- Sandra.
Ta maman Véro, et tu n’auras
plus besoin de murs si tu vois ce que je veux dire.
- Véronique.
Oui bien sûr, mais ? Putain elle est belle aussi ma
mère.
- Sandra.
Oui, toutes les amazones sont belles. Sa spécialité était
comme toi, la suffocation lente du mâle, et elle n’avait pas besoin de mur
pour faire cela. Son costume était étudier pour que l’homme s’enfonce
lentement entre ces seins. Elle pouvait faire subir ce truc très dur jusqu'à
cinq hommes ensemble. J’ai le costume bien entendu, il te faudra l’étudier
pour bien l’utiliser.
- Véronique.
Cinq mâles d’un coup, hum, hum… Je vais étudier se
costume de près alors !
- Sandra.
Oui, fait donc ça. Mais je te dis tout de suite, le coup du
doigt elle le fait mais avec un seul homme voir deux. Si elle en prend plus
ils vont suffoquer lentement certes mais dans les méandres de ce redoutable
costume. Il a aussi plein de sangles qui ont toute une utilité bien précise.
Tout le haut est fait de latex transparent tenus par des sangles en cuir
recouvert de latex pour l’odeur. Elle portait un seul bas en latex
transparent qui lui permettait de faire littéralement exploser le
protège-sexe des guerriers dans coup de genou. Mais ce bas avait aussi une
autre utilisé. Elle a en tout point le même caractère que toi Véro. Elle
adore comme toi voir les hommes sombrés très lentement de façon cruelle
dans l’enfer et l’odeur de sa poitrine très voluptueuse comme la tienne.
C’est aussi une spécialiste du coup de chatte c’est pourquoi elle porte
ce cache-sexe, mais comme sa spécialité est la suffocation lente elle le
fait aussi sur sa chatte comme je t’ai vu, le faire à des hommes. Je me
réjouis de voir comment les hommes réagissent quand ils sont plusieurs pris
sur tes seins dans ce terrifiant costume. Sa technique était simple. Elle
attirait cinq hommes dans un endroit ou ils seraient seuls. Bon elle pouvait
comme toute amazone détruire plus d’hommes mais pour faire ce qu’elle
aime faire subir aux envahisseurs mâles imprudent six était le maximum. Mais
son chiffre chéri était cinq. Une fois les cinq hommes attirer dans un
endroit retirer, elle se présentait à eux pour ce battre. Les hommes
étaient très sûr d’eux et de tuer cette amazone, mais comme toi ta maman
à une force prodigieuse dans les bras, aucun homme à une telle force. Les
hommes l’attaquaient tous ensembles, mais ta maman était très rapide et c’était
pour elle un jeu d’enfant des les désarmés. Quand un homme voulait la
frapper avec son épée elle arrêtait le bras de celui-ci d’une main ! Elle
le faisait tournoyer sur lui-même ce qui lui faisait perdre sont épée qu’il
tenait pourtant fermement des deux mains. Elle l’envoyait ensuite au sol
avec la force d’un seul bras très violemment pour l’assommé un peu. Elle
pouvait faire la même chose à deux hommes en même temps. Très rapidement
les hommes étaient assommé et surpris de la force d’une fille. Mais comme
tu l’imagines les hommes étaient perdus. Et le petit jeu commençait. Elle
prenait un homme au sol par les bras et le mettait debout pratiquement pendu
par les bras, ce qu n’était déjà pas très glorieux pour l’homme. Elle
frappait plusieurs fois avec sa jambe droite, la plus puissante sur le
protège-sexe de l’homme, qui bien sûr ne bougeait pas. L’homme était
rassurer de voir que son protège-sexe résistait car il avait compris ce que
la fille cherchait à faire pour le détruire sadiquement, il esquivait même
un sourire idiot soulagé de la résistance de son truc. Ta maman le regardait
droit dans les yeux avec un sourire de baiseuse comme tu sais si bien le
faire. Et elle frappait le protège-sexe de l’homme du genou, mais cette
fois ci de la jambe gauche ou elle avais le bas en latex. Le protège-sexe de
l’homme volait en éclat à la grande stupéfaction de celui-ci, et ta maman
lui disait sadiquement « Encore un coup de mon bas en latex et c’est
tes testicules qui vol en éclat le mâle. » L’homme était terrifié
car il était incapable de se défendre les bras immobilisés en l’air par
cette puissante amazone son pénis dans une colossale érection, qui
facilitait sa destruction. Il est claire que ta maman pouvait le pulvériser
très facilement, mais cela aurais été bien trop tendre pour l’homme au
goût de ta maman, comme toi du reste. Elle ajustait son genou avec le bas en
