Un mariage infernal - Chapitre 13 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 13 = =============== "Je ne sais pas à quelle heure je rentrerai ce soir chéri, mais je veux que tu nettoies toutes les fenêtres aujourd'hui," dit-elle le lendemain matin. "Tu devrais avoir tout le temps qu'il faut". Ce qui fut le cas. Michel haïssait de savoir que sa femme était avec un autre homme alors qu'il devait rester ici, nu, à nettoyer la maison. Alors que c'était un si beau jour de printemps au dehors. Mais avec ses vêtements sous cadenas, il ne pouvait sortir. Il lava les fenêtres et imagina sa femme à la plage avec Charles. Il savait bien qu'elle ne s'assiérait pas sur lui. Oh, il était si malheureux. Et si seul. Si seulement il avait pu se sortir de ce système qu'elle lui avait imposé. Il savait qu'il devait lui prouver qu'il était docile. Des larmes coulèrent de ses yeux à nouveau. Il pleurait souvent maintenant, et il avait remarqué que Diane appréciait cela. Sa ceinture de chasteté lui rappelait l'injustice de cette situation. Il avait accepté d'avoir son pénis cadenassé pendant un an. Hé bien, l'année était en train de passer, et il lui montrerait bientôt de quoi il était capable, et alors... Diane rentra à la maison ce soir-là à onze heures et demi, avec un sourire satisfait aux lèvres. "La maison est parfaite, Michel. Ces week-ends sont vraiment pratiques pour le ménage". Michel était heureux de ces compliments pour son travail, mais cela lui rappelait en même temps que cela était en train de devenir sa routine. Diane s'étira. "J'ai envie de pisser. Va aux toilettes". Michel fit comme sa femme l'ordonnait et s'agenouilla avec les bras sur la lunette, puis Diane s'assit après avoir baissé sa jupe. Michel savait ce qu'il avait à faire et donc il baissa son visage vers les cuisses de sa femme, sentant le sel et le sable venant de la plage, frustré d'avoir passé cette journée magnifique à briquer la maison alors qu'elle s'était amusée dehors. Diane finit d'uriner mais resta assise sur les mains de Michel qui continua à lui embrasser les jambes. "Nous avons eu une journée formidable, Michel. Au fait, tu as dû avoir les oreilles qui sifflaient, car nous avons parlé de toi". Michel ne répondit pas et continua à embrasser les cuisses de sa femme, comme il avait appris à le faire. "Aujourd'hui j'ai expliqué à Charles notre accord d'emprisonner ta bite pendant un an. Tu aurais dû voir sa tête lorsque je lui ai raconté ça, chéri, et comme cela l'a fait rire. Ensuite, il m'a dit quelque chose qui m'a amusée également, Michel. Charles a dit que j'avais fait de toi un eunuque. J'ai trouvé ça très drôle." Diane vit l'air effondré de son mari sur son visage qui était face à sa jambe, et elle tapota le bas de son cou avec affection. "Mais quand on y réfléchit, je suppose que c'est vrai Michel. Avec ton pénis emprisonné, tu n'es ni un homme ni une femme." Elle rit. "Tu n'es ni un homme ni une femme, tu es un eunuque." Et elle rit à nouveau. "Ensuite Charles et moi nous avons discuté de notre arrangement pour un an, Michel, et Charles m'a fait remarquer un point très intéressant, chéri. Charles est très intelligent. Il m'a demandé si mon état d'esprit aurait changé d'une façon ou d'une autre dans un an, et après y avoir pensé à peine une seconde, j'ai réalisé que non. Je sais que je veux te garder puceau, et comme j'y réfléchissais j'ai réalisé que jamais je ne te laisserai te branler. C'est vraiment dégoûtant, particulièrement pour un adulte." Elle caressa de nouveau le bas du cou de son mari, son visage toujours face à son genou. "J'adore ta ceinture Michel, et la façon dont elle t'influence. Le fait de t'interdire de jouir te pousse à être plus aimable, docile, soumis. Hé bien, Charles m'a fait comprendre qu'il était vraiment injuste de te laisser espérer quoi que ce soit sur ce qui arrivera quand l'année sera écoulée, et, chéri, il a raison. Ce n'est pas correct de ma part de te laisser compter les jours et te décevoir quand l'année sera terminée et que je t'annoncerai que l'on ne te retire pas ta ceinture. Aussi disons-le clairement tout de suite. Oublie le compte de cette année Michel, ta ceinture restera de façon permanente. J'ai décidé que je ne te laisserai jamais jouir. Tu n'en as pas besoin." Michel était sous le choc. Il ne pouvait croire ce qu'il venait d'entendre. Il avait compté les jours : il en restait 186. Encore cet après-midi il y avait pensé. Il croyait que quand ces 186 jours seraient passés, sa femme aurait enlevé son cadenas, et tout aurait alors changé, c'est-à-dire qu'ils auraient vécu comme un mari et une femme normaux. Mais non. Tout allait continuer comme avant. Sans réfléchir Michel leva son visage de sa cuisse et se mit à crier : "Tu ne peux pas ! C'est injuste !". Diane bien sûr ne pouvait laisser passer cet accès de colère, même si elle pouvait le comprendre. Elle le gifla sèchement, et comme elle était assise sur ses bras, Michel ne pouvait protéger son visage, qui constituait ainsi une cible idéale en face d'elle. Elle le gifla encore, et encore. "Comment oses-tu me parler ainsi, Michel ? A qui crois-tu parler ainsi ?" Le visage de Michel était maintenant rouge vif après la volée