La saga de Axiline. Huitième épisode by violente@net-up.com Deux amies sur la route d’Amsterdam pour devenir ennemies La Saga de Axiline =0=0=0=0=0=0=0=0=0=0= D’après Violente 8ème épisode Dans la limousine de Léon, sur la banquette arrière Axiline a, assise à sa gauche, une femme teinte en blond du nom de Josette. Face à elles se trouvent assises sur le siège qui est le dos au chauffeur, Pétra la grande blonde associée de Axine et à son côté une femme aux cheveux noirs du nom de Anne Marie. Il est peut-être bon de rappeler que Axine est une séduisante femme de 34ans, qui mesure 1,74m pour un poids de 70kg environ. Elle a des yeux gris-bleus et une chevelure chatain clair. Sa peau est naturellement bronzée et son éclat brillant témoigne de sa forme physique. Pétra son amie et associée est d’origine Allemande. C’est une vraie grande blonde de près de 1,80m.qui pèse à peu près 72kg. Elle a tout juste 30ans et son corps est celui d’une athlète très musclée à la peau claire et cependant uniformément dorée. Axiline dont le diminutif est Axine gère en compagnie de Pétra un grand club de formation à la self-défense et aux sports de combats en général. Elles ont la responsabilité d’une quinzaine de salariés dont six moniteurs de différentes disciplines qui sont eux ou elles-mêmes d’anciens champions dans leur spécialité. D’autre part elles font appel à des entreprises extérieures pour différents travaux et notamment ceux d’entretiens. Axine et Pétra sont deux professionnelles en plusieurs sports de combats qui s’impliquent dans des assauts aux formes les plus violentes au cours de rencontres confidentielles qui ont lieu dans des lieux secrets chez des gens passionnés par ces luttes et qui restent anonymes. La limousine a pris la direction de la Hollande où Pétra doit affronter une lutteuse Suédoise invaincue à ce jour et que l’on dit d’une férocité et d’une violence inimaginable. Elles s’affronteront à l’intérieur d’une cage octogonale dans un combat au finish style "ultime fight". Axine va retrouver Aarb son amant initiateur, qui est un chirurgien esthétique d’une très grande habileté et un ancien professionnel des combats du type "extrème-fight". Suite à une très grave blessure accidentelle il a dû être amputé au-dessous du genoux droit. C’est à la suite de cette intervention qu’il a voulu et obtenu que Axine le quitte et s’installe à Paris où il lui a trouvé par relations la salle de sport qu’elle dirige. Aarb et Axine sont restés des amants épisodiques et à chaque voyage de l’un ou de l’autre leurs rencontres donnent lieu à des retrouvailles passionnelles et à des joutes sexuelles héroïques! Comme Aarb pratique toujours la chirurgie après s’être adapté à son handicap,il arrive que Axine ait recours à ses services, pour elle ou pour ses amies, à la suite d’affrontements où les combattantes risquent de garder de vilaines marques ou cicatrices sans son intervention. Les deux femmes qui les accompagnent sont deux amies qui veulent s’affronter au finish le plus violemment possible. Axine est intervenue en leur faveur en faisant jouer ses relations dans ce milieu et notammant Aarb pour qu’elles puissent être incorporées dans le programme du week-end de combats auquel Pétra est déjà inscrite. Elle a obtenu satisfaction. Elles sont toutes les deux du même gabarit, si l’on peut s’exprimer ainsi, car physiquement elles sont très proches l’une de l’autre. Elles mesurent moins de 1,70m et pèsent 70 à 75kg. Josette est la plus âgée à 53ans alors que Anna Marie n’a que 48ans. Et si au premier abord on aurait tendance à inverser leurs dates de naissance, il ne faut pas un long contact avec elles pour bien situer l’ainée. Josette a certainement des origines de blonde, mais avec le temps elle a viré à la couleur chatain, et sa teinture blonde ne fait que rappeler de très lointains souvenirs dans un souci de rajeunissement. Anne Marie par contre ne peut cacher des origines bien méridionales et sa teinture noire ne cache que le grisonnement qui la gagne. Le trajet va être assez long et Pétra est curieuse de savoir les pourqui et pourquoi ayant amené Axine à s’occuper d’elles. Alors à la demande de l’Allemande elles se lancent dans le récit de leur histoire, chacune intervenant après l’autre comme pour combler des trous ou expliciter certains épisodes du récit. Elles hésitent à s’exprimer dans le doux ronronnement de la limousine parce que le chauffeur va les entendre. Mais Axine leur explique que Léon est un ami et qu’elle-même n’a pas de secret pour lui tellement elle est certaine de sa discrétion. Josette et Anne Marie sont