La Saga de Axiline 5ème épisode d’après violente@net-up.com Le combat mixte de Eve et le duel des catcheuses La Saga de AXILINE =o=o=o=o=o=o=o=o=o= 5ème épisode D’après VIOLENTE Deux soigneurs infirmiers attendaient Mounn et Axine dans le box et après une vingtaine de minutes les deux femmes, avec les visages masqués des onguents miracles et les blessures traitées, peuvent enfiler les peignoirs de soie artificielle mis à leur disposition. En devisant comme deux amies devenues intimes elles rejoignent les spectateurs qui se dirigent vers le ring en accompagnant les deux combattants qui vont maintenant s’affronter. Ceux-ci sont en train de gravir l’escalier d’accès. Eve qui est devant est toute nue alors que derrière elle Bob est vêtu d’un mini-slip qui est fait dans un nylon transparent couleur chair, comme un bas ou un collant de femme. Il dévoile la verge en érection qui déforme le fin tissu. Mounn s’adresse à mi-voix à Axine: "J’ai l’impression de connaitre cette femme mais je ne parviens pas à la situer et retrouver son nom" "Tu ne m’étonnes pas car aucun de ses spectateurs ne peuvent supposer qu’elle puisse s’impliquer dans de tels combats" "D’accord, mais qui est-ce?" "Tiens toi bien!...c’est ###### ###### " "La présentatrice de ‘## ##### ‘ Oh oui! Maintenant je la reconnais, c’est vrai que je n’aurais jamais pensé la rencontrer ici! C’est fantastique, je ne l’aurais pas cru si ne l’avais pas vue!" Elle est splendide Eve! Son fin visage, encadré de sa chevelure blonde qui lui couvre la nuque en ondulant, est connu pour la particulière beauté de ses grands yeux marron clair pailletés d’or. Elle est dotée d’une paire de seins d’un volume moyen et d’une parfaite fermeté. Les mamelons sont fins et longs dans des aréoles qui sont foncées et granuleuses. Ce sont des seins qui peuvent rivaliser avec ceux des danseuses du Crazy Horse Saloon de Paris! Sa taille est rétrécie et met en valeur ses hanches élégantes qui surplombent un fessier "craquant",ferme et cambré. Les cuisses et les mollets sont un émerveillement et les yeux s’y attardent comme saisis d’incrédulité. Ils sont finement musclés et très certainement puissants. Il n’y a pas sur eux une seule once de graisse et ignorent totalement ce qu’est la peau d’orange de la cellulite. Son ventre est un petit peu bombé mais semble très ferme. Son pubis est très proéminent et est orné d’un petit triangle de très fins et presque rares poils blond foncé. C’est très érotique et désirable. Son adversaire masculin est également bien foutu. Son corps est très harmonieux et est doté d’une musculature ronde et élégante. Adolescent il devait être un ravissant éphèbe. Ses cheveux sont chatain clair et soignés. Ses yeux sont vert foncé, sa bouche est sensuelle pour un homme son menton carré et ses pommettes saillantes lui donnent un air volontaire. La peau est presque uniformémént bronzée, un peu plus pâle au niveau du bassin et surtout des fesses. Il est plus coloré que Eve dont la peau est tout juste un peu miel très clair et qui ne se remarque également qu’à la blancheur de ses fesses. Bob est dépourvu de poils sur son corps sa seule pilosité corporelle étant la masse de poils noirs qui se voient sur son pubis au travers de l’écran de son léger slip. Il est a noter d’ailleurs que le slip enfilé par Bob est le vêtement coutumier dans ces combats. Son but est d’éviter les ballottements inesthétiques de l’appareil génital lorsqu’il est hors érection. Ce n’est pas le cas du lutteur qui est vraisemblablement sous l’effet d’un puissant stimulant mais il a respecté la norme en ayant eu énormément de mal à y engouffrer son volumineux pénis en érection. C’est Charles qui, en l’abscence de Véronique, fait les présentations habituelles. "Le dernier combat de la soirée oppose la ravissante Eve qui est âgée de 52ans, mesure 1,68m et pèse 60kgs.....à Bob qui est âgé de 37ans, mesure 1,64m et pèse 64kgs. Leur précédent combat s’est terminé par la nette victoire d’Eve en un court mais très dur affrontement. Que la victoire revienne au meilleur!" Durant la courte attente de l’annonce, chacun dans un coin du ring a observé sérieusement son adversaire. Eve le visage tendu et sérieux est restée immobile alors que Bob sautille sur place manifestant une certaine impatience. Dès que l’autorisation des hostilitées est donnée, Eve s’avance attentive alors que Bob se précipite au devant d’elle. Si bien qu’ils se trouvent face à face près du coin quitté par Eve. Sitôt qu’il se voit à bonne distance Bob envoie un magistral crochet du droit à la pointe du menton de Eve. Celle-ci qui se préparait à un assaut de lutte est prise par surprise et l’efficacité du coup porté par Bob la fait reculer en flageolant légèrement. Bob ne prend aucun instant de répit. Il a noté le résultat de son crochet et en se reculant légèrement il projette son pied gauche en pleine face de la belle blonde. La tête d’Eve se lève en arrière et elle commence à pivoter vers les cordes. Elle semble desemparée par cet assaut. Elle cherche refuge dans la fuite vers son coin. Mais Bob est sans pitié. Il s’avance, la saisit par les cheveux et la ramène vers le centre du ring en la forçant à baisser la tête. Lorsqu’il la voit en bonne position il lève violemment son genou