de gifles. "Ne me parle plus jamais, jamais sur ce ton Michel. Tu as compris ?" Les yeux de Michel étaient remplis de larmes, qui commençaient à couler le long de ses joues. Il respira profondément et s'excusa. Diane faillit éclater de rire. Il s'excusait ! Elle venait juste de rentrer à la maison après avoir passé l'après-midi avec un autre homme, elle avait annoncé à son mari qu'elle ne lui permettrait jamais d'avoir aucune sorte de plaisir sexuel, et enfin elle l'avait giflé furieusement lorsqu'il s'était mis à objecter, et il lui présentait ses excuses ! Elle constata qu'il pleurait à chaudes larmes maintenant. Elle adorait ça. Elle l'avait transformé en petit garçon, et elle adorait lorsqu'il pleurait ainsi. "Diane, je t'en prie, ce n'est pas normal. Je-je suis un adulte. Je suis ton mari, je t'aime. Pourquoi fais-tu ça ?" "Si tu m'aimes tant, Michel, pourquoi tes lèvres ne sont pas sur mes jambes, où elles devraient être ? Je ne t'ai pas donné la permission d'arrêter d'embrasser mes jambes, me semble-t-il ?" Michel déglutit et rabaissa son visage vers ses larges cuisses couvertes de sable, recommençant à l'embrasser. Il se sentait si impuissant. "C'est mieux Michel. Des baisers doux et soumis. Tu le sais bien. Garde tes lèvres bien écartées. Comme ça. Bien. L'extérieur de mes cuisses également, Michel. Tu les oublies toujours. Là," dit-elle en indiquant du doigt. "Et ici. Tends un peu le cou. Je veux que tu embrasses chaque centimètre carré de mes cuisses, depuis mon bassin jusqu'aux genoux. Déhanche-toi un peu. Garde tes lèvres en mouvement. C'est mieux. Mmmmmh. Oui. C'est ainsi que je t'apprécie, Michel, docile et soumis. Tu devrais le savoir maintenant. Réfléchis Michel", dit-elle en essayant de lui démontrer le bien-fondé de sa nouvelle décision, "si tu te rappelles bien, je ne t'ai jamais dit que j'enlèverai ta ceinture après un an. Je t'ai dit que je verrai. Bien, j'ai réfléchi et pris ma décision. Je sais que tu en es frustré mais cela est bon pour toi. J'aime quand tu es frustré. Cela t'aide à être serviable et soumis comme en ce moment. J'aime ça. Et cela ne changera ni dans un an, ni dans dix ans. Maintenant je sais que tu penses probablement que je suis une vraie salope, Michel, mais essaye de considérer tout ça d'un autre point de vue. Je pense que j'ai été gentille envers toi en t'annonçant ça ce soir, au lieu de te laisser compter les jours tout le reste de l'année et d'être déçu lorsque je t'annoncerai finalement que tu gardes ta ceinture. Car tu comptais les jours, n'est-ce pas ?" Michel leva son visage de sa jambe et sanglota un oui, et Diane le gifla à nouveau en hurlant : "Garde tes lèvres sur ma jambe quand tu me réponds Michel, bon sang ! Combien de fois faudra-t-il que je te le dise encore après tous ces mois ?" Michel était effrayé par sa femme, et il rebaissa rapidement sa tête vers ses cuisses, recommençant à les embrasser. "Je ne tolèrerai plus de désobéissance, Michel. A chaque fois que tu es dans cette position, tu dois garder tes lèvres sur mes jambes, les embrasser et continuer jusqu'à je me lève ou que je te dise d'arrêter. Et quand tu me réponds tu dois garder tes lèvres contre ma jambe. Tu devrais le savoir maintenant, je te l'ai dit si souvent !" Puis, avec une voix plus douce : "Tu comptais les jours, n'est-ce pas ?" "Oui," murmura-t-il, mais cette fois-ci en gardant sagement ses lèvres contre la jambe de sa femme. Diane sourit et tapota sur sa tête. "Tu vois, tu peux être un bon garçon quand tu veux." Diane était maligne. Elle avait réussi à pousser son mari dans une situation où la seule réaction qu'il était autorisé à avoir lorsqu'elle lui annonçait de telles monstruosités était de continuer à embrasser ses jambes. Comment pouvait-il discuter avec elle dans cette position ? Elle venait de lui annoncer qu'il n'aurait jamais la permission de connaître l'orgasme, et tout ce qu'il pouvait faire était embrasser les jambes de sa femme. "Ecoute, Michel, cela aurait été méchant de ma part de te laisser continuer à compter les jours ainsi. J'ai réalisé ça cet après-midi avec Charles. Le plus tôt tu comprendras que t'empêcher de jouir sexuellement fait partie de ma domination sur toi, le mieux ce sera pour toi, et pour notre relation. Tu comprends ? Michel, tu savais bien avant de te marier avec moi que je ne te laisserais jamais agir sexuellemnt comme un homme avec moi. Le sexe pour toi dans notre mariage signifie me satisfaire avec ta bouche, tes lèvres et ta langue. Avec soumission. Voilà ce que j'aime. Et pour faire ça tu n'as pas besoin de jouir. C'est sale et dégoûtant, et seuls les vrais hommes devraient avoir le droit de jouir. D'ailleurs j'ai bien raison de te traiter comme un petit garçon, car c'est comme ça que tu te comportes". Michel pleurait à chaudes larmes maintenant, mais il gardait consciencieusement ses lèvres sur les jambes de sa femme, continuant à les embrasser. Diane adorait quand il pleurait ainsi, agissant comme un enfant. "N'aies pas honte de pleurer, Michel. Peut-être cela te permettra de te sentir mieux. Et t'aider à accepter ce que je viens de te dire. Cela te donne l'air si docile et soumis quand tu pleures, et j'aime ça." A suivre...