nées et ont vécu dans le même village presque toute leur vie. Il y a un peu plus de huit ans Anne Marie a suivi son mari en région parisienne et elles se sont retrouvées au village natal il y a huit mois environ. Elles se sont mariées presqu’à la même époque et chacune a deux enfants, un garçon et une fille. Josette tenait un magasin de cadeaux et souvenirs qui était ouvert de mi-juin à mi-septembre. Le reste de l’année elle était moniteur adjoint d’éducation physique dans un lycée et elle était bénévolement monitrice de gymnastique dans un club local. Lors de son divorce il y a seize ans, le magasin a du être vendu et après une période de vaches maigres elle a trouvé un emploi de vendeuse dans une agence immobilière. Elle a abandonné le lycée mais conservé son monitorat dans le club. Anne Marie tenait un magasin de vente d’articles d’été pendant la saison et de pulls, gilets, vestes de laine etc...pendant l’hiver. Son mari vendait les mêmes articles au déballage sur les marchés des environs. Puis un jour le couple s’en fût en région parisienne pour tenir un magasin de vente de lingerie. Mais l’époux d’Anne Marie est décédé dans un accident il y aura bientôt deux ans. Elle a dû vendre le magasin et depuis elle est à la recherche d’un emploi. Au mois de mai dernier Anne Marie est revenue au pays natal avec l’intention de liquider quelques biens de famille. C’est à cette occasion qu’elle a retrouvé Josette avec qui elle entretenait autrefois une relation amicale, par le voisinage bien sur mais aussi parce qu’elle était partie prenante dans les cours de gymnastique volontaire pour adultes dispensés par Josette, et surtout parce qu’elle l’avait suivie dans un petit club de lutte pour amateurs à la ville voisine. Elles aimaient lutter ensemble et leurs luttes intimes débordaient sur des rapports sexuels qui libéraient Josette vouée au célibat à la suite de son divorce. La famine charnelle créé chez Josette au départ d’Anne Marie l’avait amenée à chercher une remplaçante qu’elle avait trouvé dans la personne d’une toute jeune bi-sexuelle nommée Brigitte. Lors de leurs retrouvailles les deux provinciales s’étaient vite rejointes dans les bras l’une de l’autre et elles s’étaient livrées à des joutes mémorables qui leur avait rappelé leurs anciennes luttes. Et ainsi de souvenirs en souvenirs elles en étaient arrivées à émettre des désirs puis susciter des projets. Josette avait alors évoqué le petit club secret créé chez Mireille à la Longère. L’installation d’un ring. Les combats de toutes sortes. L’implication d’une certaine Denise dite "la comtesse". Puis le décès de cette dernière au cours d’un voyage dans l’Océan Indien en compagnie de Franck son époux et aussi de Mireille et Jérome le mari de celle-ci. La disparition de Denise qui était presque devenue l’animatrice de cette petite assemblée avait rompu le charme et la Longère avait perdu toute activité. Les deux amies s’étaient alors lancées dans des aller retour chez l’une et l’autre. A l’occasion de la venue d’Anne Marie, Josette avait demandé à Mireille l’accès au ring de la Longère. En solitaires elles s’étaient lancées dans une lutte qui était devenue de plus en plus violente créant chez elle une sorte de rivalité. Josette, qui avait acheté des vidéos de combats livrés par les "Amazones de la Mer Noire" et les avait fait connaitre à Anne Marie par l’intermédiaire de son magnétoscope, avait lancé l’idée de s’engager un jour dans une telle sorte de lutte. Et la brune Anne Marie s’était alors montrée de plus en plus enthousiaste pour s’y impliquer puis avec le temps elle avait fini par transmettre son impatience à Josette. Sur le net Josette avait découvert un jour des combats encore plus violents dont elle s’était empressée d’acquérirles vidéos afin de les montrer à Anne Marie. C’est ainsi qu’elles avaient décidé de s’affronter à la façon de ces Amazones dans un combat réellement au maximum du finish. Josette s’en était ouverte à Mireille. Or Mireille avait pour ainsi dire hérité des archives de Denise et elle avait trouvé dans un dossier portant la mention "Extrème et Confidentiel" des documents qui semblaient correspondre aux vidéos que Josette lui avait confiées. Mireille était alors entrée en relation avec une Hollandaise et en faisant référence à Denise elle avait pu contacter un personnage qui avait pris note de sa demande. Cinq semaines plus tard elle avait reçu un appel de Axine qui après un long entretien téléphonique était descendue de Paris pour obtenir sur place des renseignements extrèmement précis sur les tenants et aboutissants de cette