Un mariage infernal - Chapitre 14 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 14 = =============== Combien de temps allait-elle encore le garder ainsi, agenouillé et embrassant ses jambes, alors qu'elle était confortablement assise sur les bras de son mari ? Il se sentait tellement mal, mais tout ce qu'il pouvait faire était de rester à genoux devant elle, et continuer à l'embrasser, en pleurant : elle lui avait dit qu'il était autorisé à pleurer. Il trouvait que les jambes de sa femme n'étaient pas si jolies, elles étaient même plutôt grosses, et avaient des grains de beauté qu'il voyait de si près, et qu'il sentait avec ses lèvres quand il les promenait d'un endroit à l'autre de la cuisse. Il ne voulait plus la mettre en colère, mais il se sentait si mal à la suite de ce qu'elle lui avait dit au sujet de la permanence de sa ceinture. Diane le regarda en souriant. Elle venait de sortir avec un homme la veille et le jour même, elle venait d'annoncer à son mari qu'elle ne lui permettrait jamais d'avoir du plaisir sexuel, et il était là, agenouillé devant elle, embrassant ses jambes alors qu'elle était installée tranquillement sur ses bras. Mais en regardant son pauvre mari, elle réalisa qu'elle avait raison. Elle l'avait transformé en une créature pathétique, avec qui elle ne baiserait certainement jamais, et pour qui la simple idée de le laisser se masturber la dégoûtait. Elle avait bien raison de le laisser vivre avec un total déni de sexe. D'ailleurs, rien ne l'énervait plus qu'un mâle, lorsqu'il vient juste de jouir et qu'il n'est plus soumis à sa recherche de plaisir. Les mâles sont tellement plus facile à contrôler lorsqu'ils ont leurs boules pleines et cherchent à les vider. Hé bien, c'est ainsi que son mari serait à jamais, avec un besoin désespéré de jouir, mais sans jamais pouvoir le concrétiser. Cette nuit, Michel ruminait alors qu'il était allongé avec son visage dans les fesses de sa femme. Elle l'avait traité d'eunuque. Elle lui avait dit qu'il n'était ni mâle ni femelle. Etait-ce cela qu'elle voulait qu'il devienne, son eunuque ? Il avait accepté de ne pas avoir de plaisir sexuel durant un an, et maintenant elle lui avait annoncé que cela durerait toute sa vie. Pourquoi ? C'était si injuste. Alors il réalisa qu'elle devait attendre de lui également qu'il dorme ainsi même après qu'une année ait passé. Etait-ce ainsi que sa vie allait devenir ? Quelle sorte de vie allait-ce être ? Toutes les nuits passées avec son nez dans l'anus de sa femme, à respirer son odeur écoeurante. Cela sentait ainsi chaque nuit, certaines nuits étant pires que d'autres, suivant la façon dont elle s'était essuyée dans la journée. Mais cela sentait toujours mauvais. Et c'est alors qu'elle péta dans son visage... Michel était anéanti. Sa femme le contrôlait totalement. Elle ne lui avait laissé aucune liberté. Elle sortait régulièrement avec d'autres hommes, et à moins qu'elle ne l'emmène faire des courses, elle le laissait seul à la maison, toujours seul. C'était vraiment une vie terrifiante, et alors qu'il se demandait si les choses pouvaient aller encore plus mal, comme une réponse, Diane péta de nouveau. Alors, avec sa tête entre les fesses de sa femme, Michel pleura à nouveau, comme un bébé. Que pouvait-il faire ? Il n'avait plus d'argent, plus de carrière, plus d'amis. Il était prisonnier. Peut-être que s'il devenait totalement soumis, telle qu'elle le souhaitait, les chose s'amélioreraient... Peut-être. Alors qu'il était allongé ainsi dans la moiteur des draps et environné par l'odeur du corps de sa femme, il compris l'erreur qu'il avait commise en provoquant la colère de sa femme : il ne devait tout simplement plus lui résister, quelle que soient ses exigences. Il ne pouvait plus aller nulle part en dehors de son mariage, et de toute façon Diane ne le lui aurait jamais permis. Il sanglota, réalisant la terrible erreur qu'il avait commise en se mariant avec Diane, mais en comprenant également qu'il ne pouvait