La Saga de Axiline. Sixième épisode violente@net-up.com Une bagarre entre Belle-mère et Brue. Prélude à un combat plus sexuel La Saga de Axiline =o=o=o=o=o=o=o=o=o=o= 6ème épisode D’après Violente Ce jour là Axine se rend dans le quartier du Marais à l’hôtel particulier qui est la résidence parisienne de Véronique et de Charles. Elle a pris le métro. Ce mode de transport elle l’utilise pour ses déplacements intra-muros en dehors des heures de pointe car elle le trouve plus rapide pour certaines destinations. C’est le cas aujourd’hui, un seul changement et à une heure qui n’est pas à la surcharge. Elle aime ces circonstances qui lui permettent de croiser ou de suivre des personnages intéressants. Dans le petit essaim qui grouille sur les quais et qui se fige dans la rame elle découvre toujours une femme attirante sous un de ses aspects, soit physique, soit vestimentaire ou sa curiosité sur ceux qui l’entourent. C’est parfois le croisement de deux chasseuses qui voudront se retrouver pour se revoir. Ou plus si affinités!... Lorsque Véronique l’a invitée à une petite "soirée agression" comme elle appelle ces réunions à son domicile elle lui a dit qu’elle avait invité une consoeur organisatrice de combats qui s’avère être une rivale. Axine connait bien Elisabeth, elle a lutté chez elle à plusieurs reprises. Madame Lisa comme elle se fait appeler est une lesbienne convaincue et engagée. C’est une dominatrice sexuelle qui n’a pas vraiment d’esclave attitrée. Axine a repondu positivement et avec empressement à cette invitation car elle est avide de voir un affrontement entre les deux femmes qui ont des goûts communs pour les combats vicieux. Ce ne sont pas de puissantes athlètes. Ce sont des femmes élégantes et qui ont su conserver une très bonne forme physique ce qui leur donne pour leur âge des corps en forme et attirants. Axine est distraite de ses pensées par le reflet dans la vitre d’une femme et d’un homme qui ne sont sûrement pas ensemble mais qui sont en parfaite harmonie dans leur attitude. Comme elle ils sont montés à la station Concorde direction Vincennes dans l’avant dernier wagon. Eux à la dernière porte et Axine à l’avant dernière. Ils sont tournés vers la voie. La femme est debout entre les dossiers du dernier rang et l’homme est devant la porte. C’est une grande fille entre 25 et 30ans. Elle est vêtue d’un polo très vague qui s’arrête au-dessus de son nombril. Elle s’est enfilée dans un jean étroit qui lui moule le bassin et un peu les cuisses qu’elle semble avoir longues et fines. Son visage est à-demi caché par une chevelure noire qui lui decend au-delà des épaules. Elle a des yeux noirs et très profonds mais ce que l’on voit le plus ce sont ses deux grosse lèvres pulpeuses qui semblent faire la moue. Des lèvres rouges et humides. Elle se cramponne au tube qui borde le côté du siège et qui sert également de poignée pour les voyageurs debouts. Elle est en appui du pubis sur ce tube qui se trouve glissé dans son entre-jambe et en remuant son bassin elle est ouvertement en train de se masturber tout en regardant dans la vitre l’homme qui lui tourne le dos mais qui ne la quitte pas des yeux dans le renvoie de la vitre. Ce qu’elle observe c’est le mouvement de la main et du poignet de l’homme enfoncé dans sa poche et qui lui aussi est en train de se branler en admirant silencieusement le spectacle qu’elle offre. Qui dit que dans le métro il n’y a jamais rien de beau? Les stations ont défilé et il n’y a eu personne à monter ou descendre. Mais la Bastille approche et quelques voyageurs se préparent à descendre. Axine descend aussi, c’est parcequ’elle veut prendre la sortie Rue Saint Antoine qu’elle est montée dans ce compartiment. Les deux passagers qu’elle a observés sont restés dans la rame et n’ont pas suspendu leurs manoeuvres. Axine est restée sur le quai jusqu’au dernier moment pour ne rien perdre. Maintenant le cerveau embrouillé par le souvenir elle se dirige comme une automate vers son but. Véronique accueille Axine dans la petite pièce située à droite sous le grand porche. Après une embrassade chaleureuse elles prennent le couloir qui les fait accéder dans une succession de pièces pour arriver enfin dans le "grand salon" aménagé pour ces fameuses soirées. Véronique est une belle femme de 62ans à la chevelure blonde qui ondule et cache sa nuque en une belle masse de mèches savamment ébouriffées. Son corps qui mesure 1,70m est habillé d’un ensemble de cuir très fin composé d’un blouson, dont la fermeture éclair est à moitié descendue ce qui montre la naissance de la vallée de ses seins, et d’une courte jupe qui descend à mi-cuisse en moulant son bassin puissant comme ferait une combinaison de plongée sous marine. "Charles va venir te tenir compagnie, il va te mettre au courant des modifications qui interviennent dans notre projet de ce soir. Pour ma part je vais au devant de Madame Lisa et je vais lui faire connaitre les principaux éléments de cet Hôtel Particulier. C’est la première fois qu’elle vient ici, elle est certainement curieuse! Et puis s’il