Un mariage infernal - Chapitre 15 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 15 = =============== Le samedi soir suivant, Michel aidait Diane à s'habiller pour son rendez-vous avec Charles. Elle nota son air triste et décida de s'amuser un peu avec lui. "Qu'est-ce qui ne va pas chéri, tu as l'air si triste ?" Elle lui avait parlé d'une voix douce, et Michel répondit : "C-c'est parce que sors avec un autre homme." Elle lui sourit alors qu'il était agenouillé à ses pieds, ayant juste fini de lui enfiler ses bas. Diane était de bonne humeur. Elle attendait avec impatience son rendez-vous avec Charles, et Michel avait été un bon garçon toute la journée. Ils avaient passé l'après-midi à faire des courses avec Carole, et Michel s'était parfaitement comporté : il n'avait pas dit un seul mot et avait été totalement soumis et obéissant. Il était resté auprès d'elles, n'étant pas autorisé à s'éloigner. D'ailleurs, il avait été parfait toute la semaine, et n'avait plus prononcé un seul mot depuis le lundi précédent, lorsqu'il lui avait demandé de reconsidérer sa décision de lui faire porter sa ceinture de chasteté de façon permanente. Il avait été totalement docile depuis, et Diane était très satisfaite de lui. Il avait été si adorable quand il s'était agenouillé en face d'elle, nettoyant ses pieds fatigués et odorants en rentrant des courses, et sans qu'elle ait eu à lui demander il avait utilisé ses dents du bas pour retirer une saleté de son ongle du gros orteil, et ensuite, alors qu'il l'avalait, il avait remis le pied de sa femme dans sa bouche et l'avait regardé comme l'aurait fait un petit chiot, guettant sa satisfaction. Elle avait vu ce regard docile, quémandant son approbation, et lui avait souri en retour, lui faisant un signe de tête satisfait. Maintenant, c'était la première fois qu'il parlait depuis lundi, la première fois qu'elle lui avait posé la moindre question de toute la semaine. Elle tapota la joue de son mari. "Michel chéri, ne l'as-tu pas encore accepté ? Je suis une femme normale, qui a besoin de passer un moment de temps en temps avec un homme. Et pourquoi parles-tu d'un autre homme ? Te considères-tu encore comme un homme ?" Elle rit. "Tu n'en n'es pas un, Michel. Tu n'es pas un homme. Tu es ma chose. N'en n'avons-nous pas déjà discuté si souvent ?" Michel déglutit. "O-oui m-mais je t'aime." Diane lui sourit. "Je le sais, chéri. Mais je suis une femme normale, et quelquefois j'ai besoin d'être avec un homme. Une fois de temps en temps j'ai envie de baiser, et que puis-je faire d'autre que de sortir avec un homme pour avoir un peu de sexe, quand mon mari, non seulement n'est pas un homme mais va devoir rester vierge toute sa vie ?" Sa logique était parfaite, excepté que c'était uniquement par une de ses lubies qu'il devait rester vierge. Ce soir elle allait sortir avec un homme et faire l'amour, alors que lui devrait rester à la maison et tout nettoyer. Il commença à pleurer, et cela enchantait sa femme. Cela le faisait ressembler à un enfant et elle savait que c'est ce qu'il devait ressentir, justement. "Oh Diane, je me sens si seul. C-c'est samedi soir, tu vas sortir, et... et je ne veux pas rester seul à la maison encore une fois. Je suis si seul." Diane le regarda de haut et vit l'air pathétique de son mari, les yeux remplis de larmes. Maintenant elle allait devoir être méchante : elle constatait qu'il n'avait pas totalement accepté sa position dans sa nouvelle vie, et elle ne pouvait tolérer qu'il remette en cause son autorité sur lui. Elle devait le ramener à la raison. "Oui Michel, c'est samedi soir, je vais sortir et tu dois rester tout seul à la maison. Et, tu sais, demain c'est dimanche et je vais sortir à nouveau et tu devras rester seul à la maison, de nouveau. Bon. Tu voudrais venir avec moi ? C'est ça que tu voudrais ? Tu voudrais t'asseoir et nous regarder baiser, Charles et moi ? C'est ça que tu veux ? Michel, Michel, ta place est ici. Tu as tout un tas de tâches ménagères à faire, et tu le sais bien, et le samedi et dimanche soir, quand je suis dehors à un rendez-vous c'est le moment idéal pour