La Saga de Axiline - 7ème Episode. Violente@net-up.com Leçon de lutte sexuelle pour Maria Avant - propos . A l’instar du talentueux Robert Lamoureux qui dans une de ses productions avait "Perdu " puis finalement " Retrouvé la 7ème Cie " J’ai aussi retrouvé ce 7ème épisode que vous avez été si nombreux à me réclamer au point que je n’ai pas pû répondre directement à toutes les demandes que vous avez eu la gentillesse de m’adresser. Veuillez donc m’excuser, je fais amende honorable. La Saga de Axiline 7ème Episode =0=0=0=0=0=0= Pendant que Charles et Maria assouvissent des désirs passionnels trop longtemps refoulés, non loin d’eux, Mario découvre dans les bras de Axine que le plaisir qu’il avait trouvé auprès de Vadia était d’une fadeur effarante. De leur côté Véro et Lisa restent longtemps noyées dans les brumes de leurs orgasmes respectifs. Les vocalises glorieuses de Maria, les roucoulements de Axine et les grognements de plaisir des deux hommes ne sont pas faits pour les sortir de leur sensuelle rêverie! Lisa est la première à réagir. Elle se lève en mettant un peu d’ordre dans le débraillé de sa toilette. Elle s’approche de Véro: "Puis-je me rafraichir un peu?" "Mais bien sûr Lisa. Voulez-vous même prendre une douche ou seulement faire un brin de toilette?" "Une toilette suffira et aussi une grande boisson fraiche!" "Suivez-moi s’il vous plait, je vais faire comme vous." Les deux femmes ont quitté la pièce depuis quelques minutes lorsque Maria et Charles mettent fin à leurs ébats. "Je ne sais pas comment vous remercier Monsieur, c’était si bon et çà faisait si longtemps! Je me contentais d’artifices comme des courgettes en regardant les matchs de catch à la TV et en imaginant les lutteurs se faisant des choses sexuelles. Grand merci de tout mon coeur!" "Je suis aussi ravi que vous Maria. Maintenant voulez-vous soigner vos blessures et vous nettoyer?" "Oh oui si vous le permettez!" "Alors Axine va vous conduire et vous aider dès que votre fils et elle en auront fini!" Peu de temps après Axine et Maria se préparent à quitter la pièce laissant Charles et Mario enfiler leurs sous vêtements et leurs chemises pour ensuite se diriger vers un meuble qui fait office de bar. Maria va récupérer son slip noir, sa jupe et son T-shirt. Elle remet ses pieds dans ses chaussures sans en attacher les brides. Ensuite elle sort de la pièce à la suite de Axine. Dans un petit local qui lui sert de vestiaire au pied de l’escalier elle abandonne ses vètements abimés et elle prend un chemisier blanc et une jupe plissée grise. Puis toujours dévêtue elle monte l’escalier devant Axine qui s’amuse du déhanchement du large bassin qui fait danser de marche en marche les grosses fesses de la petite femme. Axine et Maria utilisent une salle de bains d’une des chambres de l’étage. Pendant que Axine s’emploie à appliquer des baumes et des onguents sur les ecchymoses, les balafres et les différentes blessures de Maria, celle-ci ressent le besoin de donner ses sentiments et d’exprimer ses craintes à la suite des événements qu’elle vient de vivre. "J’ai honte de tout ce que je viens de faire! Je ne sais pas ce que vont penser de moi Monsieur et surtout Madame? J’espère qu’ils ne vont pas me renvoyer car j’ai besoin de ce travail!" "Tranquilisez-vous Maria. Je suis certaine que Véronique doit, tout au contraire de ce que vous pouvez penser, apprécier vos prestations de ce soir. Elle est certainement heureuse de voir en vous une adepte des sports de combat qu’elle pratique elle-même!" "Parce que Madame se bat aussi de cette façon," "De cette façon oui! Mais aussi elle se livre à des combats d’un tout autre genre et vous allez en avoir un exemple sans tarder!" "Elle va se battre avec vous ou avec l’autre dame?" "Avec madame Lisa, l’autre dame comme vous dites." "Oh mais je vais devoir m’en aller! Je n’ai pas le droit de rester, Madame ne me l’a pas dit vous savez!" "Elle va sûrement vous y inviter vous allez voir!" Après avoir fini de soigner ses plaies Maria lave les parties de son corps qui sont souillées puis elle reprend la parole: "J’aimerais rester vous savez. J’ai pris un véritable plaisir à me battre avec cette jeune putain de belle-fille. Ce que j’ai ressenti est vraiment fantastique! Je ressentais la souffrance des coups et des prises en même temps j’éprouvais physiquement un immense plaisir à rendre ces coups et à aplliquer des prises au corps à corps c’était comme si j’allais jouir!....J’en viens presque à regretter que c’est fini et j’ai envie de recommencer!..C’est pas normal