Un mariage infernal - Chapitre 9 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 9 = ============== Michel était sûr que tout cela changerait un jour, mais n'osait s'élever contre Diane. Elle devenait terrible quand quelqu'un osait lui résister. Mais d'un autre côté il ne voulait pas renoncer à ses soirées de cartes. Il jouait régulièrement avec ses amis depuis des années maintenant, et il attendait toujours avec impatience les jeudi soirs. Il parlerait à sa femme. Elle comprendrait. Il rentra à la maison et retira ses vêtements. Puis il prit courage, déterminé à lui parler. "D-Diane, j-j'aimerais vraiment jouer aux cartes avec mes amis ce soir. J-je serai rentré tôt, je te le promets. S'il te plaît." Diane lui sourit gentiment, et lui parla d'une voix douce, telle une mère s'adressant à son enfant : "Chéri, je comprends, je comprends vraiment. Mais tu es marié avec moi maintenant, et je ne permettrai plus jamais de voir tes amis." Michel ne pouvait croire ce qu'il entendait, mais en regardant sa femme il vit qu'elle était sérieuse. Elle ne plaisantait pas. "Je sais que cela peut te sembler méchant ou injuste, Michel, mais ce sont mes règles. Tu n'auras plus jamais de temps libre dorénavant. Maintenant je veux que tu fasses quelque chose de spécial pour moi ce soir. J'ai besoin que tu t'occupes de mes pieds. Ils sont bouillants, fatigués, pleins de sueur et je veux que tu me les masses." Michel déglutit. Peut-être que s'il faisait ce qu'elle lui demandait, masser ses pieds, elle le laisserait partir jouer aux cartes ensuite. Diane se leva, jeta ses chaussures aux loin, retira ses bas et posa ses pieds sur un tabouret. Michel s'approcha, s'agenouilla et commença à caresser un de ses pieds, commençant à sentir leur odeur acre. Diane vit la moue dégoutée de Michel. "C'est bien Michel. Est-ce que mes pieds sentent ?" Michel ne savait pas quoi répondre sans risquer de la mettre en colère. "Ou-oui, ils sentent." Diane acquiesca. "Je sais, j'ai été debout toute la journée et ils sont maintenant pleins de sueur et tout sales, et ils doivent effectivement sentir fort." Elle lui sourit. "Maintenant je veux que tu prennes mon pied dans ta bouche et que tu lui fasses un beau massage avec ta langue. Cela devrait être très agréable pour moi, et en même temps cela te permettra de nettoyer mon pied avec ta langue." Il la regarda. Elle ne plaisantait pas. Elle était sérieuse. Elle venait juste de lui dire que ses pieds étaient plein de sueur, sales et odorants, et elle lui demandait de les mettre dans sa bouche ! "Là" dit-elle, appuyant son pied droit sur le visage de Michel. Il savait qu'il n'avait pas le choix, et s'il ne voulait pas être puni il devait faire ce qu'elle voulait. Il mit le pied plein de sueur de sa femme dans sa bouche. Cela avait un goût encore pire que l'odeur. "Oooohh, Michel, comme c'est agréable." Diane rejeta sa tête en arrière et ferma les yeux. "Ohhhhhh, comme c'est agréable. Maintenant lèche entre mes doigts de pied. Oh ouiiiii." Elle se sentait merveilleusement bien, et Diane réalisa que très peu de femmes pouvaient vivre ce qu'elle ressentait à cet instant. Elle regarda son mari de haut, avec son pied dans sa bouche, et elle vit sa mine écoeurée. C'était vraiment un bon garçon. C'était ainsi qu'elle commençait à le considérer, comme son petit garçon. Elle sourit quand elle réalisa qu'elle était vraiment une peau de vache : tout ce qu'il désirait était d'aller jouer aux cartes avec ses amis, et au lieu de ça elle le faisait mettre à genoux, là, avec ses pieds sales dans sa bouche. Très bien, elle avait décidé qu'une partie de sa domination sur lui consisterait à lui interdire de ne voir aucun ami, et il devait l'accepter. Elle adorait cette sensation d'avoir ses pieds fatigués dans sa bouche, et elle garda Michel dans cette position pendant une heure. Ensuite elle retira son pied de sa bouche, le regarda en approuvant de la tête, et lui dit de faire la même chose avec son pied gauche alors qu'elle le posait dans sa bouche. Michel, qui aurait dû s'y attendre, fut surpris mais se remit à l'ouvrage avec sa langue, en dépit de l'odeur et de ce goût de saleté. "Oh Michel, c'est si agréable. Tu me le feras tout les soirs." Maintenant c'était le moment d'émettre quelques critiques. "Maintenant passe ta langue entre mes orteils. Ne sois pas paresseux. Voilà, comme ça. Tu es sensé nettoyer mes pieds et j'attends de toi que tu avales tout ce que tu pourras trouver entre mes orteils." A 8 heures le téléphone sonna et Diane répondit. C'était Robert, un ami de Michel, qui se demandait ce qu'il se passait, vu qu'il n'avait pas encore rejoint ses amis comme prévu. "Robert, Michel ne va pas pouvoir venir jouer aux cartes, car il a trop de choses à faire à la maison. Non, il ne peut venir répondre, car il est en train de s'occuper de mes pieds. Salut." Et elle raccrocha. Michel sentait qu'il était proche de pleurer, mais Diane eut envie d'être plus cruelle encore : "Michel, je t'ai dit de bouger ta langue, bon sang ! Mets-la entre mes orteils. Comprends-tu pourquoi tu n'as plus le temps d'aller avec tes amis ? Nettoyer mes pieds est bien plus important pour toi." Enfin, Diane