- Sandra.
C’est ta maman Lili.
- Lili.
Heu ce qu’elle est belle.
- Sandra.
Oui, très belle et elle te ressemble comme deux gouttes d’eau.
Elle avait environ 14 ans sur cette image. Elle portait un grand châle en
latex transparent comme on voit sur l’image. Elle a commencé à ce battre
à l’age de 12 ans. Sa spécialité était son châle qu’elle utilisait
comme filet érotique et elle l’utilisait avec beaucoup d’intelligence.
Elle imprégnait son odeur à son filet, et l’utilisait pour capturer les
hommes pour les faire parler et les humilier avant de les tuer. Ce filet
était très grand, elle pouvait capturer environ 20 hommes d’un coup si
elle leur prenait que le haut du corps ou, environ 10 hommes d’un coup si
elle les enfermait complètement dedans. S’eu qu’elle voulait garder comme
esclave, ils avaient un traitement de faveur, enfin si on veut dire.
- Lili.
Comment ça ?
- Sandra.
Bien un peu comme tu le fais avec ton grand filet en
caoutchouc transparent.
- Lili.
Comment sais-tu ça toi ?
- Sandra.
Je vous ai dis les filles, je vous ai observé. Elle
embusquait entre cinq et dix hommes ou plus dans des endroits très difficiles
d’accès pour eux. Quand elle voyait qu’ils étaient très proche les un
de les autres, elle s’avançait en silence derrière eux. Elle déployait
son filet comme un filet et capturait comme l’éclaire la tête des hommes
dans le filet et les étouffait dedans tous ensembles jusqu'à ce qu’ils n’aient
plus de force à cause du manque d’air. Elle serrerait une sangle du filet
pour les emprisonner mi-étouffé pour avoir les mais libre. Les hommes ne
savaient pas encore qu’il s’agissait d’une amazone. Une fois les hommes
sans défense et qu’ils avaient lâché leurs épées trop occupées des
mains à essayer d’enlever de ce filet à l’odeur de fille en latex qui
les privaient d’air. Elle se mettait devant eux pour qu’ils puissent la
voir. Les hommes voyant cette petite amazone très belle aux seins d’ange
tombaient illico sous le charme. Elle retirait leur protège sexe pourvoir
leurs pénis danser. Cela l’amusait beaucoup, les hommes étaient bien sûr
humilier de s’être fait capturer par une seule et aussi jolie jeune fille,
ce qui faisait trémousser leur pénis très intensément à la grande joie de
ta maman. Comme toi avec les garçons que tu as capturés pour les humilier de
la même façon qu’elle le faisait ! Si elle avait le temps, elle les
prenait deux a deux sur chacune de ces mamelles d’ange pour les étouffé et
les faire éjaculer dans l’humiliation jusqu'à la mort. Les autres qui
voyaient cette terrible scène étaient terrifiés de devoir finir comme eux
sous les tortures sexuelles d’une fillette sans cœur. Et si elle n’avait
pas le temps de les humilier un peu plus, elle les tuait avec son épée.
- Lili.
Berk, heureusement que je ne les tue pas, moi.
- Sandra.
Non bien sûr, les temps on changé, mais de nos jours l’humiliation
est bien pire pour un homme que la mort. Si elle trouvait qu’un des hommes
qu’elle venait de capturé vicieusement pouvait être un bonne esclave, elle
l’épargnait. Mais il devait assister aux massacres humiliant des autres
hommes. Celui qu’elle épargnait, elle lui enlevait le filet qui l’étouffait,
car l’homme n’avait plus de force, elle le prenait par le zizi pour mettre
son visage a hauteur de sein, elle le marquait de son odeur en lui frappant le
visage des seins jusqu'à ce qu’il éjacule. Elle savait que quand l’homme
lâchait sa semence, que cela voulait dire qu’il était suffisamment
imprégner de son odeur, elle le frappait une seules fois, mais très
cruellement pour l’assommer et le faire éjaculer une autre fois. Elle
laissait l’homme assommer et humilier au sol, sachant qu’il ne se
relèverait pas sans son odeur d’amazone. Et elle partait pour capturer d’autres
hommes de l’armée qui les envahissait.