n’est ce pas?" "Non seulement c’est tout à fait normal Maria mais c’est aussi encourageant pour l’avenir!" "Qu’est ce que vous voulez dire," "Nous en reparlerons plus longuement demain si vous voulez bien. Mais sachez déjà que je désire vous entrainer et vous familiariser avec les sports de combat. Je dirige une salle vouée à ces sports. Et je suis certaine que vous avez votre place parmi les lutteuses qui pratiquent sur le circuit très confidentiel où nous nous exprimons!" Véro après avoir donné une chambre avec salle de bains à Lisa est allée faire un brin de toilette dans sa propre salle de bains. Elle retouche son léger maquillage et se donne un coup de peigne. Elle rajuste sa jupe de cuir et laisse ouvert son blouson sur ses seins nus. Puis elle enlève son collier de perles blanches et les boucles d’oreilles qui lui sont assorties. De son côté Lisa a fait à peu près la même chose.En plus elle s’est légèrement remaquillée et elle a dénoué son chignon laissant tomber de chaque côté de sa face les belles et longues vagues noires.Elle a oté sa bague ornée d’un diamant couronné et ses deux boucles d’oreilles. Elle a rajusté sa jupe grise et son soutien-gorge. Elle n’a accroché qu’un bouton à son chemisier blanc mais n’a pas remis sa veste. Enfin elle remet à nouveau ses escarpins à très hauts talons. Lorsqu’elle sort de la chambre, Véro est déjà dans le couloir où elle semble l’attendre. Sans qu’un seul mot soit échangé elles se dirigent vers la grande salle. Les deux hommes ont repris un semblant de tenue et presque aussitôt Axine et Maria font leur entrée. Véronique se dirige vers elles et s’adresse à Maria: "La soirée n’est pas terminée Maria et comme vous m’avez très impressionnée lors de votre combat je vous invite à rester cette nuit pour partager nos émotions à venir" "Merci Madame vous me faites plaisir!" Madame Lisa se manifeste alors: "Je suis venue ici pour règler un compte! Alors je suggère que nous passions aux choses sérieuses. Avant tout je veux des précisions sur les reproches que vous faites sur ma façon de diriger mon club. Je vous écoute! Quels sont vos griefs?" "Il y a certainement un malentendu chère Lisa, je n’ai jamais fait aucun reproche et n’ai aucun grief à votre égard. Ce que j’ai pu dire vous a été mal rapporté!" "N’avez-vous pas dit, Véronique, que l’ambiance de mon club est malsaine et que la singularité dans le votre est l’atmosphère d’amitié et de camaraderie qui y règne?" "J’ai bien parlé de familiarité et d’amitié qui sont l’état d’esprit qui prédomine chez moi. Mais je n’ai nullement critiqué la volonté de domination physique et mentale qui conduit les gagnantes de vos combats à faire des vaincues de véritables esclaves mortifiées. Je n’ai fait que constater ce qui existe sans faire de prosélytisme. Mes propos vous ont été mal retransmis!" "N’avez-vous pas ici des gagnantes et des perdantes? Et les combats qui se déroulent sont ils de simples jeux de rôles? "Les combats sont aussi brutaux que chez vous dans presque tous les cas! Ils sont l’exutoire au besoin de violence des adversaires et au désir de défoulement sexuel qu’ils apportent. Ils sont livrés pour gagner la victoire autant que possible. Et même lorsqu’ils sont livrés pour régler un différent ou solder une rancune, ils se terminent sans ostentation du vainqueur ni domination du ou de la vaincu. Fréquemment les adversaires restent ou même deviennent des amis! Les duels les plus sanglants comme suite d’une querelle ne donnent lieu à la fin qu’à une indifférence polie tout au plus, s’ils ne réalisent pas un rapprochement entre les ennemis! " "Je sais ce qui a été dit et je veux que vous m’en rendiez compte sur le champ avec vos excuses! Tout çà c’est du baratin!" "Je n’ai aucune excuse à faire. Mais si vous vous sentez offensée et que vous souhaitez que nous nous battons, je suis à vous! Et sachez que je n’ai besoin d’aucun prétexte pour vous affronter!" "O.K. Alors en tant qu’offensée j’ai le choix du combat. Comme chez moi la majorité des lutteuses sont lesbiennes, je veux que nous nous engageons dans un combat sexuel. D’accord?" "Votre choix est le mien!" "Alors nous allons commencer par une mise en appétit. La première reprise sera pour celle qui aura fait jouir l’autre la première!" Après cette discussion, les deux femmes se deshabillent. Véronique a tôt fait d’enlever le peu de vêtements qui la couvrent. Elle offre aux regards des autres la fermeté de son corps de blonde élancée. Un corps garni de muscles légèrement apparents qui soulignent la grande forme