Un groupe de six filles décide de faire comprendre à l’homme qu’il est inférieur en combat et sexuellement contre les filles. Elles sont décidées à prouver leurs supériorités physiques, techniques, sexuelle et vicieuse. Elles veulent surtout démontrer aux hommes que l’objet qu’ils ont entre les jambes, peut être contrôlé facilement par les filles pour mettre un terme aux spéculations stupide des mâles qui estiment être le sexe fort. Mais les hommes vont vite comprendre que leurs théories ne tien pas le coup, quand ils vont devoir combattre pour leurs monarchies de mâles avec ces superbes jeunes poupées trop bien entraînées pour combattre le mâle.
Sandra 17 ans le chef du groupe, experte en arts martiaux, vicieuse comme personne et connais sur le bout des doigts les faiblesses des hommes. Elle est très grande et très belle, une poitrine mortelle, et de très longs cheveux noirs qui lui arrivait jusque sous les fesses. Sandra allait entraîner ces jeunes filles en combat sans armes ou presque, car la femelle a des armes naturelles de poids, et elle allait montrer les points faibles, très faible des hommes. Elle a entraîné les filles durant une année, à raison de 10 heures par jour de boxe, de lutte, d’arts martiaux et surtout comment utilisé leurs armes naturelles de filles qui est imparable pour le sexe qui se croit le plus fort. Elle a appris aux jeunes filles à se battre mieux que les hommes et surtout plus intelligemment. Elle leur a aussi appris l’art d’étouffé un homme sur une partie érotique de leur splendide corps pour lui faire perdre ces forces et le neutraliser en silence. Elle leur a aussi expliqué qu’il fallait que les hommes livrent leurs semences de mâles à la femelle en guise de soumission. Cela est très humiliant pour l’homme qui sent sa semence lui échappé sans contrôle, mais sous le contrôle vicieux d’une fille plus forte visiblement, et incapable de faire autre chose. Que cela démontre la supériorité incontestable de la fille vicieuse aux armes imparable pour l’homme !
Toutes les filles du groupe sont superbement bien moulées, une redoutable poitrine voluptueuse, des hanches de rêves, des fesses à faire frémir les hommes et un visage tellement tendre et malicieux, que personne ne pourrais se douter des aptitudes vicieuses de ces filles. Dans le groupe il y a : Lisa, une belle noiraude aux cheveux longs de 17 ans. Véronique une superbe bombe sexuelle blonde de 17 ans. Niki une gamine de 16 ans super craquante aux formes très féminines aux cheveux longs légèrement bouclés. Et les deux petites-filles de 13 ans Lili et Nina hyper bien formées physiquement pour leurs ages. Nina est une métisse noiraude qui a des jambes d’une longueur interminable, et Lili une petite blonde, cheveux en queue de cheval qui possède une poitrine étonnante pour son jeune age.
Les filles disposent d’une salle d’attente spéciale pour hommes qu’elles appellent « l’antichambre. » Toute l’antichambre à un mobilier est en plastique et latex, et dégage une forte odeur de femelles fatales pour que les mâles n’oublient pas, par qui ils se sont fait capturer en attendent leurs châtiments de macho.
Les jeunes filles ont toute une tenue de combat identique en latex super sexy pour les multiples propriété du latex, à savoir : L’homme est très excité par la vue de ce genre d’habit brillant. Il a une odeur qui ressemble à celle de la femelle érotique qui le porte. Un touché qui électrise le mâle et surtout, ne laisse aucune chance a l’homme de respirer une fois le nez et la bouche plaqué au latex sur une partie érotique. Et cette dernière est très importante pour les filles, car un homme qui se fait capturer et étouffé sur le latex ne pourra pas avertir les autres mâles de la présence des filles en criant. Mais aussi plus bien efficace pour faire parler un homme que de lui mettre la tête dans une baignoire remplie d’eau. Les filles sont entraînées pour faire parler les hommes en les étouffant entre leurs seins sur le latex et en masturbant leurs queues du bout du genou pour les affaiblir entièrement. Soit pour qu’ils parlent ou, qu’ils offrent leurs semences d’homme généreusement à la fille en signe de soumission. Un homme ne résiste pas très longtemps à ceci, deux minutes au maximum, avant de livrer tous leurs secrets en espérant la clémence de la fille, mais cela est mal connaître nos amazones des temps modernes.
Les six filles ont fait un dernier essai de leurs tenues de combat en latex. Elles ont un haut comme une blouse noire à manche courte en latex très moulant avec un petit décolleté qui laisse juste voir un peu les seins. Des jolies cuissettes en latex noirs très moulant aussi qui laisse sortir les portes jarretelle qui maintien de magnifique bas en latex noir semi-transparent et des longs gants en latex noir aussi. Elles ont toutes les six des chaussures noires à haut talon, qui donnent une grandeur incroyable à ces filles qui sont déjà très grande. En voyant ces filles superbes ainsi vêtues, je ne donne pas cher de la peau des mâles. Ils vont se faire aspirer comme des mouches dans les filets vicieux de ces poupées pour ne plus jamais en ressortir à mon avis. Bon je suis une fille. Alors je suis de tout cœur avec ces belles plantes qui sont maintenant prêtes pour entrer dans le jeu macho des hommes et pour leur faire évacuer leurs machismes par leurs membres virils en érection, fatalement agités devant de telles poupées jusqu'à assèchement.
