Un mariage infernal - Chapitre 11 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 11 = =============== "Comment s'est passée ta réunion ?" demanda-t-elle en rentrant ce soir-là. Michel était déjà à la maison, bien sûr entièrement nu, et elle nota son air triste. "J-je l'ai ratée, Diane. Et M. Martin n'a pas apprécié." "C'est vraiment dommage," dit-elle, ressentant du plaisir à avoir mis à mal sa carrière. "Mais moi-même je n'ai pas apprécié la manière paresseuse avec laquelle tu embrassais mes jambes. As-tu expliqué ça à Monsieur Martin ? Lui as-tu dit que ta femme t'avait appris à embrasser correctement ses jambes ?" Michel encaissa sans mot dire. Diane souria. Elle voyait bien que son mari était en colère et tentait tant bien que mal de la contenir, mais elle allait la lui faire ravaler. Elle allait détruire ce qui lui restait de confiance en lui afin qu'il ne puisse plus jamais être capable de manifester de la colère. "As-tu expliqué à M. Martin que tu agissais comme un macho, ou bien que tu rêvassais quand tu embrassais mes jambes, alors que tu es sensé être attentionné et agir avec humilité ? Lui as-tu dit ça ?" Michel ne répondit pas, et Diane continua : "j'espère que tu te souviens de ta leçon de ce matin, Michel, n'est-ce pas ?" "Ou-oui," répondit-il, se sentant stupide et vexé. Diane rajouta : "tu ferais mieux. Quand tu embrasses mes jambes, je veux que tu penses à ça et pas à ton stupide boulot. Tu devrais être concentré à me faire plaisir, avec soumission, et montrer du respect et de la vénération pour mes jambes. Ne crois pas que notre mariage est de ce genre où ton boulot va devenir plus important que servir ta femme, et le plus tôt tu apprendras ça, le mieux cela sera pour toi." Il espérait qu'elle allait s'arrêter là. "Tu m'as comprise ?" Michel grommela un oui. "Bien. Maintenant va aux toilettes. J'ai envie de pisser, et nous vérifierons ce que tu as appris ce matin. Et, Michel, si tu ne sais pas ta leçon, nous en aurons une autre demain matin, et chaque matin jusqu'à ce que ça rentre." Michel entra dans les toilettes, s'agenouilla en face du siège, et quelques secondes plus tard il était en train d'embrasser les cuisses de sa femme, comme elle s'asseyait sur ses bras et ses mains. Diane souria en baissant la tête vers lui. Elle pouvait voir qu'il était en colère contre elle, mais il n'était pas autorisé à l'exprimer, il n'avait même pas le droit de bouder. Elle le laissa embrasser ses jambes. Elle avait eu raison de lui faire rater sa réunion, elle devait lui faire sentir qu'être au service de son corps était plus important que son travail. Puis elle changea d'attitude pour lui montrer qu'il était sur la bonne voie : "oh, quel bon garçon. Tu vois ? Tu arrives parfaitement à embrasser humblement mes jambes, comme je le désire. Bon, il est temps maintenant de donner un bain de langue à mes pieds." Des semaines passèrent et Michel vit de nouvelles contraintes s'imposer à lui. Diane rentra à la maison un samedi après-midi avec Carole pour trouver Michel en train de lire un journal. Il était nu comme elle le lui avait ordonné, mais installé dans une chaise en train de lire, et cela la rendit furieuse. Elle ne pouvait le tolérer. Elle ne pouvait supporter que son mari ait un seul moment pour lui. Michel était resté à la maison toute la journée et avait accompli toutes ses corvées, incluant le nettoyage et le cirage du sol de la cuisine, ce qui lui avait pris plusieurs heures. Il se relaxait maintenant en lisant un journal, et Diane décida à ce moment qu'il ne devait plus avoir aucune activité de détente, comme la télé ou la lecture. Michel n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait avoir fait de mal, et il fut abasourdi lorsqu'elle lui arracha son journal des mains et le gifla. "N'as-tu rien d'autre à faire Michel ?" Des larmes remplirent ses yeux et il porta la main à sa joue rougie. "J-J-J'ai tout fini..." "Vraiment ? Maintenant écoute-moi bien Michel. Je ne veux plus jamais te voir lire ou regarder la télé ! Tu m'as comprise ?" Michel vit un sourire narquois sur le visage de Carole, mais il savait que sa femme était réellement en colère. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi, mais acquiesca de la tête. "As-tu fait la lessive ? As-tu lavé les carreaux ?" Michel avait un air pathétique, des larmes coulant le long de ses joues. "N-non mais..." "Il n'y a pas de mais, Michel ! Tu es un ingénieur. Tu es sensé être intelligent. Si tu utilisais ton cerveau, je suis sure que tu pourrais trouver plein de choses à faire dans la maison quand je ne suis pas là. Je suppose que dorénavant je devrai te donner plus de travail". Il commença à partir vers la buanderie, l'air abattu. "Où vas-tu ?" Il se retourna. "M'oc-occuper du linge..." Diane s'approcha du canapé et s'assit près de Carole, se mettant à parler plus doucement, comme une mère le ferait à son enfant. "Michel chéri, les choses comme la lessive, les fenêtres et toutes les tâches ménagères, tu dois les faire quand je ne suis pas là. Quand je suis à la maison tu dois être à mon service, tu dois t'occuper de mon corps." Elle retira ses chaussures et ses bas. "Maintenant, après toute cette journée à marcher, mes pieds sont fatigués, sales et plein de sueur, et ils ont besoin d'un bon bain de langue. Ne le sais-tu donc pas encore ? Maintenant mets mon pied dans ta bouche." Diane releva la tête et sourit à Carole comme son mari s'agenouillait devant elle et prenait un de ses pieds odorants dans sa bouche. Après quelques minutes, sa colère s'évanouit avec le lèchage de Michel. "Tu vois Michel, tu peux être un bon garçon quand tu veux. Maintenant je pense que tu t'en souviendras. Tu ne dois plus jamais regarder la télé ou lire. Si tu as fini tes tâches ménagères alors que je suis à la maison, tu dois venir voir s'il y a quelque chose à faire pour moi. Peut-être mes jambes ont besoin d'être rasées, ou encore ai-je besoin de soins de manucure ou pédicure. Ou même d'un bain de langue pour mes pieds. C'est toujours un plaisir d'avoir mon pied dans ta bouche. Et si je ne suis pas à la maison, alors tu dois trouver une tâche ménagère à effectuer. C'est compris ?" Mike répondit avec un humble oui sans retirer le pied de sa bouche. Diane continua. "Tu n'as de temps pour rien d'autre, Michel. Ni lecture, ni télé. Je ne veux que tu penses à d'autres choses que me satisfaire. C'est la seule chose qui doit te préoccuper." Michel commença à réaliser ce que cela signifiait. Il n'aurait plus jamais aucun temps libre. Il devrait toujours nettoyer la maison ou servir sa femme. Sa vie allait devenir encore pire que ce qu'elle avait été. "Il devrait comprendre Diane, il est sensé être intelligent. C'est un ingénieur." "Tu as certainement raison", dit Diane à son amie Carole. "Bien, j'espère que tu as compris Michel. Dès que tu auras fini avec mes pieds je veux que tu prennes tous tes livres et que tu les mettes à la poubelle. Tu n'as pas à te préoccuper de ce qui se passe dans le monde, tu dois juste te préoccuper de mon corps. C'est tout ce qui doit être important pour toi, Michel. La moindre éraflure sur un de mes ongles de pied, une égratignure sur mon talon ou un nouveau bouton sur mes fesses doit être l'évènement le plus important dans ta vie. Tu n'as pas besoin de savoir se qui se passe au Japon, mais tu dois savoir quand il y a de la saleté sous un de mes ongles de pied qui a besoin d'être enlevée avec ta langue. Voilà ce qui est important pour toi de savoir, et ce n'est pas écrit dans les bouquins." Elle le laissa lécher ses pieds pendant une autre heure et lui ordonna ensuite d'aller jeter ses livres, de prendre une douche et de se raser. "Je suis vraiment une peau de vache," dit-elle à Carole quand Michel quitta la pièce. "Pourquoi dis-tu ça ?" répondit Carole. "Un nouveau bouton sur tes fesses est un événement majeur dans sa vie. Oh, j'adore !" Elle éclata de rire, imitée bientôt par Diane. Des mois passèrent, avec Michel tombant de plus en plus en esclavage de sa femme. Il croyait toujours que Diane changerait, et il comptait les jours en attendant leur anniversaire de mariage, espérant qu'elle lui enlèverait alors sa ceinture de chasteté, et les choses changeraient peut-être. La seule satisfaction que Michel conservait était son travail. C'était un bon ingénieur, promis à un brillant avenir. Et cela ennuyait Diane de plus en plus... Un soir, pendant que Michel donnait à sa femme un bain de langue à ses pieds, Carole était passée à la maison comme elle le faisait souvent et les deux femmes discutaient tranquillement, ignorant Michel : elles avaient pris l'habitude de le voir dans cette position servile avec un des pieds de Diane dans sa bouche. Les femmes parlaient de choses et d'autres, et quand Carole mentionna le problème que rencontrait leur amie