retira son pied de sa bouche. Michel vit qu'il était encore tôt. Peut-être pouvait-il encore y aller. Mais Diane avait d'autres plans. "Maintenant je veux que tu t'occupes de mes talons, Michel. Une fille a toujours quelques peaux mortes à l'arrière, et je veux que tu me les retires, délicatement, avec tes dents. S'il y a des endroits trop durs Michel, utilise ta langue pour les adoucir et ainsi tu pourras les enlever avec tes dents." Michel déglutit, mais obéit, prit son talon gauche dans sa bouche, y promena sa langue, et quand il trouva un endroit plus dur, il utilisa sa langue pour essayer de l'adoucir comme elle le lui avait dit. Cela avait un goût abominable. Ensuite il utilisa ses dents pour retirer la peau morte. "Mmmmm. C'est très agréable, Michel. Ne t'arrête pas. Avale juste tout ce que tu as retiré, et continue comme ça". Elle voulait qu'il avale la peau morte qu'il venait d'enlever ! C'était vraiment dégoûtant, mais il fit ce qu'elle lui avait dit. Ensuite elle lui fit faire son talon droit. Il léchait de la peau morte, mélangée avec de la transpiration séchée, et au fur et à mesure qu'il la léchait, Diane pouvait sentir l'air rafraîchissant sur sa peau. Une demie-heure après, Diane changea à nouveau de pied et Michel comprit qu'il ne sortirai pas ce soir. Son nez frottait constamment les pieds de sa femme, et il se sentait rempli de leur odeur. "Ne te presse pas tant, Michel. Ralentis. ce n'est pas une course. Garde ta langue humide. Je veux des léchages lents sous la plante des pieds maintenant." Enfin, elle se leva. "C'était très agréable Michel. Je ne veux pas te paraître méchante Michel, mais je veux avoir ce traitement tous les soirs, donc tu vois bien pourquoi tu n'as plus de temps pour les amis ? Maintenant je veux que tu ailles prendre un douche et que tu te rases." Le soir suivant, alors que Michel rentrait à la maison, épuisé et démoralisé par ce qui était en train de devenir sa routine, il entendit des rires et réalisa que sa femme n'était pas seule. Effectivement, il reconnu Carole assise à côté de Diane sur le canapé. Elles étaient en train de parler et de rire, et lorsqu'il entra dans la pièce il vit Carole la regarder avec amusement. "Chéri, tu connais mon amie Carole. Mais pourquoi as-tu encore tes vêtements ?" Michel regarda sa femme et ensuite Carole qui souriait maintenant, et lança un regard implorant vers sa femme. Voulait-elle réellement qu'il se mette nu devant Carole ? Il eut sa réponse rapidement : "As-tu entendu ce que j'ai dit Michel ? Enlève tes vêtements. Tout de suite. Tu sais très bien que tu n'es pas autorisé à en porter dans la maison." Diane se leva, de dirigea vers Michel et le gifla très fort. "Enlève tes vêtements Michel !" Des larmes apparurent dans ses yeux et il vit Carole sourire, mais il se déshabilla tout de même, se sentant complètement humilié. Diane sourit à Carole. C'était la première fois que Diane humiliait son mari en présence d'une amie, mais cela allait devenir une habitude. Puis Carole aperçut sa ceinture de chasteté, tapa dans ses mains et éclata de rire. "Oh, j'adore ! J'adore ! Fais voir ! Michel, viens ici." Il était écarlate et terriblement embarrassé, aussi resta-t-il debout sans bouger. Diane s'était mise à rire également et eut beaucoup de mal à s'arrêter. "Michel, ne soit pas si timide. Carole est une très bonne amie et elle a déjà eu l'occasion de voir plein de garçons nus auparavant. Maintenant viens par ici. Montre à Carole ta belle ceinture." Michel obéit, se sentant ridicule et honteux. Il se dirigea vers Carole. "Il a l'air très docile, Diane". Carole avait dit cela comme si Michel n'était même pas présent dans la pièce. "Oh, il l'est la plupart du temps Carole, mais il a encore beaucoup à apprendre, pour faire tout ce qu'on lui dit. Mais nous y arriverons." "J'adore ta ceinture de chasteté, Michel," lui dit Carole en ayant du mal à ne pas éclater de rire à nouveau. Diane était aux anges. C'était si amusant avec la participation de Carole. "Qu'est-ce que tu dis à Carole, Michel ? Ne me dis pas que je dois t'apprendre les bonnes manières également !" "M-m-merci", grommela Michel. "Michel est d'accord pour garder cadenassé son pénis jusqu'à notre premier anniversaire de mariage, n'est-ce pas chéri ?" Diane cligna de l'oeil à Carole. Michel ravala sa rage. Pourquoi mélait-elle Carole à tout ça ? "Michel chéri, il est temps maintenant de t'occuper de mes pieds. tu sais, comme hier soir." Elle mit ses pieds sur le tabouret, jeta ses chaussures et fis glisser ses bas. Michel savait qu'il devait faire ce que sa femme désirait, même si son amie était présente, aussi il essaya juste d'oublier où il était et prit un de ses pieds dans sa bouche. "Tu as vu comme c'est un bon garçon ?" Diane était excitée de faire tout cela devant Carole. Elle ordonna à son mari de continuer pendant qu'elle et Carole discutaient de choses et d'autres, parlant parfois de Michel comme s'il n'était pas là. "Il n'a pas l'air de trop apprécier de lécher tes pieds, Diane." "Je sais. Je ne crois pas qu'il aime l'odeur ou le goût de mes pieds. Mais il apprendra, car il va devoir faire ça tous les soirs." A suivre...