histoire. A ce moment du récit, Axine intervient pour préciser que la demande de Mireille avait été confiée à Aarb à cause de ses liens en France pour avoir l’assurance qu’il n’y avait pas un coup fourré dans cette histoire et qu’en tout état de cause il ne puisse pas y avoir d’indiscrétion n’y de quelconque interférence extérieure. C’est ce qu’elle avait enquêté. Anne Marie et Josette ayant été informées des conditions à remplir et de l’indispensable état physique nécessaire s’étaient alors lancées dans une préparation intensive et draconienne. Josette avait rejoint son gymnase et, avec l’aide et l’appui de Brigitte, avait perfectionné ses capacités de lutteuse. Anne Marie en avait fait autant de son côté en s’astreignant à la reconquête d’une musculation que la cellulitte avait gagnée. C’est Axine qui intervient à nouveau: "Comme une date possible approchait, et que nos deux invitées voyaient des possibilités d’abscence s’offrir à elles, je les ai convoquées il y a cinq semaines pour qu’elles viennent s’affronter dans un combat toutefois limité. Elles se sont combattues chez Charles et Véronique Et j’ai adressé à Aarb un enregitrement de leur assaut. Avec ses pairs Aarb a pris la décision de les faire entrer dans la cage et nous sommes tous tombés d’accord pour que ce soit lors de la soirée au cours de laquelle Pétra tu vas te battre avec Ingrid. Depuis ce combat du mois dernier elles sont revenues chaque week-end chez Véronique pour suivre un entrainement plus intensif et plus orienté vers le combat ultime. Dans le ring elles ont affronté diverses adversaires et même des hommes qui ne leur ont pas fait de cadeaux. Toutefois l’accent a été mis sur les prises et sur la boxe pieds-poings. Toutes les actions étant retenues pour ne pas blesser et aussi pour bien expliquer les contre-attaques." "Maintenant je comprends toutes tes mystérieuses disparitions Axine! Pourquoi ne m’as-tu pas mise dans le coup?" "Mais,Pétra, n’avais-tu pas toi-même à te préparer et à te concentrer sur ton combat de demain?" "Tu as toujours raison Axine! Mais pouvez-vous m’en dire plus ce petit club dans votre village? Je suis curieuse d’en savoir davantage à ce sujet! Sur les membres participantes et sur les combats!" Alors Josette raconte longuement, puisque la durée du trajet lui permet d’entrer dans les détails les plus précis. Elle décrit Mireille, Denise, Frédérique, Sandrine, Brigitte, Douchka, Eliane, Carole la mère de Jack, et les autres garçons,Vincent, Bernard, Franck et Jérome. Puis elleévoque des lutteuses ayant fait des passages occasionnels telles que Viviane, Françoise et Valérie. Un nom fait réagir Axine: "Qui donc?" "Valérie pourquoi?" "Non, avant...Vivi?" "Oui, exact...sauf que j’ai dit Viviane! Pourquoi?" "Rien pour l’instant, mais je remarque que le monde des lutteuses est un petit monde!" Ensuite Josette passe au résumé de quelques combats épiques. Et sur l’insistance de Pétra elle décrit alors ce qu’elle dit être peut-être son plus grand souvenir personnel. Cette rencontre s’est passée au cours du second été après l’installation du ring à la Longère Frédérique et Vincent m’ont demandé un jour de lutter avec Frédérique dans le ring en la seule présence de Vincent, celui-ci étant l’enjeu du combat. Je n’ai pas été très surprise de cette demande. Ce qui m’a choquée c’est que la récompense de la gagnante soit le jeune garçon. Je savais très bien que les deux jeunes gens étaient amants. J’étais certaine de gagner, mon âge et mon expérience m’assuraient d’une facile et rapide victoire. Mais comme depuis mon divorce les quelques rapports que j’avais eus avec des hommes avaient été plutôt décevants je n’étais pas très réceptive à cette proposition! Toutefois affronter la jeune fille était un de mes fantasmes alors j’ai fini par accepter. Frédérique est une belle athlète, championne de triathlon, et pratiquante de plusieurs disciplines sportives. Un corps admirablement musclé, surtout les cuisses et les épaules.Ses cheveux bruns maintenant plus courts sont légèrement bouclés en de courtes mèches brouillées. Elle mesure au moins 1,70m alors que je ne fais que 1,67m, Mais je suis beaucoup plus lourde qu’elle de 10kg environ. A cette époque elle avait 19ans et j’en avais 48! Je la savais forte et assez bonne lutteuse. Mon amie et souvent adversaire Brigitte l’avait battue sans trop d’effort, alors que je dominais plus souvent Brigitte qu’elle ne me soumettait. J’avais enfilé un short flottant que je porte pour mon jogging et j’avais un bon soutien-gorge pour soutenir ma voluptueuse poitrine. Frédérique portait un tout petit