physique de cette femme de 60ans au moins. Il faut être très perspicace pour deviner quelques traces de cellulitte. Lisa pour sa part a besoin d’un peu plus de temps. Elle commence par ôter son chemisier puis sa jupe ce qui l’oblige à jouer du bassin pour franchir l’obstacle de ses larges hanches. Le dégrafage de son soutien-gorge laisse descendre quelque peu ses volumineuses mamelles sur le bas de sa poitrine et le dépouillage de son slip permet de noter le léger bombé de son ventre. Son corps est également souligné de légers muscles mais il est plus facile de percevoir chez elle les stygmates de la cellulitte. La dizaine d’année de moins qu’elle a par rapport à Véro ne joue pas en sa faveur pour la forme et l’esthétique de son corps. Les deux adversaires face à face mais assez éloignées l’une de l’autre s’examinent longuement et silencieusement. C’est une sorte de round d’observation au cours duquel les protagonistes se découvrent, s’offrent aux regards et à l’appréciation des autres. Les adversaires s’étudient, se jaugent, se mesurent, s’évaluent et cherchent à deviner les points forts et les points faibles, pour finalement s’apprécier et se désirer si faire se peut. Elle se sont rapprochées, lentement elles tournent l’une autour de l’autre en finissant par venir à portée de main. Lisa qui a gardé ses escarpins aux pieds se trouve presqu’à égalité de taille avec Véro qui est pieds nus, il s’en faut de 3 ou 4cm. Alors elles tendent leurs bras pour se saisir des bras de l’autre qu’elles commencent à caresser en s’attardant aux biceps pour une dernière appréciation,avant de monter aux épaules, se diriger vers le cou et redescendre à la poitrine et y parcourir en reconnaissance les seins dont les mamelons s’érigent doucement. Eles sont yeux dans les yeux et maintenant elles contemplent les masses volumineuses, tièdes, souples et fermes à la fois que lentement elles commencent à pétrir. Leurs regards vont des seins aux yeux et aux lèvres qu’elles doivent humidifier en y passant le bout de leur langue. L’ampleur grandissante du volume de leurs respirations se mesure au développement de leurs torses. Leurs bustes s’animent au rythme ondulant de leurs corps éveillés par la sensualité naissante. C’est le moment intense où les corps à la fois se contractent et frémissent sous les caresses débutantes et les attouchements nerveux. Ce moment où l’esprit oscille entre le désir d’aller à la victoire et le besoin de répondre à l’appel des sexes. Le dilemme qui se présente aux deux femmes est celui de tous les combats. Choisir entre la tactique de l’attaque et celle de la défense. Or ici pour attaquer il faut négliger un peu la défense. Pour exciter l’adversaire et la faire entrer dans l’état euphorique qui doit l’amener à l’orgasme, les caresses et attouchements de toute sorte ne suffisent pas. Il faut partager cet état et ne pas rester inactif...mais aussi devenir réceptif donc prendre le risque maximum de succomber en premier!...En un mot il faut transmettre sa propre excitation à l’adversaire pour l’exciter davantage. Maintenant elles sont entrées en contact physique. Les poitrines se touchent et les seins commencent à parcourir le torse de l’autre à la recherche de leurs "adversaires".mais si les deux femmes se trouvent à peu près à la même hauteur, les seins de Véronique plus fermes et plus hauts plantés sont situés au-dessus de ceux de Lisa, plus volumineux mais plus avachis et situés plus bas sur son corps. Les deux paires de mamelons deviennent de plus en plus durs, gonflés et turgescents en caressant et frottant la peau veloutée qu’ils parcourent comme des chasseurs aveugles. Les deux ventres sont maintenant écrasés ensemble. Ils se gôutent peau contre peau. Le volume de celui de Lisa semblant vouloir absorber l’abdomen plat de Véronique. La forêt noire et drue de Lisa, pourtant parfaitement soignée paraît fort abondante par rapport à la pilosité claire, fine et clairsemée du pubis de Véronique. Les pubis se cherchent et se trouvent grâce à l’agitation des bassins et des cuisses qui se poussent, s’écartent et se vrillent. Les mains sont descendues au niveau des fesses dont elles empoignent les volumes pour mieux écraser les corps ensemble. Dans le même temps les visages se sont croisés et les têtes sont venues reposer leur menton sur l’épaule adverse, les lèvres gonflées commencent à s’entrouvrir afin de donner libre cours aux respirations. Les pubis démèlent leurs poils comme les cuisses parviennent à se glisser dans l’entre cuisse de l’autre pour aller au