- Lili.
Ben, elle est vraiment comme moi.
- Sandra.
Oui, tu as hérité de ces pouvoirs et de sa spécialité. J’ai
d’ailleurs ici une tenue de combat identique à la sienne. Si tu la veux,
elle est à toi. Elle serait fière que tu te battes comme elle.
- Lili.
Bien sûr que je la veux. C’est plus joli que mon filet en
caoutchouc non. C’est drôlement plus sexy. Hé les hommes ! Voilà
Lili, mettez vos zizis au placard ou vous allez souffrir.
Toutes les filles ont bien rigolé de la réflexion de
Lili.
- Sandra.
Oui, mais ce filet t’a tout de même permis d’humilier
pas mal de garçons pour toi ou pour tes copines. Je trouvais très amusant
de te voir. Je vois toujours la tête des garçons quand ils te voyaient
arriver nue sous ton grand filet transparent en caoutchouc qui t’arrivait
aux pieds. C’était très marrant de te voir les défier en combat
habillée ainsi. Les pauvres garçons ne savaient pas encore comment il
allait finir contre toi. Tu les massacrais avec tes seins pour les mettrent
mi-KO. Je me rappelle le jour où dix garçons ont voulu te donner une
correction après les avoir battus à la gym. Tu avais 11 ans et eux environ
15 ou 16 ans. Ils étaient tellement humilier de s’être fait battre à la
gym par une petite-fille de 11 ans, ils étaient près à te casser la
gueule pour cela. Et quand tes copines sont venues et que tu leur as dit que
cela était une histoire entre toi et ces dix garçons. Que tu n’avais pas
besoin d’aide pour les démolir les dix ! Tu es partie chercher ton filet
dans ton placard et tu es revenue nue sous le filet. Les garçons ont tout
de suite bander si tu te rappelle.
- Lili.
Oui, très bien. Mais tu étais ou toi pour voir cela ?
- Sandra.
Une amazone Lili, c’est se caché. Bon revenons à l’histoire.
Tu les a pulvériser les dix en moins d’une minutes avec tes petites
mamelles, les garçons gisaient au sol le bouche ouverte de stupeur de la
façon que tu les avais cogner. Ils étaient les dix à ta merci, tu les as
rassemblés en cercle en les poussant avec tes fesses. Ils n’ont vraiment
pas aimer cet affront, mais très loin de se douter de la suite des
événements. Les filles qui regardaient riaient à cœur joie. Une fois
leur tête proche les une des autres tu leur as capturé la tête à tous
les dix dans le bas de ton filet pour les étouffer dedans. Tu as fait un nœud
au filet pour avoir les mains libres. Les pauvres étaient déjà pas mal
humilier d’être captif dans ton filet qui devait sentir ton odeur. Mais
ça ne te suffisait pas, ton instinct d’amazone te disait de les finir
plus joliment devant les filles. Tu les as mis nu les un après les autres,
ton odeur d’amazone dans le filet ou ils avaient la tête capturée, leur
a mis le pénis dans un état d’agitation extrême en pleine érection. Tu
t’es amusée sous le rire des filles à leur masturber le pénis avec tes
mains pour les amener à la limite de l’éjaculation. Ils étaient
mortifier de voir à quel point tu étais une garce. Quand tu as vus qu’ils
étaient touts les dix près pour le grand saut dans l’humiliation
extrême ! Tu en libérais un du filet, tu l’amenais devant les autres
garçons pour qu’ils voient bien la scène. Tu obligeais très facilement
que le pauvre garçon se mette couché sur le dos les jambes pliées en
arrière. Tu t’es mise debout au-dessus de lui, tu t’es baissé pour le
prendre par les cheveux et tu lui as tiré sa tête entre tes cuisses pour l’étouffé
entre tes fesses et tu as dit « Regarder les filles comme ils sont
faibles les garçons, le plus drôle maintenant. » Tu as serrez les
cuisses pour l’étouffé très ferment sur ton joli cul et ton odeur d’amazone
a eu raison de lui illico. Le pauvre est parti dans une extraordinaire
éjaculation sous les rires des filles. Son jus est bien sortis un mètre
devant lui. Il était humilier à vie. Tu as écarté les cuisses, et le
pauvre est tombé comme une pierre au sol KO. Tu l’as poussé de cotés