slip et un joli petit balconnet. Vincent avait un court short cycliste et un T-shirt. Il avait des tennis aux pieds alors que les filles nous étions pieds nus. Une fois dans le ring je me suis préparée à une période d’observation et d’étude réciproque. Mais Frédérique s’est tout de suite lancée dans le combat. Et lancée est le mot exact car elle s’est envolée en une planchette qui m’a prise en plein dans la poitrine. La surprise et la force du choc m’ont envoyée sur les fesses près des cordes. Je n’ais pas eu le temps de me remettre de ma surprise que la jeune fille était déjà sur moi et me saisissant par les cheveux elle me relevait pour me saisir en une clé de tête, avant que je pense à une esquive. Elle s’est alors avancée vers le centre du ring et en faisant une vrille sur elle-même elle nous a précipitées au sol. Je me suis retrouvée presqu’à plat ventre, ma tête enserrée dans le pli de son coude gauche, avec le poids de son torse sur mon épaule droite. Nous avons lutté au sol, j’ai cherché à me dégager en me relevant, mais elle tordait ma tête et forçait la pression de son corps. Nos corps devaient faire un angle de 45°, alors j’ai travaillé à me tourner pour lui faire face et me rapprocher de son bassin. J’ai dû faire de gros efforts et supporter la douleur dans mes cervicales vrillées pour aboutir à mes fins et pavenir à glisser ma jambe gauche sous ses fesses pour établir un ciseau. Par de violentes secousses elle me repoussait et me faisait souffrir de plus en plus mais comme finalement je montais mes cuisses vers son bassin,elle m’a relâchée et s’est relevée en souplesse. J’étais encore à quatre pattes lorsqu’elle s’est emparée de ma jambe gauche. Dans un réflexe instintif je me suis tournée sur le dos. Elle a plongé sur moi pour me coller au sol. Je l’ai saisie en ciseau à la ceinture. Elle s’est mise sur ses jambes presque debout et elle a poussé de tout son poids pour ouvrir ma prise. J’ai lâché en ramenant mes genoux sous elle et je l’ai soulevée pour la repousser. Elle a chuté à côté de moi et nous nous sommes relevées précipitamment. Revenues face à face, j’étais essoufflée et je me suis rendu compte que l’affaire n’allait pas être résolue aussi facilement et rapidement que je l’avais envisagé en acceptant le combat. Nous sommes reparties debout mais cette fois j’étais sur mes gardes! A portée de bras nous avons mutuellement cherché à saisir soit les bras ou les mains ou encore la tête. Finalement nous nous sommes retrouvées dans une double prise de l’ours. Immédiatement elle a essayé de m’écraser ce qui m’a permis d’évaluer sa grande puissance d’épaules et de bras. Je ne sais si j’aurais pû rivaliser avec sa force, mais j’ai utilisé l’avantage de mon poids pour la soulever du sol et m’approcher des cordes sur lesquelles je l’ai appuyée, en gagnant ainsi de la force d’écrasement et l’obliger à abandonner sa prise. Elle a alors tenté de me repousser en poussant sur mon visage avec sa main gauche. Son biceps droit étant bloqué par mon bras gauche, elle a réussi à relever son avant bras derrière mes omoplates et à saisir une poignée de mes cheveux qu’elle a tirée avec force en arrière conjugant l’attaque de sa main gauche. J’avais beaucoup de satisfaction à tenir son corps contre le mien, à sentir sa musculature et la chaleur de sa peau. Je ressentais la gêne respiratoire que mon écrasement lui apportais. Je percevais le contact de ses pointes de seins sur le haut de ma poitrine. Je m’énivrais des odeurs de sa chair, celui de sa sueur, le reliquat de son eau de toilette et aussi l’odeur propre à un corps qui lutte, cette âcreté indéfinissable. Instinctivement je l’écrasais davantage contre les cordes en reculant légèrement mon bassin et mes jambes. Alors elle a commencé à relever sa jambe gauche et elle est parvenue à glisser son genou entre nous. Elle a tortillé du bassin et a glissé son genou entre mes cuisses, les écartant progressivement. Et puis elle a distrait mon attention en commençant à me griffer au visage. C’est lorsqu’elle m’a vue touner ma tête en tous sens qu’elle a violemment levé son genou dans la fourche de mes cuisses pour cogner contre ma vulve. Le coup n’a pas été fort ni douloureux mais suffisant pour m’amener à m’écarter d’elle. Alors elle en a profité pour se libérer de mon collier autour de sa poitrine. Ses pieds ont repris un appui normal sur le sol, elle a commencé à me repousser, mais lorsqu’elle a été à bonne distance elle m’a envoyé de la main droite une puissante giffle sur ma joue gauche qui m’a fait mal. Automatiquement j’ai réagi en répliquant de la même