Le premier combat de la bombe sexuelle Véronique contre un karatéka
Hum, vous sentez les filles
cette bonne odeur de mâle terrassé par le sexe.
Toutes les filles ont approuvé que cette odeur de semence de
mâle vaincu par le sexe par le vrai sexe fort, soit sublime. Et ces femelles
étaient prêtes à la sentir le plus souvent possible.
- Sandra.
Bien, Véro ! A toi maintenant, le karatéka que tu vas
combattre est ceinture noire troisième dan et invaincu. Par un mâle ça va
de soi. Alors, laisse-le se battre dans le vide, tu esquives et c’est tout
jusqu'à ce qu’il fatigue un peu, et toi quand tu le sens bien tu le choppe
par les couilles et tu serres. Pas trop fort, juste pour le neutraliser, et tu
lui fais faire un tour d’horizon de tes parties érotiques pour le finir, si
tu vois ce que je veux dire.
- Véronique.
Oh oui Sandra, un mec entre mes seins n’a pas une chance
de ressortir de là animé. Mais de mes autres parties aussi, il faut dire. J’ai
bien tout ce qu’il faut là il faut pour mettre un homme KO sexuellement et
facilement. OK, va chercher le pauvre mâle.
Sandra par dans l’antichambre et revient avec ce karatéka
qui fait une tête bizarre, il est visiblement inquiet. Bon, il faut dire qui a
vu revenir trois de ces homologues masculins dans un triste état.
- Le karatéka.
Je fais quoi moi ici.
- Sandra.
Tu va combattre Véronique. Et nous montrer tes talents de
karatéka contre une fille.
- Le karatéka.
Quelle fille ?
- Véronique.
Moi beau mâle.
- Le karatéka.
Oh putain la fille, hou lala. Tu fais du karaté toi
poupée. Putain si tu es belle.
- Véronique.
Merci, je vois ça a ton pénis mon gars, mais je ne fais
pas de karaté, uniquement des combats sexuels.
- Le karatéka.
C’est quoi ça de combats sexuels, je n’ai jamais
entendu parler de ça.
- Véronique.
Le combat sexuel est, un homme contre une fille. La fille
utilise ces armes de fille et l’homme ces armes de mâle. Par exemple ;
toi tu utilise le karaté contre moi, et moi mes mamelle contre toi.
L’homme est très surpris de la réponse de Véronique.
- Le karatéka.
Comment ça tes mamelles, tu frappes avec tes mamelles
ou quoi.
- Véronique.
Des fois oui, des fois non. Des fois je cogne avec les
fesses, des fois avec la chatte. Et a voir ton robinet tu dois aimer te faire
battre par des nichons de filles non.
- Le karatéka.
Ben heu…. Ça mais jamais arrivé, ton histoire me
laisse septique. Mais bon en karaté les filles sont redoutables, mais pas
avec les seins. Je vois pas comment tu frappé quelqu’un avec les seins.
- Véronique.
Tu veux faire un essai pour voir.
- Le karatéka.
Non, non-merci. Alors je me bats normalement ou
quoi ?
- Sandra.
Oui bien sûr, et elle se bat avec ces armes de filles.
- Le karatéka.
Bon OK, mais je vois toujours pas.
- Véronique.
Tu verras, c’est des combats super pour les hommes. Bon
on y vas tu es près.
- Le karatéka.
Oui.
- Sandra.
Partez !
Le karatéka commence tranquillement, mais Véro évite
systématiquement ces attaques, et le mec monte en vitesse et en puissance, mais
Véro, esquive toujours les attaques. L’homme est très surpris de la vitesses
de cette bombe sexuelle et cela le met en érection. L’homme attaque encore et
encore, mais n’arrive pas a touché Véro. Après 7 ou 8 minutes le mâle
fatigue et Véro sent que c’est le moment d’attaquer à son tour. A la
vitesse de la lumière elle lui choppe les couilles et serre un peu.