te plait appelle moi Véro entre nous c’est plus sympathique" Charles arrive dans la pièce avant même que Véronique ait fini sa phrase. Lui aussi embrasse Axine.Ensuite il lui raconte le pourquoi et le comment du déroulement de la soirée. Ils ont depuis 7 ou 8ans une employée de maison pour les gros travaux d’entretien. Cette femme, Maria, est mère de trois enfants un garçon l’ainé, Mario, qui a 22ans et deux filles de 20 et 19ans. Son fils qui est mannequin est marié avec une une jeune femme de 24ans qui est danseuse nue dans une boite de nuit. Cette jeune femme est une coureuse que son fils continue à adorer malgré ses infidélités et qui s’obstine malgré tout à rester avec son mari en lui rendant la vie infernale sans espoir de retour à la fidélité. Maria, s’est engueulée avec Vadia l’épouse du fils et elles en sont venues au main. Mario s’est interposé mais Maria n’a qu’une idée en tête, foutre une bonne tournée à Vadia avec qui elle veut se battre. Charles tient à faire une parenthèse dans son information. Il présise à Axine qu’il fantasme sur Maria. Il avoue que c’est une petite femme trapue et pas très jolie. Mais il y a chez elle "un je ne sais quoi" qui l’interpelle. Il l’espionne et la guette lors de son travail pour entrevoir de son anatomie ce que ses vêtements laissent voir. Et il en devine plus qu’il n’en voie! Véro est bien au courant de ses aguets et des érections que son voyeurime suscite. Elle est d’ailleurs heureuse de partager la libération de ses émotions. Mais Charles par respect a fait le voeu de ne jamais toucher à Maria. C’est une promesse qu’il a du mal à tenir. Le lendemain de son altercation, Maria s’est présentée au travail avec sur le visage les bras et les jambes des marques de blessures dont Véronique a tout de suite deviné la provenance. Questionnée, Maria a dit son désarroi et son besoin de battre une bonne fois la jeune Vadia pour la décider à rompre et libérer Mario. "Une bonne branlée lui fera du bien!" Et puis Maria qui n’a ni les yeux ni les oreilles dans sa poche s’est bien rendu compte que lors de certaines soirées les grands tapis qu’elle est appelée à manier sont installés non pour danser mais plutôt pour se livrer à des activités physiques d’un genre plus agressif. Prenant son courage à deux mains elle a sollicité Véro pour lui organiser un combat avec sa brue. Charles qui furetait tout près avait tout de suite appuyé la requête de Maria. Et depuis la décision prise il se trouvait maintenant dans un état de surexcitation visible dans son pantalon. Voilà donc le changement annoncé par Véro. Après l’accueil de Madame Lisa il est convenu qu’on attende la venue de Maria et de Vadia pour qu’elles s’affrontent en premier lieu ce qui va permettre aussi bien à Lisa que Véro de se trouver beaucoup plus excitées pour se battre à leur tour. Car il ne fait aucun doute que Lisa vient bien pour çà. Véro revient dans la pièce accompagnée de Madame Lisa. Cette femme est un curieux personnage. Elle est relativement petite 1,60m à peu près. Pous se grandir elle porte des escarpins dont les talons ont une hauteur anormale et elle coiffe son abondante chevelure noire en réalisant sur le sommet de sa tête un énorme chignon, "une vraie choucroute!". Elle est large de corps sans être épaisse et son visage exprime toujours un air méprisant pour tout ce qui l’entoure. Elle est vêtue d’un ensemble tailleur classique gris qui a une jupe dont la longueur est identique à la jupe de cuir de Véro et d’une veste bord à bord qui parait trop longue puiqu’elle lui descend à guère plus de 5cm du liseré de sa jupe. Sous la veste qui croise bas, elle porte un sage corsage blanc sans col qui ferme par une série de 8 boutons. Charles et Axine la saluent en coeur: "Bonsoir Madame Lisa" "Bonsoir...mais s’il vous plait ici appelez-moi Lisa. Je suis une invitée, ce soir je ne suis pas l’hôtesse." L’atmosphère est ainsi détendue et Charles ajoute: "Soyez la bienvenue je vous souhaite une très agréable soirée et j’espère qu’elle répondra à vos désirs." "Agréable je ne sais pas mais violente certainement" C’est Véro qui lui répond: "C’est bien comme celà que nous l’entendons." L’arrivée de Maria interrompt leur dialogue. Elle est accompagnée d’un bel et élégant jeune homme qu’elle s’empresse de présenter en quémandant sa présence. "Bonsoir Madame et Monsieur voici Mario qui veut être absolument présent pour ma bagarre avec sa femme. Je n’ai pas pu le dissuader de venir. Est-ce qu’il peut rester?" Véro est favorable et elle le dit: "Je l’accepte à la condition qu’il n’intervienne pas quoi qu’il se passe. D’accord jeune homme?" "Oui Madame. Merci!" Charles qui vient de regarder sa montre ajoute: "Je vais accueillir la jeune femme. Maria est-ce que vous voulez vous préparer ou vous changer?" D’un signe de tête Maria fait une réponse négative. Maria est une petite femme, pas beaucoup plus de 1,50m. Elle est trapue et râblée. Sous un blouson de cuir synthétique qu’elle se met en devoir d’enlever elle porte un t-shirt sans manche qui est amplement déformé par son imposante