droit qui écrase une nouvelle fois la face d’Eve en aplatissant son nez et ses lèvres. Mais Eve réagit enfin. Elle se saisit de la cuisse droite qui est levée et en poussant avec sa tête elle bouscule Bob. Celui-ci est plus vif et meilleur technicien que Eve ne suppose car il se saisit de la tête en un collier renversé et contre l’effet attendu il guide sa chute pour entrainer Eve et lui écraser le visage contre le sol. Instantanément Bob se retourne sur Eve qui est à plat ventre et se saisissant de ses cheveux il lui soulève la tête pour la projeter à nouveau sur le tapis du ring. Il faut se rendre à l’évidence Bob en quelques courtes minutes se rend maitre du combat en le menant à sa guise. C’est autant une surprise pour Eve que pour les spectateurs. Cependant il y a une explication très probable. Lors de leurs précédents combats Bob a toujours été vaincu parce qu’il se trouvait bloqué dans les clés et ciseaux d’Eve qui sont pratiquement insurmontables. En conséquence Bob a certainement changé de tactique, aujourd’hui il boxe à distance pour se garder d’être engagé dans des prises dont il ne saurait pas se dépétrer. Il manoeuvre aussi pour mettre ses couilles à l’abri des coups et des prises et ainsi pour une fois remporter une victoire. Eve se rend compte également du changement de technique appliqué par Bob et elle a conscience que la brutalité qu’il déploie est pour se préserver d’une lutte au sol. Elle réagit comme elle peut. Elle se met a quatre pattes sur ses genoux en soulevant Bob et elle parvient à lui saisir un bras qu’elle se met en devoir de tordre pour les faire revenir au sol et se placer sur lui. Mais Bob rompt et se relève en sentant le danger. Il se relance dans un combat de boxe auquel Eve se trouve obligée de répondre bien que ce ne soit pas un type de combat où elle excelle. Bob place des coups violents et précis à une allure incoyable en visant le visage mais aussi les seins et les côtes de Eve qu’il meurtrit partout, maquillant son corps de marque qui vont du bleu au jaune en passant par le rouge sang sur le visage. Eve parvient à placer quelques bons coups en directs suivis de crochets. Mais elle est touchée deux fois plus qu’elle ne touche. L’expression de son visage reflète une méchanceté voir même une bestialité qu’il n’est pas courant de lui voir afficher et beaucoup de spectateurs ont noté ce changement. Qui est la vraie Eve ? Celle que l’on voit maintenant d’une rare férocité ou la femme attrayante que l’on voit à la T.V.?. Comme défense devant le barrage presque infranchissable de Bob elle lance ses pieds dans la bagarre et lance son pied droit dans le sexe de l’homme. Mais Bob voit le coup venir et relève sa cuisse gauche qui prend le choc lequel glisse sur ses quadriceps. En contrepartie il s’empare d’une poignée de la blonde chevelure et manoeuvre comme peu de temps avant pour placer un violent coup de genou à la face de la grande femme. En même temps il tord la chevelure pour faire basculer Eve. Son mouvement réussit et au moment où elle s’écroule devant lui il place un splendide et radical crochet à la pointe du menton qui envoie son adversaire quelque peu dans les nuages. Eve s’écroule sur le dos. Bien qu’elle soit un peu groggy elle tente de réagir par instinct. Elle envoie ses pieds vers le haut à destination des couilles de son adversaire qui fait un écart. Cependant Bob est légèrement touché et la douleur le met en rage; il s’élance pour tomber les genoux en avant sur le corps de la femme. Il descend à moitié sur le sternum et à moitié sur l’estomac. Il écrase les magnifiques seins et vide les poumons de la grande blonde qui reste sans réplique. Bob se met à cheval sur le ventre de son adversaire et lui place un nouveau crochet du droit sur le côté gauche de la mâchoire. Il se rend compte que la blonde est dans le cirage, alors il prend son temps, il prend à pleine mains les beaux seins et se met en devoir de les broyer avec l’assurance de celui qui n’attend plus aucune réaction de l’adversaire. Le visage de Bob exprime la satisfaction. Il accède enfin au plaisir qu’il a toujours voulu atteindre! Martyriser ces orbes royaux, les malmener, les abimer et faire souffrir la belle blonde que dans son for intérieur il aime à la folie. Jouir de cette beauté son fantasme inavoué! Bob se met debout se pèle du slip arachnéen qu’il lance à Corinne sa compagne exhibant son formidable pénis violet à la pointe rouge cerise qui semle vibrer d’impatience. Il reprend sa position cavalière mais cette fois sur la poitrine d’Eve et il resserre les deux seins sur sa bite qu’il branle entre les deux masses soyeuses et rebondies dont les aréoles sont devenues de larges troncs de cônes supportant des mamelons qui prennent d’instant en instant un volume et une épaisseur fantastique.. Eve reprend conscience avant qu’il n’ait atteint le point culminant de l’éjaculation. Bob s’en aperçoit. "Je t’ai battue Eve!...tu admets ta défaite?" "Oui tu as gagné pour cette fois....alors prends-moi!...enfile ta queue énorme dans ma fournaise et baise moi fort!...allez vas-y!" Et comme Eve écarte ses jambes au maximum Bob ne se le fait pas répéter deux fois. Il plonge avec avidité dans le gouffre d’amour de la si belle présentatrice de TV que pendant