- Le karatéka.
Hou ! La pute, je suis fini.
Les filles sont restées perplexes de savoir qu’il savait
que c’était fini pour lui.
- Véronique.
Alors le mâle, comment ça va.
- Le karatéka.
Hou lala… la vache. OK ma belle, tu as gagner. Je me
rends. Je peu rien faire contre ce genre de trucs. Mais je pense que je vais
finir comme les autres non ?
- Véronique.
Oui mâle. Tu connais cette technique de fille.
- Le karatéka.
Oui.
- Véronique.
Ha ! Et comment ça.
- Le karatéka.
Je pense que j’ai pas le choix hein !
- Véronique.
Non, pas vraiment le mâle.
- Le karatéka.
Bien un jour dans le club de karaté il y avait une
petite fille, très gentil et très douée en karaté, elle avait 10 ans
environ. Deux garçons du club qui avaient au moins 16 ans, pas doué du tout
mais très macho, en avais marre de se faire ratatiner en combat par cette
petite. Ils ont décidé de l’attaqué les deux ensemble pour la brisé.
Mais nos deux compères n’ont pas eu de bol, ils se sont fais démolir tous
les deux par la petite, elle les a foutus à poils a pris leurs pénis entre
les doigts devant tout le monde qui regardait cette déculottée de garçons
par une toute petite gamine de 10 ans. Elle les a amenés à éjaculation et
leur a serrez de toutes ces forces la racine de leurs zizis pour que le sperme
ne sorte pas. Les pauvres garçons pleuraient comme des bébés et suppliaient
la gamine de les lâcher. Ils étaient pathétiques à voir, deux grands
garçons de 16 ans suppliant une petite fille de 10 ans de les laissés venir,
aussi humiliant pour eu que cela était. La petite les a gardés ainsi deux
minutes et elle a lâché ces petits doigts d’un coup. Les deux idiots sont
partis dans une éjaculation à tout casser en sursautant sur eux-même sous
les rires des autres filles du club. Quand ils eus fini d’éjaculer les deux
garçons de 16 ans son tombé dans les pommes et un infirmier a du venir les
chercher, car ils étaient visiblement très touché physiquement par cette
humiliation en public. Le lendemain la petite c’est fait mettre à la porte
du club, pour avoir humilier et fait éjaculer des garçons méchamment. J’ai
revu les deux garçons qui avaient arrêté le karaté, une semaine plus tard,
les pauvres vieux marchaient toujours comme des canards les jambes écartées.
- Véronique.
Et la petite qu’est-ce qu’elle est devenue. Attention,
tu ne m’attendris pas, tu le sais, je te finis comme tes potes, mais juste
pour savoir.
- Le karatéka.
Non, non, tu m’as eu, sais fini pour moi je le sais.
Bien la petite je ne sais pas. J’étais tout de même un peu triste pour
elle, car elle les battait facilement à la loyale en combat, ce qui non pas
supporter. Et la correction qu’elle leur a infligés était à mon avis
justifiée, bien que la méthode soit limite, mais efficace.
- Véronique.
Elle ne s’appelait pas Lili.
- Le karatéka.
Oui, tu as de ces nouvelles.
- Véronique.
Ben oui, je lui dis Lili.
- Le karatéka.
Quoi ! Elle est là.
- Véronique.
Ben oui, c’est la petite blonde là tu vois, elle a 13
ans aujourd’hui, et elle a mis une terrible déculottée au champion de
boxe. Et attention, aux points pour le mettre KO, et elle la fini de coup de
nichons que ton pote n’a pas supporté et il a éjaculé en rythme des coups
de nichons de Lili.
L’homme a regardé Lili en lui disant.
- Le karatéka.
Ben tu vois poupée, putain qu’est que tu es belle,
mazette. Tu as trouvé un club ou les histoires de filles sont accepté, je
suis contant pour toi Lili. Mais s’il te plait demande à ta grande copine
qui me tient par les couilles de me lâché. Aïe, ouïe, houuuu… je
plaisante.
