Un mariage infernal - Chapitre 10 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- =============== = Chapitre 10 = =============== Ils restèrent ainsi, Michel agenouillé devant le tabouret avec les pieds de sa femme dans sa bouche, pendant que Diane et Carole discutaient. Puis le téléphone sonna et Diane répondit. C'était Jacques, un ami de Michel, qui appelait pour demander si Michel venait jouer au football le lendemain, qui était un samedi. Oh, c'était vraiment le moment parfait ! Diane expliqua à Jacques, avec Carole, et bien sûr Michel, à côté pour écouter : "Jacques, Michel ne va plus avoir de temps à consacrer au football. Il est marié avec moi maintenant et il ne va plus avoir de temps libre, donc s'il te plaît ne rappelle plus jamais ici". Elle vit son mari virer au rouge écarlate, mais il garda son pied dans sa bouche. "Non Jacques, tu ne peux pas lui parler. Il n'a plus le droit de parler au téléphone. Maintenant salut," et elle raccrocha. "Diane, s'il te plaît," dit finalement Michel en retirant son pied de sa bouche. "Jacques est mon ami." Diane fut patiente cette fois : "Michel chéri, je te l'ai dit hier, tu ne passeras plus de temps avec tes amis maintenant. Il y a tellement de choses que tu dois faire pour moi. Chéri, tu dois accepter ta nouvelle vie de mari. Maintenant, de cette façon, Jacques n'appellera plus jamais, et je suis sure qu'il ira raconter ça à tous tes vieux amis, et nous n'aurons pas à toujours chercher des excuses. Tu ne crois pas, Carole ?" Carole sourit à Michel : "Oh, absolument." Diane parla à nouveau à son mari : "Michel, tu dois comprendre que ta vie a changé maintenant. Finies les sorties, ainsi que les branlettes. Tu savais qu'il avait pris l'habitude de se branler tous les jours, comme un petit garçon ?" dit-elle à Carole. Carole secoua sa tête. "Dégoûtant. Bien, je suppose qu'il ne peut plus faire ça maintenant." "Non, plus avec sa ceinture fermée. Ok, assez parlé Michel. Remets mon pied dans ta bouche avant que je ne m'énerve." A contrecoeur, Michel prit un de ses pieds dans ses mains et approcha sa bouche de ses orteils. Maintenant, avec son pied dans sa bouche tout ce qu'il pouvait voir était les chevilles de sa femme. Il ne put donc la voir sourire largement à Carole. Puis elle continua à remuer le couteau dans la plaie : "C'est pour notre bien, Michel. Tu ne peux plus avoir d'amis. De quoi pourrais-tu discuter avec eux ? De ta ceinture de chasteté ou pourquoi je te laisse puceau ? Ou comment tu dois passer chaque nuit avec ta tête dans mon cul ?" "Sa tête dans ton cul ?" demanda Carole. Diane sourit. "Oui, c'est quelque chose que nous avons mis au point afin de faire perdre à Michel quelques-unes de ses mauvaises habitudes. Je suis en train de lui apprendre à devenir mon petit lécheur de minou, et il a encore un problème avec mes odeurs. Carole, je ne pense pas que je devrais prendre un bain à chaque fois que je veux qu'il me lèche, non ?" "Oh non," dit Carole en riant. "En plus, j'aime avoir sa tête entre mes cuisses quand je jouis et c'est agréable d'avoir sa tête là quand je m'endors. Et je ne veux pas me géner pour péter. Ainsi, en gardant Michel sous les couvertures la nuit avec sa tête dans mon cul, il devra apprendre à accepter mes odeurs, toutes. Et j'ai noté que cela le rendait plus docile et soumis. N'est-ce pas chéri ?" Les deux femmes poussèrent des petits rires. "Et c'est si agréable d'avoir son nez derrière. C'est son outil sexuel, son nez, et pas son pénis." Elles éclatèrent de rire. Puis, alors que la soirée s'écoulait Diane raconta à Carole tous les détails de leur nuit de noce, et comment elle avait utilisé son ventre comme serviette à la plage. Michel commença à vraiment avoir peur quand il les entendit prévoir d'aller à la plage le lendemain, et Diane ajouta : "Je te montrerai quelle agréable matelas il fait." Dès qu'ils arrivèrent à la plage ce jour-là, Diane fit