L’ascenseur Un voyage en ascenseur avec une femme puissante et sans pitié, change la vie d’un homme. Rick était fatigué. Il venait de passer huit heures avec un client potentiel et la seule chose qu’il désirait, était se coucher. Dans le taxi, il pensait à la fulgurante ascension sociale qu’il avait connue. Il avait monté sa société qu’il s’apprêtait à vendre pour 20 millions de $. Il arrivait à l’hôtel, un bon dîner lui ferait du bien. Il mesurait 1m80 et pesait 75 kilos. Il était plutôt beau gosse, et il passait chaque week-end avec des femmes ravissantes et soumises. Il sourit, sa vie était une réussite. Le chasseur de l’hôtel ouvrit la portière du taxi, il donna un pourboire royal. Il traversa le hall et s’arrêta devant les ascenseurs, espérant se trouver seul dans l’un d’eux pour rejoindre le plus vite possible sa chambre au soixante-dixième étage. Il se trouva seul dans une cabine, la porte se refermait. Une main la bloqua. Il était désappointé par ce contre temps, jusqu’à ce qu’il vit son visage. Elle était ravissante, grande, très grande, cheveux bruns, bouclés, les traits du visage étaient parfaits. Il y regarda à deux fois. Elle était plus grande que lui, ses talons accentuaient encore cette différence. Il n’avait jamais fait l’amour avec une femme plus grande que lui, probablement parce qu’habituellement il aimait contrôler totalement ses relations avec les femmes. Elle lui jeta un regard glacial en entrant dans l’ascenseur, appuyant sur le bouton du soixante-dixième étage, la porte se referma. Il regardait son corps, elle était habillée d’un tailleur strict de femme d’affaire. Son corps semblait fantastique, à l’étroit dans ses habits. En effet, ses épaules étaient larges, sa taille était mince, ses mollets étaient gonflés par les muscles comme ces body-buildeuses qu’il pouvait voir à la télé. Il pensait qu’elle était certainement une bonne affaire. Lorsqu’il leva ses yeux pour regarder le visage de la femme, elle le fixa intensément, yeux dans les yeux. Elle posa un doigt sur sa poitrine et le poussa sans effort contre la paroi. -Je n’ai pas apprécié que vous laissiez la porte se refermer sans m’attendre, comme un macho. Elle poussait encore la poitrine de Rick, quelque instant, puis se détourna comme si rien ne s ‘était passé. Rick était choqué, elle l’avait plaqué contre la paroi, comme s’il n’avait rien pesé. Il était vexé et nerveux. -Désolé, baby. Elle retourna sa tête et lui fit à nouveau face, elle posait sa main sur son menton et le serrait. Sa main immense recouvrait une grande partie de son visage. Elle tira le visage vers le haut et tous le corps de Rick se souleva, il se retrouva sur la pointe des pieds. -Je ne veux plus entendre un son sortir de ta bouche. Elle relâcha le menton de Rick et se retourna, à nouveau comme s’il ne s’était rien passé. Rick se frotta le visage et dit : -Désolé. Aussitôt il entendit -Mais pourquoi les mâles sont-ils aussi stupides ? La femme appuya sur le bouton stop de l’ascenseur et bloqua la cabine. Rick s’avança pour faire redémarrer l’ascenseur en disant : -Mais que diable faites-vous ? Elle lui saisit le bras et brutalement le tordit dans son dos, le poussant tête la première dans le mur. Il gémit et tentait vainement de se dégager de sa fâcheuse posture. -Arrêtez-vous… Elle allongea son bras et saisit ses parties intimes qu’elle écrasât. Elle ne serrait pas très fortement mais il sentait la douleur l’envahir. Il commença à respirer fortement, la peur l’envahissait. Elle lui parla directement à l’oreille. -Maintenant que j’ai tout ton attention, je dois te dire que tu as manqué à tous tes devoirs de gentleman, parce que tu n’as pas tenu la porte à une femme belle, sexy. Elle donna un coup de langue sur l’oreille de Rick et continua : -Et bien sur, tu as failli en temps qu’homme parce qu’une femme sexy comme moi peux te maltraiter facilement contre ton gré. Tu n'as pas à parler en présence d’un être supérieur et tu n’as pas le droit de te tenir debout devant moi. Je veux que tu t’agenouilles devant moi jusqu’à ce qu’on arrive. Elle relâcha sa prise sur le sexe de Rick ; Elle posa ses mains sur ses épaules, et appuyât pour le forcer à se soumettre. Il tentait de résister, mais la puissance