- Lili.
Vous préférez que je vous les tiennes moi-même vous couilles
monsieur.
- Le karatéka.
Ou non, j’ai vu ta démo contre ces deux garçons
alors non-merci, Lili, je préfère me faire abattre par cette super nana.
- Véronique.
OK, avant de sentir mes nichons de près. Tu connais donc
les trucs des filles.
- Le karatéka.
Oui, puis non. Je sais que cela est sexuel, et que les
hommes non pas une chance contre ce genre de trucs, mais c’est tout. Mais je
suis sûr que tu va me faire des trucs donc je ne vais pas me relever !
- Véronique.
Oui, petit mâle, et tu vas même me supplier de te faire
venir, j’adore entendre un mâle me suppliée de leur faire la chose qui va
les mettre dans le monde des hommes vaincu par la femelle. Alors Si tu
gouttais à l’odeur de mes nichons. Hein faible petit mâle.
Véro serre les testicules de l’homme qui ouvre aussitôt
la bouche, elle applique cette grand bouche ouverte du mâle sur une tétine d’une
de ses mamelles et serre l’homme contre elle avec les bras. Le pauvre se
retrouve bouche ouverte le dos plier en arrière par l’opulente mamelle de
Véro et s’étouffe dessus. Son pénis devient illico énorme et le malheureux
homme gigote pour se défendre, mais en vain et éjacule très violemment à la
grande surprise de Véro.
- Véronique.
Quoi déjà ! Ah je vois, tu as un problème d’éjaculation
précoce. Bon on va faire avec. Mais alors mon pauvre tu va aller d’éjaculation
en éjaculation, étouffé sur chaque parties érotiques de mon corps. OK, tu
viens de sentir nichon droit alors passons à nichon gauche mauviette.
Le pauvre homme ne peut pas éviter la manœuvre vicieuse de
Véro et se retrouve plié en arrière la bouche ouverte à téter le sein
gauche de la belle. Ce qui met son pénis sur-le-champ en érection et il
éjacule de nouveau.
- Véronique.
Hou, hou encore. Comme c’est facile le mâle ! Bon c’est
vrai que les hommes qui ont ce problème d’éjaculation précoce éjaculent
très rapidement, peu mais vite, mais souvent. Je vais m’amuser avec toi
comme une folle. Mon pauvre ceinture noire, tu es nase contre une fille comme
moi. Je pense que tes forces sont déjà nases aussi avec tes deux offrandes
de spermes. Si ta grande bouche allait se glisser jusqu'à ma chatte pour
voir. Hein sexe fort !
Véro le choppe par les cheveux et lui glisse le visage
bouche ouverte sur le latex très fermement, ce qui fait gémire le pauvre de
stupeur. Maintenant il a la bouche et le nez sur le latex de la chatte de Véro.
- Véronique.
Hum, sa sent bon là. Un mâle le visage là où tu l’as,
fait généralement exploser son robinet. Alors on va voir le tient combien de
temps il va tenir le tient.
Le pauvre est humilier de ce que cette bombe sexuelle est en
train de lui faire subir. Oui, c’est très dur pour un homme qui a son
problème, de se sentir éjaculer si vite sous la contrainte perverse d’une
fille qui veut montrer à l’homme sa supériorité. Le pauvre homme humilier
ne tient pas 10 secondes et éjacule de nouveau. Et les convulsions sont
maintenant assez forte.
- Véronique.
Mon pauvre ! 10 petites secondes et loin, plus d’homme !
Ouais ce que le mâle est faible. Incroyable, mais vrai.
- Lili.
Véro ! Tu nous montre ton truc que tu appelles
« mâle-capture »
- Véronique.
Oh si tu veux Lili, mais alors il faudrait que tu me le
tienne deux secondes pendant que j’enlève mon haut pour avoir les seins
nus. OK Lili.