s'allonger Michel, puis elle s'assit sur son ventre, ce qui provoqua un lourd gémissement chez son mari et fit rire Carole. "S-s'il te plaît, lève-toi, tu m-m'écrases..." "Me lever ? Michel, je viens juste de m'asseoir ! Nous allons rester là toute la journée. Maintenant soit un bon garçon et montre à Carole quelle bon matelas tu fais." Michel souffrait terriblement du poids de sa femme sur son ventre. "Michel, ouvre ta bouche. Prends de longues et lentes inspirations et essaye de te relaxer. Tu te sentiras mieux." Michel fit ce qu'elle lui avait suggéré, et effectivement il trouva que cela l'aidait un peu. "Voilà un bon garçon. Maintenant reste bien immobile toute la journée, et entraîne-toi à être calme." Michel savait qu'il n'avait pas d'autre choix que de rester allongé là, et il savait que le poids de sa femme deviendrait de plus en plus oppressant au fur et à mesure que la journée passerait. Diane adorait cette situation, et elle discutait avec Carole, confortablement installée sur son mari. "Je ne pense pas qu'il apprécie beaucoup de te servir de matelas, Diane," dit Carole en regardant le jeune homme en train de souffrir. Diane sourit vers son mari : "il est plutôt du genre agité, et il doit apprendre à se calmer et devenir passif, et tout ceci est un excellent exercice." Quelques heures plus tard, Diane posa ses mollets sur le visage de Michel, lui rendant la respiration encore plus pénible. Elle s'en aperçut et rit : "tu n'aimes pas mes mollets, Michel ?" Il ne savait pas quoi répondre. "C'est vrai : tu embrasses mon minou, mon cul, mes pieds, mais tu n'embrasses jamais mes mollets.. Allez, embrasse-les !" Ce qu'il fit. Michel était à l'agonie ce soir-là, mais la douche lui apporta un peu de réconfort. Puis il se rasa, mais son moral retomba quand il sortit de salle de bains et vit sa femme sur le lit. Elle était allongée sur le côté, avec une de ses grosses jambes repliée, exposant ainsi son sexe poilu et ses larges fesses. Elle le regardait avec un petit sourire moqueur, comme pour le mettre au défi de lui opposer la moindre résistance. Michel savait que ce n'était pas le moment de tenter quoi que ce soit, et il s'approcha docilement, observant la touffe de poils entre les jambes de Diane, les boutons et les grains de beauté sur ses jambes et ses fesses. Il déglutit, se mit sur le lit et posa sa tête sur sa cuisse allongée. Elle sourit. "Approche, Michel. Viens, mets ton nez dans mon cul. Comme ça." Michel ne pouvait croire à l'odeur écoeurante qui l'envahissait, et il réalisa qu'une journée à la plage l'avait mise en sueur, mais, à la différence de lui, elle ne s'était pas lavée. Elle rabaissa sa jambe, bloquant ainsi son mari pour la nuit. Le jour suivant, un dimanche, Diane annonça à Michel qu'elle allait sortir avec ses amies, et elle lui laissa une liste de corvées à effectuer. C'était devenu la routine. Il détestait cette vie. Son travail était devenu son seul refuge. Il adorait son boulot : c'était un bon ingénieur, et il aimait se perdre dans les méandres de complexité de ses projets informatiques. C'était devenu plus dur de s'impliquer car il manquait de sommeil maintenant, mais il faisait de son mieux. Et cela lui permettait de laisser son esprit s'échapper de son mariage infernal. A la différence de la plupart des gens, Michel passait ses week-ends à attendre avec impatience le lundi matin pour retourner au travail. Il aimait Diane, mais... Si seulement elle pouvait changer ! Mais au contraire, elle semblait devenir plus stricte chaque jour, et sa vie devenait de plus en plus misérable. Le plaisir que trouvait Michel dans son travail commença à agacer Diane. Un matin, alors qu'ils prenaient leur petit déjeuner Michel mentionna une importante réunion qu'il avait ce jour-là à son travail. Diane ne répondit pas, mais cela l'ennuyait. Elle savait qu'il était irrationnel de dénier tout plaisir à son mari mais elle ne pouvait s'en