toi pour effectuer toutes tes corvées." Michel laissa échapper un gros sanglot. "Diane, si tu ne m'aimes pas, peut-être... peut-être pourrait-on annuler notre mariage." "Annuler notre mariage ? Ne sois pas idiot Michel, cela n'arrivera jamais. Oh, chéri, j'adore être marié avec toi et t'avoir pour mari. Mais, Michel, tu dois accepter le fait que même si nous sommes mariés, je ne te considérerais jamais comme mon amant, ni même comme un ami d'ailleurs. Je ne te considère même pas comme un homme. Tu es un esclave, et c'est ainsi que je veux que tu sois. J'adore quand tu me lèches la chatte, et j'adore ne pas avoir à me laver avant. Regarde Michel, peut-être que si tu deviens vraiment bon à me lécher le minou, je pourrais peut-être considérer que baiser n'est plus si important. Réfléchis à ça. Peut-être cela te donnera une motivation pour améliorer ta technique orale. J'ai confiance en toi Michel. Je sais que tu peux le faire. Mais je continuerai toujours à sortir avec mes amis, et tu vas devoir accepter de rester souvent tout seul à la maison... Bon, maintenant il est tard et je dois y aller. Viens embrasser mon cul et dis-moi que tu m'aimes." Elle tourna son derrière vers lui, leva sa jupe, et il embrassa ses fesses à travers sa culotte. "OK, maintenant sois un bon garçon et nettoie bien la maison pour qu'elle soit bien nette. Demain tu nettoyeras la cuisine et tu t'occuperas du linge, donc ce soir tu as plein de temps pour faire le reste." Puis elle partit. Sa femme était dehors pour un rendez-vous. Elle allait s'envoyer en l'air. Et lui devait rester à la maison, nu à part sa ceinture de chasteté, et nettoyer la maison. Il avait 25 ans, était marié, mais n'était jamais autorisé à avoir un plaisir sexuel, ni avec sa femme, ni même en se masturbant, et par contre il devait toujours utiliser sa bouche et sa langue sur le corps non lavé de sa femme. Avec qui allait-elle sortir ce soir ? Qu'est-ce qu'elle allait faire ? Il nettoya parfaitement la maison ce soir-là, tout d'abord parce que cela lui permettait de garder son esprit occupé pour ne pas penser à sa situation, mais aussi pour s'assurer que sa femme ne le punisse pas en rentrant. Il pleura. Que diraient ses parents s'ils pouvaient le voir en ce moment, et voir ce qu'elle lui avait fait, ce qu'il lui avait permis de faire ? Et maintenant, après quinze années de mariage, voilà où en était Michel, sous les couvertures, avec son nez dans l'anus de sa femme, comme toutes les nuits depuis quinze ans. Cela faisait tellement de temps maintenant que Michel avait abandonné tout espoir du moindre changement, d'une nuit improbable où sa femme n'aurait pas ordonné qu'il reste là-dessous avec sa tête entre ses fesses. Il ne pouvait d'ailleurs plus se souvenir comment c'était de dormir autrement. Dormir... Il dormait si peu, essayant toujours de sommeiller en pensant comment avait été sa vie auparavant, mais s'assurant toujours de laisser son nez à sa bonne place. Il se rappelait comment elle l'avait dressé, en utilisant la théorie suivante : si un enfant pouvait apprendre à être propre durant son sommeil, Michel devrait être également capable d'apprendre à dormir sans enlever son nez de l'anus de sa femme. Cela faisait peut-être dix mois qu'ils étaient mariés quand Diane s'était réveillé un matin, alors que Michel venait juste de s'endormir, et quand elle avait retiré la couverture elle avait constaté qu'il dormait, le nez hors de son anus, sur une de ses fesses. Tout d'abord elle trouva plutôt ça mignon, mais très vite cela la mit en colère car le visage de son mari n'était pas sur son anus comme elle lui avait commandé, ce qui était une marque de désobéissance. Elle en avait discuté avec Carole et Barbara, et elles avaient élaboré un plan : bien qu'elle n'était pas réellement sure qu'elles puissent le dresser à garder son nez où il faut même quand il dormait, cela serait de toute manière amusant à essayer. Le vendredi soir suivant, quand Carole et Barbara arrivèrent à la maison, Diane sortit une cravache et expliqua à Michel qu'il allait être puni pour sa désobéissance à partir de maintenant. Comme