- Lili.
Ho ben oui alors, je vais lui faire sentir ma chatte.
- Le karatéka.
Non, pitié pas Lili.
- Véronique.
Mais oui mon gros, tu verras sa chatte c’est le rêve.
L’homme n’offre aucune résistance physique et se
retrouve le visage enfoui dans la foufounette de la petite Lili, ce qui a
produit un effet irrésistible pour lui à son pénis une fois de plus en pleine
érection. Lili a tout de suite pris celui-ci entre le pouce et l’index à la
racine du pénis pour éviter toute éjaculation prématurée. Le pauvre homme
à tout de suite compris ce que la petite faisait par expérience.
- Le karatéka.
Non, Lili non ne fait pas ça. Oh putain je vais pas
tenir à ça Lili. Pitié non, je t’apprendrai tout sur le karaté si tu
veux, mais pas ça.
- Lili.
Hé mauviette ! Ce n’est pas moi la ceinture noire ici,
mais toi ! et tu perds, tu me supplie, alors qui doit apprendre quoi à
qui. Hein petit mâle !
- Le karatéka.
Ho non, Lili pas toi !
- Lili.
Je te libère si tu me dis pourquoi tu es si faible devant moi,
je n’ai que 13 ans, alors ? C’est mon odeur, la vue de ma chatte
latexée et le fait d’être capturé à cet endroit que le mâle va m’offrir
son sperme de vaincu, hein ?
- Le karatéka.
C’est le toute Lili, et tu les sais bien !
- Lili.
Oui ! Mais j’aime entendre les faibles hommes me le dire,
Ciao sexe fort !
Lili dessert les doigts, et le pauvre mâle sursaute sur
lui-même très cruellement en éjaculant une fois de plus. Et reste au sol,
très fatigué de ce que viens de lui faire la petite Lili.
- Véronique.
Ben dit donc toi Lili, tu les mets dans un triste état
les mâles, ont va de voir attendre sur lui maintenant pour le final. Oh,
juste 5 minutes. Le « mâle-capture » demande un mâle en bonne état
de marche.
Les filles n’avaient jamais vu le « mâle-capture »
et ont attendu cinq minutes en silence. Les seins de Véro sans haut de corps
pour les formés son énorme. Mais que va faire cette nana et son truc dit
« mâle-capture »…
Le karatéka se remet de ce que Lili vient de lui faire, et
voit l’imposante poitrine de Véro.
- Le karatéka.
Hou là ! Ah non pas les seins ! Oh non,
Hmmmmmmm !
Le pauvre n’a rien pu faire quand les deux super mamelles
de Véro ont emprisonné son visage et le reste de sa tête. Véro le prend par
les poignets et lui lève les bras par le coté pour que ses propres bras et
épaules bloquent les deux mamelles autour de sa tête, elle lui attache les
deux poignets ensemble derrière sous coup de bombe sexuelle.
- Véronique.
Voilà sexe fort ! Première partie finie. Tout ton
système sexuellement sensible touche mon corps de fille. Et à sentir ton
robinet me frapper hargneusement les cuisses, suppliant mes cuisses de le
garrotter aussi dans une partie érotique de femelle. Alors je le prends aussi
mon mâle !
Véro écarte les jambes et prend le mâle par les fesses et
enfile facilement son pénis en pleine érection entre ces cuisses et lui fait
plaquer les testicules contre ces magnifiques cuisses de fille.
- Véronique.
Alors beau mâle ! Qu’est ce que tu pense de ma
prise ?
- Le karatéka.
Mmmmmm, houuuuuu.
- Véronique.