empêcher. Dans son mariage le travail de son mari ne devait pas interférer avec son plaisir, et elle prenait son plaisir à refuser toute satisfaction à son mari. Quelques minutes après, alors qu'elle défèquait, assise sur les mains de Michel, elle commença. "Qu'es-tu en train de faire, Michel ?" "J-j- j'embrasse tes jambes," dit-il, effrayé d'avoir fait quelque chose de mal. "Michel, remets tes lèvres sur mes jambes et continue à les embrasser. Je ne t'ai pas dit d'arrêter. Je te l'ai déjà dit : à chaque fois que tu es dans cette position tu dois garder tes lèvres sur mes jambes et les embrasser. Tu ne dois pas les quitter ne serait-ce qu'un instant, et si tu dois parler tu le fais en laissant tes lèvres sur mes jambes... Tu as compris ?" "Ou-oui," répondit-il en gardant ses lèvres sur sa jambe. Elle lui sourit. "C'est bien. Mais Michel, je n'aime pas la façon sont tu embrasses mes jambes." Maintenant elle allait lui apprendre comment vénérer ses jambes et... arriver en retard à sa réunion. "Tout d'abord Michel, je sens ton esprit vagabonder et que tu n'es pas concentré sur ce que tu fais. Quand tu embrasses mes jambes, c'est tout ce à quoi tu dois penser. Tu comprends ?" "Oui", répondit-il sur sa jambe. C'était tellement ennuyeux, comment son esprit n'aurait-il pas pu s'échapper ? Qu'espérait-elle donc de lui ? Mais il savait qu'il valait mieux pour lui ne pas répondre. "Maintenant, au sujet de ta façon d'embrasser. J'attends de toi, Michel, que tu embrasses mes jambes avec passion, et ce n'est pas vraiment ce que tu as pris l'habitude de faire." Michel ne comprenait pas ce qu'elle voulait dire par là, mais il se mit à l'embrasser avec ce qu'il pensait être de la passion. "C'est un petit peu mieux, Michel, mais pas si macho. Arrête d'agir et de penser comme un homme. Je n'aime pas ça. Embrasse mes jambes avec soumission, comme si tu les vénérais. Garde tes lèvres molles Michel, très tendres, et entrouves-les". Il s'exécuta. "Voilà qui est mieux. Tu es un bon garçon. Je veux des baisers soumis, doux, légers mais passionnés sur mes jambes. Mmmmhhh. Oui, comme ça. Maintenant continue un moment. C'est bien." "Diane", dit-il respectueusement tout en gardant ses lèvres sur sa jambe, "je dois aller au travail. Il est tard, et j'ai une réunion importante." "Michel chéri", dit-elle doucement, "je suis sure que M. Martin comprendra qu'apprendre à embrasser les jambes de sa femme est bien plus important que n'importe quelle réunion. En tout cas dans notre couple ça l'est certainement. Maintenant tais-toi et continue de m'embrasser." Il fit ce qu'elle disait, espérant en finir plus vite. "Et ici ?" dit- elle, indiquant l'extérieur de sa cuisse gauche, juste en-dessous de la hanche. Michel s'étira et embrassa l'endroit indiqué. "Non Michel !", cria-t-elle, "tu ne dois pas quitter tes lèvres de mes jambes ! Combien de fois faudra-t-il que je te le dise ? Es-tu stupide à ce point ? Je veux que tu mettes tes lèvres ici, mais sans les lever un seul instant de ma jambe, en embrassant tout le long du chemin que tu parcours pour y arriver. Arrête de te dépécher Michel. Oublie ta réunion. Tu vas rester ici jusqu'à ce que je sois certaine que tu as bien appris comment embrasser correctement mes jambes, et je m'en fous si cela doit prendre toute la journée !" Des larmes vinrent aux yeux de Michel en pensant à son travail et à la réunion qu'il était en train de rater. Diane éprouva du plaisir quand elle sentit les larmes couler sur ses jambes. Cinq minutes passèrent. "Ne bave pas, Michel. Garde tes lèvres sèches. C'est mieux. Doucement. Et continue à parcourir toutes les parties de ma jambe avec tes lèvres sans jamais les lever. Et garde tes lèvres molles et douces, Michel. Arrête d'agir comme un macho." Finalement, après deux heures, Diane se leva enfin et souleva son corps pesant des bras de Michel, qui put alors aller à son travail, très en retard... A suivre...