plus rien y faire, et qu'il devait apprendre à accepter cette vie du mieux qu'il pouvait. Il savait qu'il devrait toujours être totalement soumis à sa femme, mais peut-être pourrait-il lui parler de tout ça, s'il le faisait de façon très respectueuse... Le lendemain matin, alors que Diane était installée aux toilettes, assise sur les mains de son mari, savourant la sensation de ses baisers sur ses jambes, elle remarqua combien il avait l'air fatigué, car il était resté probablement éveillé durant la plus grande partie de la nuit. C'était un si gentil garçon, et il ne méritait vraiment pas la vie qu'elle lui faisait mener, mais elle ne pouvait s'en empêcher. Michel voulait lui parler, plaider sa cause mais il savait que ce n'était pas le bon moment. Il devait continuer à lui embrasser les jambes pour l'instant. S'il arrêtait maintenant, elle le prendrait mal. Enfin, elle tendit sa main droite pour prendre du papier hygiénique, se pencha sur un côté, appuyant de tout son poids sur le bras gauche de Michel alors qu'elle s'essuyait, puis répéta une fois l'opération. Michel n'osa pas réagir au terrible poids sur son bras et continua à embrasser les jambes de sa femme. Ensuite elle se leva, laissant Michel à genoux face aux toilettes maintenant remplies de ses excréments. "Bien chéri, tu peux tirer la chasse et il est temps ensuite d'aller au boulot." Michel pensa qu'il pouvait tenter alors sa chance. "D-diane, ai-je la permission de te parler ?" Elle le regarda, debout, avec amusement, lui étant toujours agenouillé avec soumission. "Oui Michel, qu'y a-t-il ?" Il avait réfléchi à ce moment durant toute la nuit, alors qu'il restait éveillé entre ses fesses odorantes. "Diane, j-je comprends que tu ne me laisseras jamais avoir des rapports sexuels avec toi. Et-et tu veux que je te lèche, que je nettoie la maison et tout et tout, mais..." Il déglutit : "mais pourquoi, je veux dire, si je suis vraiment obéissant pendant tout le reste de l'année, heu..." Diane adorait quand il s'abaissait ainsi. "Je v-veux dire, je pensais qu'après une année tu m'aurais enlevé ce truc, et-et que je n'aurais plus à dormir avec ma tête dans-dans tes fesses, que-qu'on pourrait avoir un genre de vie normale, avoir un enfant..." Diane ne put garder son sérieux et éclata de rire. "Mais j'ai déjà un enfant, Michel. Tu agis un peu plus comme un enfant tous les jours." Il était ainsi, agenouillé devant elle, la suppliant de le laisser vivre une vie normale. Ses amies n'allaient jamais le croire ! Il se comportait comme un enfant, et elle allait le traiter comme tel. Il lui rendait la tâche si facile ! "Michel, tu n'es pas très gentil de me demander ça. N'as-tu pas entendu ce que je t'ai dit hier au sujet de ta ceinture ? Si tu était un bon garçon tu accepterais de faire ce que j'ai dit, et tu n'essayerais pas de discuter avec moi. Je ne pense pas qu'il n'y ait quoi que ce soit qui ne soit pas clair dans ce que je t'ai dit. Tu garderas ta ceinture de façon permanente. Non pas pendant une année, ou deux, ou dix. Pour toujours. Et cela ne dépendra pas du fait que tu sois obéissant ou non, et crois-moi tu le seras, j'y veillerai. Michel, tu sais bien que tu n'es pas autorisé à baiser, n'est-ce pas ?" Michel déglutit : "Ou-oui, mais..." "Alors pourquoi veux-tu retirer ta ceinture ? En fait, je sais pourquoi : tu veux te masturber comme un petit garçon, et voilà bien la raison pour laquelle je veux que tu la gardes tout le temps. Est-ce que je veux un enfant ? Hé bien, j'en ai un !" "Et maintenant, qu'est-ce que c'est que cette histoire à propos de ne pas dormir avec ton visage dans mon cul ? Est-ce qu'on est en train de revenir en arrière, Michel ? De régresser ? Je pensais que l'on avait établi tout ça depuis bien longtemps. N'est-ce pas ?" "Oui," dit-il en espérant la calmer, et regrettant d'avoir parlé de tout ça. "S'il te plaît..." "Est-ce que j'ai jamais dit que cela allait durer juste un an ? Hein ? Est-ce que tu m'as jamais entendu dire ça ? Je t'ai