Je savais que tu aimerais. Mais il y a un hic dans cette
prise pour un homme. Tous tes points sexuellement vulnérables sont en action
et va te mettre dans la situation suivant. Bon c’est vachement vicieux je te
l’accorde, mais pour nous les filles de voir un mâle dans ce genre d’étreinte
féminine, est tout simplement divin. Moi je ne fais plus rien. Je te regarde
sombré dans l’incapacité du mâle de contrôlé ces émotions érotiques,
tu vas devoir batailler ferme contre cette prise vicieuse mais insurmontable
pour les hommes. Tu bouge les bras pour lutter : tu t’étouffe entre
mes seins. Tu pompe sur ton zizi pour te faire venir : tu t’étouffe
entre les seins. Tu bouge la tête pour te dégager : tu étouffe sur une
mamelle. Et l’odeur la ou ta tête est capturée est tellement érotique
pour toi que ton instinct de mâle va te faire faire toutes les choses que je
viens de te dire qu’il fallait éviter. Alors bonne chance l’homme, je te
regarde, enfin nous les filles te regardons, te mettre KO tout seul dans cette
agréable odeur de seins de femelle qui aura ta peau de mâle.
Le pauvre homme essaye de se mettre debout, mais il est
implacablement remis dans sa position perverse par les seins de cette nana qui
le repousse par les épaules. Il essaye de tourner la tête mais se fait comme
promis étouffé par la mamelle. Le malheureux gémit et est humilié de voir
que tout ce que cette bombe sexuelle lui avait prédit était juste. Il ne
savait plus quoi faire, et le pauvre c’est mis à ce débattre par réflexe
dans son étreinte vicieuse sous les rires des filles.
- Véronique.
Pauvre mâle, il se débat, gigote, et à voir tes yeux,
mes nichons de fascine et tu verras faible petit mâle. Dans cette prise, quand
un homme commence à offrir sa semence de mâle vaincu, il ne s’arrête
plus, le mâle éjacule encore et encore sans cesse jusqu'à épuisement et
tombe dans les pompes dans le monde des hommes faible et vaincu.
- Le karatéka.
Houuu, Mmmmmmmm, Hou… Hou…. Hou… Hou… No…n...
Hummmmmm !
Le beau mâle lâche tout son jus de perdant dans une
terrible contraction. Et le pauvre mâle sans défense éjacule et éjacule en
donnant de grand coup de tête dans cette étreinte de mamelle. Il est pitoyable
à voir ce mâle dans cette redoutable pris des mamelles de Véro, plus
humiliant pour un homme je n’ai jamais vu. Je ne sais pas si ma poitrine
est suffisante, mais je suis certaine que je vais essayer cette méthode
vicieuse à mon cher mari. J’adore le sentir se débattre quand je le capture
sur une partie sexuelle de mon anatomie de femme, mais là, c’est le summum.
Mais je vous dirais plus tard si cela a marché. Mais si j’y arrive, il va
regretter les autres prises qui le terrifient aujourd’hui encore.
Bon ! Après avoir offert généreusement sa semence de mâle à la femelle
encore et encore pour bien faire le bonheur de s’elle-ci. Notre homme fort
vaincu, donne ces derniers coups de tête dans les seins de la belle. Vide une
dernière fois son sac à sperme et tombe dans les pommes d’épuisement aussi
bien physique que sexuel sous les rires des filles qui regarde cela très
attentivement.
- Véronique.
Voilà les filles. Pauvre, c’est très dur pour un homme
ce truc, mais j’adore ce truc, alors les pauvres !
Elle lui détache les poignets et l’homme s’écroule
comme une pierre au tapis inconscient. Sandra le choppe par les chevilles et le
tir jusque dans l’antichambre. Les deux hommes restant étaient terrifiés de
voir encore un de leur confrère mâle, hors circuit, visiblement pour un bon
bout de temps et ne savaient pas quoi dire.
- Sandra.
Pas de panique messieurs. Vu que vous êtes trop faible pour
une seule fille. Vous deux aurez la chance de combattre deux contre une de mes
filles.
Les deux hommes avaient l’air rassurer, et pensait qu’à
deux ils pourraient enfin gagner une de ces rencontres du troisième type avec
ces putains de filles.
Sandra.