une ou deux semaines les téléspectateurs attendront avec impatience sans se douter du motif de son abscence! Les spectateurs hypnotisés par la violence et la rapidité du combat n’ont que peu réagi; Comme la nuit est très avancée et que maintenant le dernier combat est terminé ils sont tous préoccupés par leur retour vers leur propre domicile. Ils laissent donc les deux combattants prendre leur plaisir sexuel que le combat a suscité. Corinne grimpe dans le ring puique l’escalier a été rapproché et elle finit de se dévêtir pour se joindre à la partie de baise de son mari Bob avec Eve. En s’éloignant du ring en compagnie de Axine, Vivi ne peut pas s’empécher d’exprimer sa compassion pour Eve. "Pauvre Eve je suis peinée pour elle. C’est dommage pour elle qu’elle ait perdu son combat!" "Elle a perdu d’accord mais es- tu sure qu’elle soit ennuyée de cette défaite? En réalité c’est peut être ce qu’elle désirait! Son plaisir est de se battre le plus dur possible alors là elle est comblée!" "Tu as sans doute raison c’est le combat lui-même qui est la satifaction recherchée et qui apporte le plaisir. Victoire ou défaite c’est la violence qui sublime l’affrontement!" Axine et Vivi ne se sont pas quittées de la nuit qu’elles ont vécue dans une apothéose d’orgasmes. Rosa est restée en observation à la clinique l’homme de la faculté ayant jugé que ses radios étaient un peu déroutantes et il veut les renouveler après une nuit de totale décontraction. En conséquence Mounn qui se sentait seule a accueilli avec passion la jeune Safo qui espérait bien trouver une partenaire pour la nuit. Au réveil épuisée elle avait totalement changé de point de vue à l’égard de la grande championne de boxe! Le lendemain dans le milieu de la matinée elles et ils se retrouvent autour d’un plantureux déjeuner. Léon qui doit se rendre à l’aéroport pour prendre en charge une invitée spéciale est chargé de conduire Vivi et Safo à la gare TGV de Roissy pour qu’elles y prennent leur train de retour. Charles de son côté enmène Mounn rejoindre Rosa à la clinique pour les conduire ensuite à Orly où elles doivent embarquer à midi. La blessure de Rosa est surtout musculaire et ligamenteuse. Avec une minerve elle est en mesure de faire son voyage sans trop de souçis. A Roissy Léon qui est muni d’une petite pancarte de reconnaissance est surpris d’être abordé par une grande bonne femme sans allure. Elle a un peu l’aspect d’une hyppie des années 70! Mais une hyppie de luxe. Elle est vêtue d’une espèce de houpelande qui descend trainer sur le sol et qui cache tout autre vêtement. Ses cheveux sont enveloppés dans un foulard mais ceux qui dépassent sont blonds. Elle a sur le nez une paire de lunettes en écaille foncée qui lui mange le visage! Elle pousse un chariot sur lequel il y a deux ou trois gros sacs de voyage en toile rêche décolorée par l’usure. Elle s’adresse à Léon dans une langue parlée avec le nez et qu’il suppose être de l’anglais fortement américanisé. Devant l’évidente incompréhension de l’homme elle fouille sous son vêtement et exhibe une carte plastifiée dont l’identité est celle de la personne qu’il est venu checher! Léon se fait chevalier servant et prenant le chariot précède la femme jusqu’à sa limousine. Il l’installe à l’arrière et charge les bagages. Pendant ce temps Charles est allé au Hilton Orly pour y prendre en charge une femme qu’il doit amener au ‘Chatelet’, son domaine. Il n’a même pas besoin de s’adresser à la réception. Il voit dans un fauteuil du hall la femme qui l’attend. Sans attendre il se dirige vers elle et la salue. Ils se sont déjà rencontrés ce qui simplifie le contact. Leur dialogue se fait en anglais. La femme lui présente alors l’homme qui l’accompagne et qui n’était pas attendu. C’est un splendide noir de 30ans environ. Il est d’origine Soudanaise et de race Nubienne mais est naturalisé Anglais. Elle l’a rencontré à Londres lors d’un gala de catch où ils étaient engagés pour des combats chacun de son côté. Elle l’a trouvé tellement sensationnel tant pour la lutte que pour le "lovemaking" qu’elle le garde avec elle pour le moment! Elle est vêtue d’un ensemble blouson et pantalon de soie de couleur bleu pastel. N’gaa est habillé dans une combinaison blanche qui le moule exagérément en donnant un relief surprenant de volume et de précision à son appareil génital!...Stupéfiant d’impudicité. La belle grande blonde enfile un splendide manteau de fourrure d’ourse blanche et le couple accompagne Charles. Au "Chatelet" un groupe de personnes est venu rejoindre Véro et Axiline. Ils sont jeunes pour la plupart et semblent être sous la férule d’un homme un peu plus agé. Leur caractéritique est qu’ils sont tous vêtus de blanc. A la question de Axine, Véronique l’informe que c’est une équipe technique d’assistance composée de gens eux-mêmes impliqués dans des sports de combats. C’est Charles qui arrive le premier. Pendant que Véronique guide la femme vers une chambre, Charles présente N’gaa aux invités. Un des hommes "en blanc" qui est issu d’ancêtres Sénégalais est spécialement intéressé par le magnifique noir! Surtout par la virilité qu’il affiche et qui se manifeste chez lui par une magnifique bandaison! L’arrivée de Léon et de sa passagère passe presque inaperçue. Seule