qu’elle exerçait sur lui, le forçait à plier les genoux, il tomba sur le sol. Elle caressât sa tête et dit : -Gentil garçon. Rick était mortifié, il n’avait jamais était confronté à une femme dominante. Certes il aimait admirer les body-buildeuses, et il aimait regarder les muscles de ses conquêtes, mais pour lui les femmes devaient en toutes circonstances succomber à sa virilité. Là, tout était différent, la facilité avec laquelle elle l ‘avait forcé à s’agenouiller malgré ses efforts, la façon dont elle lui avait tordu son bras si facilement, la façon dont elle l’avait plaqué contre le mur de l’ascenseur. Sa fierté de mâle se demandait s’il ne surestimait pas la force de la femme, il était cependant effrayé à l’idée de lui parler ou de l’affronter à nouveau. Ainsi, il se tenait devant elle, agenouillé, fuyant son regard pour ne pas avoir à se rappeler constamment qu’elle le dominait totalement. Elle fit redémarrer l’ascenseur qui reprit sa lente course vers le soixante-dixième étage. La secousse du démarrage le fit partir en avant, mais elle le retint par les cheveux, l’empêchant de tomber. Rick se tenait docile tandis que l’ascenseur avançait. Après une dizaine d’étage, elle vint se placer devant Rick. Il regarda vers le haut, vers l’arrogante poitrine et le magnifique visage, il était hypnotisé. Elle le saisit par les cheveux, releva sa jupe et plongea son visage entre ses cuisses, le posant sur sa chatte, et rabaissa sa jupe, par-dessus la tête de l’homme prisonnier. Tout en maintenant la tête fermement sur elle, elle frottait le visage tout contre son sexe et dit à Rick : -Utilise ta petite langue, si tu sais t’en servir ; Un rapide serrage de ses cuisses musclées suffirent pour qu’il obéisse immédiatement. L’ascenseur poursuivait sa course lente tandis qu’il la lutinait, à moitié de peur, à moitié car elle était irrésistiblement sexy. Elle commença à haleter et gémit, puis cria. L’ascenseur ralenti, Rick espérait pouvoir sortir de sa prison avant l’ouverture de la porte, mais elle ne le relâchait pas et elle jouit tandis que les portes s’ouvraient. Son jus intime sentait si bon et coulait sur le visage de Rick. Elle le relâcha et il tomba sur le sol. Elle se retourna pour sortir et vit un homme qui les regardait bouche bée. Elle sortit de la cabine et vint se figer droite devant l’homme plus petit qu’elle, d’une bonne tête. Elle lui dit : -As-tu aimé ? Il hocha la tête. Elle saisit l’entrejambe de l’homme et se retourna vers Rick. -Tu vois, tu n’es pas seul, maintenant rampes vers moi. Rick se mit à quatre pattes et lui obéit, puis elle tira sur le sexe de l’homme qu’elle envoya valser contre le mur de la cabine d’ascenseur. L’homme s’affaissa dans un bruit sourd. Elle avait saisit dans son sac à main une carte plastifiée. -Je suis chambre 7012. Si tu n’y es pas dans vingt minutes, tant pis pour toi ; Elle se dirigea vers sa chambre, Rick la suivant à quatre pattes. Lorsqu’elle disparut dans sa chambre, il se redressa et partit vers sa chambre, son esprit était brouillé. Pendant les dix minutes suivantes, il restait assis sur son lit considérant les différentes options s’offrant à lui. Il était irrésistiblement attiré par cette super woman. Son corps merveilleux et son attitude pour le moins étrange l’excitait au plus au point. Il n’avait jamais rencontré de femme plus forte que lui et il se demandait si son psychisme pouvait le supporter. L’idée était tentante de se rendre chez cette femme. Il se sentait attiré comme si une laisse invisible le reliait à elle, et elle tirait sur la laisse, l’amenant inexorablement vers sa déchéance. Rick se dirigea lentement mais résolument vers la chambre 7012. Il s’arrêta devant la porte se demandant ce qu’il pourrait lui dire. Il ne connaissait même pas son prénom. Devait-il dire, bonjour ou hello baby ? Ou devait-il entrer dans la chambre et lui montrer qui était le sexe dominant ? Se souvenant qu’elle lui avait dit dans l’ascenseur de ne plus parler, de se mettre à genoux, il fut apeuré à l’idée qu’elle ne le trouve pas ainsi qu’elle le désirait. Il se mit à quatre pattes, tapa à la porte et attendit qu’elle apparaisse. Il entendit l’ascenseur s’arrêter, le même petit homme sortit, vint dans sa