il n'avait aucune idée de ce qu'elle voulait dire, elle lui expliqua que la règle était de garder son visage sur son anus et non sur ses fesses, et qu'il allait recevoir 15 coups de cravache pour lui apprendre. Elle lui ordonna de se courber au-dessus du canapé. Il cria et sauta en arrière après le premier coup très sec, mais Diane le prévint qu'elle ajouterait 5 coups de plus s'il ne se remettait pas en position dans les 2 secondes. Il s'exécuta, et après les 15 coups son dos était à vif, strié de profondes marques. Diane lui avait asséné 5 coups, puis avait laissé Carole et Barbara en donner 5 chacune également. Elles avaient toutes savouré ce moment plus qu'elles n'auraient pu le croire. Non seulement cela leur avait permis de satisfaire leurs instincts sadiques, mais cela les aidaient à se délivrer de leurs tensions de la semaine. Plus tard dans la soirée, alors que Carole et Barbara furent parties, Diane réalisa ce qu'elles avaient fait endurer à son mari, et bien qu'elle se sentisse bien, elle éprouva quelque pitié pour Michel, qui sanglotait encore alors qu'ils allaient se coucher. Michel fut troublé lorsqu'elle lui demanda de s'allonger avec elle. Il obéit et elle le serra entre ses bras, pressant son visage contre ses seins. Elle n'avait jamais fait ça auparavant, et cela donna un peu d'espoir à Michel. "Oh, pauvre petite chose." Il continuait à sangloter. "Chhht. Allez. Calme-toi. Chhht." Elle le tenait dans ses bras maintenant comme s'il était son enfant. "On t'a fait mal ce soir, hein mon coeur ?" "Ou-oui chérie..." répondit-il sur sa poitrine. "Je le sais bien trésor, mais tu dois apprendre à faire ce que je veux. Et tu sais que tu dois garder ton nez dans mon cul toute la nuit, n'est-ce-pas ?" "Ou-oui mais... Mais je... Je remue dans mon sommeil..." Elle le coupa : "et les enfants pissent au lit, mais ils apprennent à ne plus le faire, et, Michel, je suis sure que tu peux de même apprendre à ne pas bouger ton nez de mon cul pendant la nuit. Sinon, hé bien, nous continuerons tout simplement nos séances du vendredi soir. Tu as compris ?" Michel sanglota un oui, et Diane lui sourit en l'attirant vers elle. "Chhht. Allez, calme-toi maintenant. Arrête de pleurer." Michel souffrait terriblement. Son dos était en sang, couvert de zébrures, mais c'était si bon d'être étreint ainsi par sa femme que bientôt il commença à se calmer. Elle adorait quand il pleurait. Elle le regarda et trouva qu'il ressemblait vraiment à un enfant ainsi, si impuissant. Mais elle n'était pas sa mère, elle était sa femme : pas son amante, et il n'était pas à la place qu'il lui appartenait et il était temps de le lui faire comprendre. Elle mit ses mains sur la tête de son mari et commença à le pousser vers le bas doucement. "Bien Michel, ca suffit maintenant. Descends. Allez. Allez Michel, tu sais où est ta place. Mets ton visage dans mon cul. Je suis fatiguée et j'ai envie de dormir. Et j'ai envie de savoir si tu as bien appris ta leçon de ce soir." Michel apprit cette nuit ce que signifiait la demande inflexible de sa femme. Il essaya, il essaya vraiment. Il resta éveillé un long moment, gardant son nez sur l'anus de sa femme. Son dos le faisait terriblement souffrir, et non seulement il devait endurer l'odeur repoussante, mais il devait de plus supporter la douleur de son dos meurtri, sans pouvoir bouger son visage. Il devait s'assurer que son nez ne bougerait pas. Il essaya, mais vers trois heures du matin Michel s'assoupit, et juste à cet instant Diane se réveilla pour aller aux toilettes. "Je suppose que tu aimes la cravache, Michel. Tu viens d'en gagner cinq coups pour vendredi prochain. Voyons combien tu en gagneras en plus." Le vendredi, Michel avait gagné trente coups de cravache, la plupart pour ne pas avoir maintenu sa tête entre les fesses de Diane, mais aussi pour divers autres actes de désobéissance. Cette nuit-là, Michel resta éveillé afin de s'assurer de ne pas bouger sa tête. Cela marcha, Diane avait raison : elle avait dressé son mari à ne pas retirer sa tête durant son sommeil. Bien sûr, Diane bougeait durant la nuit, mais quand