Véronique se manifeste près d’elle en la conduisant dans une des chambres de la maison. Charles invite la petite assemblée à se rendre dans la salle de combats. Après avoir emprunté le court sousterrain la compagnie se retrouve dans les anciennes écuries. Tout le monde entoure le ring dressé dans la partie gauche. Ayant grimpé l’escalier, Charles, debout sur le large rebord du ring, fait connaitre les adversaires à venir. Il s’agit de deux catcheuses Américaines qui se sont affrontées dans des combats officiels à plusieurs reprises et dont les deux dernières rencontres ont été remportées par l’une d’elles dans des conditions peu orthodoxes, ce dont l’autre veut se venger dans un combat au finish. La première entre dans la salle et est rejointe par N’gaa le noir qui l’accompagne. Elle est vêtue d’un peignoir de satin bleu très court et de chaussures de toile à semelles de crêpe et talon de 2cm. Elle doit mesurer 1,75m sans ses chaussures et peser 68kg environ. Une chevelure blonde lui descend souplement jusqu’au milieu des omoplates. Elle encadre un visage ovale au menton plutôt court qui est agréable et souriant. Elle a passé son bras droit autour de la ceinture du grand noir et en sa compagnie attend patiemment au pied de l’escalier. Son adversaire arrive peu de temps après. Elle est pareillement habillée mais son petit peignoir est rouge. Elle porte les mêmes chaussures aux pieds. Ses mensurations sont très proches de celles de l’autre, avec 2 ou 3cm en moins. Sa chevelure est d’un blond un peu plus foncé. Elle est de la même longueur, mais plus frisée et avec une petite frange sur le front. Son visage est plus rond, son nez plus court et un peu redressé, et sa bouche propose une moue arrogante. Véronique invite la première arrivée à entrer dans le ring. Elle grimpe ensuite l’escalier en demandant à l’autre de la suivre. Ensuite elle présente les deux adversaires: "Vous avez peut-être reconnu les deux combattantes qui vont s’affronter. Tout du moins ceux d’entre vous qui suivent les émissions de la WWF sur la chaine cryptée." En se tournant sur sa gauche vers la femme qui est accompagnée du grand noir elle poursuit: "A ma gauche voici Madusa la championne bien connue qui a fait en son temps les beaux jours du Japon. A ma droite voilà Candy Divine championne également bien connue des rings Américains. Ces catcheuses se sont rencontrées à plusieurs reprises et lors de leurs deux derniers affrontements les combats ont été remportés par Candy Divine dans des conditions qui ne répondaient pas aux règles habituellement établies dans ces genres d’affrontements. Madusa m’a sollicitée pour organiser une bagarre au finish afin de les départager une fois pour toutes. Elles ont accépté de se combattre selon les habitudes ici établies, a savoir qu’elles ne comportent aucunes règles de combat. Tous les coups et les prises permis. Le combat revenant à celle qui reçoit l’abandon de l’autre sans autre stipulations. La seule dérogation que j’ai admise est le port des chaussures dont elles sont chaussées." Se tournant vers les deux antagonistes elle leur dit: "Mesdames enlevez vos peignoirs et allez chacune dans votre coin du ring. Lorsque vous serez prêtes je donnerai le signal" Madusa et la Divine se rendent dans l’angle qui leur est dévolu et enlèvent le léger vêtement qui les habille. Elles sont totalement nues sauf pour les chaussures. Leurs pubis sont rasés ou épilés et leurs vulves sont gonflées. Elles sont à peu près de même taille et de même poids. Toutefois Madusa est plus longiline avec une musculature plus sèche et plus marquée. Elle offre aux regards sa volumineuse poitrine ferme aux mamelons déjà en érection. Deux orbes fermes qui ont dû avoir recours à la chirurgie plastique après la violence des combats au Japon. Elle a des cuisses très puissantes sous son ventre plat et ses fesses proéminentes sont étroites comme des fesses de garçon. A l’opposé la belle poitrine de Candy est un peu avachie et les orbes un peu moins volumineux sont ornés de petits tétons au centre de vastes aréoles. Son ventre est un peu bombé, ses cuisses puissantes cachent bien leurs muscles et ses fesses volumineuses n’ont pas la belle fermeté de celles de Madusa! Le "GO!" de Véronique propulse les deux ennemies l’une vers l’autre au centre du ring. Comme dans un combat de catch classique elles tournent un peu l’une autour de l’autre. Jusqu’à ce que Madusa comme elle le fait souvent tend sa main droite paume ouverte et doigts écartés dans une invite à un test de force. Candy lance sa main mais se saisit du poignet. Madusa voit la prise venir et elle tourne son bras pour se saisir également du poignet de Candy. Presque simultanément les deux adversaires, qui sont de profil l’une par rapport à l’autre, lancent leur pied opposé pour frapper le corps de l’autre. Madusa est la plus rapide et elle prend pour cible le visage de Candy. Celle-ci vise le ventre et son pied glisse sous la cuisse de Madusa avant de venir heurter l’intérieur de sa cuisse droite. Ce mouvement perturbe leur équilibre et après avoir titubé sans se lâcher les poignets, Madusa dans sa chute entraine Candy au tapis avec elle. Toutefois elle maitrise sa chute et se retrouve en croix sur la poitrine de