avec le pied pour laisser la place au suivant que tu as aussitôt été
chercher. Le pauvre était vert de peur, tu l’as pris encre les cuisses
pour l’étouffé entre tes fesses de la même façon que l’autre mais tu
as fait une chose terrible pour les autres. Tu as dit aux filles qui riaient
de voir ces dix garçons se faire battre par une petite-fille. « Venez
plus près les filles, je vais vous montrer comment je fais éjaculer 9
garçons ensemble et sans les touché. J’ai compris que tu étais une
amazone, car seule une amazone peu faire ce genre de truc. Tu as relâché
le garçon que tu avais entre les jambes, et tu es allée stimuler
sexuellement les 8 autres en frottant tes fesses sur leur visage tour à
tour au travers du caoutchouc. Le pénis des 8 garçons étaient droit comme
un pique devant eux et très agité. Tu as repris le neuvième entre tes
cuisses pour l’étouffé, mais tu ne t’es pas contentée de les faire
éjaculer les neuf ensemble, très rapidement. Non, miss aime faire des
trucs très humiliants aux garçons plus âgés qu’elle. En serrant
intelligemment tes cuisses par petit à coup le pauvre à éjaculer en
rythme des à coup et les 8 autres aussi. Sous les rires des autres filles
stupéfaites de tes talents. Tu les as fait éjaculer ainsi vicieusement les
9, digne d’une amazone une dizaine de minutes. Les pauvres n’en
pouvaient plus d’une telle humiliation et les 9 garçons imploraient tous
ta pitié. Et tu as dit aux filles « C’est ça les garçons, des
mauviettes éjaculateur, maintenant je les mets KO pour de bon les 9
ensembles. » Tu as très sadiquement étouffé le garçon que tu avais
entre les cuisses qui est parti aussitôt dans une dernière éjaculation
diabolique qui a fait partir ces jambes dans les airs en éjaculant tout
comme les autres garçons qui regardaient cette scène terrifiante pour un
garçon. Les neuf garçons ont donné encore quelques coups de jambes dans
les airs en finissant leur puissante éjaculation. Les 10 garçons étaient
KO et ne bougeaient plus au sol. Les filles ton applaudis et ton demander
comment tu arrivais à faire des choses aussi humiliante pour les garçons,
surtout de leurs ages. Elles n’en revenaient pas de te voir toi
petite-fille de 11 ans, pas battre les garçons comme tu venais de le faire
à la gym. Non tu les as battus en combat, une petite-fille de 11 ans contre
dix garçons de 15, 16 ans qui n’ont pas tenu plus d’une petite minute
contre toi pour finir honteusement en éjaculant devant ce groupe de filles.
Ta maman faisait ça aussi aux homme, soit les seins, soit les fesses. C’est
le pouvoir suggestif des amazones, tu imprègne les hommes de ton odeur,
coup de seins ou autres et tu en prends un. Tu le fais éjaculer de la
façon qu’il te plait de le faire et les autres éjaculerons aussi
exactement de la même façon que leurs copains justes en regardant la
scène de leur congénère qui éjacule indignement sous tes supplices
sexuels. Ils tomberont KO comme celui qui est entre tes mains. Combien en
as-tu fais éjaculer ensemble Lili ?
- Lili.
Ben, quand je me suis redus comptes que j’arrivais a faire
cela, ça m’amusait tellement qu’une fois à la demande des filles qui
avaient vu la déculottée des garçons que tu as raconté. Elles
connaissaient une bande de garçons d’une vingtaine d’année qui les
importunaient tout le temps. Mais elles ne pouvaient pas se défendre, car
ils étaient très forts. J’ai relevé le défis. Et je suis allée avec
les filles dans leur cachette. Ils étaient 26 ce jour là. Je les ai tous
démolis des coups de nichons, je sais que je devais faire cela pour la
suite. Ensuite ils ont éjaculé presque les 26 ensembles. Sa a été un
jour très dur pour cette bande de cons. Les filles avaient pris avec elle
de joli ruban rouge qu’elles leur ont attaché aux pénis, pour qu’ils
se souviennent de moi quand ils reprendraient connaissance. J’ai repris
mon filet et nous somme parties heureuses. Ils n’ont plus jamais
importuné de filles depuis.