direction et s’arrêta, regardant la scène. La porte s’ouvrit, doucement. L’attention de Rick fut prise par la vision des jambes nues qui se tenaient face à lui. Elles étaient fermes, interminables, les muscles bien dessinés, les mollets jaillissaient. Ses yeux poursuivaient leur chemin, découvrant le petit string qui cachait à peine le sexe qu’il avait honoré tout à l’heure. Les abdominaux étaient tendus et étaient à l’évidence durs comme du béton. Sa poitrine, si ferme, si parfaite et vêtu (si l’on peut dire) d’un micro soutien-gorge. Chaque morceau de cuir couvrait à peine les mamelons. Ses épaules étaient larges, rondes, puissantes et ses bras étaient les plus larges qu’il n'ait jamais vu chez une femme. Mais ils étaient jolis, harmonieux. Rick avait envie de se sentir pris dans l’étau des bras de cette femme qui le fascinait. Avant qu’il n’ait pu remonter vers le visage, elle avançât vers lui, et en franchissant le pas de la porte, elle aperçut le petit homme qui les observait. Elle se tourna vers lui, plia son bras et lui dit tout en agitant, impérieuse, sa main : -Dégage, minable petite merde. Il se retourna et obéit sans broncher, regagna sa chambre et disparu. La femme se pencha et caressa la tête de Rick. -Je savais que tu viendrais, tu es un faible. Elle entoura son bras autour de la taille de Rick, et se redressa, le soulevant avec elle. Elle marchait vers la chambre, Rick sous son bras droit et referma la porte de sa main gauche. Elle marcha jusqu’au lit comme si elle portait un livre ou un oreiller, elle s’assied au bout du lit. Elle plaça Rick sur ses genoux, dont les jambes pendaient dans le vide. Elle posa un doigt sous le menton de Rick le forçant à la regarder dans les yeux. Elle le fixa quelques secondes, il ne put soutenir plus longuement ce regard dominateur, servilement il baissa ses yeux. -Veux-tu connaître mon nom, mauviette ? Rick était trop effrayé pour parler. Il cligna simplement des yeux. -Bien, je ne vais pas te le dire, mais tu devras m’appeler Maître, pas Maîtresse, pas Madame, Maître. Ne me désobéit pas, jamais. Compris ? Rick parla -Oui, Maître. Elle l’embrassa sur le front. -Le son de ta voix est plus joli lorsque tu ne dis pas des idioties. Rick rougit à ce commentaire. -Et tu es si mignon lorsque tu rougis ! Elle prit deux grands bouts de corde dans son sac et dit : -Maintenant je dois sortir pour trouver un homme un vrai, grand fort, viril. Tu va m’attendre sagement ici. -Oui, Maître. -Bien, et maintenant ne bouges plus. Elle souleva Rick et le déshabilla sans même qu’il ne touche le sol. La force qu’elle déployait, était stupéfiante. Lorsque Rick fut tout nu, elle prit l’une des cordes et lia les mains de Rick, puis les souleva par-dessus sa tête. Elle sortit un marteau de son sac et un énorme clou qu’elle enfonça dans le mur en deux coups seulement ! Elle accrocha la corde de façon à ce que Rick se retrouve sur la pointe des pieds, bras tendus. Elle prit deux autres clous qu’elle enfonça directement à travers la corde, de chaque coté du premier clou, afin qu’il ne puisse se détacher tout seul. -Confortable ? -Non, Maître. Cela me fait mal. -Dommage, j’ai à peine commencé. Elle rigola en pensant à ce qui l’attendait. Elle prit l’autre corde et commença à frotter le bout sur le sexe de Rick qui devint rapidement dur. Le contact de la corde et la peau de la femme qui touchait par moment son ventre lui faisaient oublier sa situation, et sans fierté, il bandait comme elle l’avait décidé. Elle attacha le bout de la corde à la hampe du pénis et s’assura que la corde était bien serrée. Rick grimaçait de la douleur provoquée par la compression de son sexe. Ensuite, elle prit l’autre bout de la corde et la tira à travers la pièce jusqu’à la porte ouverte de la salle de bain. Elle attacha la corde à la poignée de la porte. Le corps de Rick était tiré vers l’avant, en direction de la porte, sa position était plus qu’inconfortable. Son sexe pointait vers l’avant, prisonnier de la corde et de son désir. Elle revint vers lui et dit : -Est-ce que la lumière de la salle de bain te gêne ? Sinon, je peux fermer la porte. -NON, MAITRE. Rick pouvait à peine imaginer que son pénis se déchirerait immédiatement si elle mettait sa