Un mariage infernal - Chapitre 8 par escribe1@caramail.com Une femme asservit totalement son mari --------------------------------------------------- Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "His Awful Marriage", de Michael Freemont paru dans "Miscellaneous Twelve". --------------------------------------------------- ============== = Chapitre 8 = ============== Elle aurait pu lui donner quelques bonnes raisons pour le faire rester nu ainsi lorsqu'il était à la maison, comme par exemple la destruction de sa fierté et de sa confiance en soi, ou bien qu'elle avait l'intention de cadenasser ses vêtements afin de le rendre encore plus prisonnier. Mais ce soir elle préfèra la réponse : "parce que je l'ai décidé." "Maintenant j'ai envie d'aller aux toilettes, Michel. Voyons si tu te souviens de ce qu'il faut faire si tu veux ne pas me mettre en colère." Michel alla aux toilettes et se mit en position. Diane s'assit sur ses mains et Michel commença à embrasser servilement ses jambes. Diane sourit, et ensuite sentit couler des larmes sur ses cuisses. Il était en train de pleurer... Cela la satisfaisait : elle l'avait fait pleurer, exactement comme un petit garçon. Oh, c'était vraiment un mari parfait pour elle. Elle allait le briser totalement. Mais maintenant elle devait lui parler plus gentiment. "Michel chéri. Je t'aime réellement. Maintenant parlons de ta ceinture. J'y ai beaucoup pensé, et j'adore vraiment te voir la porter." "Mais Diane", dit-il en relevant la tête de ses cuisses. "Michel", l'interrompit- elle, "rebaisse ta tête sur mes jambes et parle-moi sans en soulever les lèvres. D'accord ?" Michel répondit "d'accord" sur ses jambes. "Bon garçon. Ecoute Michel, tu savais bien que je voulais que tu restes puceau, n'est-ce pas ?" "Oui," répondit-il sur sa jambe. "Bien Michel, et la seule raison pour laquelle tu voudrais retirer ta ceinture serait pour te masturber... Tu es un homme marié, et tu voudrais te masturber !" Michel se sentait tellement stupide de devoir parler en gardant ses lèvres posées sur les jambes de sa femme. "Mais Diane, ce n'est pas normal, ce n'est pas juste, j'ai besoin de satisfaire..." "Je sais chéri, je sais. Mais sais-tu ce qui se passe si tu n'as pas de satisfaction sexuelle ? Tu deviens encore plus dévoué, prêt à me servir. Je vais te dire, je vais être honnête. Nous allons garder cette ceinture jusqu'à notre premier anniversaire de mariage. La première année de mariage est toujours la plus dure, et dans notre mariage tu as toutes tes règles à apprendre. Cela va être dur pour toi d'apprendre à dormir avec ton visage dans mon cul, et je pense que cela te facilitera la tâche si tu n'es pas distrait par tes besoins masculins. Et je ne veux jamais te surprendre en train de te branler. Donc c'est ce qu'on va faire, nous le laisserons jusqu'à notre premier anniversaire, et on verra à ce moment. Cela te semble-t-il honnête ?" Qu'aurait pu dire Michel ? Il ne voulait pas se disputer avec elle, mais un an, c'était tellement long ! "J-je pense que oui," dit-il sur sa jambe. Ensuite elle se leva et tira la chasse. Michel se sentait tellement déprimé. Il souhaitait donner une meilleure tournure à son mariage, et il suggéra à sa femme qu'ils pourraient sortir dîner. Diane sourit : une autre leçon pour son mari. "Mais, Michel chéri, je sors déjà avec quelqu'un ce soir." C'était comme si elle l'avait giflé à nouveau. "A-avec quelqu'un, m-mais... Avec qui ?" "Michel, Michel, Michel, n'avons-nous pas déjà discuté de tout ça avant de nous marier ? Tu sais bien que j'ai besoin de sortir avec d'autres hommes. Cette soirée s'annonce très agréable et je vais sortir avec Charles. C'est une sorte de, disons, d'amant." "Mais... Mais et moi ?" demanda-t-il et Diane lui sourit : "Michel, tu vas pouvoir nettoyer la maison. Je vais te faire une liste de choses à faire. C'est plein de saletés ici. Tu n'arriveras probablement pas à tout faire ce soir, mais tu auras demain également pour finir, quand je serais de sortie avec Carole." Elle le fit embrasser son derrière quand elle partit pour son rendez-vous, et elle dû le réprimander quand elle revint vers 11 heures, car il avait oublier de l'embrasser de nouveau. Il pleura la majeure partie de la nuit alors qu'il restait éveillé, son visage entre les fesses de sa femme. Le dimanche suivant il fit un temps magnifique, mais Michel se sentait tellement déprimé alors qu'il le passait à suivre les instructions de sa femme, nettoyant le réfrigérateur, lavant les carreaux, brossant le sol. Il était dix heures du matin lorsqu'elle était partie, et Michel s'était bien souvenu cette fois-ci de lui embrasser le derrière. Il avait passé depuis toute la journée à la maison, entièrement nu à l'exception de sa ceinture de chasteté. Sa ceinture... Il allait devoir la garder pendant un an. Un an ! Un an sans avoir le moindre plaisir sexuel. C'était odieux, mais que pouvait-il faire ? Il ne pouvait même pas quitter la maison, car il n'avait plus accès à ses vêtements : Diane les avait enfermés. Et ainsi il exécuta les corvées que sa femme lui avait imposées, en espérant qu'elle ne rentre pas trop tard. Mais elle ne revint pas avant dix heures du soir. "Oh quelle merveilleuse journée chéri", dit-elle "et maintenant j'ai besoin de ta langue. Prends une douche et allons au lit". C'était un bonheur pour