Candy. Elle cherche aussitôt à travailler le bras de la Divine, mais celle-ci dans un puissant sursaut de tout son corps la bouscule et elles se retrouvent face à face sur leurs genoux. Madusa qui est dos aux cordes expédie un violent coup de coude à la face de Candy pendant que celle-ci lui envoie un coup de genou sur la vulve, bien appliqué entre les cuisses. Madusa laisse échapper un grognement et prend quelques secondes pour réagir. Il n’en faut pas plus à la Divine pour se relever, saisir Madusa par les cheveux, forcer sa tête en arrière le cou en appui sur la corde du milieu et lui lancer les doigts de sa main droite dans les yeux. Candy lâche Madusa, lui lance un coup de pied brutal dans le bas ventre et s’éloigne pleine de fierté. Dans une rencontre de catch traditionnelle on crierait au chiqué, mais en réalité ici les coups sont portés sans aucune retenue. D’ailleurs la grimace de Madusa qui essuie ses yeux noyés de larmes n’est vraiment pas feinte! Alors qu’elle se relève et se dirige vers le centre du ring, Candy profite de son demi aveuglement pour venir la prendre d’une main par les cheveux et de l’autre par la fourche de ses cuisses. Elle soulève Madusa en puissance et la projette au sol tête la première. Madusa cogne lourdement sur le ring qui vibre sous l’impact. Immédiatement Candy la relève en la tirant par la chevelure. Elle la garde tête basse et lui envoie un violent coup de pied à destination du bas ventre. Madusa tombe à genoux et machinalement amène ses mains devant son sexe meurtri. Elle est mal partie dans ce combat où La Divine semble avoir pris le contrôle de la situation! D’autant plus que comme elle s’assoit sur ses talons, Candy revient vers elle et lui expédie de toute sa puissance son pied droit en plein visage. Et puis un deuxième et alors que Madusa s’écroule sur son côté droit, un troisième vient la choper sur la joue gauche. Les chaussures ont beau être légères et la semelle souple, il n’en faut pas plus pour écorcher la peau de Madusa et lui barbouiller la face de sang qui se mêle à celui qui coule de son nez. Puis Candy se place assise et s’empare de la tête de Madusa entre ses cuisses pour appliquer un ciseau. Elle fait des torsions avec son bassin pour meurtrir le cou de son ennemie. Madusa emet une longue plainte rauque alors la Divine l’abandonne et se relève. Mais Candy Divine semble saisie d’une transe sauvage. Elle se met à marteler la tête et le torse de son adversaire à coups de pieds frappés à plat verticalement. Puis elle tourne Madusa sur le dos et poursuit son martèlement sur les seins fermes et volumineux qui défient les lois de la pesanteur en restant fermement pointés vers le ciel. C’est à pieds joints que Candy saute maintenant sur la poitrine et le visage et le ventre de Madusa qui cherche à se protéger en déplacant ses mains et ses bras devant les cibles successives. La pauvre Madusa est meurtrie de partout. Les ecchymoses les éraflures, les égratignures et déchiquetures marbrent maintenant tout son corps qui progressivement se couvre de sang. Elle se roule en boule sur le côté et parait trop blessée pour retourner au combat. Candy Divine triomphe déjà et commence à exprimer sa satisfaction d’obtenir une si rapide victoire et d’infliger ainsi à sa plus grande ennemie une aussi sanglante défaite. Elle s’accorde une jouisseuse pause. Après avoir malaxé ses seins langoureusement, elle descend ses mains à son sexe. Elle écarte ses cuisses et commence à fouiller dans sa vulve écartant ses lèvres de sa main gauche pour monter les doigts de sa main droite vers son clitoris qu’elle commence impudiquement à masturber. Alors que la Divine dos aux cordes à demi assise sur la corde du milieu se travaille solitairement en gémissant de plaisir, Madusa progressivement refait surface après l’avoir surveillée à travers ses paupières mi-closes. Dans un premier temps elle se remet à plat ventre, elle essuie son visage sanguinolent avec ses mains qu’elle lave sur ses fesses moites de sueur. Lorqu’elle voit La Divine s’avachir dans son plaisir, elle se relève vivement et se précipite sur sa rivale qu’elle se met en devoir de matraquer copieusement, de la tête aux cuisses, avec ses poings, ses coudes, ses pieds et ses genoux. Elle intercale quelques atémis qui sont une de ses spécialités, en prenant pour cible la gorge, les seins et le foie de son ennemie qui prise au dépourvu tarde à se protéger et à réagir. Très rapidement c’est la Divine qui devient un masque sanglant. Mais elle finit par donner des signes de défense. Elle commence à rendre coup pour coup et pendant un moment les deux femmes se livrent à un combat de rue sous forme de pugilat. Les chevelures sont trempées de sueur et de sang que les mains tranportent d’un corps à l’autre. Elles se déplacent peu dans le ring au cours de cet échange. Leurs respirations sont saccadées et elles émettent des cris d’effort partagés avec des grognements de douleur. Ce ne sont plus deux femmes qui s’affrontent. Elles donnent le spectacle de deux animaux sauvages, deux femelles déchainées qui cherchent à détruire l’autre par tous les moyens. Et puis le martèlement se ralentit et les coups paraissent moins forts, moins bien ciblés car la fatigue se fait sentir. Les bras sont