poitrine et le décolleté arrondi du vêtement laisse voir la naissance des deux masses volumineuses. Sa jupe noire comme le t-shirt est un peu vague en dessous des hanches épaisses qu’elle enserre et s’arrête juste au-dessus des genoux. Les genoux sont forts et noueux et les mollets sont puissants. Les chevilles aussi sont un peu épaisses. Le visage est typé méditerranéen. Une figure ronde un peu large, une épaisse chevelure noire nouée sur la nuque en queue de cheval, de grands yeux noirs et une bouche généreuse. L’ensemble n’est pas très esthétique mais malgré tout elle retient l’attention et il n’est pas étonnant que Charles se soit senti pousser des désirs. Elle doit offrir des attitudes involontairement provocantes. C’est le cas en ce moment où, pour enlever ses chaussures qui ont des brides sur les chevilles, elle s’est pliée en deux offrant à tous les regards ses cuisses puissantes sous l’arrière de sa jupe relevée. Sans aucune pudeur Lisa, qui est assise dans un canapé se penche jusqu’au sol pour regarder sous la jupe et elle annonce: "Un slip noir qui ne contient pas tout le cul!" Charles est bousculé par une grande furie blonde qui entre dans la pièce. Elle tient à la main un imper plastic blanc qu’elle a du enlever en suivant son hôte. Elle est habillée d’une simple brassière blanche qui lui cache les seins et d’une micro jupe noire qui laisse entrevoir un slip rouge. Elle porte aussi des bas autofixant noirs dont la large bande de dentelle élastique lui monte jusque dans la fourche de son entrejambe. Si l’on ajoute des chaussures noires à talons courts et des mitaines noires en dentelle on a fait le tour extérieur du personnage. Elle a un visage long et clair des yeux verts en amende sous de longs cils et des sourcils au crayon noir. Elle a une bouche faite de lèvres attirantes en cul de poule une bouche de suceuse! Dans son soutien gorge brassière ses seins sont surement orgueilleux dans leurs bonnets C. Les jambes fuselées sont des jambes de danseuse à la fois ligneuses et finement musclées. C’est une tornade dejà en tenue de combat qui attaque tout de suite comme si sa vie en dépend. "Elle est là la petite putain de guenon qui attend de prendre sa branlée. La vilaine bonne femme qui materne toujours son petit con de branleur et a peur pour son bébé! Allez la vieille!" D’un coup de talon Vania enlève ses chaussures et se précipite sur Maria. Avant que quiconque ait pu dire un seul mot le combat est commencé. Maria s’est avancée d’un ou deux pas au devant de la danseuse et tout de suite elles s’empoignent par les cheveux. Maria beaucoup plus petie mais plus lourde essaie de bousculer Vadia en la tirant sur le côté. Mais la jeune femme a plus de stabilité par le grand compas de ses jambes. Alors elles tournent ainsi accrochées l’une à l’autre pendant un moment. Jusqu’à ce que Maria s’avance sous son adversaire en se retournant et alors en se servant de la chevelure comme levier elle bascule la grande fille par dessus son dos. Vadia chute lourdement sur son dos. Pour amortir le choc elle a lâché sa prise et elle écarte les bras. Maria n’a pas lâché la blonde chevelure et en faisant un quart de tour elle se laisse tomber à cheval sur l’abdomen de sa rivale. Dans un ‘Ooumpf’ les poumons de la jeune se vident de leur oxygène. Maria s’emploie ensuite à gifler consciencieusement les joues de sa brue. Mais celle-ci réagit en agitant ses jambes et son bassin pour se libérer de sa belle-mère. Elle accroche ses mains au t-shirt de Maria qu’elle soulève devant son visage pour se protéger. Maria s’obstine à vouloir frapper le visage de Vadia. Elle s’avance et se recule pour trouver un moyen plus facile. Vadia s’arcboute sous les fesses de Maria et se déhanche pour la faire tomber. Mais Maria écarte ses cuisses pour avoir plus de piètement à son équilibre. Dans l’action la jupe de Maria s’est relevée sur ses fesses découvrant ainsi ses grosses cuisses. En agitant ses jambes Vadia a fait remonter sa jupe sur ses hanches. C’est un string rouge qui cache son sexe. Ses cuisses se tendent et se relâchent dans ses efforts. Elle finit par réussir à bousculer Maria qui tombe sur son côté droit. Elle manque de technique. Une lutteuse aurait cherché le ciseau au corps, alors qu’elle se contente de donner des coups de genoux. C’est au tour de Vadia d’être à cheval sur le ventre de Maria. Elle n’a pas lâché le t-shirt et maintenant elle le repousse sur la tête de sa belle-mère. Ce mouvement bloque les bras de Maria alors elle facilite le travail de Vania et aide au passage du vêtement par dessus sa tête. Maria se retrouve en soutien-gorge. Un gros sac blanc à deux poches qui a du mal à contenir ses seins lourds bonnets DD ou E!... C’est le déclic qui entraine les deux adversaires à attaquer les seins de l’autre sans complexe. Maria peut facilement prendre possession des beaux seins de Vadia mais celle-ci croche dans une masse trop volumineuse pour que sa prise soit effectivement douloureuse à supporter. Alors elle cogne Vadia! Lançant se deux poings gantés de nylon dans les prodigieuses