façon avant de me mettre hors de portée. Le combat est devenu un peu plus âpre. Nous nous sommes engagées dans une série de prises et contreprises qui a duré un temps assez long. Chacune prenant le dessus presque à tour de rôle. Les clés de bras et les colliers de têtes se succédant debout à allure rapide. Les prises au sol étant mieux assurées et plus sévères ont donné lieu à des réactions de plus en plus brutales pour se libérer. Nous étions essoufflées et pour compenser la fatigue les prises duraient de plus en plus longtemps. Et pour se libérer chacune de nous n’hésitait plus à utiliser les cheveux ou à pincer et griffer! Il m’est arrivé de mordre un bras qui tordait ma tête dans une position intolérable. C’est ainsi qu’au cours d’un assaut j’ai saisi le soutien-gorge de mon adversaire pour la retenir dans son échappée. Le fin tissu a cédé sous mon effort et les magnifiques petits seins pointus de Frédérique m’ont sauté dans les mains. Celà a été un instant magique! La fermeté de la chair, sa douceur et aussi sa chaleur ont envoyé dans mon vagin une coulée de lave! Les deux bouts de cigare dressés à 45° vers moi sous la paume de ma main m’ont donné un vertige! Elle a dû deviner ma distraction, elle a semblé se mettre mieux à portée de mes mains, comme si elle m’offrait ses nichons! Mais elle m’a envoyé un coup de boule en plein visage! Heureusement il n’était pas violent mais il était suffisant pour me faire abandonner toute agressivité. Elle est passée derrrière moi, elle m’a saisie à la ceinture, elle m’a soulevée et m’a projetée au sol en pratiquant un retourné. C’était la première véritable projection du combat. Je me suis retrouvée à plat ventre avec Frédérique à califourchon sur mon dos. Elle m’a empoigné les cheveux et a tiré ma tête en arrière. Puis elle a passé une main sur ma gorge sous le menton. Elle a commencé à m’étouffer en arquant mon dos en arrière. Mon torse était soulevé du sol alors elle a glissé son autre main sous ma poitrine et elle a descendu mon soutien-gorge Mes seins libérés de leur maitien sont descendus sous mon torse. Elle les a pris à pleine main, l’un après l’autre et elle les a écrasés avant de se saisir de mes mamelons à tour de rôle pour les pincer et les rouler entre pouce et index. Elle m’a fait mal et j’ai grogné de douleur. Je me suis rendu compte qu’elle prenait un malin plasir à cette brutalité. J’ai vu alors Vincent arriver devant moi. Il était derrière les cordes, il s’est mis à genoux pour bien voir le travail de Frédérique sur mes tétons et admirer mes grimaces de douleur. Il s’est assis sur ses talons mais avant qu’il le fasse j’ai eu le temps de voir et contempler la grosse déformation de son maillot. Une protubérance cylindrique qui tentait de repousser le tissu au niveau de ce qui semblait être une énorme prune! Cette vision m’a remis à l’esprit l’enjeu du combat et le soudain désir de tripoter cette grosse barre de chair sexuelle a été comme une injection d’adrenaline! Je me suis agitée comme une folle en donnant des coups de coudes derrière moi qui ont atteint Frédérique dans les côtes et peut-être au foie. Son bras et sa main ont glissé de sur mon cou. J’en ai profité pour remplir mes poumons, me plier en avant et en bombant du dos lui faire perdre sa position de cavalière sur mon dos. Nous nous sommes relevées lentement en reprenant notre souffle. J’ai vu dans les yeux de ma jeune adversaire l’expression d’une hostilité qu’elle n’avait pas au début de la rencontre. J’ai ressenti auusi dans mon for intérieur le désir de gagner qui tout d’un coup surpassait le plaisir de la lutte au corps à corps! J’ai deviné que maintenant notre combat allait être sans merci, tout pour gagner! Mes seins lourds ne pouvaient pas rivaliser de beauté avec ses splendides petits seins si fermement dressés. Mais j’ai quand même fini de me débarasser de mon soutien-gorge en caressant mes mamelons déjà meurtris. Puis nous nous sommes lancées à l’assaut l’une de l’autre, cette fois sans précautions et sans délicatesse. En nous empoignant par les cheveux, nous nous sommes bouculées pour finir au sol. Frédérique encore à cheval sur mon ventre tenant mes cheveux d’une main, s’est mise à me gifler copieusement. Je tenais toujours ses cheveux, libérant une main je suis partie à l’attaque de ses seins. Je les ai tordus, broyés, pincés, étirés et malmenés sans complexe. Je lui faisais mal. Elle a abandonné mes cheveux et à deux mains s’est lancée dans une agression de mes masses laiteuses. Nous nous sommes martyrisées ainsi longtemps.Jusqu’à ce que Frédérique ne supporte plus la douleur