moins tendus. Les pieds frappent moins haut. Les corps se rapprochent. Mais elles n’abandonnent pas. Il semble aux spectateurs que Candy Divine perde quelque peu de sa lucidité. Certains de ses coups sont totalement dans le vide, alors que Madusa prend le temps de faire des esquives pour frapper plus efficacement et plus méchamment. Il semble que Candy va chercher un abri dans un tenu. Madusa la laisse s’offrir alors elle la saisit à bras le corps et la projette au sol avec un ahanement d’effort prodigieux. Elle a chuté lourdement sur le dos mais Madusa n’en reste pas là. La saisissant par les cheveux elle la relève. Alors qu’elle est pliée bras ballant vers le tapis, Madusa se couche sur son dos en tête bêche. Elle la ceinture à l’envers et la soulève. Candy Divine se trouve tête en bas en positiopn de subir un coup de marteau pilon, ce que Madusa assure parfaitement. Madusa qui répète ainsi plusieurs fois ce même mouvement sans que la Divine ne puisse réagir. Cette répétition de projection les amène près des cordes. Lors du dernier choc, Madusa place Candy en position assise. Elle la tient ainsi par les cheveux se positionne derrière elle et s’assoit sur ses épaules. De sa main gauche elle se cramponne à la corde supérieure et forçant de son poids sur la nuque de la Divine avec ses pieds qui posent au sol elle écarte les cuisses de son ennemie de façon à mettre son entre jambe à la portée de ses talons.Avec sa main droite elle tient le bras droit de Candy. Madusa sans aucun complexe du talon de sa chaussure droite martèle à coups violents et répétés la vulve et les chairs béantes de La Divine qui rapidement suintent de sang. "Tu te souviens salope du jour où tu m’as blessée alors que l’arbitre faisait semblant de ne rien voir! Ce jour moi je ne me cache pas! Je veux que tu pisses le sang deux fois plus que moi!" Madusa aurait cogné ainsi sans dicontinuer jusqu’à épuisement mais Candy dans un réflexe de survie se met à gigoter en tous sens. Madusa est déséquilibrée alors elle abandonne son assaut. Une fois libérée Candy se roule en boule avec ses mains en conque sur son sexe meurtri. C’est alors au tour de Madusa de sauter sur elle pour l’écraser et la briser à pieds joints. Est-ce la fatigue? Madusa abandonne son martèlement. Elle se baisse vers son ennemie. Elle s’emparre de ses ses chevilles et la traine vers le centre du ring. Allongée sur le dos La Divine la regarde en se demandant à quelle sauce elle va maintenant être mangée. Elle a une main sur son sexe et l’autre devant ses seins. Mais Madusa à une autre cible à l’esprit. Elle se met à, cheval sur la poitrine de Candy en bloquant ses deux bras le long de son corps avec ses cuisses. "Souviens-toi de ce combat où l’arbitre t’avait déclarée vainqueur. Alors que tu t’es mises ainsi à me griffer le visage. Il a fallu que des lutteurs viennent t’arracher pour que tu me laisses! Aujourd’hui pas de lutteurs pour te défendre sale putain de garce! Prends-çà!" Madusa se met à griffer le visage de son ennemie en le marquant partout de la marque de ses ongles! Puis elle s’attaque aux seins qu’elle griffe pince, broie et tord en tous sens. Candy secoue sa tête de tous côtés et agite son corps comme un serpent pris dans un lasso. Elle finit par arriver à déloger son adversaire en mettant toute la force qui lui reste dans cette parade. "Tu en as eu assez?...Alors changeons un peu!...Je vois que tu as encore envie de te battre alors allons-y!" Madusa se relève et prend les mains de Candy qu’elle aide à se relever. Puis elle tend ses deux mains paumes ouvertes: "Allez! En force on recommence tout!" Cette fois Candy prend les mains offertes et les bras se tendent horizontalement, les poitrines viennent en contact, les jambes et les pieds s’arcbouttent pendant que les deux lutteuses commencent à pousser en cherchant à forcer l’autre à plier. Les faces sanglantes expriment une volonté farouche. Peuvent-elles ainsi repartir à zéro après toutes les violences déjà subies? C’est Candy qui marque les premiers signes de faiblesse. Elle recule ses pieds et appui d’avantage son torse sur celui de Madusa. Progressivement elle plie, baisse les bras sous la pression et d’un seul coup tombe à genoux devant sa rivale. Madusa grogne de satisfaction et profite de la situation pour porter à répétition des coups de genoux dans les seins de la Divine. Candy gémit de douleur, mais elle ne reste pas sans réaction, elle se recule légèrement et envoie un violent coup de front dans le pubis de Madusa. Et elle répète cet assaut à plusieurs reprise jusqu’au moment où Madusa sous la douleur est obligée de lâcher sa prise. Madusa se recule en caressant de ses deux mains sa vulve endolorie pour soulager la souffrance de son clitoris. Candy en profite pour se remettre debout et elle vient se saisir de la chevelure de son ennemie qu’elle entraine dans les cordes. Elle traverse le barrage symbolique sans lâcher les cheveux et une fois passée sur le rebord du ring elle écrase le cou de Madusa sur la corde avec toute sa puissance. Elle se laisse descendre à genoux pour accroître la pression et l’étouffement. Madusa se saisit de la corde et tractionne avec ses bras pour soulager l’écrasement de son cou. Candy se relève. Elle tire vers l’extérieur