masses. Elle cogne sans souci de la cible à atteindre mais elle devine aux grognements qui échappent à sa belle-mère que certains de ses coups arrivent au bon endroit. Quant à Maria elle broie dans ses mains puissantes les belles ogives souples et fragiles,avec la satisfaction de voir les yeux de Vadia complètement noyés de larmes qui coulent déjà sur ses joues. Mais çà ne lui suffit pas à Maria. Elle tire d’une main sur la brassière et parvient à dénuder les deux bijoux laiteux. Elle s’empare entre pouce et index des mamelons fragiles et elle tord, pince, étire et écrase les pointes turgescentes devenues extrèmement sensibles. Vania ne peut pas retenir un cri de douleur et elle tente d’arracher les mains qui la martyrisent. Maria libérée des coups de poings à sa poitrine secoue son bassin ses jambes et ses hanches. Vania manque à plusieurs reprise de perdre l’équilibre. Pour parer à ce danger elle se met alors à boxer le visage de sa belle-mère qui n’arrête pas pour autant de lui torturer les tétons. Ce combat dure un bon moment sans que l’une ou l’autre ne veuille lâcher son assaut. Pourtant Vania doit se faire mal aux phalanges de ses doigts. Alors au lieu de cogner à poings fermés elle devine de griffer la face devenue rouge de coups de sa belle-mère. Les deux femmes crient de douleur sans pour autant céder. Dans ses débattements Maria a libéré un sein de son bonnet et la grosse masse se balotte sur sa poitrine au gré de ses mouvements. Elles sont en sueur et l’odeur de cette transpiration aigre et épicée parvient aux narines des spectateurs silencieux et attentifs au moindre geste et au moindre gémissements des combattantes. Comme le combat devient statique Axine prend le temps de regarder autour d’elle les attitudes et réactions des autres participants. Véro et Lisa sont assises dans deux coins adjacents et presque tournées face à face. Lisa est dans un étroit canapé et Véro sur un divan où elle est à demi allongée. Charles est assis sur une chaise située derrière la tête de sa femme. Elle Axine est dans un fauteuil un peu éloigné du tapis entre les deux organisatrices rivales, mais en formant un large triangle. Mario est assis dans une chaise à son côté droit. Elle l’étudie un peu. Il a un type méditerranéen moins prononcé que sa mère. Ses cheveux sont brun foncé mais pas noirs. Sa peau est comme celle de Maria d’un teint olivatre. Son visage est agréable, ses yeux sont noisette et une petite moustache barre comme un léger trait de crayon sa lèvre supérieure. Il doit mesurer au moins 1,75m. Il est habillé d’un léger costume grège clair sur une chemise blanche au col ouvert. Il a l’élégance d’un mannequin ce qui est un peu exagéré dans un tel lieu. Un léger parfum semble l’auréoler. Il plait à Axine. Elle songe même:"il faudrait le voir à poil!" Ce petit public n’a pas encore commencé à extérioriser ses réactions au spectacle des deux combattantes. Pourtant certaines choses témoignent de l’intérêt que tout le monde y trouve. Celà se voit dans la brillance des yeux, dans la rougeur des pommettes, l’accélération des respirations et à certaines attitudes du corps. Chez les uns le corps est cambré ou tendu vers les lutteuses. D’autres au contraires semblent vouloir se rouler en boule comme pour ramasser en soi toutes les images du combat. Et puis il y a ceux qui deviennent agités comme si le spectacle les force à bouger. Enfin ceux qui sans cesse font tourner leur regard d’un côté à l’autre comme s’ils ne peuvent pas supporter la vision des femmes engagées dans ce combat sans retenue. Axine revient au combat parce que Maria ne doit plus supporter la brulure des griffures sur son visage devenu sanginolent. Maria donc abandonne un des seins de Vadia et de sa main libre repousse les mains de la blonde. Dans un effort titanesque après avoir libéré le second sein, elle prend appui au sol de ses deux mains et redresse son torse. Elle repousse Vadia en la poussant aux épaules et en gigotant pour se reculer et se libérer. Dans un premier temps la jeune femme résiste et puis soudain elle se recule mais en prenant la ceinture de la jupe de Maria. Vania se met debout en soulevant le bas du corps de Maria elle tire sur la jupe qu’elle parvient à arracher. Elle dénude le bassin de sa belle-mère qui se retrouve seulement couverte par son grand slip noir qui a légèrement glissé sur ses hanches. Maria aussi se met debout et d’une manière beaucoup plus rapide et plus alerte qu’on aurait supposé. Les deux femmes s’éloignent de l’autre, pour reprendre souffle et retrouver leur self-controle. Maria se trouve presque face aux témoins de son combat. Elle remballe le sein qui a échappé à son bonnet. Vadia à moitié de dos tente de réajuster son soutien gorge mais l’agrafe a du sauter, alors elle fini de l’enlever et le jette derrière elle. Elle tire sur sa jupe qui est roulée autour de ses hanches mais soudain elle suspend son geste et s’adresse à l’autre femme: "Tu n’oserais pas te foutre à poil hein vieux laideron!" "Oh! Que si petite putain! Mais je garde mon soustifs pour retenir