devant de la vulve, s’écraser contre et s’y frotter. C’est maintenant que débute l’affrontement des sexes, leur excitation et leur affolement sous l’assaut des caresses des cuisses animées au rythme des bassins. Les bassins qui poussent, qui se tordent et s’agittent pour enflammer le calice du plaisir. Chacune cherche à augmenter le contact afin d’ouvrir les pétales qui se gorgent de désir et commencent à suinter la liqueur de lubrification. Cette huile d’amour et de jouissance qui transpire sur les parois sensibles comme une sueur de désir! En poussant leur cuisse droite plus avant entre les cuisses de l’autre, et en les soulevant légèrement pour mieux coller à la vulve, les deux femmes se déséquilibrent et pour garder leur verticalité elles se trouvent obligées de s’avancer par toute petite touche. Celà les amène à pivoter leur enlaçure dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. Elles s’engagent dans une danse lascive sans musique, où seules les respirations qui deviennent haletantes rythment leur déplacement. Elles sont toujours accrochées par les mains crispées sur les fesses. Les ongles enfoncés dans les chairs comme des serres d’aigles! Elles semblent tour à tour chuchoter à l’oreille de l’autre. Axine, pour avoir vécu de telles situations sait bien que les courtes phrases susurrées à l’adversaire sont des provocations ou bien des insultes ou encore des obscénités destinées à l’exciter. Par contre Maria qui est assise à côté d’elle sur un vaste canapé montre un visage totalement ébahi et déconcerté. Sa bouche béante et son regard stupéfié avec les yeux exorbités dénotent son effarement devant le spectacle qui se déroule devant elle. La situation évolue maintenant assez vite. Les mouvements des deux adversaires deviennent de plus en plus amples ce qui augmente leur instabilité. Il semble que Lisa pousse progressivement Véronique vers le mur le plus éloigné des spectateurs. Finalement Véro se trouve dos au mur. Les deux femmes sont toujours enlacées par leurs mains cramponnées sur les fesses de l’autre. Les cuisses droites toujours glissées entre les cuisses de l’autre sont animées d’un mouvement d’avant en arrière dans une position maintenant encore plus relevée dans la fourche adverse puisque l’appui contre le mur leur donne une nouvelle stabilité. Lisa dont le genou heurte le mur derrière Véro est obligée de reculer son bassin. Véro qui est toujours cramponnée à ses fesses perçoit le mouvement de son adversaire et profite de son léger déséquilibre pour pousser de l’extérieur de sa cuisse droite relevée contre l’intérieur de la cuisse gauche de Lisa. Pour ajouter au déséquilibre, Véro incline son corps sur sa droite ce qui précipite Lisa dans une chute sur son côté gauche en entrainant son adversaire avec elle. Lisa a abandonné sa prise et pour controler sa chute, d’elle même elle se tourne sur son côté gauche pour se retrouver presque à plat ventre avec Véro qui vient s’allonger sur elle. Véro qui immédiatement encercle le torse de Lisa à deux bras et cherche à l’enserrer dans un ciseau de l’arrière. Avant que Véro n’atteigne son but, Lisa dont les deux seins sont déjà dans les mains de Véro dans une puissante ruade se relève et se débarasse de son adversaire Une courte et vive lutte s’engage au cours de laquelle les deux femmes tantôt à genoux, tantôt allongées, cherchent à prendre une position dominante. C’est ainsi que Lisa se trouve prise dans un ciseau à la ceinture par Véro qui fait face à ses pieds. Hasard ou habileté de la part de la maitresse de maison? Toujours est-il que dans un effort Véro amène Lisa sur son dos et aussitôt se plie vers le bas de son corps pour lui attaquer le sexe. Véro débroussaille les épais poils noirs et se met en devoir de dégager les épaisses lèvres gonflées et suintantes de Lisa. Sous le poids des fesses qui l’écrasent, Lisa s’agitte pour se libérer. Elle claque des jambes et des pieds au sol. Elle cherche à frapper à la tête de Véro avec ses pieds ou ses genoux. Mais la grande blonde pare les coups adroitement. Elle déchausse même Lisa et se retournant à moitié elle lui porte à la poitrine un coup avec un escarpin pour la punir des griffures et fessées qu’elle lui donne. Véro se penche en avant. De la main et du bras gauche elle se protège des jambes et des genoux de Lisa. Puis elle pose ses seins sur le ventre de la brune et elle amène sa bouche à sa vulve. Sa tête enfouie entre les cuisses de Lisa et sa main droite s’activent dans le sexe de son adversaire sans que les spectateurs puissent