Sandra voulait faire un exercice avec les filles avant de donner l’assaut aux hommes du quartier, et ensuite de la ville pour libérer les femmes de la ville de leurs machos en les transformant en petit mâle soumis à leurs femmes respectives. Sandra est partie un soir pour capturer six hommes spécialiser dans un combat bien donné. Le lendemain matin Sandra revint avec six mâles en slip la tête basse, les mains attachée dans le dos, lui obéissant comme des bébés. Elle leur a libéré les mains et les a enfermés dans l’antichambre pour qu’ils ne puissent pas s’échapper et récupérer leurs forces, car ils étaient visiblement très affaiblis quand ils sont entrés l’antichambre d’enfer féminin.
Les belles se sont rassemblées ce matin là pour savoir qui allait combattre qui. Dans l’antichambre il y avait, un champion de boxe poids lourd, un lutteur énorme, un kick-boxeur réputé dangereux, un judoka ceinture noire troisième dan invaincu à ce jour, un karatéka aussi troisième dan et un énorme ouvrier du bâtiment terriblement bien musclé. Nos six poupées de rêve elles sont maintenant des expertes en gyms artistiques, en arts martiaux, en boxes et en combats désarmés. Leurs entraînements les avaient musclées juste là où il faut comme il faut, ces six déesses étaient maintenant de vraies femmes fatales. Un look d’enfer et hyper sexy, ne laissant rien deviné de leurs forces et de leurs armes, elles étaient belles à coupé le souffle du mâle rien quand les regardants. Pauvre mâle, je ne vois pas comment les hommes pourraient résister à de telles bombes sexuelles. Comme les filles n’arrivaient pas savoir qui allait combattre qui, Sandra a décidé de donné la priorité de la plus jeune à la plus âgée. Lili a choisi le boxeur, Nina elle le lutteur, ces deux petites filles effrontée ont choisi à l’étonnement de Sandra. Ces deux mâles très durs qui combattent dans un sport très viril où l’homme considère la femme comme trop faible, ces deux matchs s’annonçaient des plus captivant. Niki elle, a choisi le kick-boxeur, Véronique a choisi le karatéka et comme Sandra ne combattait pas, Lisa devait combattre le judoka et l’ouvrier en bâtiment en même temps.
Nos belles ont mangé tranquillement le repas de midi, avant de combattre se soit disant sexe fort dans l’après midi.
Sandra voulait voir si les filles étaient suffisamment formées. Toutes les filles sont revêtues de leurs habits de combat en latex et attendaient pour le premier combat.
Plus je regarde ces poupées, plus je me dis qu’un mâle n’a pas la moindre chance contre ces bombes sexuelles aux armes bien formées, ça va mal tourner pour sexe fort à mon avis, enfin on verra bien. Mais je n’aimerais pas faire partie du soi disant sexe fort moi, hou ben non alors… Car quand je vois mon adoré mari qui a fait la stupidité d’épousé une jeune femme comme moi, a l’érotisme dévastateur qui se bat en ce moment même contre mon aromatisée chatte sexy pour pourvoir respirer la queue emballée d’un préservatif pour éviter qu’il me foute partout de ses faiblesses juteuses de gentil mari dans mon bureau où j’écris ces histoires qu’il ne pourra pas dire qu’elles sont inventées par expérience. Je sais qu’il aimerait écrire des histoires où le mâle est le plus fort. Mais le pauvre n’arrive jamais à atteindre mon ordinateur qui était le sien avant notre mariage heureux, sans se faire prendre sur une partie osée de mon anatomie féminine la queue et le visage en perdition. Mais je l’adore, il m’a tout appris sur l’utilisation de l’ordinateur donc je suis maintenant le maître absolu de celui-ci. De l’ordinateur bien sûr, car lui il m’est indispensable pour nos tendres moments d’amour s’il lui reste des forces bien évidemment. Pauvre homme, mais il m’adore, même si je gagne toujours nos petits duels des sexes. Mais au moins lui, il a compris et reconnaît que les filles sont beaucoup plus forte que les mecs. Houp… il faut que je change sa capote, il vient de… enfin vous voyez… l’odeur de ma… la une fois de plus mis KO. Ha les hommes… Mais bon ! Je ne m’appelle pas Sandra pour rien si vous voyez ce que je veux dire. Mes aptitudes sexy en arts martiaux elles, sont bien là, dommage que ne pas pouvoir les utilisés selon les règlement des mâles, car si les filles de mon club pouvaient faire ce qu’ont fait en privé aux mecs, les mâles ne serais plus en tête d’affiche dans les journaux et non plus premier dans la hiérarchie des combat à mains nues. Et on ne les appellerait plus, non plus, le sexe fort. Ouais ! C’est comme ça, les hommes se protègent comme ils peuvent, ils se croient tellement supérieur. Mais quand je vois le nombres de préservatif que je dois utiliser pour mon tendre et bien aimé époux capturer sur une de mes parties érotiques qu’il aime tant quand j’écris ces histoires vécues. Alors, si la chose qui bataille désespérément entre mes cuisses et qui me donne sa semence à tout bout champ, c’est le sexe fort, alors mes copines et moi on est quoi ? Puisque à ce jour, aucun mâle n’a pu nous battrent si ont utilisent nos armes et nos règles de filles, alors… ?
Bon, excusez-moi, je continue mon histoire maintenant que monsieur le sexe fort est au sec et a repris sa place entre mes cuisses, oui ho bon au sec pour l’instant d’accord.
Sandra souris.
Sandra.