mes seins qui me gèneraient! Parce que j’ai des vrais seins moi pas des nichons de prostituée mal montée!" "Alors je garde mes bas." "Hé oui! Comme çà tu vas être en tenue de travail!" D’un geste naturel de travailleuse habituée au dur travail et à la sueur Maria de ses deux mains essuie son visage ensanglanté et après avoir jeté un bref regard à ses mains elle les essuie sur son slip avant de se mettre en devoir de l’enlever. Charles s’est mis debout en même temps que Maria. Son visage est congestionné et dans son pantalon il semble avoir voulu ouvrir un parapluie tant il est déformé par l’érection qui le trahit. Il est vrai que la Maria qu’il a devant lui n’a rien à voir avec celle qui vient faire les gros travaux ménagers deux ou trois fois par semaine vêtue de sa stricte tenue traditionnellement noire. * Oh bon dieu qu’elle est belle, n’arrête pas de penser Charles, et poutant elle est mal foutue!* Le défaut réside dans le manque de longueur de ses jambes par rapport à son corps. Le cou est court également mais puissant. Le tronc est large sans être vraiment épais si bien qu’elle n’a pas la grosseur qu’elle présente lorsqu’elle est habillée. Le ventre est un peu bombé mais parait être ferme. Les épaules et les bras sont épais mais ne portent pas de graisse, ils doivent être un peu musclés sous la chair. Les jambes à elles seules valent la description. Elles sont courtes d’accord et d’un volume un peu cylindrique mais elles ont l’air d’être coulées dans du marbre. Un marbre veiné de muscles sous chair et de vaisseaux sanguins pour les souligner. Ce sont des jambes d’athlète bien dissimulées derrière la corpulence et puis elles ont la caractéristique de la femme poilue qui épile la partie habituellement visible. Son pubis et sa vulve sont noyés dans une abondante et brousailleuse pilosité noire qui monte assez haut sur le ventre et s’épanouit sur les cuisses au-delà des aines qui forment une sorte de raie mal peignée. L’épilation s’arrête à mi-cuisse et les poils noirs sont plus abondants sur les côtés intérieurs où ils frisent. Les fesses sont volumineuses et ce sont elles avec les hanches qui sont le plus marqués par les traces de celulite. C’est donc un ensemble de défauts et de qualités dans ce corps de travailleuse de 43ans qui font qu’un examen superficiel de la personne soit défavorable au départ alors que les éléments pris séparéments ont un caractère presque prodigieux. Il n’est donc pas étonnant que Charles qui depuis des années fantasme après ce corps de femme réagisse avec autant de ‘vigueur’! Et il n’est pas le seul. Axine a vu Mario s’agiter sur sa chaise à côté d’elle en cherchant à trouver une position plus favorable. Et celà jusqu’à ce qu’il fasse comme Charles et qu’il se mette debout derrière le dossier de sa chaise pour cacher le chapiteau horizontal que son pantalon ne peut pas contenir! Axine suivant son regard est obligée de constater que c’est le spectacle que lui offre sa propre mère qui le plonge dans cet état de totale surexcitation sexuelle! Il n’a jamais du envisager sa mère dans une situation et une attitude aussi érotiques! Et pourtant Vadia qui se tourne un instant vers le petit public est d’une rare beauté face à sa belle-mère! Elle est jolie, racée, grande fine et forte à la fois, galbée de partout avec les rondeurs où il faut et comme il faut! Elle doit mesurer un peu plus de 1,70m et avec quelques centimètres de plus elle pourrait faire des jalouses dans les rangs du Crazy Horse Saloon. Mais elle n’a pas la hargne de Maria dont le visage exprime à ce moment là son besoin de violence et son agressivité. Un coup d’oeil vers Véro qui est située du même côté que les hommes lui permet de voir qu’elle a baissé la fermeture éclair de son blouson de cuir et qu’elle commence à pétrir ses seins. Lisa est arrivée au même stade, elle se bat avec les boutons de son corsage quel a sorti de la ceinture de sa jupe qui est remontée très haut sur ses cuisses. La reprise des hostilités ramène l’attention de Axine vers le champ de bataille. Les deux ennemies se sont ruées l’une vers l’autre. C’est un assaut de moulins à vent en quelque sorte. Elle se lancent des gifles et des coups de pieds sans discernement. Avec sa plus grande allonge Vadia semble avoir l’avantage, elle marque plus de coups qu’elle n’en reçoit. Maria se lance au devant des coups en se baissant. Elle s’empare du bras gauche de Vadia tendu devant elle. La petite femme passe derrière son adversaire et lui tord le bras dans le dos. Elle donne alors un grand coup de pied derrière le genou droit de sa brue qui descend à genoux. Maria force Vadia en avant qui tombe à plat ventre avec la forte femme sur son dos. Maria manque de technique. Elle devrait utiliser la situation mais au lieu de celà elle se relève pour porter de violents coups de pieds derrière la tête blonde en l’écrasant contre le sol. Mais elle a lâché le bras et comme Vadia ne reste pas sans réaction son dernier coup de pied arrive sur l’épaule avant que la danseuse ne s’empare de ce pied en tirant vers elle. Maria