déterminer exactement l’action qu’elle mène mais qui doit être efficace si l’on tient compte des protestations de Lisa qui lui dénie le droit de faire ce qu’elle fait! De plus en prenant cette position, Véro met son vagin plus à portée de Lisa qui envoie ses mains et ses doigts à l’assaut du sexe de sa rivale! Mais la blonde a certainement plus de pouvoir que la brune n’en a. Maria doit avoir compris que sa patronne est en train de lècher l’intérieur du vagin de Lisa et de lui sucer le clitoris. Elle est assise presque en équilibre du bout des fesses sur le bord du large canapé, un peu courbée en avant pour ne rien perdre du spectacle et ses mains sont en train de rouler ses seins et d’en pincer les gros mamelons entre deux doigts. Et comme Lisa commence à transformer l’agitation réactive de son corps en une danse du bassin de plus en plus lascive. Alors qu’en même temps ses cris de récriminations se métamorphosent en grognements et gémissements de plaisir! Maria n’hésite pas à descendre ses mains à son sexe et à commencer à se masturber. Aux émissions de plaisir de Lisa se mèlent les bruits de succion et de clapotis du léchage faits par Véro. L’atmosphère dans la pièce s’est alourdie d’une sensualité épaisse. Les respirations de tous les présents se sont accélérées et se mélangent à des soupirs et grognements jouissifs. Les ébats sexuels à la fin du précédent combat ont laissé des miasmes de parfums et d’odeurs de sexes qui maintenant deviennent presque palpables. Véro qui doit être certaine de parvenir à faire jouir Lisa la première laisse maintenant son bassin onduler sous l’effet de l’assaut des doigts de son adversaire. Elle accélère le travail de sa langue et de ses lèvres en reprenant plus fréquemment et bruyamment sa respiration. On sent que le plaisir la gagne aussi. Mais Lisa succombe la première en un feulement guttural. Son corps est agité de spasmes qui la font vibrer et se secouer en tous sens. Ses fesses se décollent du sol en projetant son sexe au visage de Véro qui poursuit son butinage d’une manière de plus en plus distraite. En décollant son ventre de celui de Lisa et présentant ainsi sa chatte plus facilement aux doigts de sa rivale qu’elle semble ainsi solliciter! Tout en continuant de masturber avec ses doigts le calice de Lisa, Véro a descendu son sexe à portée de la bouche de son adversaire qui s’ingénie à son tour en se cramponnant aux fesses blondes à fouiller de sa langue dans le con de la grande femme. Toutes les deux s’activent à donner du plaisir à l’autre et en grognant de plaisir Lisa amène Véro à l’orgasme qu’elle accompagne d’une sorte de cri de joie qui est une petite imitation du you-you des femmes du Magreb. Dans ces dernires instants de jouissance partagée par les deux adversaires, Maria se sent emportée dans une vague lubrique. Elle avait déjà ouvert son corsage, sorti ses seins de leurs bonnets et s’était mise à les malaxer langoureusement avant de s’attaquer avec plus de vigueur et presque de brutalité à ses mamelons qu’elle avait malmenés sans pitié. Maintenant elle se laisse descendre devant le canapé en laissant sa large jupe se relever en restant accrochée au tissu du siège. Ainsi nue du bassin puiqu’elle n’a pas remis de culotte, les genoux pliés relevés et les cuisses largement écartées elle se laisse aller à une masturbation acharnée de son sexe. Les doigts d’une main enfoncés dans son vagin, les autres s’activant comme les ailes d’une libellule sur son clitoris. Maria est certainement inconsciente de son environnement et même de son comportement. Elle est dépassée par l’attitude des deux femmes devant elle et sa sexualité refreinée depuis si longtemps se libère tout à coup d’une manière dont elle n’a pas la maitrise. Envoûtée par les orgasmes des deux femmes devant ses yeux elle est emportée malgré elle dans un besoin de jouissance immédiate, totale et libératrice. Son dos secoué par les spasmes qui la submergent, ses cuisses animées comme les becs d’une pince qui s’ouvre et se ferme sans arrêt sur ses mains enfouies en elle, elle commence à geindre et à gémir comme sous l’effet d’une souffrance grandissante. Elle a les yeux presque sortis de leur orbite lorsqu’elle émet un roulement de gorge qui vient du profond d’elle même et qui ressemble un peu au bruit émis par une locomotive à vapeur des temps anciens! Et finalement, les cuisses serrées sur ses poignets, ses mains toujours en elle, elle descend sur son côté gauche, en position de foetus. Axine n’est pas intervenue, elle s’est émerveillée de voir avec quelle puissance Maria s’est amenée à l’orgasme. Elle a regardé aussi sur sa droite Mario qui est venu impudiquement contempler sa mère en se masturbant d’une façon démentielle qui l’a amené à l’éjaculation et lui aussi à sécrouler assis sur ses talons et les mains posées devant lui pour se retenir. Elle a senti dans son dos la présence de Charles mais elle n’a pas cherché à le voir. Elle s’est contentée pour elle-même de caresses sans chercher à se faire jouir. Elle a voulu tout voir! Elle s’est contentée de se dire en elle-même pleine d’admiration devant Maria: "Sacré ‘Fie de garce!’ Pour une branlette, çà c’est une sacrée foutue branlette de première classe!" Véronique qui s’était avachie sur Lisa se relève en décollant son ventre de celui de celle-ci dans un bruit de ventouse que l’on décolle. Elle se met debout et tend une main à son adversaire pour l’aider à se relever en lui disant: "Chère Lisa j’ai gagné la première manche!" " Par surprise c’était facile! Mais nous allons voir la deuxième, c’est celle qui compte vraiment!...au finish...d’accord?" "Abandon par usure ou paralysie... C’est çà?" "Tout à fait exact!...O.K.?" " O.K.!...Venez vous rafraichir!" Pendant qu’elle sont allées boire un verre auprès du meuble bar, Maria qui s’est relevée se rasseoit auprès de Axine: "Je ne rêve pas dites voir?...c’est tellement fantastique tout ce qui se passe devant moi aujourd’hui que je suis toute bouleversée!" "C’est bien réel Maria et dans le milieu très secret où nous évoluons ce sont des choses courantes et normales." "Est-ce que moi je pourrais vivre ces choses normales et courantes?...J’en ai une envie irrésistible vous savez!" "Je le crois Maria mais nous en reparlerons demain!...Et puis la soirée n’est pas finie, vous allez voir." Lisa et Véronique ont repris possession du tapis et sans un mot, sans aucun signe extérieur elles s’approchent l’une de l’autre. Leur différence de taille est maintenant très marquée puisque Lisa n’a pas remis ses chaussures. Malgré celà elles s’enlacent, Véro baissant sa tête et Lisa levant la sienne, elles "s’embouchent" dans un baiser où les langues sont à la fête et à la conquête du palais et de la bouche de l’autre. Pendant celà les mains caressent toutes les parties du corps de l’adversaire qui sont à leur portée. Elles sont engagées dans un corps à corps très rapproché, très sensuel et très lascif. On sent qu’elles se donnent sans retenue aucune l’une à l’autre. Elles sont engagées dans une chasse à la jouissance où, ni le temps ni les moyens n’ont d’importance. Une seule chose compte, jouir et faire jouir, aussi fort et aussi longtemps que possible. Toujours enlacées elles glissent sur leurs genoux. Les bouches ne se sont pas quittées. Un mauvais plaisant dirait qu’elles ont continué leur dégustation de langue! Leur différence de taille est soudainement devenue moins importante. Leurs caresses deviennent plus amples. Leurs troncs s’éloignent doucement l’un de l’autre et les mains vont chercher les seins pour qu’ils soient eux aussi de la fête, mais en perpétuant le suave baiser buccal. Puis les mains descendent vers les aines pour atteindre les sexes dèjà enflammés. Lorsque les doigts commencent à pénétrer les vulves elles décollent leurs bouches et reposent leur menton sur l’épaule de l’autre. Les genoux et les cuisses s’écartent pour donner accès au calice du plaisir. Les fesses se reculent un peu et bientôt s’animent au rythme des doigts qui plongent dans les chairs. Les poignets pistonnent pour faire coulisser les doigts qui sortent et entrent en s’accélérant. Très vite les corps sont secoués par une vibration qui va en s’emplifiant en même temps qu’elles émettent un son de gorge qui vient rouler dans leurs bouches entrouvertes. C’est l’orgasme commun et simultané qui les bouscule et les fait s’écrouler sur le côté où leurs lèvres se retrouvent. C’est le premier orgasme de ce combat d’une nouvelle forme. Elles vont alors se lancer dans une course où chacune tour à tour fera atteindre à l’autre la jouissance sexuelle. On aurait pu penser que chacune aurait travaillé à son avantage, évitant de subir le plaisir en le faisant subir à l’autre. Mais c’est un rôle qu’elles ont souvent joué en vieilles routières de ces genres d’assaut. Alors il s’avère qu’elles ont une sorte d’accord peut-être tacite qui consiste à partager la jouissance jusqu’à ce que l’une d’elles ne puisse plus le supporter ou bien n’a plus la force de continuer! C’est ainsi qu’elles vont prendre successivement toutes les positions et tous les