que je lui infligeais. Elle s’est emparée de mes poignets pour les arracher à leur prise et quand elle a réalisé que plus elle tirait plus j’enfonçais mes griffes dans la chair tendre de ses seins elle s’est soulevée de sur mon ventre et elle m’a cogné dans l’abdomen à coups de genoux en même temps qu’elle me giflait le visage à toute volée. J’ai lâché ses nichons, elle s’est relevée aussitôt pour s’éloigner de moi. Je me suis relevée aussi et j’ai repris mon souffle en caressant mon ventre et mes seins et en essuyant mes larmes. J’ai vu qu’elle pleurait elle aussi. Nous avions dépassé le stade de la lutte amicale, nous étions entrées dans une compétition totale où chacune de nous maintenant voulait la victoire. Elle s’est précipitée sur moi. Elle m’a bousculée et elle s’est retrouvée derrière moi. Elle m’a saisie à bras le corps et m’a poussée dans les cordes. Elle s’est ingéniée à me faire reposer mes seins sur la corde du haut avant de m’écraser le ventre sur la seconde. Par en dessous elle venue empoigner mes deux seins et s’est mise à me supplicier avec une rare cruauté. Je ne pensais pas qu’une si agréable jeune fille puisse être une telle tortionnaire infatigable et sans complexes. J’ai tenté de me dégager en poussant sur les cordes mais sans succès. J’ai lancé des coups de coude en arrière dans ses côtes mais sans lui occasionner aucun mal apparent. Alors moi aussi j’ai joué la vacherie! J’ai descendu mes mains entre mon dos et son ventre et je me suis lancée à l’attaque de sa vulve. Malgré la protection du fin tissu de son slip, j’ai tiré la poignée de poils de son pubis en cherchant à l’arracher avec le nylon. Je lui ai fait mal. Elle s’est reculée du bassin. Mais ainsi elle m’a donné une plus grande facilité d’accès. J’ai baissé son slip et pendant que d’une main je tirais sur ses poils, de l’autre j’ai cheché à entrer mes doigts dans le sexe même pour m’attaquer aux petites lèvres. Elle a senti le danger. Et, alors que je pensais la voir rompre sa prise et s’éloigner, elle s’est au contraire écrasée contre mon dos et abandonnant mes seins elle est descendue fouiller dans mon flottant pour elle aussi attaquer ma vulve. J’étais gênée dans mon attaque par la pression de son ventre et par contre elle avait un accès facile à mon sexe car l’abscence de slip et la béance de mon short n’offraient aucune protection. J’ai vu Vincent s’approcher de nous pour jouir du spectacle agressif et vicieux que nous lui offrions. Il s’était appuyé le dos contre la paroi isolante. Il avait baissé son short et il branlait à pleine main le membre turgescent qui se tendait gonflé devant lui orné d’un dard rougeoyant. Nous avons commencé à nous fouiller à l’aide de nos doigts enfoncés dans les chattes. J’étais moins efficace que Frédérique parce que mal placée. Mais ma technique a certainement compensé sa liberté d’accès. Elle a commencé à gémir la première. Sa plainte m’a excitée et je suis devenue méchante en travaillant des doigts de mes deux mains. J’ai grogné de douleur également lorsqu’elle a griffé mes parois internes qui sont devenues brulantes. Elle a crié de souffrance quand j’ai pincé son clitoris gonflé entre les ongles de deux doigts. Et lorsque simultanément nous avons crié de douleur, le garçon apoplectique devant nous m’a arrosée d’un long jet de sperme brûlant qui a dégouliné sur mon ventre et sur les poignets de Frédérique. Ce petit salaud jouissait de notre supplice! Et pas qu’un peu! Après celà j’ai réalisé que Frédérique n’appliquait plus sur moi la pression de son corps. J’ai poussé en arrière et mes seins sont tombés sous la corde. J’ai forcé plus violemment et ma jeune adversaire a vraiment reculé. En agittant tout mon corps après avoir amené mes mains sur ses poignets je me suis libérée. Elle pleurait quand je lui ai fait face. Je me suis précipitée sur elle. J’ai empoigné son slip baissé de mes deux mains et je l’ai arraché par de violentes secousses. Frédérique semblait ne plus réagir. J’ai passé une main entre ses cuisse et de l’autre je l’ai prise sous une épaule. Dans mon élan je l’ai légèrement soulevée du sol et je l’ai projetée au tapis. Elle s’est mise en boule immédiatement en disant: "Stop! Tu as gagné!...j’arrête!" J’ai ressenti comme toujours la joie et l’orgueil de la victoire malgré les difficultés du combat et la pugnacité de la jeune fille. Mais j’ai dû rapidement rengainer cette fierté. En effet lorsque j’ai dit que les vieilles comme moi étaient encore les plus fortes, elle m’a alors avoué: "Oh! Tu sais je continuerai bien jusqu’à la victoire mais nous risquons de nous