précipite sa chute en se faisant tomber à genoux sur le buste redressé de Vadia. Seulement en continuant son retournement la blonde fait tomber la brune à quatre pattes à côté d’elle. Elles se trouvent alors à genoux face à face. Elles se prennent par les cheveux et recommencent à se gifler avec la main droite. Elles s’inclinent et s’écartent légèrement. Les gifles de Maria frappent le visage de Vadia mais celle-ci qui a plus de longueur trouve les lourd seins qui pendent sous la poitrine à l’horizontal de son adversaire. Il semble qu’elle émet un cri de satisfaction et elle se déchaine Vadia. Elle frappe maintenant avec son poing fermé et elle parvient à faire jaillir le sein gauche à nouveau hors de son enveloppe. Sans savoir elle se met à meurtrir le haut du sein près de la racine où la chair s’accroche à la poitrine. Maria ne tarde pas à grogner et gémir sous la douleur. Pour répondre à l’attaque elle cherche de son côté le sein de Vadia. Elle est obligée de s’avancer sur ses genoux en faisant travailler les muscles de ses cuisses pour le plaisir des spectateurs. Elle parvient à se saisir du sein droit de Vadia qu’elle broie avec toute la force de ses puissants doigts de travailleuse. Vadia en retour saisit la pointe du sein de Maria qui cette fois dans cette forme oblongue lui offre plus de prise. Chacune des lutteuses s’empare alors entre pouce et index du mamelon de l’autre. Méthodiquement et méchamment elles s’emploient à meutrir le plus vigoureusement possible le téton sensible. Toutes les deux commencent à trépigner sur leurs genoux et elles émettent des cris de douleur. Elles agitent leurs corps et soudain comme d’un commun accord elles lâchent prise des chevelures pour s’empare du deuxième sein en redressant leurs bustes.Vadia déballant rapidement le deuxième sein de son emballage. Elles se trouvent accrochées l’une à l’autre par les prises sur les seins. Dans leurs regards il y a toute la haine qu’elles ont envers l’ennemie que chacune veut martyriser jusqu’à la victoire. Il semble que leur affrontement soit devenu une question d’endurance devant la souffrance et de capacité à l’infliger. Axine d’un regard vers Lisa se rend compte que la lesbienne est en train de copier les combattantes. Elle broie, tord et étire ses mamelons d’une telle façon qu’elle doit certainement se faire souffrir. Tournant la tête elle voit Véro qui frictionne les siens d’une manière ferme mais beaucoup plus tendre. Elle s’est allongée de biais sur le divan et elle a roulé sa jupe de cuir jusqu’à sa ceinture offrant à tous la vue de sa vulve nue et de son fin et petit triangle de poils blonds. Charles s’est dévêtu au trois quart. Il ne porte plus que sa chemise ouverte sur son torse bronzé orné de courts et fins poils blonds. Il serre dans sa main droit sa verge pharaonique! Mario n’a pas osé aller trop loin. Il a enlevé sa veste et il a du donner de l’aise à son pénis qu’il cache derrière le dossier d’une chaise. Il semble que Vadia soit parvenue à faire saigner les seins de Maria. Ses doigts à moitié couverts par les mitaines noires glissent fréquemment lui faisant perdre sa prise. A ce moment on voit les mamelons de Maria qui sont d’une longueur et d’une grosseur fantastique. *Fie de garce! de vrais trayons de chèvre* pense Axine. Vadia qui voit sa prise perdue s’accroche aux mains de Maria qu’elle tire vers elle. Puis se penchant violemment elle donne un coup de crâne dans la figure de Maria qui sonné lâche se prise et s’asseoit sur ses talons. La belle blonde a vu faire celà à la TV ou au cinéma! Elle a agit d’instinct. Elle a assurément fait mal à sa belle-mère mais elle s’est fait mal aussi. Elle pose ses fesses sur ses talons en frottant son crâne qu’elle barbouille du sang que Maria a répandu dans ses gants. Vadia arrache ses mitaines et pendant qu’elle est occupée à ce travail, Maria se relève et s’avance sur ses genoux et envoie un puissant direct du droit en pleine face. Le nez de sa brue se met alors à suinter le sang. Il semble que côté sang elles ont fait match nul. Maria secoue son poing. Elle a du se faire mal également. Mais elle n’en reste pas là. Elle continue sa progression qui l’amène à côtè de son ennemie qu’elle saisit à la tête et qu’elle finit par amener dos au tapis avec ses genoux encore repliés, ses pieds sous ses fesses. Maria change de bras pour sa prise de tête et se positionne allongée sur son ventre en faisant un angle de 145° avec le corps de Vadia. Elles sont un peu tête bêche. Le collier renversé de Maria semble bien serré et la tête de Vadia est immobilisée sous son aiselle gauche. Vadia commence à agiter tout son corps et en particulier ses jambes pour réussir à débloquer la prise. Mais ses efforts paraissent vains. Sa main droite n’a pas non plus d’efficacité son bras étant coincé en partie sous le torse de son adversaire. Avec son bras gauche elle tente de porter des coups à l’envers à la tête de sa belle-mère qui de son bras droit la repousse. Maria s’avance un peu plus sur la poitrine de la blonde et elle se saisit du sein droit qu’elle