enlacements qui leur permettent de donner et ensuite de prendre du plaisir. Elles ont pris place tête-bêche en 69. Elles ont alternativement chevauché une cuisse, une hanche, une fesse et même le devant d’un pied replié allongées face au sol l’une sur l’autre. Elles se sont soumises l’une après l’autre à un long face-sitting. C’est au cours de cette séquence dans leur partage de jouissance que Maria s’est déplacée. Elle est venue s’asseoir en tailleur devant Lisa qui s’escrimait sur la figure de Véro. La petite lutteuse est transfigurée. Son visage qui porte les stigmates de la fatigue est bouffi et rouge autant de passion que de chaleur. Ses yeux sont le plus souvent fermés car la sueur qui inonde son visage et son corps coule dans ses yeux en la brûlant. L’abondance de la transpiration fait que la sueur ruisselle sur son corps et tombe goutte à goutte de son nez, de ses lèvres, de son front et aussi du bout de ses seins. Par moments Lisa est obligée de porter ses mains au sol devant elle, derrière la tête de Véro pour se retenir et ne pas s’écrouler. Maria a les yeux rivés dans l’entre-jambes de Lisa dont les cuisses sont très écartées de chaque côté du visage de Véro. Elle examine avec une grande attention chacun des mouvements de la femme au poils noirs. Les avancées et les reculs. Les écrasements et les soulèvements. Ce sont ces moments de légère suspension qui l’obligent à prendre appui au sol devant elle et qui permettent à Véronique de titiller de la langue sur le clitoris mis a sa disposition. Elle voit la pointe de la langue soulever la longue petite tige de chair nacrée, d’un rose vif d’irritation. Ces caresses linguales qui font vibrer le corps de Lisa, Maria semble les ressentir tellement la virulence de l’action est intense. Elle a retroussé son ample jupe à sa ceinture et par dessus son soutien-gorge elle pétrit ses lourdes mamelles aux pointes atrophiées d’excitation. Lisa regarde Maria devant elle et son regard s’anime et s’attarde sur la femme qui l’observe. Leurs yeux se croisent et le regard de Lisa s’enfonce dans celui de Maria. Lisa alors baisse ses yeux et s’arrête sur la vulve noyée dans l’abondant buisson de poils noirs. Son regard fait ainsi le va et vient entre les yeux et le sexe de Maria jusqu’à ce que cette dernière devine le message et descende elle aussi ses mains dans sa chatte qu’elle se met à masturber en unisson avec les mouvements de Lisa. Maintenant les regard se retrouvent et ne se lâchent plus jusqu’à ce que Lisa entraine Maria dans l’orgasme qui la submerge et qu’elles chantent en choeur leur jouissance sexuelle. C’est ensuite Véronique qui procède au même acte avec la complicité de Lisa pour aller elle aussi dans la sphère du plaisir. Les deux amazones se mettent alors en devoir d’engager un assaut de pubis, chatte à chatte en se donnant comme but d’être la plus résistante dans l’orgasme ou plutôt la série d’orgasmes qui va les emporter. La gagnante étant celle qui continuera le combat alors que l’autre ne sera plus en mesure de poursuivre. Elle se positionnent assises en plaçant chacune sa cuisse droite sur la cuisse gauche de l’autre. En appui sur leurs coudes, à-demi allongées elles avancent pour amener leurs sexes en contact. C’est maintenant chaque vulve, chaque vagin et chaque clitoris qui va donner et prendre du plaisir en excitant l’autre par des frottements caressants et des poussées pour ne pas dire des coups de con dans le con de l’autre. D’ailleurs leurs poussées sont si vivaces que dans le roulement d’orgasmes où elles sont noyées, elles se déplacent sur leurs fesses sans s’en rendre compte. Comme deux muezzins elles psalmodient leur jouissance entrecoupée d’antiennes hoquetantes et de silences oppressés. L’abrasion dûe aux frottements se manifeste par une iritation empourprée des chairs et de l’intérieur du haut des cuisses. Car malgré la sueur abondante et les fluidités issues des vagins, ces parties sensibles ont commencé à souffrir des frottements répétés. Les deux jouisseuses sont arrivées maintenant dans un angle de la pièce, non loin d’un épais rideau de velours qui voile une fenêtre. Et l’attention des spectateurs commence à se disperser. Maria a fini de se dévêtir, enlevant même son soutien-gorge. Ses seins lourds luisants de transpiration sont descendus sur le bas de sa poitrine. Son pubis broussailleux est englué de perles de sueur et les poils entre ses cuisses forment une mèche collante. Elle s’approche et s’adresse à Axine: "J’aimerais encore me battre pour bien connaitre le contact du corps