Barbara pour trouver un magasinier pour son commerce, Diane eut une idée. "Je veux que tu démissionnes de ton travail, Michel", lui dit-elle soudain, son pied profondément enfoncé dans sa bouche. Michel laissa le pied glisser de sa bouche et leva les yeux vers sa femme avec inquiétude et incrédulité. "Diane, tu ne peux pas me demander ça, s'il te plait." Elle regarda Carole puis toutes deux baissèrent les yeux vers lui avec un sourire. "Si Michel, je te le demande. Je sais combien de temps tu as passé à faire des études, et combien tu aimes ton boulot, mais Barbara est une bonne amie et elle cherche un magasinier. Peut-être d'ailleurs que tes études t'aideront à être un bon employé pour Barbara. Ce sera ta nouvelle carrière." Diane sourit à Carole. Elle n'avait pas tort : elle avait remarqué le plaisir qu'il trouvait dans son travail, et celui-ci était devenu comme une échappatoire à son emprise sur lui, aussi avait-elle décidé de le lui retirer, comme elle l'avait forcé à ne plus voir ses amis quelques mois auparavant. Et sa famille, ses livres. Elle voyait plus d'intérêt pour elle qu'il arrête son travail, malgré l'argent qu'il gagnait en tant qu'ingénieur, qui n'était pas tant que ça de toute manière. Il était destiné à une belle carrière de cadre, et Diane avait décidé de couper court à tout ça. Elle gagnait elle-même déjà un salaire plutôt confortable, et il n'était pas question que son mari gagne plus d'argent qu'elle. Ils pouvaient vivre largement avec son salaire à elle, et la petite quantité d'argent que gagnait son mari en tant qu'ingénieur serait remplacée par le salaire donné par Barbara en tant que magasinier, à la différence près qu'elle détruirait ainsi toute possibilité de carrière future pour son mari. "Diane, je t'en prie laisse-moi garder mon travail. Laisse-moi au moins cette fierté !" Elle sourit d'un air narquois. "La fierté n'est pas un trait de caractère que je souhaite voir chez toi, Michel. Tu le sais, ou du moins tu devrais le savoir. Je te l'ai dit assez souvent pourtant. Je ne veux plus voir chez toi la moindre trace de fierté. Passivité, soumission et servilité sont les traits de caractère que je veux voir en toi. Maintenant remets mon pied dans ta bouche avant que je ne perde patience. Qui t'as donné la permission de le retirer ? Et fais travailler ta langue. Regarde cette saleté sous mes ongles de pied !" s'écria-t-elle en regardant Carole. Mes pieds sont dans sa bouche depuis une heure et regarde la saleté qu'il y a encore sous mes ongles." Elle montra ses pieds à Carole, qui abonda dans son sens. Comment osait-il laisser de la saleté sous les ongles de pied de sa femme ! Carole approuva : "C'est vrai, c'est encore sale, tu as raison Diane. Je pense qu'il est un peu paresseux." Diane se pencha en avant et agrippa Michel par les cheveux, poussant brutalement son visage vers ses pieds. "Regarde ! Tu vois la saleté ? Sous l'ongle du gros orteil, et l'orteil à côté. Tu la vois Michel ?" "Ou-oui", bégaya-t-il, essayant d'ignorer la douleur dans son crâne, sa femme serrant ses cheveux. "C'est de la saleté, Michel, et tu es sensé la retirer avec ta langue Michel... Après tous ces mois je ne devrais plus avoir à te le dire. Tu es sensé nettoyer mon pied. Je parie que tu pensais plutôt à ton boulot, comme d'habitude. Il le fait tout le temps, Carole. Un jour j'ai dû le garder à la maison et lui faire rater une réunion pour qu'il apprenne enfin à embrasser mes jambes correctement. Ne sais-tu toujours pas comment nettoyer mon pied avec ta langue ? Je pense qu'un emploi de magasinier sera plus approprié pour toi car ainsi tu apprendras à nettoyer. Et tu ne penseras plus à ton travail quand tu es sensé me servir. Maintenant utilise ta langue et nettoie bien mon pied, ou tu le regretteras ! Mets ta langue sous mon ongle." Elle adressa un large sourire à Carole quand elle vit les larmes de douleur et de frustration jaillir des yeux de son mari, alors qu'il prenait docilement le pied de sa femme par le talon et le mettait de nouveau dans sa bouche. "Sous l'ongle, Michel." Diane l'avait prévenu. Michel se dépêcha de glisser sa langue sous l'ongle du gros orteil, puis sous celui d'à côté, retirant la saleté et l'avalant. "Je dois vraiment tout de dire. C'est mieux Michel. Je ne veux plus jamais voir de la saleté sous mes ongles de pieds. J'espère que je n'aurai pas à le répéter, Michel !" A suivre...