posé une question, Michel." Elle paraissait très en colère maintenant. Michel bégaya un non timide. "Alors pourquoi remets-tu ça sur le tapis maintenant ? Est-ce que tu as décidé de m'emmerder ? Alors ?" Michel déglutit : "j-je te de-demande pardon..." Diane eut du mal à ne pas éclater de rire. Il s'excusait, alors qu'elle savait parfaitement qu'elle était en train de le martyriser. Mais elle continua, sans pitié : "Tu sais combien j'adore avoir ton nez dans mon cul quand je dors, n'est-ce pas ?" Michel murmura un oui, espérant que cela la calmerait. "Alors pourquoi reparles-tu de tout ça ? Je ne te comprends pas, Michel. Tu sais combien j'adore la sensation de ta tête dans mon cul quand je dors, alors pourquoi j'abandonnerai ça après un an ? Est-ce que ça te paraît logique, Michel ? Non Michel, laisse-moi mettre les points sur les i : tu vas devoir passer toutes tes nuits avec ta tête dans mon cul pour le reste de ta vie. Toutes les nuits, Michel. Point barre. D'où est-ce que tu as pu tirer cette idée que cela pourrait changer au bout d'un an, Michel ? Je parie que tu vas me bassiner ensuite parce que tu n'arrives pas à dormir ainsi durant presque toute la nuit, et que mon cul sent mauvais. N'est-ce pas ? Est-ce que mon cul sent mauvais, Michel ?" "Ou-oui," murmura-t-il, espérant toujours qu'elle s'arrête. "Et pourquoi sent-il mauvais ? Voyons si tu es intelligent. Dis-moi. Pourquoi mon cul sent-il ?" Michel regrettait réellement d'avoir entamé cette discussion. "Par-parce que tes excréments sortent de là." "Oh, ouais, donc tu sais ! peut-être que tu n'es pas aussi stupide que ça, après tout. Et restes-tu éveillé durant la majeure partie de la nuit, Michel ?" Il murmura un très faible oui. "Hé bien, je suppose que c'est parce que ton corps est aussi rebelle que toi, et qu'il n'arrive pas à accepter que l'unique façon qu'il a de dormir est là-dessous. Michel, j'espère réellement que nous ne sommes pas en train de régresser et de revenir en arrière. Tu as déjà passé toutes les nuits des six derniers mois avec ta tête dans mon cul, et cela ne t'a pas tué, même avec le manque de sommeil. Michel, il est temps que tu comprennes que c'est devenu ta vie normale, maintenant. Bon, maintenant je ne veux plus avoir à revenir là-dessus avec toi. D'ailleurs, je ne veux plus que tu ne parles dorénavant sans permission, ou à moins que moi ou une de mes amies t'aient posé une question. Les petits garçons sont fait pour être vus et non entendus, alors arrête de parler. Les bons petits garçons ne parlent que quand on leur demande." Elle vit l'air misérable de son mari sur son visage, et se mit à lui parler plus doucement. "Michel chéri, la seule chose qui ait fait l'objet d'une période d'un an était ta ceinture de chasteté. Et hier soir je t'ai dit que j'en avais discuté avec Charles et que j'avais décidé que cette période d'un an n'avait plus lieu d'être, et que tu allais garder ta ceinture de façon permanente. Il n'a jamais été question d'une période d'un an au sujet de ta tête dans mon cul, et je ne sais pas où tu es allé pêcher ça." Elle posa sa main sur la tête de son mari, alors qu'il était toujours à genoux. "Chéri, tu dois accepter que c'est ainsi que ta vie sera pour toujours. Maintenant il est temps d'aller au boulot, et j'espère que tu seras un bon garçon à ton travail, et il vaudrait mieux pour toi que Barbara soit satisfaite de tes services. Et je ne tolèrerai aucune bouderie de ta part. Je ne l'admettrai pas. Tu peux pleurer tant que tu veux, mais jamais bouder. Compris ?" Michel murmura un oui. "Maintenant embrasse mon cul et allons bosser." Diane ne pouvait espérer que les choses aillent mieux. Elle avait clairement indiqué à son mari comment seraient leurs relations, et ce sans espoir de changement pour lui. Qu'est-ce qu'il avait espéré ? Avait-il réellement espéré un changement au bout d'un an ? Elle voyait bien combien il était malheureux, mais avait-il réellement espéré être heureux dans leur mariage ? A suivre...