d’une autre femme. Accepteriez-vous de vous battre avec moi ? Pas un match, juste une sorte de lutte quoi !" "Si c’est pour jouer ou vous informer, pourquoi pas Maria. Mais vous savez que si vous voulez vraiment vous battre, je suis trop expériencée pour vous!" "Oh c’est juste pour apprendre vous savez !" "Alors nous pouvons aller dans l’autre coin du tapis, venez!" Elles se font face. Maria tend sa main droite vers la main droite de Axine en se penchant en avant, légèrement inclinée sur son côté gauche. Axine prend à peu près la même position et donne sa main à Maria. Celle-ci avec prestesse et en souplesse compte tenu de la lourdeur de son corps, réalise un surpassement de sa jambe droite en se retournant dos à Axine qui se plie en deux derrière elle et comme elle. Dans le même mouvement Maria se saisit avec sa main gauche lancée derrière elle de la jambe gauche de Axine. Elle la soulève et propulse Axine dos au sol derrière elle. Elle se retourne et plonge sur son adversaire qu’elle écrase sous elle. Elle a fait un changement de mains et de sa main droite maintenant elle ramène la jambe de Axine étirée sur sa poitrine. Comme elle reste là, bloquant la jambe et en même temps écrasant Axine sous son poids, celle-ci lui demande : "Et alors Maria...que faites vous mainteneant ?" "Je ne sais pas!...c’est un mouvement que j’ai souvent vu faire à la TV et que j’ai toujours rêvé de faire !...C’est tout !" Alors Axine se met en devoir de la conseiller sur l’action à mener. Puis elle lui dit de toucher son corps, ses muscles et sa peau tout en effectuant ses mouvements. Elles passent à diverses prises et s’attardent particulièrement sur les ciseaux. C’est dans ces prises entre autres que les possibilités de contact avec la chair de l’adversaire sont les plus intenses. Sur l’insistance de Axine les deux femmes en sont venues au tutoiement, même si celà a été un peu difficile pour Maria. Maria qui s’émerveille des sensations qu’elle éprouve et qui le dit, ne cessant de répéter à Axine que son corps, que sa peau et que ses muscles sont beaux. Tous les qualificatifs qu’elle connait sont de sortie ! Axine découvre également le corps de Maria avec ses faiblesses et défauts bien évidemment mais aussi toutes les qualités latentes et potentielles, qu’elles soient musculaires ou bien que ce soit de la souplesse ou encore de l’habileté à effectuer des essais. Dans leur prises de ciseau au sol, Axine fait un ciseau arrière à la ceinture pour que Maria soit consciente des muscles de ses cuisse quand elles sont bandées. Elle en fait autant de face et sur le côté pour faire mesurer la qualité de ses abdominaux. Elles en viennent aux ciseaux de tête, offrant ainsi au yeux et au nez de l’adversaire, ou la vulve ou le cul! Elles tentent un double ciseau de tête en 69, mais le corps de Maria ne s’y prête pas. Alors Axine qui enserre la tête de Maria entre ses deux cuisses, dégage à deux mains la pilosité dense de celle-ci et ouvrant à deux mains son calice lui pratique une fellation prestigieuse qui est une découverte pour la grosse petite femme et l’amène à nouveau à un paroxysme orgasmique qui transporte d’aise l’adroite Axine ! Nul doute que compte tenu de toutes ses observations Axine va devoir inciter Maria à devenir une de ses élèves en fondant beaucoup d’espoirs sur sa personnalité. Cette sorte de combat démonstration dure assez longtemps pour qu’à un certain moment elles se rendent compte qu’il n’y a plus dans la pièce que le bruit de leur conversation et de leurs efforts. Alors elles arrêtent et s’asseoient l’une à côté de l’autre en portant leur regard vers Véronique et Lisa. Elles constatent alors que les deux adversaires sont allongées enlacées et immobiles. "Que se passe-t-il ?...Elles ont fini ?...Qui a gagné ?" C’est Charles qui leur apprend que, exténuées toutes les deux, elles se sont enlacées et ont sombré dans le sommeil sans s’occuper de savoir qui a réussi à tenir le coup le plus longtemps ! Il s’approche avec une vaste et chaude couette qu’il étend sur les combattantes endormies : " Ne les réveillons pas ! Elles peuvent dormir ici tout le reste de la nuit. Et puis sait-on jamais, au réveil elles peuvent avoir envie de reprendre leur assaut ! Nous allons quant à nous rejoindre des chambres si vous le voulez bien ! Maria, acceptez-vous de partager mon lit ? Je suppose que Axine et Mario ne refuseront pas de partager la même chambre !" C’est ce que tout le monde est heureux d’accepter. Sans doute retrouverons-nous un jour les uns et les autres encore réunis.