnerre d’applaudissements qui maintenant emplissent la salle. Pendant ce temps, Ingrid est évacuée sur une civière ! Le prochain combat va opposer Josette et Anne Marie. A suivre.......