menace à exécution. -Bien, alors sois sage pendant mon absence et nous passerons un agréable moment à mon retour. Elle l’embrassa sur la bouche, (sur la pointe des pieds il n’était pas aussi grand qu’elle). Elle enfila une robe noire moulante et partit. Rick ne savait pas combien de temps il allait se trouver dans cette situation, peut-être quelques minutes, peut-être quelques heures, mais il savait que cela lui semblerait une éternité. Il ne pouvait essayer de décrocher ses bras car chaque tentative lui causait une douleur intense à son pénis. Il se figurait qu’il débanderait facilement, libérant ainsi la corde, mais la seule pensée du corps de la femme et de sa sexualité totale, ne pouvait quitter son esprit et l’excitait en permanence. Il resta donc suspendu ainsi pendant toute l’absence de la femme. Finalement elle revint avec un homme grand, immense. Rick était horrifié à l’idée qu’un autre homme puisse le voir dans cette position. L’étranger était stupéfié de voir Rick ligoté ainsi. -Que lui arrive-t-il, qui lui a fait cela ? Dit l’homme qui s’avança vers Rick. -Moi, je voulais montrais à cet esclave combien j’étais forte. Tu vas le voir par toi- même. D’un mouvement rapide, elle attrapa l’homme, le serra entre ses bras et le souleva du sol. Il cria de douleur et commença à la supplier de le laisser partir, mais la douleur s’intensifiait et l’empêcha de continuer de crier. Elle le balança d’un coté à l’autre, comme une poupée de chiffon, pendant près de deux minutes, malgré les 90 kilos de l’homme. Il devint mou, sans résistance, elle le jeta alors au sol. Il restait immobile, visage vers la femme, inconscient ; Rick eut deux réactions, il fut totalement effrayé mais également totalement excité de voir l’homme ainsi humilié par une femme. Les muscles de la femme respiraient la vie, ils étaient sexys luisant de sueur. Sa verge était plus dure qu’elle ne l’avait jamais été. Avec l’homme inconscient à ses pieds, elle saisit Rick d’une main par les couilles et enleva la corde du pénis. Ensuite elle le détacha du mur. Rick était content d’être libre, mais il savait que cette liberté était relative. Avec une force herculéenne, elle le projeta à travers la pièce, il heurta le mur et retomba sur le lit. Groggy par l’impact, il n’eut pas le temps de réagir, la main de la femme venait de le saisir sous les aisselles et elle le souleva, le déposant sur son épaule. Ses fesses étaient totalement exposées et cela n’était pas passer inaperçu aux yeux de l’impitoyable maîtresse. Elle frappa les fesses de Rick avec violence de sa main libre, il cria. Elle lui parla d’une voix sévère : -Tu viens de voir comment j’ai dominé facilement cet homme plus grand, plus lourd, plus fort que toi, et cela te plait. N’est-ce pas ? N’est-ce pas ? Je suis sûre que lorsque tu m’as vu la première fois dans l’ascenseur, tu n’aurais jamais imaginé être dans cette position de soumission. Est-ce juste ? Tu pensais certainement que tu pourrais me sauter. Cela n’arrivera pas, jamais. Ma façon à moi, c’est, tu obéis immédiatement à la lettre à mes ordres ou tu es puni. C’est très simple. Je vais te descendre, et je veux te voir à genoux près du lit sans bouger. Elle le descendit de son épaule et il s’agenouilla aussitôt, ses mains posées sur ses cuisses. Elle caressa sa tête, et commença à enlever ses vêtements, lentement, sensuellement, jusqu’à être complètement nue devant lui. Son corps était plus beau qu’il ne l’avait imaginé. Les muscles luisaient de l’effort fourni pour dominer les deux mâles. Sa poitrine était si parfaite, si arrogante, qu’il rêvait de l’embrasser, de la lécher. Ses bras étaient gonflés et il aurait voulu s’y blottir comme un enfant, réconforté par eux, protégé par eux, par elle. Il bougea devant les jambes parfaites qu’il voulait embrasser, mais elle le retint par la seule force de sa main droite. -J’ai dit ne bouges pas, dit-elle sèchement, ne désobéit plus ! Rick se remit à genoux et resta silencieux alors qu’elle s’approchait de l’homme à terre ; Elle se pencha et attrapa son short qu’elle enleva pour exposer la virilité de l’homme brisé à sa vue. Elle s’empara de la verge molle et la regarda un moment, elle allongea son bras pour s’emparer de la verge