latex, qui est très visqueux, juste entre la racine du pénis et les
testicules de l’homme. Le pauvre homme déjà humilier d’être retenu les
bras en l’air par une jeune fille, avait maintenant la partie la plus
vulnérable du mâle qui tapait fortement se latex excitant sur le genou de ta
maman qui le regardait d’un sourire moqueur. Sans que ta maman aie besoin de
bouger son genou, l’homme arrivait à la limite de l’éjaculation en un
tour de main. Sadiquement ta chère maman enlevait son genou et laissait l’homme
dans cet état, conscient mais incapable de se faire venir ou de bouger un
muscle. Et le pauvre voyait que ces autres coéquipiers suivaient exactement
le même sort incapable de lutter contre cette amazone immorale de jouer avec
un homme de la sorte. Maintenant il y avait cinq hommes paralysés devant ta
maman la queue en effervescence certain de finir de manière assez peu
glorieuse pour un homme. Ta maman enlevait cette espèce de cape qu’elle
avait dans le dos qui été faite de la même matière que son bas et frottait
vicieusement l’entrejambes des hommes avec pour leurs montrer à qu’elle
point ils sont des être inférieur à la femelle. Les hommes étaient en
ébullition sexuelle. Ah oui, j’oubliais de te dire Véro, le bas comme la
cape était faite d’un latex très particulier, il excitait le mâle, l’amenait
à l’éjaculation, mais ne le faisait pas éjaculer, cela lui permettait de
jouer avec les hommes des heures durant si elle le voulait.
- Véronique.
Ben dit dont ! Elle était vache avec les hommes.
- Sandra.
Oui c’est vrai, mais toi aussi ! Et maintenant que tu
as son costume j’ai peur pour les mâles. Tu es déjà très vicieuse sans
ce costume apocalyptique, alors avec. Bon une fois qu’elle avait assez joué
avec les nerfs de ces hommes elle passait au stade supérieur du déshonneur
masculin, en mots plus simples, l’humiliation. Elle décrochait la boucle de
son soutien gorge diabolique, ouvrait celui-ci et ajustait visage des cinq
hommes sans défense sur sa poitrine et refermait la boucle derrière leurs
cous. Deux hommes avec leur bouche sur le bord d’une mamelle, deux autres
sur la mamelle elle-même et le cinquième entre les mamelles. Les hommes
retrouvaient soudainement leur force physique car ce genre de fin est trop
insultante pour un mâle guerrier. Pauvre ! Ils ne savaient pas qu’il
était impossible de sortir de cette prise très érotique. Nos beaux mâles
toutes forces retrouvées pénis en érection se débattaient piteusement pour
ressortir leur tête de cet enfer. Elle n’avait pas encore tiré sur la
lanière fatidique que le gigotement des quatre hommes sur le coté faisait s’enfoncer
le visage de celui qui était entre les seins. Le pauvre suffoquait très
rapidement en glissant entre les seins ce qui le faisait éjaculer fortement
car le contact avec les seins de ta maman était trop érotique. Sadiquement
ta maman le tirait par les cheveux pour lui remonter la tête, mais les autres
gigotait tellement qu’il s’enfonçait de nouveau et suffoquait en
éjaculant de plus belle. Il était furieux contre ces congénères hommes et
les suppliait d’arrêter de bouger. Mais les quatre autres hommes étaient
bien trop préoccupé de leur propre sort humiliant. Cela amusait beaucoup ta
maman de voir ces hommes se débattre dans son soutien gorge ou elle savait
pertinemment qu’ils ne pouvaient pas s’échapper. Elle les laissait se
débattre ainsi quelques minutes avant de dire « Si on inversait les
rôles messieurs. » Elle tirait sur la lanière fatidique. Les hommes
sentaient d'emblée que le soutien gorge se resserrait derrière leurs têtes
ce qui allait les étouffer très rapidement sur la mamelle. Ils arrêtaient
tout de suite de gigoter pour éviter que le soutien-gorge de cette salope ne
se referme plus, car ils avaient compris que c’était leur propre mouvement
qui serrait cette chose pervers. Les cinq hommes étaient maintenant immobiles
de peur de bouger les mamelles de ta maman en pleine figure ce qui les
maintenait en érection à la limite de tout lâcher. Cela faisait beaucoup
rire ta maman, car ce genre de situation est non seulement hyper humiliante,
mais la peur d’éjaculer les gagne rapidement, sachant que le convulsion que
produirait une éjaculation, refermerai aussitôt se soutien-gorge fatal de
femelle.