- Sandra.
C’est bien Lili, mais tu es encore loin du compte de ta
maman. Elle en a fait éjaculer 58 ensembles, toute une troupe d’un coup.
Elle les avait imprégnés de son odeur en combat, elle se battait comme un
diable, et utilisait son filet pour neutraliser les coups des hommes.
- Lili.
Comment ça ?
- Sandra.
Bien quand un homme voulait la frapper avec son épée, elle
saisissait le bras du mâle en lançant son filet en avant comme un filet
pour lui capturer le bras dans le filet. Elle tirait sur le filet de telle
sorte que l’homme tournoyait sur lui-même et s’enroulait fatalement
dans le filet et ce retrouvait étouffé à l’intérieur du filet en
latex. Elle lui donnait un coup de seins qu’il ne pouvait pas éviter, et
l’homme tombait KO au sol en glissant hors du filet en éjaculant très
violemment. Mais elle faisait cela aussi avec deux hommes à la fois. Et c’était
parti pour les suivant. Quand il n’en restait plus qu’un, elle l’enroulait
comme les autres dans le filet en latex, mais une fois sa bouche sur son
sein. Le pauvre homme avait droit à un traitement spécial. Elle savait que
l’homme était sans défense, il fallait juste qu’elle le mette nu. Pour
cela elle l’assommait dans coup de sein qui le faisait glisser hors du
filet mais sans éjaculer. Elle le mettait nu, en l’enroulais de nouveau
dans le filet en latex et le reprenait contre elle. L’homme revenait
immédiatement à lui sous le pouvoir sexuel que lui produisait le filet en
latex. Oui ta maman voulait qu’il soit bien éveiller pour jouer avec lui,
car cela avait plus d’impacte sur les hommes au sol à moitié sonné par
ce petit ange. L’homme était mortifier de voir qu’il était maintenant
nu dans ce filet qui sentait très fortement la petite-fille qui l’avait
mis là dedans. Et ta maman commençait à jouer avec sa prise de manière
très érotique, beaucoup trop érotique pour le pauvre mâle pris dans son
filet. Elle montrait à l’homme combien il est faible, et qu’une
petite-fille c’est quoi faire avec les faibles. L’homme impuissant face
à ta maman passais de plaisir à agonie sexuelle. Elle pouvait jouer ainsi
avec l’homme capturer dans son filet des heures si elle le voulait. Cela
était très dur pour cet homme pris ainsi, car emballer comme il l’était,
ta maman faisait ce qu’elle voulait et avec une malice ce qui le rendait
malade d’être le jouait non pas d’une femme, mais d’une petite-fille
au talant sensuel exterminateur d’homme. Les hommes au sol étaient
incapables de bouger et de venir en aide à leur puissant guerrier viril
torturer cruellement par le sexe par une petite amazone. Et les pauvres
hommes au sol éjaculaient et périssaient de honte les un après les autres
devant un tel spectacle de puissant guerrier mâle réduit à néant par un
si joli petit ange fille au filet apocalyptique pour les mâles. Une fois
que tous les hommes avait lâché leur semence ce qui les avaient fait
mourir de honte, elle terminait le pauvre homme dans le filet lui faisant
bien sentir qu’il était un homme et elle une petite-fille et que l’homme
était impuissant contre une petite princesse. L’homme éjaculait à
mainte reprise dans des positions abominablement érotique jusqu'à ce qu’il
meure de plaisir. Mais aucun homme n’avais la chance de pouvoir prévenir
les autres hommes des pouvoirs très vicieux des amazones. Mais ta maman
utilisait son filet en latex de différente façon aussi. Mais ce filet
était son arme, et elle était vraiment fatale pour les hommes.
- Lili.
Ben dit dont, elle était dur ma maman. Mais je suis fière de
lui ressemblé. Bon si on voyait la maman de Nina.
Sandra.