abimer et je suis surtout venue pour que nous fassions ‘un test’ comme tu l’as fait avec Brigitte!" Premier choc! Mais comme je lui faisais remarquer qu’en ayant gagné j’avais aussi ‘gagné Vincent’! Elle m’a porté le second choc: "Mais lui aussi il est venu pour baiser avec toi et il y compte bien!...N’est-ce pas Vincent?" Alors nous avons partagé nos corps, à deux et à trois! Celà a été une soirée fantastique! Les deux jeunes gens étaient très doués! Frédérique s’est dévoilée être une brillante experte des jeux de Lesbos, dotée d’une langue incomparable et utilisant ses doigts avec une habileté diabolique! Et je dois avouer que le garçon est un des rares bons souvenirs qu’un homme ne m’a jamais apporté! Peut-être même le meilleur, c’était un vrai taureau, infatigable, inépuisable et d’une résistance au-delà de l’extrême! Pétra a voulu obtenir des explications: - pourquoi taureau? Elle ignorait qu’un bon taureau peut faire jusqu’à 50 saillies par jour! - pourquoi résistant au-delà de l’extrême? Josette avait expliqué que pour commencer à prendre sa récompense elle avait chevauché le jeune homme pour s’en servir comme d’un godemiché. Mais il avait résisté à succomber à l’orgasme pendant si longtemps qu’ elle avavit joui plusieurs fois et que ses capacités d’animation de son bassin étaient telles que c’était lui le dominé qui l’avait amenée à une explosion orgasmique jamais ressentie! Le récit de Josette a fait monté de plusieurs degrés la température charnelle dans la limousine! Pétra n’a pas hésité à se caresser ouvertement. Et le silence qui suit ce récit est chargé de sensualité. Pétra encore ne peut s’empêcher de marquer son étonnement devant la satisfaction manifestée par Josette à l’égard de son rapport hétéro-sexuel avec le jeune Vincent. Pour elle, lesbienne, une soeur de Lesbos ne peut exprimer de tels sentiments. Josette est obligée de rappeler qu’elle a une préférence pour les amours féminines parcequ’elle a été déçue par le passé mais qu’elle sait apprécier le plaisir partagé avec un artiste du sexe! Josette lui demande alors ce que Axine et Pétra éprouvent pour Léon qui semble partager avec elles des plaisirs et des secrets? C’est Axine qui leur précise que Léon partage leur goût pour la lutte, le corps à corps et la violence. Tout celà surtout au féminin bien sur. Mais elles n’ont aucun rapport sexuel avec lui. En fait, Léon est allergique à toute interférence extérieure lorsqu’il se donne du plaisir. Si une femme, aussi bien qu’un homme d’ailleurs, cherche à le toucher pendant sa masturbation, c’est redhibitoire pour lui, son érection disparait aussitôt! La vie et les expériences d’Anna Marie sont assez ternes et comme elle n’a pratiquement rien à en dire, Pétra la questionne sur l’expérience qu’elle a en ce qui concerne l’octagone! Elle n’en connait, tout comme Josette, que ce que les vidéos lui ont fait découvrir des combats qui s’y déroulent. Axine précise d’ailleurs que les vidéos en question concernent des combats des Pays de l’Est, Russie,Ukraine et autres de ce genre. Des combats qui ne présentent pas tous les genres pratiqués. Pétra souligne qu’en effet ces assauts privilégient les coups de poings et de pieds, avec des prises pour mieux les asséner. Elle préfère les combats de puissance où les prises sont portées pour gagner. Des prises conduites jusqu’au delà de la limite. Pour elle un combat n’est beau que lorsqu’il y a blessure aux membres ou au corps même. Les coups n’étant portés que pour atteindre à une prise ou s’en libérer, ils ne sont pas l’essentiel du combat. La lutteuse qu’elle va affronter, Ingrid une Suédoise très puissante et très méchante est une spécialiste de ce genrs d’assaut. Elles ne se sont pas encore affontées. Mais depuis longtemps elle a affronte une de ses dernières adversaires, une Suédoise également, et pour l’instant c’est la nordique qui a le plus de victoire à son encontre. Chacune de leurs rencontres s’est terminée avec soit des côtes cassées, ou des bras, des épaules, des jambes ou des lésions à la colonne vertébrale. Les combats de Axine sont un mélange des deux genres. Elle précise que ses adversaires ont toujours été plus vicieuses sexuellement et qu’elle apprécie ce genre d’attaque, tant pour donner que recevoir! Comme pour les filles de l’Est les blessures extérieures sont toujours très marquées et Aarb son chirurgien amant doit toujours intervenir pour elle comme pour son adversaire. Axine leur précise qu’elle a obtenu par l’intermédiaire de Aarb que Josette et Anne Marie s’affronteront dans le quatrième combat. Celà leur permettra de bien se plonger