brutalise à nouveau. Parfois elle repousse le poing ou la main de Vadia. Elle finit par pincer entre pouce et index le mamelon du sein droit de toute sa puissance. Vadia grogne de douleur. Elle continue à agiter ses jambes. Son bas sur sa jambe gauche est déchiré au genou et une échelle descend jusqu’à sa cheville. Son bas droit a moins souffert de la bagarre il est seulement doté de deux ou trois fines échelles. Les mouvements des jambes et du bassin de son ennemie obligent Maria à chercher plus de stabilité. Jambes largement écartées avec les quadriceps écrasés sur le tapis elle offre à la vue des spectateurs la pilosité noire de sa fourche. Les poils courts de l’intérieur de ses cuisses napés en petites mèches collées par la sueur Et au sommet du vé dans la broussaille velue la longue fente rose du gouffre charnel. Vadia a glissé son bras droit sous le ventre de la petite femme. Les bouts de ses doigts émergent au milieu du buisson. Maria resserre ses cuisse et crispe ses fesses. Mais les doigts de la grande fille doivent être actifs dans une attaque de la vulve et des lèvres car Maria agite son bassin en le soulevant et en le reculant. Par vengeance Maria porte sa tête sur sa droite en allongeant son cou et mord à pleines dents dans le sein droit de sa belle-fille et elle y va de bon coeur chercant de toute évidence à engouffrer toute l’aréole dans sa bouche. Le cri de douleur de Vadia confirme son succès. Et en représailles elle doit maltraiter plus violemment le vagin de Maria car celle-ci fait des bons avec son cul claquant son ventre sur le tapis à chaque saut et en tortillant ses fesses. Les deux femmes sont déchainées dans leurs mouvements et elles grognent et gémissent à l’unisson. Vadia qui est sous Maria n’a pas de liberté d’action. C’est Maria qui met fin aux assauts en cours. Elle se déplace dans l’alignement de Vadia et rampe sur son corps. Maintenant elles sont en 69 et Maria se saisit de la tête de sa brue entre ses genoux et le bas de ses cuisses. En levant ses jambes ouvertes Vadia tente de dupliquer la prise. Mais Maria est mieux à même de repousser ses cuisses et de se redresser pour s’éloigner du ciseau. Dans un premier temps Vadia, dont les bras et les mains ont maintenant plus de liberté d’action, tente de deserrer l’étau des cuisses sur sa tête. Mais il lui faut contourner le cul épais et les cuisses massives. Elle ne peut pratiquement rien faire sauf griffer et donner des coups de poings. Alors elle lance ses doigts à la longue entaille charnue dans le cul. Axine devine que Vadia va essayer de trouver la rosette de Maria mais compte tenu de la puissance "culière" de celle-ci elle doute du succès de la danseuse en sa tentative. Axine a fait tomber ses bretelles et a descendu son soutien gorge ornemental en dessous de ses glorieux nichons qu’elle malaxe langoureusement depuis un moment. Sa main droite glissée dans la fente de sa jupe est insinuuée sous la petite culotte et cherche son clitoris avide de caresses et de tripotage. Elle regarde Lisa qui a elle aussi écarté son slip et est en train d’humecter abondamment les doigts qu’elle va fourrer dans sa chatte ornée d’un triangle de poils noirs rigoureusement taillés. Les nichons de Lisa reposent sur le soutien gorge passé en dessous d’eux et les mamelons turgescents sont violacés par les violences qu’ils ont subies jusque là. S’il n’y avait le blouson qui repose ouvert sur ses épaules et sa jupe roulée à sa ceinture Véro serait entièrement nue. Allongée sur le divan elle écarte d’une main ses grandes lèvres et fouille dans son vagin huileux avec tous les doigts de son autre main. Les deux femmes se regardent et c’est comme un défi qu’elles se lancent *qui va jouir la première*? Charles vêtu de sa seule chemise ouverte s’est approché de Mario.Il n’a aucune honte d’exhiber une virilité en pleine puissance et dont il peut s’enorgueillir! Il le conseille sur l’attitude à avoir: "Fais comme moi, mets toi à l’aise mon garçon et n’aies pas honte de répondre aux instincts que la nature réveille en toi! Çà ne vaut rien pour le bon équilibre de les refouler!" Axine, qui a suivi l’apparté de Charles, se lève en ôtant son slip et son soutien gorge. Elle s’approche de Mario et lui propose de l’aider. Après avoir enlevé pantalon et slip au jeune homme elle s’empare de son pénis convulsé et en lui tournant le dos tout en le manipulant doucement elle le conseille à sa façon. "Tu peux caresser mes seins s’ils te plaisent et laisse toi aller. Si tu veux te branler contre moi tu peux aussi!" Il n’en faut pas plus au jeune modèle pour se saisir à bras le corps de la femme offerte et la caresser, la pétrir et chercher sa chatte en chaleur. Il abandonne les seins pour le sexe et les fesses et commence à gronder de plaisir! "Doucement Mario...doucement!...Regarde les lutteuses et admire Maria dans la domination qu’elle entreprend! Vois comme elle est belle et forte. Vadia a dèjà perdu!" "Je n’aurais jamais imaginé voir celà un jour. C’est fantastique et sacrément provocant. Surtout avec ma mère impliquée!" Pendant