- Véronique.
Putain ! Mais c’est super ce truc !
- Sandra.
Oui, pour toi. Mais imagine ce que cela est pour les hommes
pris là dedans.
- Véronique.
L’enfer érotique, de se faire battre par une fille et
par le sexe. Et les pauvres, le visage où ils l’ont, vont fatalement
éjaculer à un moment ou un autre.
- Sandra.
Exactement ! Et elle attendra que le premier ne puisse
plus tenir, ce qui va créer une réaction en chaîne pour les autres excepter
celui du milieu entre les seins. Dès que le premier éjacule, ses violents
spasmes vont refermer derrière leur tête le soutien gorge de ta maman
lentement ce qui va fatalement étouffer les autres qui vont sur-le-champ tout
lâcher aussi. L’horreur pour un mâle, mais incapable de faire autre chose.
Une fois que les quatre ont pulvérisé une quantité astronomique de spermes
meurt étouffer sur les mamelles de ta maman. Il ne reste plus que celui du
milieu qui est entre les seins. Qui est terroriser d’avoir vu ses
coéquipiers éjaculer si cruellement jusqu'à la mort étouffé sur la plus
belle partie de la femme ! Elle le regarde et lui dit « Bien petit mâle
à toi, tu vas périre en éjaculant sous la force d’un seul doigt de
fille » C’est là qu’elle fait comme toi. Elle pousse sur la tête
de l’homme d’un doigt en écartant un peu les cuisses. Le pauvre homme va
inexorablement s’enfoncer entre les seins de ta maman, la peur et le choque
érotique vas faire taper sont pénis entre les cuisses de ta maman en
éjaculant avant même être étouffé, mais ça tu connais. Son pénis va
danser de plus en plus fort et son éjaculation va devenir une insulte aux
forces de l’homme. Et il finira aussi étouffé mort entre cette magnifique
poitrine d’amazone bien trop forte pour l’homme érotiquement. Je t’ai
vus faire cela aux hommes de ton club de lutte. J’avais beaucoup de peine à
me retenir de rire quand je voyais ces lutteurs puissants d’un certain age
se faire ridiculiser par une fille de 17 ans. Putain s’ils devenaient fous
quand ils se sentaient sombrés dans l’impuissance de l’homme face à
cette fille qui n’avais aucun niveau dans le sens de la lutte, mais qui les
pulvérisait dans la réalité des forces érotiques d’une fille. Tu les
faisais languir lentement pour qu’il comprenne qu’il allait éjaculer de
façon honteuse pour eux, mais incapable d’éviter un tel affront de la par
d’une fille de souvent 30 ans de moins qu’eux et surtout une bonne
cinquantaine de kilo de moins. Le costume va te permettre de jouer encore plus
avec les hommes ma belle !
- Véronique.
Cala fait aucun doute, mais nous toutes vont les faire.
Pauvre sexe fort ! Bien j’aimerai bien voir la maman de Lisa.
- Sandra.
Oui, alors tenez-vous bien. Lisa aussi, car le costume de ta
maman est une insulte à l’homme. Et toi qui aime jouer avec gros zizi et
les balles des hommes. Ce que tu faisait jusqu’ici était de la bibine.
- Lisa.
Ah bon ?
Sandra.