cela arrivait Michel devait rapidement suivre le mouvement et remettre son nez en position. La première fois que cela arriva, Michel fut effrayé que sa femme prenne cela comme un acte de désobéissance, et il repositionna vite son visage entre les larges fesses de sa femme, et comme il désirait instinctivement s'excuser, il le fit en déposant un baiser sur l'anus de sa femme, un baiser d'excuse, un baiser de soumission. Il remit ensuite son nez où il savait qu'il devait être, juste à l'extrémité de son anus, en espérant qu'elle lui pardonnerait. Puis il se concentra pour ne pas bouger son visage à nouveau. Tout cette scène se passa si vite que Diane ne réalisa que quelques instants après ce qui arrivait, mais elle eut du mal à se retenir de rire quand elle s'en aperçut. Il y eut trois changements définitifs dans la vie de Michel à la suite de cette nuit. Premièrement, Diane avait raison : elle était capable de le dresser à dormir sans bouger son visage de ses fesses. Deuxièmement, tous les vendredi soirs devinrent des soirées de punitions et Diane, avec ses amies, allaient maintenant châtier à coups de cravache Michel pour toutes les erreurs qu'il avait commises, ou pour toutes les choses qu'il n'avait pas faites alors qu'il aurait dû. Les femmes allaient ainsi consacrer à Michel une soirée entière par semaine, car cela pouvait prendre trois à quatre heures pour infliger à Michel ses punitions, alors qu'il devait rester immobile pendant tout ce temps, allongé sur l'accoudoir du canapé. Elles pouvaient faire plusieurs pauses, prenant leur café entre les punitions, avant de recommencer à le battre. Cela faisait maintenant quinze ans que cela durait, depuis cette nuit de vendredi de leur première année de mariage. En plus de soulager leurs tensions accumulées durant la semaine, ces séances du vendredi soir satisfaisaient les instincts sadiques de Diane et ses amies. Elles visaient de leur cravache le dos de Michel en jouissant de ses cris de douleur, et bientôt il arbora une bande de peau rougie sur le dos. Michel trouvait que les motifs de ses punitions étaient souvent très arbitraires. Il le mentionna une fois à sa femme, le plus humblement possible, qui lui répondit en lui tapotant le crâne qu'il ne devait pas s'en faire à ce sujet : la seule chose qui importait était que ces punitions l'aidait à rester soumis et attentif pour mieux la servir en dormant avec son nez entre ses fesses, ou bien en servant de serviette à la plage. De plus cela lui permettait à elle et ses amies de se défouler de leurs tensions : que pouvait donc répondre à ça le pauvre Michel ? Et cette nuit-là Diane découvrit combien merveilleux c'était d'être embrassée sur l'anus, et, comme les années passaient, cela devint leur manière habituelle d'avoir des relations sexuelles : Diane s'allongeait sur son ventre sur le lit, avec ses jambes écartées, et Michel l'embrassait, d'abord sur ses fesses (ce qu'elle appelait en riant les préliminaires). Puis Michel devait embrasser et lécher autour de l'anus de Diane (la suite des préliminaires) et pour finir il embrassait l'anus lui-même "comme si tu m'embrassais sur les lèvres, ce qui ne t'es pas autorisé, Michel." Michel détestait faire ça, car l'anus de sa femme était souvent sale. Il trouvait souvent des morceaux de papier toilette coincés dans les poils, et il n'aimait vraiment pas mettre sa bouche là, mais Diane insistait. L'odeur était infecte, mais le goût était encore pire, en particulier quand Diane lui ordonnait de rentrer sa langue aussi loin qu'il le pouvait. Il avait osé une fois lui demander si elle pouvait se nettoyer avant, même s'il savait que c'était inutile : "Michel chéri, cela fait partie de moi, et si tu m'aimes tu dois aimer chaque partie de mon corps. Et maintenant, quinze ans après, Michel essayait comme toutes les nuits de sommeiller avec son nez sur l'anus de sa femme. Le goût de son anus restait dans sa bouche depuis ce qu'ils avaient fait plus tôt dans la soirée. Puis il se rappela que c'était jeudi soir et que le lendemain ce serait vendredi. Et il avait obtenu cinquante coups de cravache... FIN