de Rick. Elle palpa les deux sexes, les comparant. Elle regarda en direction de Rick, et lui dit des mots blessants. -Ton sexe n’est pas assez gros pour me satisfaire, esclave. Rick fut choqué, jamais aucune femme ne lui avait fait ce reproche. S’il n’était pas dans cette situation, avec sa verge prisonnière dans cette jolie main, il aurait rigolé ou se serait fâché. Au lieu de cela, il commença à crier, doucement, franchement et il enroula son bras autour du bras musclé qui tenait son sexe. Embrassant la peau du bras de sa tortionnaire, il pouvait sentir la rudesse de ses muscles et il lui cria : -S’il vous plait, Maître, laissez moi vous plaire. Je sais que je peux vous rendre heureuse. Laissez moi vous pénétrer. Sa voix se faisait plus forte et il serrait plus fortement le bras. Libérant le pénis de l’homme inconscient, elle repoussa Rick de son bras et lui dit : -Si tu faillis, je te punis. Et tu réalises qu’avec ma force supérieure, je peux te tuer. Tu le sais. C’est une chance que tu veux courir ? -Oui, Maître. -Très bien, alors je vais prendre du plaisir avec toi. Elle le poussa au sol et lui ordonna de se tenir tranquille. Puis elle retira les vêtements de l’autre homme. Rick était épaté que cette femme ait défait aussi facilement cet homme musclé. Portant le corps, elle le souleva et le posa sur le lit. L’homme restait toujours sans mouvement, encore détruit par la branlée qu’elle lui avait infligé auparavant. Elle prit les cordes et attacha les bras et les jambes de l’homme aux pieds du lit. Rick était certain que l’homme ainsi ficelé, ne pourrait plus bouger, si par hasard il se réveillait. Elle monta sur l’homme et commença à astiquer le pénis qui ne réagissait pas. Elle se tourna vers son visage pour le réveiller, sans plus de succès. Assise sur son torse elle gifla et frappa le visage et au bout de trente secondes, il se réveilla enfin, l’implorant d’arrêter. Elle s’empara de son pénis et de ses couilles, les caressa tout en lui parlant. -Je sais que tu me désires, toi l’homme si fort et costaud. Tu me veux depuis que je t’ai soulevé du sol dans une prise irrésistible. Ta dernière pensée avant de sombrer, a été pour mon corps. Et maintenant tu te réveilles, je suis assise sur toi, contrôlant totalement ton destin, tenant ta queue entre mes doigts. Tu me désires, n’est-ce pas ? La queue de l’homme grossissait, Rick la voyait, elle était immense. -Bandes, montres moi ce que tu peux faire. L’homme ne pouvait résister et sa queue malgré la situation avait une consistance impressionnante. Alors la femme se leva et vint prendre Rick dans ses bras comme un enfant. Elle avait saisit le sexe de Rick qui lui aussi avait repris toute sa vigueur, il la désirait tant. Elle commença alors à descendre Rick vers le corps immobile de l’homme. Rick paniqua, devinant ce qui allait lui arriver. -Noooon ! Il sentit le dard de l’homme au bas de son dos, la femme l’écrasa dans ses bras et Rick cessa de se plaindre, comprenant que toute résistance était vaine. Elle fit glisser Rick sur l’énorme verge. Elle coucha Rick ainsi empalé sur l’homme, visage vers le haut, la verge dressée en offrande ; Elle grimpa sur Rick et s’empala sur la queue offerte. Elle pompait en rythme, le sexe de Rick, elle saisit les mains de Rick pour les placer sur sa poitrine. Il les caressa et les massa, plaçant toute son attention à remplir du mieux possible sa mission. Tandis qu’il s’activait, elle contractait ses muscles vaginaux qui serraient fortement la verge de Rick. A chaque va et vient le corps de Rick se soulevait et descendait avec elle. L’homme immobile était donc indirectement pompé. Sa queue allait et venait dans l’anus de Rick. Tous les trois gémissaient de plaisir, et tous les trois jouirent simultanément. L’homme du dessous dans Rick, Rick dans la femme dominante, et la femme dominante sur Rick. C’était l’expérience la plus incroyable de la vie de Rick. La femme s’enleva de la verge encore rigide. Elle attacha solidement Rick à l’homme immobile. Puis elle ramassa ses affaires et s’habilla. Avant de partir elle regarda Rick immobile toujours empalé, et dit avec un sourire carnassier : -La prochaine fois, tiens la porte à une femme. Traduction : elricnec@aol.com