le buste de Madusa et alors la repousse violemment vers le centre du ring où elle vient s’étaler sur le dos. La Divine retraverse en un éclair le barrage des cordes pour se précipiter sur son adversaire. Mais Madusa s’est préparée à cet assaut et ayant replié ses jambes sur sa poitrine elle reçoit Candy avec la semelle de ses chaussures et elle accompagne le plongé de la Divine en la soulevant pour la projeter par dessus elle. Candy atterrit à plat ventre et tout de suite se met à quatre pattes pour se relever. Seulement Madusa avec la vivacité d’un serpent est dèjà sur son dos à cheval et enfaisant un ciseau à la ceinture elle empoigne la chevelure de la Divine pour ensuite la prendre par devant son cou. En puissance ce qui témoigne d’une force stupéfiante, Candy se met debout et en se reculant vient écraser Madusa de dos contre un angle du ring ce qui fait lâcher les prises. Madusa repousse Candy et simultanément s’empare de son bras droit ce qui lui donne un levier pour la faire pivoter et la projeter brutalement contre le même angle. Madusa qui tient toujours le bras s’en sert à nouveau pour faire pivoter son adversaire dans les cordes plus vers le centre et sur le rebond elle l’écrase face au sol pour renouveler sa prise ciseau et étranglement. Les corps sont glissants de sueur et elle ne parvient pas à retenir la Divine qui glisse sur le côté. Tenant toujours le bras droit de son adversaire qui passe sur le dos, Madusa applique ses pieds sur Candy. Sa chaussure gauche est en appui sur le côté droit du cou et la droite est bloquée dans le creux de l’aiselle. Et Madusa se lance dans un étirement avec torsion du bras. Elle tire par saccades. Elle vrille en même temps. Il faut peu de temps avant que la Divine émette des cris de souffrance. Mais Madusa est ici pour celà "faire souffrir son ennemie" et obtenir sa rédition. Candy bat des jambes, fait des sursauts de son bassin en s’aidant de son bras gauche mais rien n’y fait elle est totalement bloquée et ne peut pas se dégager. Madusa met toute sa puissance dans cette action. Elle est presque allongée dos au sol pour avoir plus d’effet d’élongation sur le bras. Puis il y a comme une sorte de claquement et Candy pousse un hurlement qui pétrifie les spectateurs. Madusa lentement relâche sa prise et ses pressions. Elle libère Candy Divine et se relève. Puis elle vient se pencher sur son adversaire. Et elle est toute hébètée de prendre un violent crochet du gauche sur son pubis ou plutôt sur la vulve! Elle se recule un peu en se déplacant sur le côté. Elle ne se rend pas compte qu’elle se met à bonne portée des pieds de Candy, qui dès qu’elle se voit en bonne posture lui envoie un formidable coup de pied dans la chatte. Le cri de douleur émis par Madusa est la preuve du succès de Candy dans son attaque. Madusa pétrifiée s’agenouille en portant ses mains en conque sur son sexe endolori. Candy de son côté tente de se relever. Mais elle aussi émet un cri de douleur. Son bras droit semble disloqué et tout bancal en pendant sans vie de son épaule. Candy reste assise en cherchant à soulager le poids de son bras droit avec sa main gauche. Madusa qui est à genoux devant elle se met en colère: "Tu n’en as pas eu assez éspèce de garce! Eh bien je continue à te travailler. Après le bras ce sont les jambes!" Madusa s’assoie devant Candy et se met en devoir d’enlacer leurs jambes en
complet. Elle procède soigneusement et méticuleusement. A plusieurs reprises devant l’immobilité de son ennemie elle se dandine sur ses fesses pour s’approcher et bien assurer le noeud de leurs jambes. Elle est tellement attentive à son travail qu’à un moment elle approche sa tête si près de la Divine que celle-ci ne peut pas résister à la tentation de lui lancer un crochet du gauche en plein sur le nez qui se remet à saigner. Candy pousse un cri en réalisant cet assaut car le mouvement de son torse à engendré une décharge de souffrance dans son épaule droite qui s’est transmise à tout son corps. Une fois sa prise montée Madusa force sur les genoux et se cambre pour malmener les jambes de son adversaire. Seulement Candy qui a laissé faire joint ses efforts à ceux de Madusa. Elle aussi s’arque en arrière. Elle laisse son bras droit reposer son poids sur le tapis du ring et de sa main gauche elle pousse sur les cuisses et le pied qui dépasse du noeud pour faire souffrir Madusa. C’est fantastique de voir les efforts déployés par les deux lutteuses dans cet assaut. Leurs corps vibrent et tremblent sous la concentration. La sueur ruisselle de leurs corps brûlants de puissance. Elles grognent leur violence et gémissent leur souffrance. Les têtes commencent à dodeliner. Les épaules aux muscles tétanisés trépident. Les deux ennemies semblent être arrivées à l’extrême limite de leurs forces. C’est même émouvant de les voir toutes les deux parvenues à ce moment fatidique où l’esprit ne répond plus au désir de continuer. Là où la volonté de gagner coûte que coûte s’effrite devant la fatigue qui génère l’impossibilité d’aller plus loin! Simultanément, chacune criant de douleur et d’amertume elles se laissent aller et abandonnent toute vélleïté d’aller plus loin. Les spectateurs silencieux devant un tel événement restent interdits pendant un