Michel de retourner au travail le jour suivant, mais comme Diane ne lui permettait pas de se laver ou raser le matin, il devait faire en sorte de ne pas s'approcher trop de ses collègues. Son visage portait l'odeur du sexe et de l'anus de sa femme, et elle l'avait prévenu qu'il valait mieux pour lui qu'il continue à sentir cette odeur le soir, en rentrant à la maison. Il rentra de son travail à six heures, se déshabilla et effectua les tâches que sa femme lui avait données le matin. Diane rentra à sept heures, et constata avec plaisir qu'il se rappelait qu'il devait se mettre à genoux et embrasser son derrière en signe de bienvenue. Elle avait apporté le diner qu'ils mangèrent, et ensuite à huit heures elle ordonna à Michel d'aller prendre sa douche et de se raser, pour la rejoindre ensuite dans la chambre. Quand il revint, il vit sa femme allongée sur le ventre. Il vit son derrière imposant et pensa qu'elle souhaitait qu'il vienne l'embrasser, ce qu'il fit. Diane sourit, essayant de ne pas éclater de rire. "Dis-moi combien tu m'aimes, Michel." Il commenca à se relever. "Non, Michel, reste où tu es. Dis-le à mon cul." Il déglutit et s'exécuta, parlant à ses larges fesses. "Garde tes lèvres sur mon cul quand tu t'adresses à lui, Michel." Il s'exécuta. "C'est ça. Prends l'habitude de faire comme ca, Michel." Enfin, elle se retourna sur le dos. Michel nota la bière et la boîte de confiseries sur la table de nuit, alors qu'il la regardait prendre la télécommande de la télé. "Bien chéri, je ne suis pas trop fatiguée ce soir. Je veux que tu me fasses l'amour. Descends et commence à m'embrasser les cuisses, et dis-moi combien tu m'aimes. Sois romantique." Puis elle tira les couvertures et plia ses jambes. Pourquoi devait-elle à chaque fois tirer les couvertures ? Il détestait se retrouver là-dessous. Ca puait... Elle puait ! Elle qui ne souciait jamais de se laver le soir... Mais il savait qu'il valait mieux pour lui de ne pas se plaindre. Il commença à l'embrasser et la lècher, et bientôt il sentit qu'elle jouissait, sentant couler sur son visage le fruit du plaisir de sa femme. Alors qu'il continuait à l'embrasser doucement afin de la faire récupérer, il entendit le clic de la télé. Elle allait regarder tranquillement la télé alors qu'il devait rester sous les couvertures ! La situation du drive-in se répétait... Et c'est ainsi que la soirée passa, comme la plupart des soirées par la suite. Il devait être aux alentours de onze heures, même si Michel n'avait pas de moyen de connaître l'heure, lorsqu'enfin elle le positionna afin que son nez soit sur son anus et sa bouche sur son sexe, puis elle baissa ses jambes sur les joues de son mari tout en se glissant vers le bas du lit pour se préparer à dormir. Michel n'avait plus qu'à essayer de dormir, ou du moins de sommeiller et se reposer. Ainsi se termina le lundi. Mardi et mercredi se passèrent de même. Le mercredi soir, Michel entendit le son de voix durant les périodes de calme qui suivaient les jouissances de Diane, et il réalisa alors que ce n'était pas la télé, mais qu'elle était au téléphone. C'était devenu une vie très déplaisante pour Michel, mais Diane trouvait qu'il s'y était adapté bien mieux qu'elle n'aurait osé l'espérer. Elle avait essayer d'être prudente et de ne pas aller trop vite, mais elle savait que ce qu'elle avait déjà fait devait l'être rapidement : le déni de toute forme de plaisir sexuel, le rituel des toilettes, la nudité imposée à la maison, et les nuits passées avec son visage entre ses fesses. Elle réalisait d'ailleurs que ce dernier point était le plus probablement le plus important. Pas seulement parce que cela lui procurait une sensation merveilleuse, mais surtout parce que le laisser ainsi sous elle, éveillé durant la majeure partie de la nuit avec son nez entre ses fesses contribuait à détruire son ego et sa confiance en lui, l'aidant ainsi à s'adapter au mode de vie qu'elle était en train de lui imposer. D'habitude les femmes soutenaient leur mari afin de consolider leur assurance, mais Diane étaient déterminée à détruire complètement celle de Michel. Et elle s'apercevait qu'elle était en train de réussir plus qu'elle n'aurait pu l'espérer. Michel se mettait à éviter ses collègues au bureau, mais continuait à jouer régulièrement au cartes avec des amis le jeudi soir. Diane le savait, et elle était déterminée à y mettre un terme le soir même. Elle ne pouvait plus permettre à Michel de n'avoir aucun ami. Ce jeudi matin, avant de partir au travail Michel rappela son rendez-vous à Diane. Il aurait pourtant pu prévoir sa réponse, mais elle le démoralisa : "Michel, tu es marié avec moi maintenant, et tu n'as plus de temps à consacrer à tes amis. Tu n'as pas terminé tout ton ménage, et en plus ce soir j'ai besoin de toi pour du travail supplémentaire." En fait elle n'avait aucune idée de ce qu'elle allait lui demander de spécial, mais elle allait y penser durant la journée. Elle vit des larmes apparaître dans les yeux de son mari, ce qui la fit sourire : elle adorait le voir malheureux. Ce jour-là au travail, Diane réfléchit à la soirée qui arrivait. Sortir avec ses amis ? Elle devait lui montrer que ce genre de liberté ne lui serait plus permis désormais. Mais quel travail supplémentaire allait-elle pouvoir lui demander ? Puis elle trouva. Bien sûr ! Ses pieds... A suivre...