ce court entracte Maria s’est basculée sur un côté pour mieux saisir la tête de Vadia qu’elle monte en tirant sur les cheveux au plus haut de sa fourche. Elle remet la blonde sur le dos.Elle s’empare de sa jambe gauche toujours à la recherche de sa tête et la glisse sous son aiselle gauche pour l’immobiliser totalement. La main droite de Maria haute levée descend brutalement du tranchant sur la vulve de sa brue. Elle se met ainsi à frapper violemment le sexe de la grande blonde. Vadia a bon essayé de se protéger avec sa jambe droite, Maria la repousse facilement et poursuit son martèlement. Maria se redresse et pour la première fois porte son regard sur le petit groupe de spectateurs. Son expression farouche s’évanouit au profit d’un sourire plein d’orgueil et d’assurance. Elle reçoit des compliments silencieux des uns et des autres, qui par un sourire, qui par un petit geste amical de la main. Puis Maria revient à sa proie. Elle griffe maintenant la vulve gonflée et moite. Vadia gémit et grogne de douleur. Alors Maria interroge: "Est-ce que tu admets que je t’ai battue?" Il n’y a qu’un grognement indistinct comme réponse. "Tape deux fois sur une de mes cuisses si tu abandonnes!" Finalement c’est ce que fait Vadia. Mais Maria n’en a pas terminé pour autant. Elle ouvre son ciseau et fait demi tour sur le ventre de la danseuse. Ses tibias en pression sur les biceps de sa belle-fille. Face à son visage elle la gifle violemment sur chaque joue avant d’exiger d’elle les conditions de sa rédition: "Désormais tu vas foutre la paix à Mario! Primo tu acceptes le divorce à tes torts exclusifs. Deuxio demain matin tu déménages tes fringues et c’est moi qui sera là. Troisio tu disparais du paysage. Tu vas te faire voir à Amsterdam ou à Hambourg. Si on te retrouve à Paname je te tues de mes propres mains!...Compris?" "D’accord mais n’empêche que tu es une putain de salope!" Une expression d’indicible colère haineuse envahit le visage sanguinolent de Maria. Elle se penche légèrement en avant et lance de violents coups de coude à la face de la jeune femme. Elle frappe partout et n’importe comment avant de viser les yeux plus précisément. Vadia se met à hurler de douleur en essayant de tourner sa tête en tous sens pour se protéger et en tirant par saccades sur ses bras pour les libérer de l’écrasement des jambes et du poids du corps de sa belle-mère C’est Charles qui s’approche et qui s’adresse à Maria: "Çà suffit Maria! Elle a certainement compris et vous lui en avez assez fait comme celà. L’abimer d’avantage ne sert plus à rien!" "D’accord Monsieur juste une dernière chose." Maria se soulève et se recule toujours à cheval sur sa brue. Elle empoigne les deux seins qui étaient si jolis au début du combat et elle tord vicieusement les deux masses sanglantes avant de pincer et d’étirer à la limite maximale les deux mamelons dont le droit a pris maintenant une couleur allant du mauve au marron sous la marque des dents. Finalement elle se met debout en étirant la mamelle juqu’à ce qu’elle glisse de ses doigts.Puis en chancelant légèrement elle vient s’asseoir auprès de Véro qui est en train de se masturber frénétiquement. Maria s’emploie à remettre ses gros nichons dans les bonnets de son soutien gorge en contemplant sa patronne. Charles a donné la main à Vadia pour l’aider à se relever. La jeune femme est en larmes et elle cajole ses sein meurtris. Alors que des spasmes commencent à la gagner Véro dit: "Mets là dans la petite chambre en bas!" Et elle commence à hululer son plasir sous les yeux attentifs de Maria et celui courroucé de Lisa qui n’a pas encore atteint le même stade malgré la frénésie de ses propres attouchements. Charles qui n’a presque pas débandé est aussitôt revenu. Il vient vers Maria: "Voulez-vous faire un peu de toilette et soigner vos blessures maintenant Maria?" "Que Monsieur ne le prenne pas mal mais j’aimerais mieux une bonne tringlée! Il y a presque huit ans que je n’ai pas eu de relation et depuis que je travaille ici je vois bien les manèges de Monsieur et je ne comprends pas que vous ne m’ayez pas proposé la botte après tout ce que j’ai fait pour vous aguicher! Et puis s’il vous plait prenez çà comme un compliment,mais vous avez une trique que vous avez dû piquer au milieu des quilles d’un boowling!" "Si j’avais connu le fond de votre pensée Maria je n’aurais pas souffert de désir aussi longtemps!" "Souffert je ne sais pas! Je me suis bien rendu compte que Madame vous soulageait quand votre trique était trop grosse! Si j’avais su qu’elle est aussi énorme j’aurais demandé à le faire moi-même!" "Alors venez Maria!" "Oh merci! Mais faisons çà ici Monsieur si vous voulez bien et en levrette s’il vous plait! J’en ai tellement rêvé!" Axine et Mario qui ont suivi cette conversation se regardent. Leurs yeux suffisent à leur propre dialogue. Ils finissent de se dévêtir et debouts s’enlacent en s’embrassant à pleine bouche. Les deux autres femmes sont perdues dans leurs orgasmes et jouissances solitaires avant de s’affronter. Mais quel sera leur genre d’affrontement?