moment. Personne ne bouge. Les combattantes paraissent inconscientes. Le temps semble sêtre arrêté! Madusa est la première à bouger. Ce sont ses bras d’abord. Elle ramène ses coudes.pour prendre appui et puis elle se met à gémir douloureusement. Puis elle appelle au secours. "Help me please! For God Help me!" Alors c’est la ruée sur le ring de cinq ou six personnes vêtues de blanc. Le plus ancien donne des ordres à mi-voix. A côté de chaque lutteuse deux hommes prennent place et positionnent leurs mains les uns sous les épaules, les autres sous les fesses. Deux femmes en blanc sont venues rejoindre le groupe et se placent face à face à hauteur des pieds enlacés. La manoeuvre va consister à soutenir les corps pour soulager les jambes et procéder doucement à leur dénouage. Madusa pleure en gémissant mais Candy Divine semble avoir perdu connaissance. Le travail d’assistance commence et en regardant l’intervention Axine pour la première fois ramène son intérêt à autre chose que le combat qui l’a tellement absorbée que pour une fois elle a été totalement inattentive à son environnement. Elle remarque juste en face d’elle le noir vêtu de blanc qui soulève les fesses de Madusa très attentionné par les conseils de l’homme âgé et l’action parallèle des trois autres personnages. Est-il si attentionné?...Axine distingue parfaitement le dessein de son pénis gonflé et tendu dans le tissu blanc. Comme elle allonge son buste sur le rebord du ring pour mieux voir elle est assaillie par les effluves qui émanent du couple de lutteuses. Des odeurs qu’elle connait très bien et qu’elle adore renifler! C’est le mélange de la sueur, du sang, des peaux échauffées de ce qui reste des parfums personnels et arôme du combat par lui même! Alors elle se met à la place du noir dont les narines épatées sont en train de se gorger d’un tel mélange. Qui plus est, qui a sous les yeux les corps féminins ornés de toutes les marques et traces des coups reçus. Avec le sang les égratignures et autres blessures. Et d’avantage encore qui a dans les mains les fesses charnues et musclées de la splendide catcheuse! Comment pourrait-il dans de telles conditions ne pas réagir sexuellement à de si grandes beautés! Candy a repris conscience et maintenant elle aussi elle accompagne de cris de douleur le travail des "dépanneurs"! D’autant plus que son épaule luxée, déboitée ou voir cassée n’arrange pas les choses. Finalement les deux femmes se trouvent séparées et maintenant qu’elles sont allongées sur le dos l’homme âgé qui est certainement un médecin ou un chirurgien, pratique un rapide examen des deux adversaires. Madusa se met à invectiver les uns et les autres. Une des femmes en blanc se charge de la raisonner. Alors à la surprise générale elle rampe vers La Divine et se met à lui appliquer des atémis sur le visage, sur le cou et sur les seins, la faisant crier de douleur. Mais la petite troupe en blanc intervient pour la faire arrêter. Des brancards ont été apportés et Charles avec l’aide d’un homme détache le filet de protection qu’il y a entre la corde du bas et le tapis du ring pour faciliter la sortie des blessées. Une fois que les deux ennemies sont évacuées vers un centre adapté aux soins qu’elles nécessitent, une grande partie des spectateurs part avec elles. Parmi les quelques personnes qui restent il y a entre autres N’gaa et le noir qui a aidé à l’évacuation. Ces deux hommes se mettent à copiner et engagent la conversation. "Tu vas devoir te passer de ta belle blonde ce soir mon frère! Elle n’est pas en état de subir les assauts de ta bite!" "Tu me dis çà mon frère parce que tu veux en tâter?" "Elle semble tellement fantastique que j’aimerais assez!" "Je serais OK à condition que tu la mérite, mon frère!" "En faisant quoi alors?" "Eh bien que l’on fasse un match à qui perd gagne. On essaie de faire jouir l’autre et le premier qui jouit il a perdu! OK?" "D’accord et on fait çà où?" "Dans le ring bien sur et tout de suite devant ceux qui veulent jouer les arbitres ou les voyeurs!" En un instant N’gaa le Nubien et Fabien le Sénégalais sont dans les cordes et se déshabillent. Ce sont deux splendides athlètes et si Fabien est un peu plus petit et moins musclé il n’a rien à envier à de nombreux champions. Leurs peaux noires sont presque de même couleur, celle de N’gaa étant un peu plus foncée et brillante. Tout de suite ils se précipitent l’un sur l’autre et se retrouvent saisis symétriquement dans une ceinture avant. Leurs sexes en érection, gonflés et raidis à mort se trouvent coincés entre leurs ventres. Ils s’agitent en roulant des hanches mais leur excitation est telle qu’ils doivent rompre cette friction sous peine d’une précoce éjaculation. Ils se séparent et N’gaa se saisit aussitôt de Fabien dans une clè de tête de côté. Il présente à tous les regards son pénis flamboyant d’un noir mélangé de rouge sombre. Une bitte fantastique de beauté et de puissance latente! Du sexe de Fabien on n’aperçoit que le gland rougeatre qui émerge sur le côté de la cuisse de son adversaire. "Axine! Excuse-moi de te déranger, mais il y a Pétra qui te demande au téléphone et çà a l’air d’être urgent" "Merci Véronique, j’y vais, mais tu me raconteras la suite de ce combat très spécial!" violente@net-up.com