dans l’ambiance de l’arène et ainsi de se préparer à lassaut qu’elles se livreront. Le premier combat sera un combat d’hommes. Pendant ce temps elle se mettront en tenue et reviendront dans la salle pour assister au spectacle chacune séparément depuis une cabine dans le haut de la salle. Le second combat sera entre deux petites femmes poids léger une Japonaise et une Brésilienne. Sans doute un match spectaculaire, de la haute voltige, entre ces deux souples lutteuses. La troisième rencontre sera celle de Pétra et Ingrid. Et c’est dans le quatrième combat que Josette et Anne Marie s’affronteront. Ces deux dernières ont cependant d’autres interrogations. C’est ainsi qu’elles souhaitent savoir qui va décider du genre de combat pour leur assaut. Elles demandent aussi si la nudité est de rigueur ou bien si les combattantes sont autorisées à porter un bikini par example. Si les mitaines, ces gants ‘cobra’ sont obligatoires. Pétra demande alors si elles ont vu la vidéo du fantastique combat entre Rondham et N’Sikha? Et sur une réponse négative elle enchaine: "Il n’y a pas de tenue ou de nudité impérative. C’est au choix de chaque combattante. La nudité est surtout une expression d’orgeuil de la part des lutteuses. Mais suivant leur conformation elles peuvent être amenées à porter un accessoire vestimentaire. C’est le cas pour une lutteuse ayant une énorme poitrine qu’elle doit contenir pour être suffisemment apte à combattre comme elle le veut sans être gènée par les mouvements intempestifs de lourdes masses charnelles. Pour d’autres c’est l’abdomen qui doit être contenu par une gaine. Et enfin pour des combattantes ayant des sequelles aux coudes ou aux genoux il est normal qu’elles utilisent des genouillères certaines ont des chaussures qui sont du modèle et de la forme de leur choix, on en a vu avec des bottes à talons pointus! C’était le cas pour Rondham et N’Sikha, deux puissantes femmes, grandes et lourdes et très épaisses qui portaient chacune un soutien gorge très serré et un corset qui retenait leur ventre. Mais autrement leurs sexes étaient nus offerts aux attaques réciproques. Rondham était une Hollandaise de 36ans et N’Sikha une fille de Centre Afrique d’un noir d’ébène âgée de 30ans. Chacune devait faire plus de 1,80m et peser près de 110kg. Elles se sont battues comme deux jeunes chats sauvages malgré leur lourdeur et leur volume. Le combat a été très sanglant surtout pour la blonde où les coups, les blessures et le sang se voyaient davantage. Le duel a été long et féroce. Elles ont utilisé leur puissance pour des prises douloureuses et leur relative vivacité pour porter des coups d’une violence époustouflante. Passons sur les nez cassés, les bouches éclatées et les yeux presque énucléés. N’Sikha était presque aveugle à la fin du combat, mais toujours aussi agressive. C’est la noire qui a gagné ce combat très long. Bien qu’elle avait plusieurs côtes abimées, elle a cassé tibia et péroné d’une jambe et aussi démis une épaule à la Hollandaise, la mettant ainsi hors de combat." Puis Axine avait expliqué que le choix du combat revenait aux adversaires et à elles seules. Cependant il n’est pas rare que les femmes elles-mêmes sachent réellement le genre qu’elles vont pratiquer. C’est au cours de l’affrontement que les choses se précisent d’elles-mêmes. Elles peuvent très bien débuter par un genre et puis s’orienter vers un autre. Enfin en ce qui concerne les ‘cobras’,ils sont utiles voir même indispensables quand les combattantes utilisent leurs poings. C’est pour protéger les phalanges. Ces explications font monter la tension dans le véhicule et il semble que Josette et Anne Marie sont maintenant adversaires. Anne Marie pose alors une question qui pourrait être anodine mais qui en réalité s’avère être cruciale: "Quels sont les sentiments d’une combattante à l’égard de son adversaire quand elle est dans l’octagone?" C’est Pétra qui répond immédiatement, sèchement et sans égard aux deux débutantes devant elle! "L’autre c’est l’ennemie à tuer pour gagner!" La densité de la tension se décuple aussitôt! Le silence s’installe, pesant et angoissant à la fois. Au bout d’un certain temps Léon qui se rend très bien compte du problème le résoud partiellement à sa façon. Il enclanche un CD dans son radio cassette pour faire monter comme une brume apaisante et douce un enregistrement de Djvorac "La Symphonie du Nouveau Monde" Amsterdam n’est plus très loin maintenant, demain ce sera le début des choses sérieuses et l’aboutissement du fantasme de Josette et de son amie Anne Marie. "Les deux ennemies du lendemain."