Un mariage infernal - Chapitre 12 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 12 = =============== Diane prit ensuite le téléphone et appela Barbara. "Salut Barbara, je t'ai entendu dire que tu recherchais un magasinier. Hé bien, j'en ai trouvé un. Qui ? Michel. Oui, mon Michel. Il va démissionner de son boulot et comme ça il pourra devenir ton employé." Diane adressa un sourire à Carole qui le lui retourna. "C'est vrai, son boulot lui procure trop de fierté et de confiance en lui, et cela pose des problèmes dans notre couple. J'ai pensé que travailler pour toi comme magasinier devrait l'aider à se débarrasser de cette fierté déplacée. Car tu es une vraie peau de vache !" Carole et Diane éclatèrent de rire. "Oh Barbara, tu n'as pas à me remercier. C'est à ça que les amis servent. En ce moment ? Il est juste là avec mon pied dans sa bouche. D'accord, je te le déposerai demain matin en partant au travail. Salut." "Ca y est Michel chéri, tu as un nouveau boulot. Quand tu auras fini de nettoyer mon pied tu appelleras M. Martin et tu lui annonceras que tu démissionnes. Tu pourras lui expliquer que tu dois apprendre à lécher les pieds de ta femme et enlever la saleté de ses ongles de pieds. Maintenant vérifions comment tu t'es débrouillé." Elle retira son pied de la bouche de son mari et l'inspecta. "C'est bien mieux. Tu vois Michel, tu peux être un bon garçon quand tu veux. Maintenant Michel, la prochaine fois que je verrai de la saleté en-dessous d'un ongle de pieds après que tu aies fini de lécher mes pieds, je te le ferai regretter très très fort. Bien. Maintenant appelle M. Martin et dis-lui que tu démissionnes". Michel leva les yeux vers sa femme et commença à pleurer comme un enfant. Il adorait son travail. Pourquoi faisait-elle cela ? "Je t'en prie Diane, je t'en prie. S'il te plaît ne me demande pas de faire ça". "Tu vois ce que je voulais dire sur l'influence négative de son boulot, Carole ? Est-ce qu'il a l'air d'un mari soumis d'après toi ? Je lui ai donné un ordre, et il discute avec moi." "Je ne discute pas," plaida Michel, "mais j'adore mon travail..." "Tu es sensé m'adorer moi, Michel. C'est ce boulot qui te donne cette attitude que je déteste, cette espèce de fierté masculine dont nous devons te débarrasser une fois pour toutes. Maintenant tu m'as entendu dire à Barbara que tu allais devenir son magasinier. Qu'est-ce que tu attends de moi ? Que je la rappele pour lui dire que mon mari, qui est supposé être parfaitement obéissant se permet de discuter mes ordres ? Maintenant prends le téléphone et appelle M. Martin pour démissionner avant que je ne me mette réellement en colère. Maintenant !" Bien sûr Michel fit ce qu'elle lui avait dit, mais M. Martin restait perplexe jusqu'à ce que Diane prit le combiné et demanda au patron de Michel de ne plus les importuner. "Ainsi, fini pour ta carrière d'ingénieur. Maintenant tu peux démarrer ta nouvelle carrière de magasinier, ce qui sera plus en rapport avec ta personnalité." Cela fit éclater de rire Carole, puis Diane l'imita. Elles savaient toutes deux que ce que venait de faire Diane à son mari était si monstrueux, et définitif. Quand Diane avait rencontré Michel, il était si fier de son poste d'ingénieur, et elle savait qu'il était bon dans son domaine. Tout le monde le trouvait brillant et le voyait promis à une grande carrière. Tout cela était évanoui ! Avec un coup de téléphone elle lui avait tout pris. Michel réalisa ce qu'elle lui avait fait alors qu'il était allongé cette nuit, éveillé avec son visage sur le derrière imposant de sa femme. Alors qu'il était là, respirant son odeur écoeurante, il réalisa que sa carrière s'était envolée. Toutes ces années d'études, à apprendre les bases, disparues ! Son travail était devenu la seule partie de sa vie qu'il appréciait, et maintenant elle le lui avait retirée. Pourquoi était-elle aussi cruelle ? Il commença à sangloter, et Diane sourit en entendant ses pleurs et en sentant ses larmes sur ses fesses. Diane déposa Michel chez Barbara le lendemain comme une mère amènerait son enfant à l'école, et cela amusa Barbara quand elle lui demanda de ne pas permettre à Michel de se laver le visage afin qu'il garde l'odeur de son sexe. Barbara éclata de rire lorsque Diane lui dit qu'il devait demander la permission pour aller aux toilettes, et qu'il n'avait pas le droit d'en fermer la porte. "Je pense que tu devrais jeter un coup d'oeil pour voir comment il doit se pencher au-dessus des toilettes pour pisser... Et n'hésite pas à lui crier dessus, Barbara, et tu peux même le gifler quand tu le désires. J'essaie de le débarrasser de cette fierté masculine, mais il en reste de temps en temps dans cette sale caboche. N'est-ce pas Michel ?" Michel grommela un oui, très embarrassé. "Donc s'il fait quelque chose, la plus petite chose que tu n'apprécies pas, gifle-le. Il comprendra et tu me rendras service." "Comment était ton premier jour comme magasinier, chéri ?" Michel était rentré à la maison, avait retiré ses vêtements et était nu maintenant. Peut-être n'était-il pas trop tard. Il détestait cet emploi. Il devait en parler à sa femme. Diane avait pris un verre, enlevé ses chaussures et ses collants, et avait vu avec satisfaction son mari prendre docilement position pour donner à ses pieds leur bain de langue du soir. Elle était de bonne humeur, et elle nota l'air attristé de son mari. "Pourquoi as-tu l'air si triste chéri ?" Michel déglutit. "Diane, ce n'est pas normal." "Quoi chéri ? Qu'est-ce qui n'est pas normal ? Tu veux dire devoir lécher les pieds sales de ta femme ? C'est ça que tu veux dire Michel ?" Il comprit que c'était inutile. Il aurait dû s'en douter. "Mon coeur, c'est tout à fait normal. Chéri, tu dois arrêter de te considérer comme un homme. Connais-tu un seul homme qui soit marié mais qui soit resté tout de même puceau ?" Elle lui rit au nez. Son pied sentait terriblement mauvais devant lui, et il savait qu'il l'aurait bientôt dans sa bouche. Michel avait suggéré quelques semaines auparavant que cela ne l'aurait pas dérangé de lécher ses pieds si elles pouvait les laver avant, mais elle avait rit en répondant que si elle les lavait avant elle n'aurait plus eu besoin de sa bouche pour les nettoyer ensuite. "Diane, je t'en prie," se mit-il à supplier, "je te lècherai les pieds, je ferai tout ce que tu veux, mais ne me force pas à être magasinier : je suis un ingénieur ! Oh, je suis si malheureux." "Je suis désolée que cela te rende malheureux Michel, mais je pense que cela ira mieux pour toi si tu acceptes de faire ce que je te dis. Tu n'es plus un ingénieur maintenant. Tu es dorénavant un magasinier. Accepte-le Michel. Dans quelques années tu auras oublié tout ce que tu savais au sujet du métier d'ingénieur. Et maintenant tu vas lécher mes pieds Michel. Tous les soirs et à chaque fois que je le désirerai. Mais maintenant assez de discussion. Mes pieds sont brûlants et en tout en sueur et je les veux dans ta bouche tout de suite. Ahhhhhh. Comme ça. Tu es un bon garçon. Michel, tu dois arrêter de regarder en arrière la vie telle qu'elle était pour toi avant notre mariage. Mmmmmhh, c'est si bon. Michel, voilà ce que tu dois apprendre. Comment me lécher et nettoyer les pieds, comment embrasser mes jambes et comment me lécher le sexe. C'est ça que tu dois connaître, et non l'ingénierie. L'ingénierie te distrait de cet objectif, Michel. Je suppose que tu devais penser à ton boulot à chaque fois que tu faisais quelque chose que tu n'aimais pas, comme garder mes pieds odorants dans ta bouche comme en ce moment, ou bien mettre ton visage entre mes fesses la nuit. N'ai-je pas raison ?" Michel, avec le pied de sa femme profondément enfoncé dans sa bouche, ne répondit pas. "Donc maintenant tu n'es plus ingénieur et tu peux ainsi te concentrer sur ce que tu es sensé faire pour moi". Michel était si seul. Diane lui avait interdit de garder contact avec ses anciens amis ou sa famille. "Je suis ta famille maintenant, Michel. Je suis la seule famille dont tu aies besoin." Michel n'avait jamais personne avec qui parler. Les week-ends, Diane faisait nettoyer la maison à Michel, ou l'emmenait faire des courses avec elle, souvent avec Carole, en le traitant comme un enfant. Bien que Diane et Carole affectaient de l'ignorer, elle ne lui permettait pas de s'éloigner et donc il s'ennuyait terriblement. Les samedi soirs et souvent le dimanche Diane sortait avec ses amis, laissant Michel nettoyer la maison et effectuer ses corvées. Diane fit de très gros progrès avec Michel les six premiers mois de leur mariage, et l'aide que lui apportèrent ses amies Carole et Barbara compta pour beaucoup. Michel continuait de croire que tout cela pourrait changer. L'année passait et il continuait à espérer. Un samedi soir Diane rentra à la maison à une heure du matin, ce qui n'était pas inhabituel, et elle s'amusa de voir son mari toujours en train de briquer le sol. Il était déjà propre, mais Michel ne voulait prendre aucun risque. Il avait été tellement déprimé toute cette soirée. Sa femme était dehors avec un autre homme à faire Dieu sait quoi. "Salut chéri, je suis de retour." Elle marcha vers lui, lui sourit en baissant la tête vers lui et s'étira. "Oh Michel, j'ai passé une formidable soirée. Et demain il devrait faire beau et chaud, aussi Charles et moi irons à la plage." Michel déglutit. Diane rit : "Allez Michel, ne boude pas encore. Va aux toilettes. J'ai envie de pisser." A suivre...